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(demi) i'll hold you through the night to make everything alright

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Quatre heures du matin et je termine ma soirée, alors que d’autres se lèvent dans à peine deux heures pour aller bosser. Dur d’être un adulte responsable, c’pour ça que j’veux pas de ce rôle. Moi j’aime bien ma petite vie de débauche, où je sors quand je veux, j’ai aucun problème à rentrer bourré à pas d’heure, accompagné ou pas. J’enfile ma veste en jean en sortant du bar parce que la nuit, il fait quand même un peu frais ces derniers jours. J’ai une blondinette à mon bras, elle m’intéresse pas nécessairement mais j’ai cette foutue angoisse de rester seul à la villa et de me briser en mille morceaux. On marche un peu du coup vers chez moi, elle est collée à moi comme une putain de sangsue et j’écoute même pas ce qu’elle me dit mais j’la laisse blablater en paix, me contentant d’hocher la tête par moment. À la place, j’regarde mon environnement. J’suis un gars curieux, j’aime tout observer. Et comme j’suis pas concentré sur ce qu’elle me dit, mon cerveau cherche un point d’ancrage auquel se raccrocher, un truc qui capterait mon attention. Et j’vois une silhouette deux rues plus loin du Royale. Par terre, seule. Alors j’m’approche. Je tire la nenette derrière moi sans même m’en rendre compte. Et c’est là que je te vois. "Dégage." que je balance à la blonde, la faisant lâcher mon bras. Mais elle a pas l’air de comprendre alors je répète, le ton qui monte. "Dégage, je te dis." Et elle bouge enfin, probablement vexée de mon comportement mais j’m’en fous, elle est déjà sortie de ma tête. Je m’approche jusqu’à te faire face. T’es recroquevillée par terre, alors je m’accroupis. "Hey." Je sais qu’il y a un truc qui cloche, et… j’m’imagine déjà le pire en fait. J’imagine un enfoiré qui a abusé de toi et ça a le don de faire remonter toutes mes envies de carnage à la surface. Mais j’vois que je fais sûrement fausse route quand tu relèves la tête vers moi. Parce que t’as du sang partout. T’es éraflée, égratignée, t’as des débuts de bleus qui se sont pas encore vraiment colorés. "Putain, Demi…" Je glisse deux doigts sous ton menton pour que tu me regardes. "Qu’est-ce qui s’est passé? T’as mal où? Est-ce que tu veux que j’appelle les secours? Une ambulance?" J’sais pas, moi j’suis le genre de gars qui se prend des coups de couteau mais qui refuse d’aller à l’hosto et demande à ses potes de le suturer à vif. Les secours, j’connais pas trop, mais peut-être que ça te rassurerait. Putain mais qu’est-ce qui t’est arrivé?
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j’crois que je n’aurais jamais pu imaginer que la soirée tourne à un tel désastre en fait. j’étais sortie comme assez souvent dans l’optique de me changer les idées, boire un verre, rencontrer du monde.. un truc banal en fait. puis finalement, j’avais pas été tellement dans le mood, était partie un peu plus tôt et m’était fait embrigader dans un guetapan dans la ruelle à côté. cinq mecs contre moi ? come on, c’était pas fair play du tout. et j’comprenais pas, je ne savais pas pourquoi ça me tombait dessus mais ça arrivait et je faisais ce que je pouvais. repousser, me défendre, frapper en retour encore et encore. sauf que j’étais pas un ninja et je ne faisais clairement pas le poids. alors ouais, ça s’enchaînait et je finissais au sol, sonnée, recroquevillée sur moi même tentant de me protéger un maximum des coups pleuvant sur mon corps. et même une fois terminé, je restais là, hébétée, les membres endoloris, à attendre probablement un miracle. et y a cette voix qui me semble familière et qui me fait finalement bouger. j’grimace parce que ça fait un mal de chien mais t’es là. elliot. je cligne des yeux un peu perdu, j’ai l’impression de ne plus vraiment savoir où est-ce que je suis ni ce que j’y fais. « mh » j’crois que c’est ça, je suis paumée. je réalise sûrement pas en fait ce qui a pu se produire. tu passes tes doigts sous mon menton et j’reste là, sans trop de réaction. « je.. non, non.. ça va » ou pas en fait mais je ne suis pas le genre de fille à me plaindre. « je veux juste rentrer » que je souffle. mais j’ai pas le courage de me lever.. ou bien je n’y arrive pas. j’sais pas. j’crois que j’ai trop chargé pour faire quoi que ce soit en fait.
