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(A&L) I should use my heart less

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C'est bien le mot. Je te demande alors de m'attendre à la porte, pour que je puisse aller tout ranger et c'est c'que je fais après avoir obtenu ton accord. Ça m'a pris seulement deux minutes pour tout faire disparaitre, à l'exception de ce mini-polaroid que j'ai échappé sous le lit. Je reviens vers toi par la suite et t'ouvre la porte, t'invitant à rentrer. Ta question me fait sourire, mais je n’admettrais jamais ce que j'étais entrain de faire... Enfin, jusqu'à ce que tu lises la lettre bien sûr. Après, je pense que ça deviendra plutôt clair. Je veux juste pas que tu la lises alors que t'es ici, sinon c'est plus vraiment une lettre de correspondance. Tu t'assois sur le lit, changeant complètement de sujet et je viens m'asseoir à côté de toi... Pas trop près, quand même. J'suis pas si masochiste... Ah oui, je dors très bien. Dieu sait qu'après notre rencontre à la plage nudiste, je n'ai pas fait que dormir dans ce lit... et comme disait bien ma grand-mère : Jésus pleure. Je me mord la lèvre inférieure, m'imaginant à nouveau sur la plage, avec toi tout nu à mes côtés... J'ai une bonne mémoire. Photographique, surtout. Et ça devient grave utile, dans ces moments-là... Tu peux dormir ici... à condition que tu restes habillé. Je prend une grande inspiration, perdant mon regard sur tes lèvres.
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J'entrais dans ta chambre d'hôtel, elle était assez grande et surtout très confortable. Mais ce que j'appréciais le plus, c'est que ça semblait être une chambre simple... Pas de visiteur indésirable, en tout cas de mon point de vue. N'importe qui qui serait rentré dans ta chambre serait un visiteur indésirable pour moi si ce n'était pas purement platonique, et cette grosse frustration que je ressentais depuis quelques temps me rendait excessivement jaloux, fallait bien l'avouer. Ça fait du sens alors je ne vais pas insister... on va garder la surprise. Je m'assis sur le lit et tu ne tardais pas à m'y rejoindre, en gardant cependant une distance raisonnable. De mon côté, je pinçai les lèvres, m'accordant une seconde de t'admirer, d'imaginer quelle tenue tu avais sous cette robe de chambre si légère. J'eus un léger rire à ton insistance sur le fait que tu dormais bien, ne cachant pas mon air satisfait. Si tu n'y faisais rien d'autre, en tout cas avec personne d'autre, ça m'allait plus que bien. Je souris à ta dernière réflexion où tu m'invitais à dormir, me mordant la lèvre en réfléchissant rapidement. Est-ce que j'acceptais ? Même si j'reste habillé tu sais... ça change pas que maintenant, tu sais ce qu'il y a dessous, répondis-je en me redressant légèrement. Et puis... Je me relevai du lit pour me planter face à toi, mais fus coupé dans mon élan puisque mon regard fut attiré par quelque chose au sol, qui semblait être un polaroid... une photo de toi. Je me penchai pour la ramasser et arquai un sourcil. Holy fuck, sexy, j'avais un peu plus chaud tout à coup. C'est à quelle occasion ? Si c'était juste un passe-temps pour toi, c'était carrément sexy et ça m'plaisait beaucoup. Si c'était pour un autre, j'risquais de devenir vert en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire.
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C'est ça. Je voulais te préserver la surprise... de toute façon, si tu regardes maintenant, bah je suis à peu près sure qu'on n'arrivera pas à dormir tous les deux. Moi parce que maintenant tu saurais à quoi je pensais avant ton arrivé et toi... bah pour les mêmes raisons. Je t'invite donc à dormir mais t'impose une condition qui selon moi et bien raisonnable pour qu'on puisse continuer d'apprendre à se connaître, sans passer par la case du sexe trop tôt. Tu marques un bon point, en me disant que ça ne changerait rien puisque je sais déjà ce qu'il y a sous tes fringues. Oui mais au moins, il y aura minimum deux couches de fringues qui nous séparent... Tu te redresses, te lève et te place devant moi. T'as pas le temps de finir ta phrase, que tu te penches pour ramasser un polaroid. Je me fou la main au visage, morte de honte. J'avais bien fait gaffe à ranger et pourtant, v'la sur quoi tu tombes hein. D'après toi ? Je me racle la gorge et me met à rire. Je viens à peine de te parler de ta lettre... tu penses que ce serait pour quoi d'autre ? Bon, rend-là moi, je pensais pas que tu la verrais maintenant. Je ris, toujours un peu gênée et tend la main en attendant que tu me la redonnes.
