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(ellya) it has to hurt before it starts to heal

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J’suis désolé mais tes mots, ils avaient trop de double-sens pour que je ne puisse pas changer de sujet. L’éco ou nous? Nous. Bien sûr que j’préférais parler de nous que des foutus cas pratiques d’économie. Même si c’était un sujet délicat, même si on touchait des cordes sensibles, même si ça faisait mal. Parce qu’au final, t’étais partie tellement vite l’autre soir, que j’avais eu le temps de rien dire. Forcément, c’était plus facile de m’assigner le rôle du méchant. J’te blâme pas, ça te permettait de passer plus rapidement à autre chose. Tant mieux pour toi. Et tu me réponds simplement que tu m’aimes aussi, en baissant les yeux. Et moi, je me mords l’intérieur de la joue. Ça me brise un peu plus au lieu de me réconforter. J’t’avais encore jamais entendu le dire. Pas en face à face. J’sais pas quoi dire. Enfin si, j’ai des tas de trucs que je voudrais sortir, des tas de choses que je voudrais te dire. Mais comme d’hab, y’a rien qui sort. Je me frotte les yeux qui me piquent, je détourne le regard vers la fenêtre. Si tu savais à quel point j’aurais voulu que les choses se passent différemment Cléo… J’aurais tellement voulu être capable de te parler avant que ça devienne aussi critique, j’aurais voulu accepter tes relations avec Noah et Hadès, j’aurais voulu tellement de choses impossibles. Je t’aurais voulu toi, pour toute la vie.

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— it has to hurt before it starts to heal

— The yard, Cambridge, avril 2018

Tu répondais à côté et moi, je n'étais pas capable de te remettre sur le droit chemin, j'pouvais pas passer à coté de cette fameuse discussion parce qu'on en avait besoin. Je t'aimais oui, alors j'te le disais, mais ce n'était pas que ça. Tu pouvais me dire tout ce que tu voulais Elliot, à partir du moment ou tu m'avais annoncé que t'avais embrassé une autre fille, le poids que tes mots, tes déclarations avait sur moi, avait perdu tout leur sens. Tu comprenais au moins que malgré mes défauts je ne méritais pas ça ? Tu le savais Elliot que malgré tout les tenant et aboutissant, je n'étais pas digne d'être trompée comme une vulgaire fille de plus sur ton tableau. J'avais la gorge nouée, et j'avalais difficilement ma salive à cause de toi. Pendant un quart de seconde, j'voulais prétendre que cet échange n'avait jamais exister et reprendre le cours de notre leçon, mais je ne pouvais pas. J'te détestais tellement, de la même intensité que je t'aimais, alors j'y arrivais pas, j'te le disais.

« Je te déteste. » Que je soufflais en me levant pour marcher en rond.

Et tu ne pouvais pas savoir comment, c'était une torture d'être aussi haut perché sur des talons aiguilles de plus de 10 centimètres avec la plante des pieds complètement détruites par ma réaction excessive de l'autre soir. Je te tournais le dos, me collant à la fenêtre, pour me cacher. Tu n'avais pas le droit de voir ma peine. T'avais plus le droit de rien n'avoir de moi depuis que t'avais consciemment fait le choix de me perdre en posant ta bouche sur celle d'une autre.

« J'ai beau chercher, je ne comprends pas... Ce n'est pas toi. » Que je soufflais tant bien que mal en laissant mes yeux s'humidifier un peu trop à mon goût. « Tu m'aurais jamais fait ça, alors je sais que je me répète, mais j'comprends pas et peut-importe si t'as une explication, je comprendrais jamais Elliot. »

