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Summer & Paris
Deux mois plus tard
« Okay… demain, tu devras me faire un rapport et j’exige que tu m’appelles Monsieur le Président pour marquer le coup. Il me reste plus beaucoup de temps pour jouir de ce rôle alors autant que j’en profite à fond » rétorqua-t-il en bombant le torse. Sérieusement, il n’était pas bon de laisser deux adultes, épuisés, dans la même pièce. A la place de dormir -ce que ferait toute personne saine d’esprit ; eux, ils réglaient les affaires courantes à grand renfort de chifoumi. Malheureusement pour Paris, la chance n’était pas au rendez-vous car il avait déjà hérité de la corvée de diner, voilà qu’il allait se taper celle des courses. « Ah ah très drôle… je suis pas encore suffisamment épuisé pour pas te retourner sur le matelas et te coller une bonne fessée Maconahey » lui rappelait-il. « Je crois d’ailleurs que ça fait trop longtemps que tu n’y as pas eu le droit, du coup, tu dérailles complétement babe » répondit-il à sa chère et tendre tandis qu’il croquait dans un cornichon. Hélas pour lui, le sort confirma bel et bien son funeste destin : se taper les courses en revenant. Bah pour se consoler, il passera faire un tour à McDo sur le chemin du retour. « Okay je me rends ! J’ai perdu… C’est quoi ma récompense ?? » lâcha-t-il, rendant les armes très (voire trop) rapidement.
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Summer & Paris
Deux mois plus tard
« Et on en parle de ma jouissance à moi ?? il me reste le même temps que toi je te signale » rétorquais-je en ayant fait exprès de réutiliser le mot jouissance, parce que je trouvais ça drôle qu’on en soit à parler de jouir d’un rôle de présidence à la Dunster, plutôt que de jouir réellement d’autre chose. Restant sur cette ambiance enfantine, je défiais Paris en sachant pertinemment ce que je risquais à vouloir un peu trop taquiner Paris…mais au lieu de m’en méfier, j’étais là à me dire que l’idée qu’il vienne me fesser n’était pas une si mauvaise chose. Voilà pourquoi je riais aux éclats tout en lui disant « Chiche ! » Je me sentais forte a cause des manches perdues de Paris, mais quand je voyais que moi aussi je finissais par manquer de chance, j’osais un peu de triche en proposant un dessous de table à Paris en échange de sa défaite. « Oooohhh bah mince alors, tu veux vraiment perdre ? » ma voix partait dans les aiguës signe que je m’amusais bien de la situation. Paris rendait les armes et moi j’en profitais pour me rapprocher de lui: Assis l’un en face de l’autre sur le lit, je fis mine de réfléchir à la récompense « hmmm je ne sais pas…Tu me demandais d’avaler autre chose que ma crème light tout à l’heure non ? » et tout en jouant les innocentes avec cette question, ma main tira sur le boxer de Paris, pour que je puisse mieux jeter un œil en dessous.
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Summer & Paris
Deux mois plus tard
A trop utiliser le terme jouissance, Summer risquait de perdre son mari car il avait beau être crevé, il n’en restait pas moins alerte côté cerveau et son imagination pouvait partir loin, très loin. « Hey, tu as qu’à redoubler ton année et te faire réélire… Je pourrais t’appeler madame la présidente » souffla-t-il en jouant avec un de ses sourcils, en mode gros pervers. Un pervers qui pourrait faire un bide ce soir à cause de la fatigue. Le problème c’est que sa femme, elle, semblait en pleine forme, du moins pour les conneries. « J’y crois pas ! Madame joue les fatiguées mais pour ce qui est d’avoir sa fessée, elle me tendrait son petit cul bien volontiers… C’est du propre Mme Maconahey… Honte sur toi, bouh la vilaine » se moquait-il alors que l’instant d’après, Paris oubliait toute velléité de victoire pour obtenir une certaine récompense. Cet homme était faible, bien trop faible pour ne pas avoir honte. En fait, il avait pas honte mais ça faisait toujours bien de dire le contraire. Moins pervers. « Ah oui, je m’en rappelle très bien » lâcha-t-il d’un air intéressé tandis qu’un coin de ses lèvres se relevait avec malice pour mieux empoigner discrètement une poignée de pop corn et se jeter sur elle, pour la bloquer contre le lit. « Attaque du pop corn en folie ! »
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Summer & Paris
Deux mois plus tard
Paris pouvait jouer les maris effarouchés, ça ne marchait pas avec moi !! si moi, j’osais dire clairement qu’une fessée me tenterait bien, c’est aussi et SURTOUT parce que je sais que ça peut faire réagir Paris ! Dans une sens, on formait la paire lui et moi : assez crevés pour se savoir incapables d’être torrides au lit en ce moment, mais pas assez fatigués pour oser prétendre ne pas en avoir envie !! Si on pouvait faire l’amour par la pensée, je suis même carrément sûre qu’on l’aurait déjà fait ! « Hey tu peux parler, mais : dès l’instant où je te parle de récompense d’un air coquin, tu acceptes direct de te rendre. Qui est le plus vilain des deux ?? » En attendant, je ne me cachais pas plus que ça et effectivement je jouais les vilaines tentatrices en osant dire à mon époux que j’avais promis d’avaler un truc ce soir qui ne serait pas une crème au chocolat. Bien évidemment je ne m’attendais pas à être retourner comme une crèpe dans le lit pour me faire attaquer à coup de pop-corns. Entre rires et hurlements, je me débattais sous un Paris déterminé à m’en faire bouffer « Arrêtes, ! Stop, t’es malade !! » et je riais de plus belles,tout en tentant de bloquer son attaque de mes mains, mais en vain. Des pop-corns s’engouffrait dans ma bouche, pendant que je tirais une tête d’ahurie « T’es fomflètement tarré foi ! F’es le feul mec que ch’connais qui affaque fa femme alors qu’elle fe frofrose une gaterie ! » Ca c’est moi, qui tente de dire un truc avec du mais soufflé plein la bouche.
