TG MATHER ► let's dance in our underwear

Une soirée Mather, je ne savais pas trop ce que ça allait donner pour le coup. Une soirée underwear... encore pire. Disons que mon corps n'est pas celui d'un apollon comme ceux de la Winthrop House. Mais je me défendais cependant suffisamment, j'osais l'espérer. Louison était descendue pour s'occuper de la soirée alors que je m'occupais de finir de me préparer. Je crois que je faisais une trop grosse fixette sur la cicatrice que j'avais sur le bas de mon ventre, preuve de la greffe que j'avais eu, preuve de l'accident dont j'étais le survivant. Soupirant, je réadaptais mon boxer noir pour être confortable. Non, pas de slip kangourou pour moi, au contraire. Je restais peinture nature et puis on verra ce que ça donnera. Suivant les pas de ma petite amie, ceux qu'elle a emprunté plus tôt avant moi, je me retrouvais dans la salle entièrement décorée pour l'occasion. Et du coup, c'était quand même assez fou de voir qu'ils étaient tous... fous. Ouais, c'était ça pour le coup, de la folie pure et dure. J'étais pas certain qu'on puisse voir ça chez les Dunsters. Sauf qu'au moment où j'apparais aux côtés de celle que j'aime, j'entends une phrase qui me faisait tiquer. « Mon paquet oui, celui d'un autre non ! » que je disais au mec (Alan) qui venait de dire ça, attrapant la main de Louison pour l'attirer vers moi afin de l'embrasser. Marquer mon territoire ? À peine. « Canon la France » Oui bon, j'avais déjà vu avant mais qu'importe, elle l'était en tout temps.

Ouais, ça allait être une bonne soirée, y a pas de doute surtout maintenant que la pièce commençait à se remplir. Ash adresse un clin d'oeil aux deux étudiants qu'il a rejoint avant de servir les shooters et de le leur tendre avec un air solennel. "Longue vie aux Mather" balance-t-il avant de descendre le shooter cul sec, histoire de réveiller son estomac aux nombreux autres breuvages qu'il risque d'ingérer pendant la soirée. La remarque de Louison le fait sourire. "Zéro gramme de sang irlandais chez moi mais t'as d'jà essayé de trouver des trucs verts qui ont pas un lien avec la saint patrick ? Impossible. Serait temps de se lancer dans les goodies Alan sweat, string, capote, chaussettes, des trucs classes quoi." Ash en profite pour se resservir un shooter, se marrant à la remarque de Louison sur le message de son boxer. "Paraît qu'il faut tenter sa chance mais que la magie n'opère que sur les meufs pas maquées." Il est peut-être libéré et déconneur mais y a certains principes qu'il faut conserver pour pas sombrer définitivement du côté gros con de la barrière. "Lui fais pas de proposition si irrésistible Alan, c'est pousser au vice." qu'il lui lance dans un de ses sourires de grand gosse alors qu'une autre mather (Agathe) les rejoint avec ce qui doit être son mec. "Salut Agathe. Ash le farfadet pour te servir, j'te sers un shooter à toi et à ton invité ?" Quitte à avoir la bouteille en main autant que ça serve à quelque chose. Un autre mec(Pluton) les rejoint, de toute évidence celui de Louison. "Bon ben j'suppose que Monsieur Beau Gosse voudra aussi un verre." La bouteille de tequila va pas faire long feu à ce rythme-là et sa bonne humeur légendaire non plus si la soirée se résume à faire la barman pour tous les couples de la mather. Il jette un coup d'oeil à la porte d'entrée, espérant quand même voir arriver Toni, de préférence non accompagnée, quoiqu'il serait peut-être prêt à mettre de côté ses jolis principes pour ses grands yeux.

