Who knows what's next ► Julian M.

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Julian & Elisa

Je fronce les sourcils lorsqu’il me dit que Andrew lui en a assez dit. Est-ce que je veux vraiment savoir ce que Andrew a bien pu lui dire d’autre ? Parce que je sais que monsieur lui a raconté que nous avions eu une petite aventure d’un soir sans importance, mais qu’aurait-il pu lui dire d’autre ? Qu’est ce qu’il t’a dis ? Excepté ce que j’ai cru comprendre la dernière fois je ne peux même pas le regarder puisque je dois rester immobile pour qu’il me dessine. Parfois, j’aimerais pouvoir le regarder dans les yeux pour en savoir d’avantage. Il a toujours été comme ça avec moi, depuis ma naissance. Je ne sais pas, peut-être qu’il voulait tout simplement rester fils unique. Mais il voyait que mes parents étaient proches de moi, et l’avaient un petit peu délaissé, mais je n’y étais pour rien, j’étais toute petite. Je me suis toujours beaucoup plus entendue avec mon père qu’avec les autres membres de ma famille. Heureusement, il m’a autorisé à venir ici, et aujourd’hui, je suis beaucoup plus à l’aise ici que je ne l’étais toute ma vie à Paris. Mais Paris est une très belle ville cela dit. s’il devait revenir me voir, je ne sais pas comment je réagirais. Il fait parti de ma famille mais il m’a tellement fait de mal quand j’étais petite et même jusqu’à ce que je parte pour les Etats-Unis. Je ne préfère d’ailleurs même plus y penser. Mon père n’a plus vraiment de contact non plus. Mon frère ne répond pas aux appels de mon père et je pense que mon père s’est tout simplement lassé d’attendre une réponse de son fils. C’est dommage mais il est bien plus heureux avec sa nouvelle femme. Il m’explique alors qu’il a souffert dans sa vie et qu’il n’a pas envie que cela recommence. Je ne peux que le comprendre sur ce coup-ci mais tout de même, il vaut vivre que d’avoir des regrets ensuite, non ? je pense qu’il faut vivre et surtout ne pas avoir de regrets lui dis-je tout en le regardant droit dans les yeux. Je l’écoute alors m’expliquer tout un tas de choses que je n’ai pas envie d’entendre. Je ne comprends pas pourquoi il réfléchis tellement à tout ça au lieu de vivre tout simplement. Julian soupire-je avant d’essayer de reprendre. Tu as fini ? lui demande-je tout en le regardant toujours bien droit dans les yeux Pour commencer, si on y arrive, on peut se voir, et on peut rester discrets. Personne ne se fera virer. Et oui, je n’ai pas envie que tu te fasses virer ni que je me fasse virer d’ailleurs mais ce n’est pas parce que je n’ai pas envie de ça que je n’ai pas envie d’autre chose. je ne veux pas être trop claire parce que je ne veux pas trop tomber. Et là ? Ici, personne ne nous connait, on parle tous les deux, on se voit, je ne sais pas, il n’y a pas que Cambridge et Boston. Et qui te dis que ne suis pas prête à faire des concessions pour être … il faut que je le dise Pour être avec un homme qui me plait beaucoup je soupire, mon coeur bat tellement vite que je ne sais pas si je dois vraiment continuer Je ne m’empêche pas de vivre. Au contraire, tu ne te rends pas compte que je m’empêche de vivre parce que je ne suis pas avec toi ! est-ce que j’ai vraiment dis ça ? J’aimerais pouvoir fuir Je me fiche tellement de la différence d’âge, je suis trop mature pour les abrutis de mon âge en plus Julian… et je préfère lui dire afin de clore la conversation si jamais il veut qu’on s’arrête là Julian, çà fait un an que je ne te vois plus comme mon professeur…