Alors à quoi bon discuter ? Peut-être que j'devais fuir comme la dernière fois non ?
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J’aurais pas du laisser Vega s’approcher en étant avec toi. C’était mal, pas correct, irrespectueux de ma part. J’repensais au début de notre relation, ou même avec Lucky, quand j’disais à Seong que j’pourrais jamais être en couple parce que je savais que je ne serai pas fidèle. Au final, avec toi, je l’avais été. Jusqu’à ce baiser. Et j’pense que si tout allait bien entre nous, il n’aurait jamais eu lieu. Je m’étais laissé regarder Vega parce que… Parce que j’avais pas l’impression de compter pour toi? Parce que j’avais pas l’impression que tu m’aimais autant que moi je t’aimais? Alors ouais, l’amour c’est pas une compétition, mais c’est jamais plaisant d’être celui qui donne plus, celui qui aime plus que l’autre. Tu me détestes ouais, c’est légitime, c’est tant mieux. Tu passeras plus vite à autre chose comme ça. Tu trouveras plus vite quelqu’un de mieux, qui t’accepteras toute entière, avec tes qualités et tes défauts, et avec tes relations douteuses. Moi, j’étais pas ce gars là. Et j’aurais voulu l’être, t’imagines pas à quel point j’aurais voulu être assez fort pour passer au-dessus de mes peurs. Mais j’peux pas. Tu me tournes le dos, j’ai la gorge nouée de voir que t’es même plus capable de me regarder. Comme au Spring Break. Mais cette fois, c’est de ma faute. Je serre les dents à tes mots, baisse les yeux sur mes poings posés sur la table. Tu comprends pas. C’est pas moi. Si, t’as tout compris en fait. T’as absolument tout compris — le Elliot que t’as connu, il est plus là. Depuis quelques semaines déjà. Et j’pensais le retrouver avec toi, j’pensais que t’étais la solution miracle. Mais je m’étais trompé. Comme tu dis, le Elliot que t’as connu, il t’aurait jamais fait ça. Il aurait continué à repousser tous les dangers, comme il l’avait fait avec Dina à l’époque par exemple. Parce qu’il t’était dévoué. Il n’avait de yeux que pour toi. Mais tu lui as pas forcément bien rendu. Et il a pas réagi de la meilleure façon. Mais il savait tout bonnement pas quoi faire. Je savais plus quoi faire, Cléo. À nouveau, j’ouvre la bouche pour parler. « Je… » Et puis je la referme, sans rien dire. Parce que c’est comme ça maintenant. Tout ce que j’veux dire, j’y arrive pas, les mots restent coincés dans ma gorge. Je baisse la tête, je tourne les yeux vers la porte pour éviter de te regarder, le coeur battant, la respiration qui commence à s’affoler. Et je renifle, ravalant les larmes qui humidifient déjà mes yeux. J’ai envie de te parler Cléo. Mais j’y arrive pas. Et puis tu m’écouterais même pas de toute façon, alors…

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— it has to hurt before it starts to heal

— The yard, Cambridge, avril 2018

Je t'en voulais pour plein de choses, mais je savais que je n'étais pas toute rose dans cette histoire. Si habituellement, j'étais du genre à remettre la faute sur les autres, avec toi, je n'étais pas pareille. Tu me rendais un peu plus humaine et forcément que t'entendre dire tout ça, ça me chamboulait. Je tournais en rond avant de partir me cacher contre la fenêtre. Je ne voulais plus me montrer face à toi, pas comme ça. C'était signe de faiblesse et si j'avais accepté ce cours, c'était pour te montrer que j'allais bien, mais tu m'avais prise au dépourvu. Alors je te parlais, sans crier, sans rancœur. Mais au bout de tes lèvres, il n'y avait aucun son, ou presque qui sortait. Je tournais légèrement le visage pour t'avoir dans ma vision périphérique et t'étais là, là tête baisser, comme honteux et bloqué par quelque chose. Dans un souffle, je me retournais complètement pour avancer jusqu'à toi et m'installer à nouveau à tes côtés. J'agrippais légèrement ton poignet pour venir glisser ma main dans la tienne et mon autre main se plaçait sur ta joue pour te faire tourner le visage vers moi. Tant pis si tu pouvais lire ma peine dans mon regard, tant pis si tu voyais à quel point j'étais mal de ne plus t'avoir. Tant pis si tu pouvais lire tout l'amour qu'il y avait dans mes larmes.