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Peut-être, moui... deux couches de fringues, ça s'enlève assez vite, alors je n'étais pas particulièrement convaincu par cette solution. D'ailleurs elles n'avaient parfois même pas besoin d'être enlevées, comme quoi... Je me relevai et trouvai le polaroid par terre. Ta pose sexy et tes sous-vêtements faisaient très clairement leur effet, j'avais chaud. Je relevai les yeux vers toi en te voyant si gênée, me confirmant que c'était pour ma lettre. J'avais soudainement encore plus hâte de la lire, tiens. Je souriais et doucement, je grimpai sur le lit à califourchon sur toi, reculant un peu ma main quand tu approchas un peu trop de la photo. J'aimerais la garder... s'il te plaît ? Je me mordis la lèvre, le sourire aux lèvres alors que je ne cachais pas ma satisfaction, ni mon amusement face à cette situation. T'étais donc déjà pleine d'idées peu catholiques avant même que j'arrive ? J'adorais cet instant présent, j'adorais être venu dans ta chambre alors que tu t'y attendais le moins et que tu pensais à moi de cette manière. Je regardai de nouveau la photo, puis ta robe de chambre que tu t'appliquais à tenir bien fermée depuis mon arrivée, presque avec une certaine gêne. C'est ce que tu portes en-dessous alors ? Graou. Voilà ce que ça m'inspirait. J'avais envie de t'arracher ta robe de chambre et qu'on s'envoie en l'air pendant des heures... mais ça ne se passerait pas comme ça, oh non. Même si j'en crevais d'envie, ce serait bien trop simple.
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Je sais bien que deux couches de vêtements, ça n'empêche strictement rien... Mais pour la peine, je comptais sur elles (alors please, clothes, don't let me down putain). Tu es tombé sur le polaroid, l'un de ceux que j'avais essayé de cacher tout à l'heure... Elle semble te faire de l'effet. Ça me fait bien plaisir mais au fond je suis quand même bien dégoûtée que ma surprise soit déjà gâchée. Je te confirme que c'était bien pour ta lettre et le sourire aux lèvres, t'es embarqué sur moi à califourchon. Je n'arrive pas à atteindre la petite photo, parce que tu t'amuses à l'éloigner chaque fois que je m'en approche trop. Pourquoi ? Tu vas l'avoir de toute façon... Enfin quoi que maintenant c'est plus une surprise hein. Avouai-je, toujours bien dégoûtée. Tu fais chier à être encore plus sûre de toi maintenant, carrément amusé par mon malaise. Tu me demandes si c'est c'que je porte en dessous et j'ai encore envie de te demander c'que tu en penses. Mais bon, faut tout te dire à toi. Oui. Pourquoi est-ce que c'est toi qui a le pouvoir sur moi, là ? Pourquoi est-ce que je me contente de jouer la petite fille prude quand j'le suis absolument pas ? Tu veux voir ? Ma tête angélique s'est très vite tassé, pour faire place à un regard carnassier. Je me mord la lèvre inférieure en caressant l'ouverture de ma robe de chambre du bout des doigts. Petit à petit, je dévoile un peu plus de peau. Tu peux garder celle-là... Je passe ma langue derrière mes dents, puis me la mord quelques secondes en m'empêchant de t'embrasser. ... Mais tu peux la considérer comme une preuve que j'ai écris ta lettre. Et donc, je veux ton numéro.