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Julian & Elisa

Je ne voulais pas parler d’Andrew. Non mais.. franchement. Je n’avais pas envie de savoir le détail de leur amitié ou ce qu’ils avaient pu faire. Visiblement, Elisa avait compris que Drew m’avait dit qu’ils avaient couchés ensemble. « Rien, à part ce que tu sais déjà et.. je n’ai pas très envie de parler de cela. » Et j’espérais bien qu’elle comprendrait et ne voudrait pas insister pour cela. Peut être plus tard mais pour le coup, non, je ne voulais pas discuter de ça. Je n’en voyais pas l’utilité. « Paris ? Je ne suis jamais allé à Paris. Tant pis pour ton frère. Je veux dire.. il finira sûrement par le regretter un jour mais ce sera bien trop tard. C’est souvent comme ça que ça se passe je pense. » Oui en général, les personnes regrettaient souvent leurs actes bien après avoir agi et au final, cela faisait plus de mal. C’était bien ce que j’avais fait à Elisa. Je l’avais embrassé puis j’avais regretté mon geste. Enfin, on ne pouvait pas dire que j’avais regretté mais, j’avais finalement rétracté. Quoi ? Je la regardais, en fronçant les sourcils. « Quoi ? » qu’est ce qu’elle voulait ? Bon d’accord, je parlais trop mais soit je disais rien, soit je disais les choses fallait savoir. « Euh.. oui. » Mais finalement, ce fut la jeune femme qui commençait à partir dans un monologue. Je n’avais pas trop le temps d’en placer une. Je n’essayais même pas parce que je crois bien qu’elle allait me couper la parole. Je sentais ma respiration s’accélérer et finalement, ce fut le choc. Enfin.. je ne m’attendais pas à ce qu’elle me dise cela. Elle ne me voyait plus comme un professeur depuis un an ? Mais.. pourtant, on avait jamais vraiment plus parlé que cela sauf depuis quelques semaines. Elle ne m’avait jamais rien dit. Bon vu ma réaction ceci dit.. « D’accords tu marques des points et je sais que tu es mature mais.. » Je ne savais plus quoi dire et finalement, je décidais de me rapprocher d’elle et de l’attirer contre moi. Je posais une main sur sa joue avant de venir l’embrasser. D’abords timidement avant de l’embrasser plus passionnément. « Qu’est ce que tu me fais Elisa.. » Je ne comprenais plus ce qui m’arrivait.

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Il fallait que je sois honnête, il fallait qu’on parle une bonne fois pour tout, pour au moins que je me sente mieux. Parce que j’avais tellement de choses en tête, tellement de choses dans mon esprit qu’il fallait que je commence vraiment à me vider la tête. Quoi de mieux que ce moment avec Julian pour le faire. Et tant pis si nos relations se détérioreraient ensuite, je préférais vraiment être honnête avec lui, je ne voulais pas le regretter par la suite, je voulais simplement qu’il soit au courant et qu’il fasse ce qu’il souhaitait faire ensuite. je respecte ton choix, on clore ce sujet dans ce cas je ne veux pas aller contre ce qu’il souhaite. Je sais que pour lui c’est un sujet assez sensible et même si je ne comprends pas trop pourquoi, je préfère ne pas en rajouter. A moins que je lui fasse un peu d’effet, ce qui me ferait grandement plaisir, je ne comprendrais jamais et je n’en parlerais plus. Il faut que tu y ailles, et tu y découvrirais tellement de belles choses. Toi qui est un artiste, tu serais tellement dans ton élément au musée du Louvre, mais à Orsay aussi je pense. Et puis il y a tellement de musées de toute manière. Et tous les premiers dimanches du mois, il y a tant de choses ouvertes et gratuites. Mais dis moi d’arrêter de parler car je pourrais parler de Paris pendant des heures. et je savais pertinemment que j’avais des étoiles dans les yeux lorsque je parlais de ma vie de naissance. Paris me manquait mais certainement pas les Parisiens ni même ma mère et mon frère. J’avais l’impression d’être sans coeur mais en même temps après tout ce qu’ils m’avaient fais, je ne pouvais pas laisser ma famille prendre le dessus sur ma vie. Tu connais quelqu’un qui pourra jouer les guides si jamais tu dois y aller un jour je me tourne vers lui et lui fais un clin d’oeil avant de me remettre correctement Tu sais, j’essaie de ne plus y penser. Je n’ai pas eu la meilleure enfance qui soit surtout lorsque mon père est parti mais aujourd’hui, je suis contente d’être ici et je ne veux pas penser au passé. Au contraire, je veux penser au futur, et surtout au présent. ma famille ne me fera jamais regretter d’être partie et je sais que j’ai fais le bon choix. Mon frère n’est pas du genre à avoir des regrets, il ne parle même plus à mon père mais c’est sa perte, tant pis pour lui, je n’ai plus envie de me préoccuper de lui. Il ne s’est jamais soucié de moi. je n’avais plus envie de parler de lui de toute manière. Il était mon passé, voilà tout. J’étais face à lui, assise à le regarder droit dans les yeux. Tu sais que j’ai raison lui dis-je mais je n’ai pas pu finir ma phrase qu’il s’approche de moi et m’attire contre lui pour m’embrasser. Je réponds à son baiser, je suis obligée de répondre à son baiser, j’en avais une nouvelle fois tellement envie. Ce baiser est passionné, et il est complètement différent que le premier. Cette fois, je sais qu’il ne va pas se rétracté. Je sais qu’il en a envie, tout autant que moi. Je souris lorsqu’il se demande ce que je lui fais laisse nous essayer lui dis-je tout bas en le regardant dans les yeux. Ses yeux sont d’un bleu magnifique je sais que tu en as envie… je m’approche de lui, nos visages sont vraiment très proches et je l’embrasse. Cette fois, c’est moi qui l’embrasse, et ce n’est pas qu’un simple baiser, j’ai envie qu’il se laisse enfin aller.