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J’te vois là, par terre, sonnée, en sang, et ouais, j’sais pas ce qui t’est arrivé et tu parles pas, tu me dis pas ce qui s’est passé et c’est dur d’être dans l’ignorance. T’as l’air sonnée, perdue, sans repère. Mes doigts sous ton menton soulèvent ton visage pour que tes yeux captent les miens. J’te demande si t’as mal, tu me dis que non, mais… tu saignes, t’as des plaies apparentes et ça me parait peu probable. Peut-être que t’es trop sous le choc, t’sais avec l’adrénaline on ressent pas forcément la douleur tout de suite. Tu veux rentrer. "D’accord, on rentre, viens." J’suis pas un connard, malgré les on-dit. Si quelqu’un a besoin d’aide, j’suis le premier à me proposer. D’autant plus quand je connais la personne. Et, j’avoue que ça fait bizarre de te voir dans cet état là. Pour moi t’es cette meuf badass qui casse la gueule de tout le monde tu vois? Je retire ma veste pour te la passer autour de toi et je passe un bras sous tes genoux, l’autre sous ton dos pour te soulever à bras. J’vais pas te laisser marcher dans cet état, crois pas. J’te laisse le temps du trajet pour reprendre tes esprits, être rassurée d’être avec quelqu’un, que quelqu’un te soit venu en aide. Jusqu’à la maison, j’parle pas, j’me dis que t’en as sûrement pas envie. "Tu vas rester chez moi ce soir, ok?" C’est pour ton bien. On va désinfecter tes plaies, on va les panser, on va te faire prendre un bain. J’vais m’occuper de toi, j’serai là cette nuit si tu as besoin. Je déverrouille la porte, et directement, je monte à l’étage pour aller dans ma chambre. Et je te pose sur le lit, délicatement, comme si t’allais te casser en deux. À nouveau, je m’accroupis face à toi. "Parle-moi, dis-moi ce qu’il s’est passé… Ou au moins, dis-moi où t’as mal pour que je puisse examiner et te soigner." J’suis pas médecin mais j’ai regardé Grey’s Anatomy, ça va le faire tranquille. Mais j’peux pas devenir si tu me dis pas.

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sûrement que je suis pas lucide. peut être que ça a cogné beaucoup trop fort dans ma tête, j’en sais rien. j’suis juste.. pas là. physiquement présente mais mentalement absente. je te regarde et j’ai pas l’impression de tout percuter. j’suis juste.. vidée en fait. j’veux hocher la tête mais j’ai pas l’impression d’y arriver alors en vrai, je fais probablement rien. tu poses ta veste sur mes épaules puis me soulève du sol comme si j’étais une poupée de chiffon. j’oppose même pas de résistance en fait. sûrement que tu me ramènes chez moi. et j’reconnais pas les rues, j’me dis qu’on a sacrément dû amocher mes sens de perception au final. y a pas un bruit, rien d’autre que la nuit qui nous engloutit en fait. ah, chez toi ? mh. je suis pas d’humeur à riposter en fait. j’crois que j’ai juste la douleur qui commence à se faire ressentir petit à petit. que ça soit sur mes bras, mes jambes, ou mon visage qui me donne l’impression d’être gonflé. tu me poses sur un lit, ton lit sûrement et finalement, tu t’accroupis devant moi, nos regards se captant alors que tu reprends la parole. j’ouvre la bouche et mes yeux s’humidifie. une larme roule sur ma joue et j’sais même pas si c’est parce que je réalise ou juste parce que ça fait tout simplement mal. que ce soit physiquement ou à mon égo. « je.. je sais pas ? ils.. ils étaient plusieurs. je suis sortie et c’est partie d’un coup » j’ai rien pu faire en fait. j’ai riposté pendant quoi ? deux minutes ? pas plus que ça en tout cas. c’était de l’acharnement et d’une violence dingue. « j’crois que j’en connaissais un » mais j’arrivais pas à remettre un nom ou un évènement. « j’ai la tête en feu » comme après une gueule de bois mais multiplié par mille. et ça, c’est sûrement à cause de toutes les contusions en fait. heureusement que je vois pas mon état.