La jalousie est un vilain défaut que je partage malheureusement avec mon cher Alan. Par conséquent, je saisis également ce qu’il ressent pour sa jolie brune. J’éviterais tout de même d’en parler pour ce soir, parce qu’il ne semble pas très open sur le sujet. Au contraire, la discussion tourne vite à la provocation sur nos tenues affriolantes et à ses bras bodybuildés qui me font doucement trembler. Moi j’ai de l’embonpoint ? Enfoiré. Je le dézingue à coup de fuck tout en lui tirant la langue, puis un énergumène sorti de nulle part se greffe à nous tout en jouant gentiment au barman, je n’en attendais pas autant moi. « Naaaan, Pluton n’est pas comme ça, Pluton est bien pire que ça. Il pète juste la gueule à ceux qui me font trop chier tu vois » que je me vante en faisant claquer ma langue sur mon palais avant d’interroger le potentiel irlandais qui vide la tequila et qui hurle comme un fou. Putain, ça fait du bien de retrouver l’âme de la Mather. « J’avoue, le vert est le pire cliché qui soit pour ce peuple, Alan va y remédier, Alan est un homme plein de ressources » Il a toujours su réparer tout ce que je cassais quand nous vivions ensemble, même si tout était consolidé à coup de scotch double-face. Puis, malgré tous mes efforts pour ignorer le message sur le boxer d’Ashley, je finis par le commenter en recevant un défi bien lourd de la part du Landrum. « C’est pas réservé qu’aux meufs hein, touche lui les burnes Alan, demain tu gagneras à la loterie t’vas voir ! » Je me marre comme une idiote et souris au brun qui est apparemment au courant de ma relation amoureuse. D’ailleurs, c'est à cet instant précis que le plus beau (Pluton) débarque pour mettre un terme à ce débat du touche-pipi. Mes yeux se posent alors sur son corps dénudé quelques secondes, sans que je ne puisse prononcer quoique ce soit. Je suis tellement sous son charme que je reste bouche bée, prête à gober une mouche -pas autre chose-. Un regard d'admiration le balaie avant qu’il plonge sa langue dans ma bouche pour sûrement se présenter à sa manière aux autres. « Pas mal non plus la Suède, on va dire 1-1 » J'ai beau connaître son corps par coeur, le découvrir dans un environnement aussi "public" le rend encore plus... désirable. Bref, quasiment au même moment, je me fais attaquer par deux obus que je reconnaîtrais entre mille, ceux de ma Queen. Ceux de Agathe de Belgique. J’accueille son baiser volontiers et y réponds en écrasant à mon tour mes lèvres sur sa joue « Merci ma chérie. J’ai eu la meilleure des maîtresses en même temps hum » Et oui, c’est bien en marchant dans ses pas et en la suivant dans des tas de délires que mon esprit s’est aussi développé pour pondre cette soirée. Sa réflexion autour de mes seins m’arrache par ailleurs un rire bien franc « C’est à cause de toi si j’ai mis toutes ces chaussettes irritantes, regarde moi cette paire que t’as, tu complexes tout le monde » plaisantais-je avant de découvrir qui était son invité et/ou … son mec ? « Enchanté Rafael, bienvenue à la Mather House. Et moi je vous présente tous Pluton, mon invité et petit-ami particulièrement patient » La preuve étant, il est toujours là malgré mon pétage de câble du week-end. Enroulant mes bras à la taille du Dunster, je pousse un peu contre son corps afin de nous écarter du groupe. Ma bouche vient ensuite lui voler une dizaine de bisous pour le remercier de sa venue « Ta cicatrice te va bien mon amour, je trouve qu’elle te met en valeur. » Mes lèvres et mes doigts caressent son torse nu. Puis, je relève mes prunelles vers les siennes en me frottant contre son entrejambe « Comment je vais savoir qu’elle se lève que pour moi ce soir pfff… »