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Je fus finalement rassuré quand elle acceptait de ne plus parler de cela. Ne plus parler d’Andrew. Tant mieux dans ce cas. Je ne voulais pas parler de lui et je ne voulais pas qu’elle insiste mais elle avait bien compris cela. J’avais finalement appris que la jeune femme venait de Paris. Enfin, elle était née là-bas je suppose et venue ici ensuite. C’était dommage car je trouvais que Paris était une très belle ville tout de même. C’était différent d’ici c’est sûr et je suppose que je dirais l’inverse si je me trouvais là-bas. « Oui je sais, j’aimerai bien y aller un jour mais c’est un budget je crois bien. Sauf si l’université organise un voyage un jour là bas mais ça m’étonnerait. » C’était également un coût pour l’université et tout. Et pour que les élèves y aillent donc bon. Tout le monde avait pas les moyens. « Merci. » Je lui disais avec un sourire. Elle avait raison de ne plus penser au passé. Cela ne servait à rien je trouve. Sauf se prendre la tête et je ne pense pas que ce soit ce qu’elle veuille, si ? Je ne crois pas. Finalement, nous en étions quand même venu à parler de notre relation. En même temps, nous ne pouvions pas passer à côté du sujet. Je finissais par l’embrasser et je grognais quand elle disait qu’elle avait raison. Elle n’avait pas tort mais elle n’avait pas raison non plus. « J’en ai envie mais.. » C’était plus compliqué que cela et elle le savait. Mais finalement, je me laissais aller quand elle m’embrassait. Je glissais une main dans son cou alors que je continuais de l’embrasser. Je m’arrêtais à bout de souffle. « Très bien.. » On pouvait essayer enfin, on parlerait des détails plus tard. Pour le moment, je souhaitais l’embrasser encore, tant que je le pouvais. « Fais moi de la place. » Je lui disais avant de m’installer sur le lit. Je me posais sur elle pour l’embrasser. Je caressais ses bras, via son haut mais je me retenais d’aller plus loin.

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C’est un budget effectivement, mais çà en vaut la peine. je ne vais pas non plus lui dire de venir avec moi, ce serait trop précipité tout de même, surtout que je ne sais pas ce qu’il veut, je ne sais pas où cela va mener toute cette discussion. je pense que tu vas pouvoir y aller un jour. Tu peux toujours trouver des bonnes affaires. Après Paris reste une ville assez chère mais vraiment, c’est superbe. Que ce soit sous la pluie ou bien sous le soleil, la ville est magnifique. enfin, je vais m’arrêter là parce que je pourrais continuer des heures. Paris reste ma ville natale et je ne pourrais pas l’oublier. J’ai de beaux souvenirs malgré l’enfance que j’ai vécu. Mais je ne veux plus y penser. Je sais que je vais retourner à paris un jour, simplement pour retrouver la ville, un simple aller-retour, pas un aller simple. mais quoi ? Dis moi lui souffle-je avant de l’embrasser de nouveau. J’en avais vraiment envie, je ne voulais plus me restreindre. Je ne voulais plus réfléchir, je ne voulais plus attendre qu’il fasse le pas et même s’il venait de le faire, je ne voulais pas lui laisser le temps de se restreindre et de se rétracter. Je souris entre deux baisers lorsqu’il dis très bien. Mais que voulait-il dire avec ce très bien ? Je voulais qu’il le dise, je voulais qu’il parle très bien quoi ? je me mords la lèvre et lui souris. Je lui fais alors de la place dans le lit et il se poste au-dessus de moi. Je sens sa main caresser mon bras et j’en ai des frissons. J’aimerais me laisser complètement aller, j’aimerais qu’il continue, que le temps s’arrête. Je l’ai. Du moins je l’espère. Je passe mes mains derrière sa nuque et continue de l’embrasser. Quel plaisir de pouvoir le retrouver, de pouvoir l’embrasser et le toucher. Mes mains se baladent dans ses cheveux. Cette touffe de cheveux que j’avais envie de toucher, d’ébouriffer. Julian… soupire-je entre deux baisers Ne le regrette pas… ne te rétracte pas. j’ai besoin qu’il le dise. Je ne sais pas où çà ira, je ne sais pas comment çà va se passer mais j’ai envie d’essayer, j’ai vraiment envie d’être avec lui et de profiter de l’instant. Le reste, nous verrons plus tard.  

