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when it's us (A&L)

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Si tu n'as pas mal... Alors, qu'est-ce qu'il y a ? Ça me rassure autant que ça m'inquiète. Tu sais... j'ai eu plusieurs petits-amis dans le passé, mais moi, je n'ai jamais eu le cœur brisé. J'ai toujours été celle à rompre par manque d'intérêt, par manque d'amour. Du jour au lendemain, je peux tout foutre en l'air, sans vraiment comprendre pourquoi. Mais j'ai jamais trompé mes partenaires... j'ai jamais rien fait de grave pour leur briser le cœur, c'est probablement ça, le pire. Je m’investis à 200% dans mes relations et sans prévenir, je peux revirer ma veste et rompre en bonne et due forme. Mes excuses sont toujours les mêmes... "C'n'est pas toi, c'est moi". Le cliché qui ne veut rien dire quand on veut une bonne excuse, mais pourtant, ce sont les seuls mots que j'arrive à mettre sur ce que je ressens. Je te demande si tu veux qu'on arrête... je m'attends au pire. Pour une fois, j'ai un peu peur en fait. Avec toi, le problème, c'est que je m'aventure complètement dans l'inconnu et qu'à tout moment, tu peux abuser du pouvoir que t'as sur moi. Je me suis attachée drôlement vite, tu sais ? Tu me surprends tout le temps, ça me change et ça m'attire... Tu écartes ton visage du mien, puis admet que tu ne sais pas ce que c'est d'être avec moi, à quelle vitesse que je m'attache. Qu'est-ce que tu veux savoir, au juste... ? Si tu vas trop vite pour moi ? Ou si je vais trop vite pour toi... ? Si on est sur la même longueur d'onde ? Cherchant une réponse dans tes yeux, je garde le silence et t'écoute me dire que tu ne veux pas t'attacher trop vite. Je me pince les lèvres, cherche mes mots. J'le prend pas mal... je comprends. La vérité c'est que je ne veux pas m'attacher trop vite, mais visiblement je n'ai pas le dernier mot là-dessus. Pour être franche... Ces deux dernières semaines j'ai essayé de ne pas penser à toi. J'dis bien "essayé". Puis même tout à l'heure, je ne prévoyais pas cogner à ta porte... Je passais devant, mes pieds ont pris le contrôle et c'est plus fort que moi, j'ai cogné à ta porte. Est-ce que ça, tu vas mal le prendre ? Le fait qu'à mon arrivée ici, je n'étais même pas encore sure du destin de notre relation ? J'humecte mes lèvres et penche la tête sur le côté, en évitant ton regard. J'veux pas m'attacher trop vite aussi... Mais je ne me mentirai pas à moi-même, Lauri. Je pense que c'est déjà fait. Les autres, c'est une chose. J'ai le droit d'avoir mes petits secrets, j'ai le droit de ne pas avoir envie de crier ce que je pense ou ressens sur tous les toits... Mais moi ? Je déteste quand les choses ne sont pas claire dans ma tête, j'essaie toujours de comprendre, pour pouvoir garder le contrôle. Si tu veux... On peut profiter de cette nuit et après, se donner quelques jours de distance... Pour se calmer, se donner le temps de se manquer, d'assimiler ce qu'il se passe et réfléchir à ce qu'on veut... Ça nous éviterait d'aller "trop vite", même si franchement, après 2 semaines sans se voir... Tu me manques déjà beaucoup trop pour me séparer à nouveau de toi pendant quelques temps.
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Je me rappelais à chaque rapprochement que j'ignorais totalement dans quoi on s'aventurait tous les deux, et ça me faisait coincer un peu malgré moi. C'était vrai. J'n'avais pas été en couple depuis Loïs, avec qui j'étais resté quatre ans... mis bout à bout, je n'avais eu qu'une copine en plus ou moins sept ans. Alors me relancer dans une nouvelle relation, avec quelqu'un que je connaissais à peine... même si j'en crevais d'envie et que je ne voudrais pas l'arrêter, ça n'empêchait pas que j'avais certains freins. Je ne voulais pas ressortir mal de cette histoire. J'avais déjà une vie très compliquée et surtout, très aléatoire, j'espérais que mon couple ne se rajoute pas dans les "variables". Je te regardais en silence alors que tu me parlais, tu me disais avoir essayé de ne pas penser à moi, ne pas avoir voulu venir ici. Me vexer ? Non, je le savais déjà... ton immense silence et ton incertitude quand je t'avais ouvert la porte plus tôt en disaient déjà long sur l'état d'esprit dans lequel tu étais en arrivant. Tu regardais ailleurs, probablement gênée par tes aveux... mais il n'y avait pas de quoi. Je sais que t'as raison... Je savais que je m'étais déjà attaché aussi et je ne pouvais plus le nier. Mais ça allait quand même vite, j'avais perdu l'habitude de tout ça, j'étais pas prêt. Je pourrais me laisser porter et prendre la relation comme elle venait, mais j'avais un peu de mal à abaisser toutes mes barrières. Je veux pas qu'on s'impose une distance, encore moins alors que c'est déjà compliqué. Je suppose que j'avais surtout besoin de te dire qu'après tout ce temps sans attache, je suis pas complètement à l'aise, même si ça remet pas en cause ce que je veux. Y avait aucun moment où je remettais en doute mon envie d'être avec toi, non. Je franchissais l'espace entre nos lèvres pour les sceller délicatement, comme pour clore cette discussion, un peu bancale mais probablement nécessaire. Puis je reculai de nouveau la tête, te dévisageant avec un léger sourire. Au fait... commençai-je malicieusement, rebaissant les mains pour les poser sur ta taille, non sans y jeter un regard. Ta lettre était parfaite. Je ne voulais plus qu'on s'attarde sur les barrières que j'avais encore. Tu savais que j'en avais et elles ne disparaitraient pas en une nuit, alors nous n'allions pas continuer à tourner autour... surtout que pour l'instant, j'avais tout sauf envie que tu t'en ailles, alors autant profiter que tu sois là. Pleinement, complètement.