Je n'avais rien contre les Mathers, au contraire. J'admirais énormément leur façon de voir les choses, de penser. De n'en avoir rien à faire des règles de la société. Ils établissent les leurs et c'était bien mieux comme ça. Et ce soir, ça ne dérogeait pas à la règle. Des sous-vêtements, c'était la seule règle. Et le reste... tout coulerait de source. Une fois prêt, je me rendais dans la salle principale où la fête avait lieu, à la Mather House, retrouvant ainsi ma petite amie canon, la plus canon de toutes, Louison. Sans attendre, je venais l'attirer contre moi afin de l'embrasser comme il se doit. D'une, parce que j'en avais envie. De deux, parce qu'au moins, tout le monde saura qu'elle est mienne. À moi. Mine. « 1-1 ça me va, balle au centre » que je disais avec un sourire avant qu'un bouclé habillé tout de vert (Ashley) ne vienne interrompre mes pensées. « Avec plaisir ! » De toute façon, miss Chamberlain était occupée avec la plus fêtarde de l'année, celle qui n'est autre que la sœur de mon "meilleur ennemi". Oups, je me suis vomi dans la bouche. Puis elle me présentait du coup, comme étant particulièrement patient. Je me mis à rire avant de faire un signe de la tête aux deux concernés. « Enchanté » Patient, c'est le cas de le dire ouais, mais dans le fond, c'était bien parce que je l'aimais que je prenais le temps de lui ouvrir les yeux. Quoiqu'il en soit, je me faisais repousser vers l'arrière, par les mains de ma petite amie sur mon torse, tout en recevant ses mille-et-un baisers. « Merci.. Et finalement, j'ai pas mis de fond de teint dessus, je crois que ça faisait plus bizarre qu'autre chose » Mais j'appréciais que trop le contact de ses lèvres sur ma peau, me faisant l'effet qu'elle voulait, je suppose. « Oh t'en fais pas.. je ne regarde que toi ce soir » Je n'avais pas envie de regarder les autres filles, ça ne m'intéressait pas. D'ailleurs, je glissais mes mains le long de ses hanches pour enrouler mes bras autour d'elle, sous son kimono. De cette façon, elle reste collée à moi, sans aucune issue de secours. « Je n'ai d'yeux que pour toi » soufflais-je entre ses lèvres avant de l'embrasser de nouveau langoureusement, non sans venir poser mes mains sur ses fesses.

Dès que tu débarques, le reste devient soudainement bien plus terne. Tu m’irradies totalement. Je suis aveuglée par toi et bien plus confiante lorsque tu es dans les parages. Autant dire que je suis plutôt fière de te présenter à ma seconde famille. Je te trouve d’ailleurs carrément à l’aise parmi ces disjonctés que j’aime énormément. Je te l'avais dit, tu ferais un parfait Mather Pluton. Voyant mes potes partis pour délirer, je m’éloigne de quelques pas en t'embarquant avec moi. Inconsciemment ou non, je scrute ta blessure que tu n’as pas camouflée « Tu as eu raison. Pourquoi cacher ce que tu es hein ? Ça fait partie de toi. Ça te rend aussi drôlement sexy et mystérieux » C’est vrai, tu es particulièrement séduisant ce soir, avec si peu de tissus qui te recouvre. Je ne comprends toujours pas pourquoi tu te dévalorises souvent au sein de la gent masculine, tu te trompes royalement. Tu as tout ce qu'il faut là où il faut. D’ailleurs, ma jalousie ne tarde pas à s’exhiber avec toutes ces nanas qui rôdent aux alentours. Tu es un homme, je ne peux pas lutter contre la chimie dans ce type de situation « C’est ça, mon oeeeeil » Et tu m’encercles de tes bras sous mon kimono qui me chatouille. Je te heurte en lorgnant ma poitrine se compresser contre toi. Mon regard se relève ensuite  vers toi avant que nos lèvres s’emmêlent passionnément. Sentant tes mains se poser sur mes fesses, je laisse un cri de surprise s’étouffer dans ta bouche qui me chauffe « T’es prêt à devenir un Mather pour la soirée ? À boire, fumer ou faire des trucs stupides ? » C'est vrai quoi, je ne t'ai jamais vu totalement hors de contrôle, à part lorsque nous sommes tous les deux réunis dans une ambiance torride. Je demande donc à voir de quoi tu es capable dans d’autres circonstances. « Je peux te marquer en tant que proie officielle de Louison Chamberlain ? » Pourquoi j'demande ta permission alors qu'on sait tous les deux que je vais le faire. Attrapant ton poignet, je t'embarque devant une table recouverte de rouge à lèvres. Au hasard, j’attrape un tube qui se retrouve être un rouge carmin. J’étire la matière sur ma bouche devant toi et te tends mes lèvres en sourcillant « Où je commence bébé ? Hein ? Où je te salis en premier ?  » Mon index se plante d’abord sur ton torse et glisse par la suite plus bas, vers ta hanche et finalement sous ton nombril où naisse quelques poils menant à ta virilité « Ici ? » De toute manière, je compte carrément te recouvrir de baisers jusqu’à ce que ma bouche ne laisse quasiment plus de traces. Pire, je pense que je vais carrément te taguer pour qu'on pige directement ta connexion avec moi...