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Peut-être, oui, mais si je n'avais pas ma lettre avant mon retour du Summer Camp... ça voulait dire que je ne l'aurais pas avant le mois d'août, avant deux semaines, et je pétais déjà bien assez les plombs comme ça. Il me fallait un avant-goût, pour que j'tienne, sinon j'allais devenir fou, mon cerveau ne supporterait jamais une frustration aussi intense. J'vais en avoir besoin, pour attendre la suite... surtout sachant ce que c'est, répondis-je en me mordant la lèvre. Ca gâchait la surprise ? Oui, et non. Je savais ce que ça allait être mais j'allais fantasmer pendant deux semaines à attendre cette putain de lettre que j'avais si hâte de lire... et je continuerai certainement à fantasmer quand je l'aurai lue. Alors, ça ne gâchait pas tant que ça. Je grimpais sur toi à califourchon, t'empêchant de récupérer la photo et tu me confirmais que c'était ce que tu portais à ce moment-même... alors mon regard parcourait ton corps, pendant que tu jouais avec l'ouverture de ta robe de chambre du bout des doigts. Ca deviendrait compliqué de me retenir si tu me montres... Et je voulais me contenir, je voulais pas céder, pas ce soir. Je posai mon front contre le tiens, reposant la photo sur le lit maintenant que j'avais confirmation que tu n'allais pas me la reprendre. C'est d'accord, je vais te le donner. Fallait bien avouer qu'il était mérité ce numéro de téléphone, et plus encore. Mais avant... D'une main posée sur ton épaule, je te repoussai doucement pour t'allonger sur le lit alors que je te dévorais des yeux. Tu ne t'étais pas complètement dévoilée, mais moi aussi, je savais ce que cachait cette robe de chambre... Avec toi, j'avais l'impression de mettre les doigts dans une prise électrique. Intense et dangereux. J'adorais ça. Ne pas s'autoriser à coucher ensemble ne signifie pas qu'on ne peut rien faire du tout..... si ? demandai-je en laissant courir mes doigts le long de ta poitrine et redescendant jusqu'à ton bas-ventre, encore couvert par la robe. C'était pas un bon compromis, ça ?
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T'auras besoin de la photo, pour arriver à faire passer le temps entre maintenant et le jour où tu pourras enfin ouvrir ton enveloppe... Je comprends. Si tu décidais de m'écrire une lettre sexy comme ça, je ne sais pas si je pourrais être patiente. Pourtant, j'suis le genre de meuf qui peut passer 10h non-stop debout dans une salle d'opération... Bref ? J'suis normalement très patiente, j'ai toujours les mains stable et j'ai une concentration de fer. Tu me fais perdre tous mes moyens chaque fois que je te vois, tellement que je me reconnais plus, parfois. À califourchon sur moi, tu m'empêches de toucher à la photo, mais tu finis par la déposer quand t'es sure que je ne te la volerais pas. Il me semble que je t'ai déjà dit que l'incontrôlable n'est pas fait pour être contrôlé ? La vérité, c'est que ça m'amuse. Toi et moi on semble avoir le même but : Finir par coucher ensemble. Mais comme moi, t'as envie de faire durer le plaisir... plus l'attente est longue, meilleur c'est. On m'a toujours dit d'apprendre à apprécier chaque moment, parce que la route est tout aussi belle que la destination. T'acceptes de me donner ton numéro maintenant, puisque c'est bien mérité... Mais y'a un "mais". D'une main, tu me pousses afin que je tombe sur le dos. Tes yeux se promènent partout sur moi, sur le haut de mon corps partiellement dénudé grâce à la robe de chambre qui s'est entrouverte en chemin. Ta question m'en donne d'autres. Tu penses à quoi, là ? Je frissonne au contact du bout de tes doigts, puis laisse passer un soupir chaud entre mes lèvres. Ça dépend c'que tu as en tête, j'suppose... Je me pince les lèvres avant d'admettre difficilement : Parce qu'en fait, j'crois que j'ai pas envie de simplement coucher avec toi.
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Oui, l'incontrôlable est pas fait pour être contrôlé, tu me l'avais déjà dit à la plage, mais on savait tous les deux très bien qu'on appréciait d'autant plus cet instant en se contrôlant... la saveur ne serait pas la même si on avait craqué dès le premier soir dans ma douche. Au-dessus de toi, je t'allongeais en te repoussant d'une main. J'ai pas envie de céder à la facilité. Et te céder, ce serait trop simple. Tu ne pouvais qu'être d'accord avec moi. Une personne qui nous plaisait, il était finalement bien plus compliqué de lui résister que de l'avoir. Peut-être était-ce pour ça que tant de gens autour de nous se lassaient si vite de leurs relations. Par manque de challenge, de fantasme, de désir. Tout était si simple. Alors qu'avec toi, tout était si compliqué. J'ignorais encore ton nom de famille jusqu'à y a une heure, tu ne connaissais pas le mien. Tu ne savais toujours pas ce qu'il en était de ma relation avec ma mère, j'ignorais encore énormément de choses sur toi et sur comment tu avais grandi. On prenait le temps, et chaque pas qu'on faisait vers l'autre me faisait autant de mal que de bien. Devoir faire preuve d'autant de patience était une souffrance infinie, mais c'était aussi une telle bouffée d'oxygène que je ne voulais pas rompre la sensation tout de suite. J'allais te donner mon numéro. Je voulais que tu l'ais. Mais j'avais un compromis à te proposer pour la soirée avant toute chose, le téléphone viendrait plus tard. Je me penchais vers toi pour frôler tes lèvres avec les miennes alors que je passais mes doigts sur ta robe de chambre. Je relevai les yeux vers les tiens à tes derniers mots, le souffle court, tant par mon désir qui ne cessait de croître que par ce que tu venais de me dire. Et de quoi tu penses avoir envie ? Dis-le. Je t'avais dit que je voulais te revoir, que je pensais à toi, que tu me plaisais. On avait atteint un point de non-retour et cette fois je ne voulais pas deviner... je voulais que tu me le dises, je voulais que tu brises le verre qui nous séparait depuis le début.