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J'espérais ne pas te vexer... J'avoue que moi aussi, j'recherche pas une relation compliqué, alors cette histoire de mariage a bien failli me faire changer d'avis sur toi mais au final... J'suis déjà accrochée. J'aurais pris mes jambes à mon cou, si ce n'était pas que je m'étais attachée trop vite. Et tu sais que j'ai raison. Raison de quoi ? Parce que je me suis attachée déjà ? Tu m'avoues ne pas avoir envie qu'on s'impose une distance... Je déglutis. Tu veux être avec moi ? T'attacher au fil du temps et pas tout d'un coup... J'suppose que c'est ce que tu voulais dire, mais je ne peux pas contrôler c'que je ressens et encore moins c'que tu ressens. Tu t'approches pour m'embrasser délicatement, puis te sépare de moi en me dévisageant avec un sourire. T'as apprécié ma lettre, celle avec les photos... tes mains se posent sur ma taille. Ah oui ? C'était surement pas le genre de lettre auquelle tu t'attendais... T'aurais voulu que je te parle de mes vacances ? Enfin, t'en a fait partie et t'étais la partie la plus intéressante de mes vacances en plus. Ou c'est les photos qui étaient parfaites ? Je cherche presque quoi dire. On est passé du coq à l'âne et le sujet précédent rend les choses un peu awkward entre nous, maintenant. Enfin... c'est comme ça que j'le ressens, parce que j'sais pas où mettre les pieds et que j'ai l'impression de devoir marcher sur des œufs. Alors bon, on est pas obligé de parler, non ? J'commence à avoir mal aux genoux dans cette position de toute manière. Je me retire de sur toi pour m'allonger sur les couvertures et regarde les étoiles qui commencent à apparaître de plus en plus. Je pense que tout ça m'a fatiguée et rendu encore plus confuse.
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Notre début de relation était bien plus compliqué qu'on ne l'aurait imaginé. Je ne pensais pas m'engager avec qui que ce soit quand j'avais proposé mon aide à Daya, mais je ne pouvais pas faire marche arrière. Aucun de nous ne pensait s'attacher si vite, puis surtout... je me rendais compte qu'en dépit de nos différences, nous étions amenés à nous croiser souvent. Nous avions des fréquentations communes, des personnes extérieures qu'on appréciait tous les deux... Pour certaines, ça compliquait les choses. Notamment Skyler. nous pourrions passer la nuit entière à en parler mais je n'en avais clairement pas envie... les craintes avaient été énoncées et ce n'était pas quelque chose sur lequel nous avions un pouvoir. J'allais y réfléchir de mon côté... il me semblait que c'était surtout un travail d'acceptation, que je n'avais pas fait depuis très -trop- longtemps. Accepter la relation, accepter les compromis, accepter de potentiellement souffrir parce qu'il n'y a pas de garantie pour ce genre de grand saut. Alors je déviai le sujet sur la lettre que tu m'avais donnée, réalisant que je ne t'en avais pas reparlé. Tu te rallongeais à côté de moi et je faisais de même, appuyant ma tête sur ma main en te regardant. Si y avait que les photos qui étaient parfaites. Tu m'avais caché tes talents... d'écriture. Disons que ta prose érotique était efficace. Je te souris et te volai un baiser supplémentaire avant de rebaisser les yeux vers ton corps, me mordant les lèvres. Disons que les deux semaines ont été longues, mais heureusement ton petit cadeau m'a bien aidé. Même avec notre relation sur le fil du rasoir, j'avais lu, relu, rerelu et regardé les photos beaucoup de fois. Et toi, t'as gardé les miennes ? demandai-je dans un rire en faisant référence à mes photos à poils sur la plage. Je savais même pas à quoi elles ressemblaient ces photos, tu me les avais pas montrées... à tout moment, elles étaient hideuses.