Dans le genre boulette, je crois que tu as encore fait très fort mon cher Alan ! Dire à la copine d'un mec, qui est à bonne distance pour tout entendre, de toucher le paquet "magique" d'un autre gars, ce n'est clairement pas la meilleure idée que tu ais eu. "Enchanté Pluton, moi c'est Alan, le plus gros gaffeur de la Mather House...", me présentais-je un poil gêné alors que le monsieur marquait par la suite très bien son territoire en embrassant mon amie Loulou. Puis ce fut au tour d'Agathe de faire son entrée. "Je vous retourne le compliment Mlle. De Belgique", lui répondais-je avant de saluer son "invité" qu'elle nous présentait également, un certain Rafael. Les deux tourtereaux s'éclipsèrent et les présentations enfin faites, je décidais d'en faire de même. "Bon moi je vais aller me poser dans une de ses piscines gonflables qui me paraissent bien confortable !". Saisissant une des nombreuses assiettes en carton mises à disposition, je la remplissais de petites conneries aux formes toutes plus drôles les unes que les autres, me servait un verre d'un cocktail sans alcool cette fois puis alla m'installer dans une des piscines. Mais on aurait quand même pu me prévenir que l'eau n'était pas super chaude...

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J’avais déjà entendu parler des fêtes des Mathers ou l’humour et l’amusement est toujours au rendez-vous et je ne fus pas surprise d’apprendre que la dernière de l’année se fait en sous vêtements. Je mis un ensemble rouge, un tout nouveau pour me rendre à la salle, je connais déjà Alan c’est un bon point même si je ne l’ai pas revu depuis longtemps, disons que ça fait pas longtemps que je suis sur le campus et je viens à peine d'intégrer les Mathers. Ça ne me dérange pas de me retrouver en sous vêtements devant des inconnus, je me mets en tête que c’est comme un bikini et puis de toute façon ce n’est pas la première fois pour moi. Aimant à tout pris faire la fête et marquer les esprits j’ai déjà effectuer un strip-tease en public, même si ce n'était pas entièrement nue pour le coup. Une fois arrivée je vois plusieurs membres de la confrérie qui sont là, je me décide à m’avancer vers eux, histoire de me présenter après tout si je veux me faire une place chez les Mathers il faut bien apprendre à se connaître mutuellement. « Salut les Mathers enchantée, je suis Janessa. » Je souris en faisant un petit signe de la main. Ma première appréhension quand j’entre dans un groupe c’est de savoir si oui ou non ils vont me calculer, créer leurs clans ou au contraire s’ils vont être sympas avec moi, mais je jugerais au fur et à mesure.

@Alan Landrum @Louison Chamberlain @Pluton Westerberg @Ashley Donovan

Y'avait eu deux mots dans ce thème qui m'ont tout de suite faite accrocher : Sous et Vêtements. Alors c'était carrément évident que j'vienne, j'voulais pas rater ça. J'veux savoir qui porte des culottes de grand-mère et des slips parachutes de pépé. Alors pour l'occasion, j'ai passé trois plombes à choisir ce que j'allais me foutre sur le cul. J'voulais pas ressembler à ma grand-mère espagnole, ni à Britney Spears qui fait le tapin. J'suis restée dans le soft, histoire qu'on me viole pas du regard, j'trouverai ça trop chelou. Du noir, simple, un peu dentelé mais qui m'fait un sacré cul. Et pour le soutif, pareil, mais ça fait pas l'effet push-up quand t'as pas grand chose pour le garnir. C'est triste. J'suis descendue dans la salle principale où y'avait déjà quelques personnes, mais j'me faufilais rapidement pour aller boire un coup d'alcool pépère, ne sachant pas si Kim allait se pointer. Y'a une nouvelle qui s'présente, et j'lui lève mon verre en signe de bienvenue. « Enchantée Janessa, bienvenue chez toi. Moi c'est Cloé. J'espère que t'as pas trop peur, parce qu'on est un peu déjantés. Surtout moi, et Louison, qui veut tous nous voir en culotte. » dis-je en riant, pour détendre la petite, qui a l'air stressée.