« Je ne voulais pas te faire de la peine Elliot.. J'aurais voulu être la bonne, être celle pour qui tu déplacerais des montagnes. J'aurais voulu être ton tout Elliot... Et c'est bien pour ça que je te pardonne. »

Je t'aime bien trop pour te retenir, parce que tu n'étais pas heureux avec moi, parce que justement, j'étais rien de tout ce que j'aurais voulu être pour toi et qu'importe à quel point ça me brisait le cœur, j'regrettais rien de ce qu'on avait vécu. Je me perdais dans ton regard, parce que je le voyais bien que tu m'aimais et c'était sûrement le plus dur, parce que l'amour ça n'avait pas suffit et ça ne suffirait vraisemblablement pas.
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Comme ces dernières semaines, peu importe que ce soit toi, Hae, Meghan, Serah, les mots restaient coincés dans le fond de ma gorge, alors que mon esprit rêvait de tout laisser sortir. J’ai comme un blocage, cette réputation de mec pour qui tout va bien qui me colle à la peau et que j’ai peur de trahir. Peur de salir. Alors j’avais su devenir à peu près bon acteur pour cacher ce que je ressentais, même si ça ne marchait pas avec tout le monde — Zora, par exemple. J’entends tes talons claquer sur le sol et tu te rassois à mes côtés. L’une de tes mains glisse au creux de la mienne, ton autre paume se cale sur ma joue, m’obligeant à tourner la tête vers toi. J’ai des frissons, je ravale difficilement ma salive. C’est dur d’être face à toi comme ça, y’a tout mon amour impossible à vivre qui me bouffe de l’intérieur. T’es là, tu me rappelles ce que j’ai perdu, ce que j’pourrais jamais avoir. Jamais entièrement. Jamais comme en Australie. Et le fait que tu m’accordes ton pardon, ça fait encore plus mal. « Moi aussi j’aurais voulu que tu sois la bonne… J’aurais tout donné pour toi Cléo, j’m’imaginais réellement finir ma vie avec toi… » Et c’était peut-être excessif à tes yeux, mais pas aux miens. J’te demandais pas en mariage, mais ouais. J’avais envisagé te demander qu’on vive ensemble. « J’aurais voulu que ce soit toi et moi, contre le reste du monde… » Mais t’avais choisi que ce soit toi, Hadès et Noah, et moi en option. T’avais beau dire que tu m’avais choisi amoureusement parlant, de manière générale, tu les choisirais toujours au-dessus de moi. Alors que moi, j’étais peut-être un idiot fini mais j’aurais renié tous mes potes pour toi. Pour mon amour pour toi. Mes yeux se baissent sur ta main dans la mienne, une larme roule sur ma joue sans que j’essaie de l’effacer d’un revers de la main. À quoi bon? « Je… J’ai été diagnostiqué dépressif… » Et putain, ça sonnait pathétique dit à voix haute. Et t’étais la seule à qui je l’avais dit. Alors je reniflais comme pour reprendre un peu de contenance et tournais à nouveau la tête ailleurs que vers toi, pour éviter ton regard.

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— The yard, Cambridge, avril 2018