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Je te porte jusque la maison. Chez moi. J’connais la route, c’est plus près, ça ira plus vite. Tu te laisses faire, tu te laisses bercer dans mes bras jusqu’à ce que je te pose sur le lit et m’accroupis à nouveau pour capter ton regard. J’te questionne, même si j’suis pas sûr que tu me répondes. J’essaye quand même d’insister, de te faire comprendre que c’est important pour moi de savoir où t’as mal pour que je puisse prendre soin de toi. T’ouvres la bouche, aucun son n’en sort. Tu la refermes, tes yeux brillent et y’a une larme qui coule sur ta joue. Je déteste voir les gens pleurer, j’suis nul pour réconforter les gens alors j’me sens totalement impuissant. Je me contente juste d’essuyer ta larme du bout de mon pouce, main sur ta joue. Et tu parles. Tu dis pas grand chose mais c’est un bon début. Ils étaient plusieurs à te cogner. Ok, c’est quoi de ces mecs là? "Demi… est-ce qu’ils t’ont touchée?" J’voulais juste savoir parce que si oui, c’était pas anodin et c’était un tout autre problème. Ça me donnait envie de vomir rien que d’imaginer ça. Tu m’avoues avoir mal au crâne et j’hoche la tête. "Est-ce que t’es allergique à quelque chose?" Pas que j’te donne un cachet qui te fasse crever quoi. "Je reviens, attends." Je disparais dans la pièce en face du lit, la salle de bain. Je fouille un peu pour trouver un kit de premier soins, du désinfectant, des compresses, des pansements et du sparadrap. Et j’te ramène un verre d’eau par la même occasion. Je reviens vite dans la chambre, pose tout ça sur le lit. "J’vais te déshabiller d’accord? C’est pour voir l’étendue des dégâts, j’veux vérifier que t’as pas de plaies cachées." Je commence par retirer ma veste qui était toujours sur tes épaules. "Tiens, prends ça." Je te donne un anti-douleur, te donne le verre d’eau pour que tu l’avales. Et une fois fait, je retire délicatement ton haut en essayant de ne pas te faire mal, ou du moins, le moins possible. Ok… Beaucoup de bleus qui commencent à se former, pas trop de sang. T’as plus été touchée au visage et aux bras en fait. "J’vais commencer à désinfecter tes plaies ok? Tu me dis si t’as mal. Et tu me dis si t’as froid aussi." Parce que t’es en soutif et tu risques d’avoir le contre-coup du choc. J’imbibe une compresse de désinfectant et commence à désinfecter les égratignures sur tes bras. On commence doucement.

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je ne me considère pas comme une mauvaise personne alors en vrai, je ne comprends pas. je ne comprends pas pourquoi est-ce que ça m’est tombée dessus, pourquoi est-ce qu’il y a eu autant d’acharnement dans cette ruelle noire. j’arrive pas à saisir, à voir l’information que j’ai pu manquer. et je sais que ce visage je le connaissais. j’crois juste que ça tape trop dans ma tête pour que je puisse réellement faire le tri dans mes informations. je sais que j’ai de la chance. de la chance de respirer encore, que tu sois passé par là et que tu m’es entraîné avec toi plutôt que me laisser sur le sol sans te retourner. « je.. non » je déglutis difficilement fermant les yeux. y avait rien de sexuel dans cette attaque, c’était pas le but. ils se sont certes amusés un peu mais n’étaient pas là pour ça. je secoue la tête négativement à ta question grimaçant une nouvelle fois. j’ai l’impression que mon corps entier est devenu une source de souffrance en fait. que le moindre mouvement devient difficile et je déteste me sentir aussi impuissante. savoir que c’est ce que j’ai été. « mh » je prends ce que tu me donnes sans trop rechigner. avaler le cachet, boire ton verre d’eau. j’suis de toute façon clairement pas en état de protester contre quoi que ce soit. c’est mon top que tu retires en premier m’examinant sous toutes les coutures et c’est horrible parce que rien que soulever les bras me donne envie de pleurer. « d’accord » que je souffle continuant à faire marcher mon cerveau à mille à l’heure pour comprendre. tu poses des compresses sur mes blessures et j’y réagis pas plus que ça. c’est pas la première fois que j’obtiens une vilaine entaille alors en soit, je suis pas la petite nature qui va te supplier d’arrêter au bout de quelques secondes. et je crois que ça fait tilt dans ma tête soudainement « je sais qui c’était » pas les cinq mais.. un d’entre eux. « j’ai fais tomber son frère pour une affaire de drogue. il a pris vingt ans. » alors ouais, c’était une histoire de revanche. et quelque part, j’avais la sensation que ça n’allait probablement pas s’arrêter à ça. « je travaille pour la police scientifique » que je murmurais relevant mes yeux sur toi. histoire que tu comprennes.