Peu m'importait les gens autour de nous, c'était elle et uniquement elle qui me faisait avoir des sueurs froides, qui me faisait avoir des papillons dans le ventre. C'était pour elle que j'étais là, en si petite tenue, pour lui prouver que son monde Mather pouvait très bien coïncider avec notre relation. A vrai dire, j'étais sociable de base, pas forcément dans mon coin alors ouais, je m'intégrais assez bien, fallait l'avouer. Mais qu'importe, là, je n'avais d'yeux que pour elle. « Serais-je un agent secret, avec de vilains secrets à cacher. Serait-ce une simple blessure de guerre quand je suis parti au front... ou est-ce alors une cicatrice pour sauver ma vie d'un terrible accident de voiture. C'est vrai, la question se pose » rigolais-je, me moquant moi-même de ma cicatrice au ventre. Après tout ouais, j’aurais pu être élu le plus mystérieux, qui sait. Quoiqu’il en soit, j’appréciais que trop d’être avec elle, avec Louison, avec cette blonde qui avait su conquérir mon cœur. « Je suis prêt m’dame! Je n’attends que ça depuis que je suis né » Ouais bon, j’abuse, comme d’habitude. Mais elle était non sans savoir que c’était un de mes traits de caractère et qu’il m’était quasiment impossible de me défaire de ce dernier. Mais c’était dur de résister à la tentation qu’elle représentait dans cette tenue. D’ailleurs, mes bras étaient encerclés autour de son corps, sous son kimono et j’en étais que ravi. « Oui, tu as le droit et même le devoir » que j’avouais, d’un sourire en coin. Oh oui, j’avais hâte de voir ce qu’elle avait en tête. Je la suivais alors, quand elle m’attrapait par la main, vers une table remplie de rouges à lèvres. « Je suis pas sûr que salir soit le bon mot, mais qu’importe… où tu veux bébé » Mon corps était à elle, il lui appartenait entièrement et elle pouvait en faire ce qu’elle voulait. D’ailleurs, je ne pouvais m’empêcher de sourire en sentant son index parcourir mon corps pour chercher le premier spot qui passera sous ses lèvres expertes. « Ici » soufflais-je avant de finalement l’embrasser, sans attendre la moindre action de sa part. « Bon, je crois que ce sont mes lèvres les premières victimes. J’en ai beaucoup ? » demandais-je en rigolant en tentant d’essuyer le surplus de mes lèvres avant de choper le tube, regardant la matière qui marquerait bien des peaux ce soir. « Tu crois que je peux écrire “propriété de Pluton” sur ta peau ? »

La décoration est plutôt bien foutue, ils ont une sacré imagination les Mathers voilà ce qui me plaît bien chez eux et puis le fait de faire une soirée en sous vêtements sans se prendre au sérieux c’est tout ce que j’aime. Après tout on a qu’une vie donc autant profiter pour s’amuser et faire tout ce dont on a envie. Une autre fille fait son entrée, se prend un verre puis m’accueille Cloé au premier abord elle a l’air sympa, comme toutes les personnes ici présentes après tout. « Enchantée Chloé, oh non je n’ai pas peur puis disons que cette tenue c’est cool, je me sens à l’aise comme ça puis ce n’est pas le truc le plus fou que j’ai fait. Une folle en plus parmi vous! » Je vais à mon tour me servir un verre pour en boire une gorgée, puis je pioche parmi les biscuits en forme de cul. Original comme biscuit mais très appétissant tout de même. Je continue de regarder autour de moi pour voir si j’aperçois une tête connue au cas où, même s’il y a seulement un peu plus loin ce couple qui a l’air de bien s’amuser.

@Cloé Delgado