Je n'étais pas si méchante, et qu'importe à quel point les gens pouvaient me trouver hautaine, manipulatrice ou méchante, toi t'étais bien placé pour savoir que j'avais un cœur. Un cœur que t'avais certes brisé, mais qu'était quand même toujours présent. Je m'approchais donc de toi pour essayer de te soutenir, sûrement par amour, sûrement parce qu'avec ce geste, je reconnaissais ma part de responsabilité dans notre rupture. Alors une fois près de toi, ma main glissait dans la tienne pour finalement t'imposer de croiser mon regard. On était pitoyable n'est-ce pas ? S'aimer à s'en détruire, c'était peut-être profond et sincère, mais c'était bel et bien destructeur. Alors tu me répondais, et même si c'était beau, ça me rappelait à quel point j'étais mauvaise. Amoureuse de l'amour, mais je n'étais pas douée pour garder mes relations. C'était tout moi ça, de tout faire foirer. Je baissais les yeux, à tes mots qui me glaçaient le sang. C'était donc ça, j'étais juste pas la bonne et je ne le serais jamais. L'amour, il ne suffisait pas et t'étais clairement pas prêt à me donner une nouvelle chance. Jamais deux sans trois, c'était un faux dicton. Je ne pouvais m'en prendre qu'à moi-même, je n'avais pas été présente et j'le payais maintenant. Je voyais l'une de tes larmes s'échouer sur ton pantalon, alors je levais les yeux à nouveau vers toi, alors que tu m'annonçais être dépressif. Puis tu tournais la tête, me fuyant moi et mon regard. Je tirais légèrement sur ta main pour m'approcher de toi et j'essuyais ta larme avec mon pouce pour finalement te prendre dans mes bras.

« J'te lâcherais pas Elliot.. » Ironie du sort... « Tu veux m'en parler ? » Que je soufflais en glissant ma main le long de ton dos pour te rassurer.
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Ouais, j’aurais pu imaginer une vie à deux, des voyages, des souvenirs, une maison à partager, peut-être même une alliance,qui sait. Je t’aimais Cléo, je t’aime, à en crever, à t’en donner ma vie. Mais y’a Noah, y’a Hadès, qui viennent ternir tout ça, qui viennent gâcher mon bonheur à tes côtés, et j’peux pas l’ignorer. C’est eux qui m’ont éloigné de toi, et le fait que tu préférerais aller te confier à eux qu’à moi. J’aurais aimé que tu leur tiennes tête. Que tu te battes un peu plus pour qu’ils m’acceptent. Parce que moi, j’me suis battu avec Serah. J’me suis mis en froid avec elle, je t’ai fait passer avant elle. Et ça, jamais tu le feras avec moi. Alors y’avait une larme qui coulait d’elle même alors que je tournais la tête. Tu tirais sur ma main, tu me prenais dans tes bras, ta main caressant mon dos. J’veux pas de ta pitié Cléo, t’as pas le droit de faire ça. Je déglutis difficilement, le nez dans tes cheveux. J’avais terriblement envie de t’embrasser là. Mais je pouvais pas. Parce que t’étais plus à moi. Je lâchais un petit rire, légèrement moqueur, légèrement amer. Je me recule de ton étreinte pour planter mes yeux dans les tiens. « Tu veux que je te dise quoi? Que je ressens plus rien de positif? Que c’est juste une tristesse infinie, un vide total, comme si j’avais un trou béant dans la poitrine? Que j’suis fatigué de tout ça, que j’ai plus le goût de rien, que j’arrive plus à sourire sincèrement, que j’arrive plus à être heureux? Que j’passe mon temps à faire semblant? » Je passe mes mains sur mes joues humides pour les sécher, le cœur battant un peu trop vite de mettre des mots sur ces sentiments qui me bouffent pour la première fois.

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— The yard, Cambridge, avril 2018

C'était peut-être compliqué à comprendre, j'en étais consciente, mais jamais je n'avais été logique de toute façon. Alors je te prenais dans mes bras, j'essayais de te rassurer, parce que si ton état était en partie de ma faute, j'voulais au moins te soulager de la peine que je t'avais causé, en étant présente pour toi. Tu riais nerveusement et moi, je levais les yeux au ciel, au lieu d'accepter ma main tendue, tu préférais te la jouer rancunier. Ca suffisait à me renfermer un peu sur moi-même, alors que j'étais bien décider à être honnête. Tu te reculais lâchant toute l'emprise que j'avais sur toi pour m'expliquer un peu plus les raisons de ta dépression.