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Cette résistance... Ça fait tellement mal, que ç'en est bon. L'incontrôlable n'est pas fait pour être contrôlé... mais pour l'instant, elle l'est. Elle l'est jusqu'à ce qu'on trouve le moment parfait. Mais notre destin est bien là, il nous attend pas très loin, on sait déjà comment ça va se finir et on profite de chaque secondes entre ici et là-bas. J'ai pas envie de céder à la facilité non-plus... J'ai pas envie de me remettre nue devant toi, pour que tu en profites pendant quelques heures et que je ne devienne qu'une fille sans intérêt par la suite. Quoi que... comme moi, tu as peut-être envie de creuser plus loin, de ne pas t'arrêter rien qu'à du sexe. Trop tôt pour que ce soit de l'amour, mais jamais trop tôt pour comprendre qu'il y a une forte attirance et qu'on ne peut la nier. Tu te penches et frôle tes lèvres contre les miennes, sans jamais les embrasser. Je sens mon cœur se gonfler, ma respiration devenir lourde et ma tête devenir bancale. Il faut que tu t'arrêtes et que tu te retires, Lauri. L'envie deviens trop difficile à contenir... De te mettre à nu... Dans l'autre sens du terme, aussi. Je reste encore vague, sans l'être... Je pourrais bien admettre que tu me plais, que je pense souvent à toi, que tu m'intrigues... Mais je me contente de te dire que j'aimerais que tu sois toi-même avec moi, d'apprendre plus de choses sur toi. Que peu importe ce qu'il se passe entre nous là, bah que ça ne se résume pas qu'à quelques heures dans un lit. Nos visages sont toujours horriblement trop près de l'un et de l'autre... J'oscille mon regard entre tes lèvres et tes yeux. Dis quelque chose maintenant, avant que je regrette d'avoir trop parlée.
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Notre relation avait pris du temps... mais était allée rapidement. C'était un paradoxe. Ça faisait des mois que je te voyais passer devant moi, que je retenais mon souffle quand ton regard croisait le mien, que j'me disais que jamais tu ne t'intéresserais à moi. Mais à la seconde où tu l'avais fait, tout avait basculé. D'une rencontre banale à un hold up au supermarché en passant par le dessin érotique et le joint devant Dora l'exploratrice et les révélations personnelles, nous avions vécu beaucoup de choses intenses en peu de temps. Des choses qui mises à la suite, te rendaient inoubliable. Des choses qui faisaient que tu ne quittais plus ma tête. Je frôlais tes lèvres avec les miennes, frôlait ta peau de mes doigts, caressait ta robe de chambre quand elle n'était pas retirée. Je recherchais le contact avec toi, aussi fébrile soit-il. C'était ma manière de m'empêcher de devenir fou, je m'approchais de la limite indéfiniment, tant que je le pouvais, sans la franchir. Je voulais savoir ce dont t'avais envie me concernant, ce que tu attendais de tout ça si ce n'était pas qu'une histoire de sexe. Je voulais que tu me le dises, je voulais l'entendre. Je relevai mon regard vers le tiens, le souffle court alors que j'écoutais ta réponse. Elle restait vague... très vague, trop vague. Est-ce que tu voulais simplement dire que tu voulais me revoir après ? Un ami avec un bonus sexuel ? Ou quelque chose d'autre ? Je me perdis un instant dans tes yeux bleus, le coeur battant. T'attends de moi que... j'le fasse qu'avec toi ? murmurai-je à ton oreille, dérivant alors à ton cou que je mordillais au passage. C'était ça la réponse qui m'intéressait... est-ce que t'attendais de moi qu'on soit exclusifs ? Est-ce que c'était une relation amicale que tu attendais de moi ou plus ?
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