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Il était sûr que pour voyager il fallait un sacré budget. De toute façon, rien était gratuit dans la vie alors bon.. je suppose que je pourrais réserver de l’argent de côté pour pouvoir partir mais je ne savais pas exactement quand. Je verrais bien, ce n’était pas pressé. « Oui j’aimerai bien, peut-être cet été quoique, cela fait un peu juste et ça dépend du prix. Sinon je partirais plus tard, mais j’aimerai bien voyager et découvrir de nouveaux pays. » Bon d’accord, peut être qu’il fallait aussi que j’arrête de parler. Oui. Je me trouvais en train de l’embrasser donc pour le coup, c’était mieux que j’arrête de parler. Ce n’était pas trop compatible. Je poussais un soupir entre deux baisers. Elisa, Elisa. Elle voulait vraiment tout entendre, bon ceci dit, je n’étais pas très clair. « D’accord on peut essayer. » Je lui disais alors avant de venir m’installer sur le lui, me glissant entre elle. Je caressais ses bras mais.. je ne voulais pas aller plus loin. Enfin, quelque part si mais bref, c’était compliqué. Je fronçais les sourcils à ce qu’elle me disait. Est-ce que j’avais l’air de me rétracter pour le coup ? « Non.. ça va.. je suis là. » Je déposais un autre baiser sur ses lèvres. « Mais.. je ne veux pas aller trop loin ou trop vite si tu n’en as pas envie. Et si on continue dans cette lignée je.. je ne suis pas sûr de me tenir correctement. » Je venais à poser ma tête dans son cou, embrassant celui-ci. « D’accord je me tais.. » J’allais passer pour un pervers ou que sais-je mais en même temps, j’étais resté longtemps sans rien faire avec une femme alors bon. Je restais tout de même un homme malgré tout, mais je ne suis pas un connard non plus.

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Je pourrais passer des heures à parler de Paris ou bien même à parler voyages. Je rêve de découvrir le monde, même avec un sac à dos. Je me fiche de ne pas trop avoir de confort, je me fiche de ne pas être dans de grands hôtels. J’ai tout simplement envie de découvrir les merveilles du monde qui m’entoure, voilà tout. Je suis quelqu’un de simple, et je pense que vivre dans le strict minimum m’a toujours fais garder les pieds sur terre. J’aime les choses simples, je ne suis pas compliquée. J’aimerais tellement pouvoir découvrir le monde, il y a tellement de belles choses à voir. Mais tu sais, avec un sac à dos pas avec des valises ou trucs de ce genre. Juste un sac à dos et voir des pays et des endroits que les gens ne connaissent pas forcément. Simplement profiter des pays et des destinations, pas besoin d’un bel hôtel, quelques sous. C’est un de mes rêves je dois bien l’avouer. mais je pourrais encore en parler. Je n’ai pas envie de l’embêter avec ça. Je suis un peu prise de court lorsqu’il commence à m’embrasser mais une fois lancée, je ne peux plus m’arrêter. J’ai peur qu’il se rétracte encore mais lorsque j’entends le son de sa voix me dire qu’on peut essayer, je ne peux qu’être heureuse et soulagée. Je sais que cela pourra être un peu compliqué de temps en temps, mais çà en vaut tellement la peine. Je souris, et je suis certaine que j’ai l’air d’une idiote en souriant mais je m’en fiche. Tu ne le regretteras pas lui dis-je entre deux baisers. Il devient entreprenant et çà me fait du bien de le voir s’ouvrir un petit peu et de le voir comme ça. Je savais bien que je lui faisais tout de même un peu d’effet, ce n’était pas innocent tout ça. Je n’ai pas peur d’aller plus loin avec lui, mais je n’ai pas envie qu’il regrette par la suite ou bien qu’il se dise que ce n’est pas bien. Je sais qu’il m’a dit qu’il était d’accord pour essayer, qu’il n’allait pas se rétracter ou autre et malgré mon soulagement, j’avais encore cette petite pointe de peur mais elle allait finir par s’estomper, je le savais. Je souris lorsqu’il me dit que si nous continuons dans cette lignée, il n’allait pas être certain de pouvoir se tenir correctement. Je souris de plus belle lorsque je sens sa bouche se poser dans mon cou. On ira à notre rythme, que ce soit rapide ou lent, je n’ai pas non plus envie de me retenir, pas avec toi je suis honnête. Je rigole lorsqu’il me dit qu’il se tait. Je passe alors ma main dans les cheveux de Julian et me mords la lèvre. Ne te restreins pas pour moi lui lui dis-je Et si tu te tais, c’est pour m’embrasser, pas pour faire autre chose. Désolée, ton dessin attendra. je passe mes mains sur les joues de l’homme qui m’attire depuis environ un an et l’embrasse avec fougue.  