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Summer & Paris
Deux mois plus tard
« Tu marques un point » reconnut-il. Il pouvait bien lui accorder ce point car c’était de bonne guerre et elle ne mentait pas. Elle constatait un fait tout ce qu’il y a de plus véridique à savoir que quand ça la concernait, il se transformait en vieil obsédé. En même temps, on pouvait lui trouver des circonstances atténuantes : il n’avait pas joué au docteur depuis des lustres avec elle. Des petites gâteries ici et là mais Summer avait refusé à chaque fois, qu’il la touche car elle se sentait pas assez désirable. Or, si elle avait conservé un petit ventre de sa grossesse, elle n’en restait pas moins désirable. « Complétement, bien pour ça que tu m’as épousé » se marrait-il comme un con alors qu’il l’attaquait pour lui faire manger du pop corn. Paris avait vu clair dans son jeu : Summer n’avait pas l’intention de manger. Alors, il avait décidé de lui faire ingurgiter de grès ou de force, de la nourriture. « Tu sais que je résiste jamais à une de tes gâteries mais si tu crois que je l’ai pas vu le coup de la diversion… Tu vas manger, au diable ton régime à la con ! Babe, t’es bandante alors te prends pas la tête okay ? Tu manges… Bien que je t’accorde que junior peut te nourrir avec pas mal de calories parait-il » rétorquait-il en déposant un baiser sur le bout de son nez.
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Summer & Paris
Deux mois plus tard
Je mâchais comme je pouvais les pop-corn que j’avais dans la bouche, pour éviter de me ridiculiser encore plus en déblatérant des trucs incompréhensibles. Puis finalement, je soupirais « mais t’es marrant, toi ! Ce n’est pas toi qui a pris 17 kilos et qui va galérer pour les perdre » Bon, dès les premières semaines, j’en ai perdu pas mal ! Mais tout de même, il restait quelques kilos à perdre et surtout, une tonicité à retrouver. C’était ça finalement qui continuait de m’obsédée « Je vais reprendre le sport de toute façon, c’est décidé. » ajouté en finissant d’avaler ma dernière bouchée, mes bras s’enroulant instinctivement autour du cou de Paris qui me surplombait. C’était mon instant bisounours, ou après la bataille, j’allais pouvoir chercher douceur et câlins auprès de mon nounours adorée « Je suis pas bandante, je suis "pendante" » me marrais-je un peu avant de venir embrasser les lèvres de Paris, pour lui voler un bref baiser « Et puis j’en ai marre de devoir me cacher sous ses foutus fringues aussi… » bon remarquez, je m’inflige ça toute seule hein, mais Paris sait très bien ou je voulais en venir en disant ça. « Je veux que… » un autre baiser sur ses lèvres si tentantes « le jour où j’enlèverais tout ça » un autre bisous, encore un autre bisous « Tu te dise :… » je prenais alors une voix grave pour imiter Paris : « wwoooooawww bébé, t’es putain de sexy, j’ai envie de plaquer contre un mur ! » et à nouveau je riais en me moquant de moi
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Summer & Paris
Deux mois plus tard
Paris se retint de lever les yeux au ciel. Il aurait beau lui parler en russe, cela ne changerait rien à l’histoire. Summer était engluée dans ses complexes et la seule chose qu’il pouvait faire : bah c’était de la violer sur place pour lui rappeler combien il la désirait. Le hic, c’est qu’il avait un minimum de fierté et il ne voulait pas lui laisser le goût d’un amant de bas étage, elle qui avait connu l’étalon sauvage. Ce serait comme passer du cheval de Zorro à celui de Yakari -même si techniquement, il était quand même cool son cheval à ce gamin, en plus, il parlait. Définitivement, Paris allait devoir arrêter de mater les dessins animés de sa fille ainée. « Moi je connais un sport pour raffermir les abdominaux ! » répondit-il accompagné d’une œillade suggestive. « Mais c’est pas en te privant de bouffer que tu résoudras tes problèmes Au contraire ! » tint-il tout de même à lui dire. « Allez, arrête tes conneries mon petit panda » soupira-t-il en déposant son front au creux de son cou, pesant presque de tout son poids sur elle. « Je le pense déjà : t’es sexy… par contre, si je te prends dans le lit, ça compte quand même ? pas le courage de te porter ce soir ! Trop crevé »
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Summer & Paris
Deux mois plus tard