« Ne dis pas des choses comme ça... J'suis sûre que t'as suffisamment de volonté pour surpasser tout ça. Bats toi Elliot, c'est trop facile de te laisser avoir par tes émotions. Tu crois que mes sourires sont sincères ? Non. Mais j'essaye, je fais en sorte que. Parce que la vie, elle est trop courte pour laisser le karma s'en prendre à nous. T'es bien plus fort que tu ne veux bien l'admettre, surtout en ce moment. Alors ne laisse pas la maladie s'imposer. »

Tu n'avais pas le droit. Pas après tout ce que t'avais surmonté depuis des mois maintenant. Je me reculais un peu plus de toi, pour ne pas laisser cet échange de regard, me pousser à faire ce qui nous était maintenant interdit.
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Je cassais notre étreinte d’un rire amer. J’voulais pas de ta pitié. C’était pas pour ça que j’me confiais non. J’voulais juste que tu comprennes, que, comme tu disais, c’était pas moi. Je t’aurais jamais trompée, aussi grande était la tentation autour de moi, jamais j’aurais franchi la ligne. Parce que je t’aimais. Et ça m’avait peut-être pris du temps de le réaliser et de te le dire, mais maintenant, y’avait plus de retour en arrière possible. C’était toi, pour le meilleur et pour le pire. La seule qui avait réussi à capturer mon coeur, la seule qui m’avait fait tomber amoureux. La seule qui avait autant de pouvoir sur moi. « Tu comprends pas Cléo... T’es la seule à qui j’ai dit ça... J’veux que ca reste entre nous. Hae, Serah, Meghan... Ils sont pas au courant. Dis rien s’il te plaît. » Pas que t’avais des contacts avec eux mais j’préférais préciser. Je pose ma main au niveau de mon coeur comme si ça allait m’aider à contrôler son rythme. « J’veux pas les inquiéter pour rien. Ça va. » que je soufflais doucement. Ironique venant du gars qui venait de dire juste avant que rien n’allait plus. « J’suis désolé pour tout... J’aurais juste voulu que tu me donnes autant que je te donnais... » J’me répète mais putain, j’aurais voulu construire ma vie à tes côtés. « Je t’aime, j’veux surtout pas que tu doutes de ça.... » Parce que c’était pas vraiment l’amour qui m’avait éloigné de toi. Ou alors, c’était le trop plein d’amour qui m’avait fait disjoncter. J’en savais trop rien en fait. J’étais pas habitué à tout ça en fait. J’te l’avais dit, j’ai jamais eu de relations moi, j’suis pas comme toi, t’es ma première...

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— The yard, Cambridge, avril 2018

Forcément, que j'étais étonnée, mais ce n'était pas pour ça que je prenais tes révélations avec pitié. Au contraire, c'était une grande force de savoir le dire et l'assumer, parce que ça vouait aussi dire que t'étais prêt à changer les choses pour aller mieux. Malgré ton rire moqueur et ton recul, je tentais tant bien que mal de te rassurer, de te pousser à te battre face à la dépression, parce que ça ne te ressemblait pas et que ça pouvait être un cercle vicieux.

« Je vois.. Je ne dirais rien. »


Parce que d'une, c'était pas à moi de le dire, et de deux j'avais bien trop de respect pour toi pour ne pas trahir cette "confiance". Confiance qu'était peut-être plus là, j'en savais rien après tout. Tu me disais que ça allait, alors qu'on savait tous les deux que ça n'allait pas, mais soit, si ça t'amusais de prétendre que si avec moi, tu pouvais, ce n'était pas la première erreur que tu commettais avec moi... Tu reparlais une nouvelle fois de nous, de moi, mais surtout de mon mauvais comportement.

« J'ai compris Elliot, tu ne vas pas me le répéter mainte et mainte fois, c'est de ma faute ça va ? C'est bon, tourne la page. » Et c'était plus fort que moi en fait. « Et ça aussi, j'ai compris, j'te crois. »

Mais c'était l'histoire de ma vie que mes exs me répètent qu'ils m'aiment, mais en attendant, j'étais jamais suffisante à leurs yeux. Je me levais à nouveau, plus vraiment à l'aise à cause de tes mots, qui certes n'étaient pas méchant, mais qui me touchaient encore.
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