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Je me suis rallongée à tes côtés, en te demandant si c'était les photos qui étaient parfaites. Après t'être allongé aussi, la tête appuyé sur ta main, tu me dis qu'il n'y avait pas que les photos qui étaient parfaites. Je souris, puis pouffe de rire. Les deux semaines ont été longues pour toi aussi, alors pourquoi est-ce que t'as pas fait les premiers pas ? Ça m'aurait peut-être aidée à prendre une décision plus vite... Tu me demandes si j'ai gardée les tiennes et je fronce les sourcils. Tu m'as pas envoyé de lettre, si ? Puis je repense aux photos que j'ai prise à la plage. Oh, tu dois parler des photos... ouais j'les ai encore. Mais j'ai essayé de ne pas les regarder, pendant ton absence... Mon imagination m'a suffit, je n'avais pas besoin d'elles pour que tu me manques. Je soupire et ferme les yeux. Parlant de photos. J'devrais te prévenir avant que tu l'apprennes d'une autre manière... J'ai fais un photoshoot pour les bikinis baNaNhot, au Portgual. C'est tellement pas mon genre, mais mon ami Florian était le photographe et on m'a payée pour le faire...
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De lettre ? Je t'observai un instant avant de faire non de la tête. J'y ai pensé, mais compte-tenu de notre situation je pensais que ce serait déplacé. Puis toute manière, il aurait fallu une réponse plus originale, répondis-je avec un léger sourire, prenant appui sur mes mains. Tu ne relevais pas plus que ça concernant mes photos alors je n'insistai pas davantage. Tout comme je n'avais pas voulu forcer les choses avec une lettre, tu n'avais certainement pas dû les regarder beaucoup, probablement pour ne pas t'influencer dans ta prise de décision... Je relevai les yeux vers ma dépendance, pensif un court instant avant que tu ne reprennes la parole. Je reportai mon attention sur toi, curieux. Tant que t'as pas couché avec le photographe, te sens pas obligée de m'le dire, répondis-je avec un rire. C'est vrai, t'étais une belle fille, y avait pas plus vendeur que toi pour écouler les stocks de maillot de bain, puis ce n'étaient que des photos. J'pourrai les voir ? demandai-je en m'allongeant à côté de toi, une main derrière la tête.
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Ce n'est pas le moment de m'écrire des récits érotiques quand notre couple, là, n'est même pas sure de tenir. J'ai beau être revenu vers toi, au final... j'sais pas c'que ça va donner. Le mot "mariage" m'irrite quand on parle de toi, parce que tu me l'as caché. Si j'avais su depuis le début... peut-être que quelque chose aurait pu être différent. Je ne me serais certainement pas attachée - enfin je crois - et j'aurais pu fuir... Ou peut-être qu'en fait, j'aurais eu envie de vous aider, j'sais pas ? Ça me soule que ça me soit tombée sur la tête et que maintenant, j'ai déjà les deux pieds dans le bain, j'ai pas envie de faire demi-tour. Bref, je tente de passer à un autre sujet, en te parlant du photoshoot que j'ai fais avec Florian. Tu m'avoues que ça ne te fait rien, tant que je n'ai pas couché avec le photographe. J'allais être honnête et te dire que j'ai déjà couchée avec lui dans le passé, mais tu m'as demandé de ne pas te le dire. Tant mieux... et bien sûr, y'en a déjà quelques unes sur mon Instagram, si t'as accès... Puis je me rappelle de l'allure de ton téléphone. Je me met à rire. Attend, j'te prête le mien. Je sors mon portable de ma poche pour te le donner, après avoir ouvert l'application.
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Encore aujourd'hui, malgré notre discussion, j'ignorais sur quel pied je pouvais danser. Nous étions dans une situation bancale ou tu allais essayer de me faire confiance, où j'allais essayer de faire en sorte que ça fonctionne, mais nous n'avions aucune garantie ; ni l'un, ni l'autre. Celui qui s'investirait le plus, si ça devait échouer, serait celui qui risquait de souffrir le plus d'une rupture qu'on avait déjà frôlée et qui nous affectait déjà. On se mettait un peu en péril. Personne n'aime prendre des risques, pourtant on le faisait... mais on n'était pas inconscients pour autant. Je souris quand tu me prêtas ton téléphone pour que je puisse voir les fameuses photos de toi en maillot de bain sur instagram, les faisant défiler. Pas mal, pas mal... Je pinçai les lèvres, relevant les yeux vers toi. Mais j'te préfère toute nue sur la plage naturiste quand même. Je savais que tu bronzais nue sur une plage publique, au milieu d'autres gens nus... parce que j'le faisais aussi. Alors j'risquais pas de faire une scène de jalousie pour des photos de maillot de bain. Sauf si le photographe t'avait ne serait-ce qu'effleurée, là j'irais lui casser les dents. La fin de soirée fut plutôt calme. On était dans le silence le plus total, il faisait bon et quand il commença à faire un peu frais, on se couvrit avec la couverture. Je saurais pas dire combien de temps on était restés là, à parler, à rester étonnamment sages pour nos retrouvailles... pourquoi ? Peut-être bien que même si ton corps me rendait accro, j'accordais autant d'importance à nos discussions, à nos échanges.
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