Je sais que Paris avait raison, et que mon obsession du poids risquait de me pourrir la vie plus qu’autre chose ; et il connaissait de plus, suffisamment mon passé pour savoir pourquoi tout ceci me tenait tant à cœur. « Je sais bien et je ne me prive pas de manger ! J’ai voulu manger ma crème, c’est toi qui n’a pas voulu ! » répondais-je histoire de plaisanter un peu sur le sujet. En attendant, je profitais bien de cette conversation pour avoir mon quota de bisous et de câlins. Fatiguée oui, mais toujours aussi pot de colle et incorrigible romantique. Paris se cala contre moi, son front au creux de mon cou, et moi je posais ma main sur l’arrière de sa tête, ébouriffant délicatement ces cheveux en pratiquement ce petit massage crânien que j’aimais bien faire quand il se lovait ainsi contre moi. Le fait qu’il soit sur moi ne me gênait même pas, au contraire, ça me sécurisait « Nan mais c’est bon, je te demande rien pour ce soir » le rassurais-je avant de lui rappeler a juste de titre « Et puis t’as refusé que je joue avec Junior, donc maintenant c’est trop tard » Je levais mon bras libre pour l’enrouler autour du cou de mon époux, tandis que je nous positionnait plus confortablement afin qu’une de mes jambes aussi ne vienne entourer Paris, tout en déclarant « Non, ce soir, malheureusement, tu auras le droit au câlin koala » Et je décalais mon visage pour venir déposer mes lèvres sur son front, pour le mitrailler de bisous.
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Summer & Paris
Deux mois plus tard
« Toi, je vais te la coller ta fessée à me prendre pour un con » se marrait-il en déposant un léger baiser au creux de son cou. Il savait bien pourquoi Summer agissait ainsi mais c’était son rôle en tant que mari, ami, amant, de mettre son holà s’il jugeait qu’elle tombait dans l’excès de zèle. Sa femme était toujours là pour lui, quand il avait ses excès de colère alors la protéger d’elle-même, n’était qu’un juste retour des choses -et une mission qu’il affectionnait. Tout comme cette étreinte toute en douceur. « Eh merde ! » grogna-t-il contre sa peau en raffermissant son étreinte autour d’elle. « Et si je te fais un câlin yorkshire ? Tu sais, en faisant le clébard moyen qui se frotte contre ta cuisse ? t’aurais absolument rien à faire » rigola-t-il comme un crétin avant de se redresser sur ses avant-bras pour mieux plonger son regard dans le sien et l’embrasser avec tendresse. « Je t’assure que tu me ferais bander comme un taureau en moins de temps qu’il n’en faut à ma mère pour acheter une nouvelle paire de godasse… Putain mais j’ai quoi avec ma mère ce soir ?? » râlait-il en prenant conscience qu’il avait une nouvelle fois parlé de sa mère. « Le manque de sexe me fait régresser ! »
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Summer & Paris
Deux mois plus tard
Malgré les réprimandes de Paris, je gloussais comme une idiote parce que je trouvais ces réflexions amusante…sans parler de ses baisers dans mon cou qui me chatouillait et faisait son petit effet. Je fermais les yeux, le sourire aux lèvres tout en continuant mes caresses dans ces cheveux quand soudain, je tiquais sur cette histoire de caresses yorkshire, tentant de savoir à quoi ça pouvait ressembler…jusqu’à ce que Paris m l’explique. Là je grognais « Rhhha, le jour ou tu me fais ça, je t’assure que je demande le divorce ! » Une chose est sûre, en termes de câlin j’étais de celle qui se portait toujours volontaire. La seule chose qui pouvait me freiner, c’était le débarquement des anglais une fois par mois. Pour le reste ? un vrai petit scout. Donc entendre dire de la bouche mon mari qu’il irait jusqu’à se frotter à moi pendant que moi je n’avais rien à faire, ça me faisait clairement pas kiffer. Mais comme toujours, Paris fit preuve de plus de sérieux par la suite, se détachant de moi pour se redresser en s’aidant de ses bras, qui montraient leur musculature tendue et bien faite. Je regardais à droite puis à gauche, tout en souriant un peu plus convaincue par les propos de mon mari, mais là encore il se mit à parler de sa mère et je le fixais avec de gros yeux ! « Dis-moi : d’après toi, on a combien de chance sur un million pour que tu te mettes à penser à ta mère pendant qu’on s’autorise une partie de jambe en l’air ce soir ?? Nan juste, je préfère savoir parce que si c’est trop risqué, on abandonne tout de suite » puis je me mettais à rire de plus belle
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