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Ils ne t’ont pas touchée. J’pense pas que tu me mentes, donc ça va, d’un côté, ça me soulage. T’es quand même dans un piteux état alors j’vais chercher de quoi améliorer un peu ça. Un anti-douleur, du désinfectant et des compresses. J’enlève ton haut pour examiner l’étendue des dégâts mais ça a l’air d’aller. Alors je commence par désinfecter les égratignures sur tes bras, te laissant te remettre de tes émotions en silence. Et c’est toi qui parle. Et j’hoche doucement la tête. T’es de la police donc. "J’connais peut-être certains de tes collègues alors." que je me contente de répliquer, dans un mince sourire. J’sais pas si tu vas capter que ça veut dire que, la police et moi, c’est pas une histoire d’amour, loin de là. Et la drogue et moi, c’est pas non plus une belle histoire mais j’me retiens de le mentionner ça. Après, j’suppose que c’est les risques du métier. Ça pardonne en rien ces fils de pute, mais je pense que t’es une fille intelligente, t’y as sûrement déjà pensé à ce genre de situation. "Pense pas à ça maintenant." Ça sert à rien de ressasser la scène, de faire travailler ton cerveau. Tu vas te donner encore plus mal au crâne. "C’est bon, tes bras sont nettoyés. J’vais passer à ton visage d’accord?" Je passe mes mains dans tes cheveux pour les ramener vers l’arrière et qu’ils ne soient pas dans ton visage, et je viens m’asseoir à côté de toi sur le lit pour me rapprocher et mieux voir tes plaies. Nouvelle compresse imbibée, je la passe d’abord sur ton arcade sourcilière, puis sur ta joue, histoire de nettoyer tout ça. "Attends, bouge pas…" Je viens ensuite la passer sur ta lèvre inférieure qui est un peu coupée elle aussi. J’suis rassuré d’un côté parce que tes blessures ont toutes l’air superficielles. "Ça va…?" que je souffle un peu, continuant de passer la compresse sur le sang séché ci et là. "J’ai presque fini…" Après, j’te laisserai tranquille.

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« ah ? » pourquoi j’ai l’impression que tu ne les connais pas de la bonne façon ? mais c’est pas mes histoires. je veux dire.. j’ai pas envie de m’attarder sur ça maintenant. t’as eu des problèmes avec les services de l’ordre ? je ne sais pas même si je serais étonnée de l’apprendre en fait et ouais, je préfère ranger ça dans une case à l’intérieur de ma tête quitte à y revenir plus tard. « ouais.. » je ne comprends pas pourquoi tu prends soin de moi comme ça. j’veux dire.. que tu me laisses pas pourrir dans la rue d’accord mais, ça t’aurais épargné ce genre de truc si t’avais juste appelé les secours en fait. je t’imaginais pas vraiment comme le bon samaritain, je crois que c’est surtout ça. mais bref, nouvelle compresse que t’appliques sur mon arcade, puis ma joue. je bronche pas, une nouvelle fois. ça picote mais c’est limite une partie de plaisir comparé au moment que j’ai pu passer avant ça. sauf que quand tu dérives sur ma lèvre, je me fais violence. là, ça fait franchement mal. « mh, mh » j’ai juste les mains qui se crispent un peu parce que c’est pas du tout une partie de plaisir. et dans le fond, vaut mieux que mes doigts s’accrochent à tes draps plutôt qu’ils viennent se planter dans ta peau. « merci » que je souffle te regardant à nouveau. t’étais pas obligée de faire ça, de perdre ton temps, d’être aussi attentionné. « je peux emprunter ton téléphone ? je vais appeler un taxi » aucune idée d’où est passé le mien et je vais pas t’embêter plus longtemps. t’en as déjà fais plus que la plupart des gens alors.. ouais, j’ai pas envie d’imposer trop ma présence. il est tard, tu dois être fatigué et j’crois que ça ira pour moi dans tous les cas.
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"Mh-mh." que je me contente de répondre en haussant les épaules. Tu pourras me questionner sur ça plus tard si tu veux. Ou alors, t’auras juste à fouiller les dossiers et lire mon casier judiciaire. Il parlera bien assez pour moi. Je nettoie tes bras, puis je passe à ton visage et j’vois que tu te crispes quand je désinfecte ta lèvre. Je fais ça bien mais j’essaye de me dépêcher un peu pour éviter de trop te faire mal. Une fois terminé, je me lève pour aller balancer tout ça dans la poubelle de salle de bain. Et quand je reviens, tu me remercies et me demande mon téléphone pour appeler un taxi. "Non, tu restes là." Je te garde pour la nuit. T’sais, comme à l’hosto quand ils te gardent en observation pour s’assurer que tout va bien? C’est pareil. "Déjà, on va aller te faire prendre un bain pour terminer de te nettoyer. Et puis je te filerai des fringues et je t’installerai dans une chambre pour que tu dormes tranquillement. Et demain je te reconduirai chez toi." C’est pas négociable en fait donc cherche pas. "Allez, viens." Je te prends les mains pour te relever et te guider jusque la salle de bain. Je commence à faire couler un bain chaud — sans mousse parce que c’est pas top sur tes plaies encore à vif. Je te fais t’asseoir sur le bord de la baignoire pour te retirer des chausses et je dézippes ta jupe pour la faire glisser le long de tes jambes. Je te retire tes sous-vêtements et t’aide à entrer dans le bain. "C’est pas trop chaud, ça va?" Je m’accroupis sur le côté de la baignoire pour être à ta hauteur. J’ai pas vraiment de gêne à te voir nue dans le bain. Déjà, la situation n’est pas sexuelle, et puis, c’est rien que je n’ai jamais vu avant. Je prends la fleur de douche dans ma main, y verse du gel douche et commence à la passer dans ton dos, doucement, délicatement. Au moins, tu seras propre pour aller au lit.

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de toute façon, une fois chez moi je ne verrais rien d’autre que me glisser dans mon lit et probablement y rester pour les trois jours suivants. parce que j’avais les membres tellement endoloris que j’étais pas certaine de réussir à bouger normalement sur les prochaines 72 heures. sauf que t’as pas du tout l’air de mon avis et.. ok ? j’ai l’impression que t’agis avec moi comme si j’étais une enfant. à vouloir me surveiller, me faire prendre un bain.. je sais pas, c’est étrange non ? personne n’a jamais pris soin de moi cette façon hormis ma propre famille. je suis pas habituée en fait, j’ai du mal à comprendre pourquoi est-ce que tu fais ça. mes mains dans les tiennes, je me redresse avec difficultés alors que tu m’entraînes jusqu’à ta salle de bain. et encore une fois, tu t’occupes de tout. faire couler l’eau, m’aider à m’asseoir, retirer mes chaussures, ma jupe, mes sous vêtements. j’me retrouve totalement nue face à toi, l’air de rien. j’ai pas de souci avec ma nudité de toute façon. y a rien que t’as pas déjà vu. les bleus en plus. doucement, je glisse dans l’eau. le contact entre la chaleur et ma peau tuméfiée n’est pas spécialement agréable sur les premières secondes mais rien d’insurmontable. « ça va » et t’arrêtes pas là. tu continues comme si tu devais m’assister de a à z en prenant la fleur de douche pour la faire glisser dans mon dos. je ferme les yeux et me déconnecte totalement. je te laisse juste faire sans rien dire et c’est des larmes qui viennent inonder mes joues. le contre coup sûrement. j’ai mal, ma fierté en a pris un coup de même que mon corps en lui même. ouais, c’est douloureux. toi, tu continues à laver mon épiderme. mes bras, mon buste, mon cou. t’y vas avec tellement de délicatesse que c’est presque déroutant. et moi, j’passe mes mains sous mes yeux cherchant à effacer les traces de cette peine bien trop visible à mon goût.
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