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Voyager était un rêve. Je ne pouvais m’empêcher d’aimer ce rêve tout de même enfin, je ne disais pas non pour le coup. J’avais quand même envie de découvrir du paysage. C’était toujours un budget mais peut être que je pourrais faire cela un jour. « Non, ça sert pas les beaux hôtels ou quoi. On vient pour profiter et découvrir des lieux pas pour rester à l’hôtel. Puis c’est bien d’aller chez des hôtes ou quoi, ça permet de découvrir du monde. » En tout cas, je préférais cela plutôt que autre chose. Je décidais finalement de mettre fin à cette conversation pour l’embrasser. Je ne pense pas qu’elle était contre de toute façon que l’on arrête de parler, si ? Seulement, je préférai l’avertir et l’arrêter. Je ne voulais pas que ça aille loin si elle ne le désirait pas. « Tu ne devrais pas dire ça. » Je lui disais en soupirant. Non, c’était dangereux. Mais je suppose donc que je pouvais m’occuper d’elle, sans pour autant que ça aille plus loin. Je l’embrassais alors avant de lui souffler. « Dommage pour le dessin quoique.. je peux toujours te dessiner nue. » Je lui fis un clin d’œil. Non, ce n’était pas trop mon truc enfin, je n’avais jamais dessiné quelqu’un nu. Ce serait donc une première fois mais j’avais d’autres idées l’impliquant elle et nue. Je crois que cela attendrait. Je l’embrassais dans le cou alors que je glissais mes mains dans son dos pour faire descendre la fermeture de sa robe. Je fis glisser celle-ci pour découvrir Elisa en sous vêtements. « Tu es superbe.. » Je lui soufflais, ma main caressant son ventre tandis que je l’embrassais dans le cou et au dessus de sa poitrine. Je ne savais pas exactement ce que je pouvais faire alors je ne voulais pas la brusquer. « Dis moi si tu veux que j’arrête.. » C’était préférable.

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Je n’ai même pas le temps de répondre et de continuer à parler voyage que monsieur à décider de m’embrasser. Mais je ne vais certainement pas m’en plaindre. Depuis le temps que je voulais qu’il m’embrasse. Depuis le temps que j’avais envie d’être avec lui et qu’il me dise qu’il voulait être avec moi. Alors, oui, il ne l’avait pas expressément dit mais il me l’avait dit d’une autre manière et il était en train de me le faire savoir. J’étais heureuse. Oui, ce moment me rendait du coup très heureuse et je n’avais pas du tout envie que cela s’arrête. Je pouvais sentir mon cœur battre plus vite qu’il ne le devrait. Je pouvais sentir mon corps réagir au contact du sien et au contact de ses lèvres sur mes lèvres. Je n’avais pas envie de précipiter les choses mais en même temps, je n’avais pas non plus envie de m’arrêter. Il était au-dessus de moi, en train de m’embrasser, sur ce lit qui était le sien et non le mien, alors comment voudrais-je m’arrêter maintenant ? Il me dit que je ne devrais pas dire ce genre de choses, et bien moi j’ai envie de lui dire ce genre de choses et de voir ce qu’il peut faire. Je sais, je joue mais j’ai envie de me bruler en étant trop près du feu voyez-vous. et pourquoi je ne devrais pas dire ça ? lui demande-je avec un petit sourire. Me mordillant alors la lèvre avant qu’il ne m’embrasse de nouveau. Me dessiner nue ? Je pense que tu serais trop distrait pour faire quelque chose de correct plaisante-je. J’avais soudain réussi à être vraiment naturelle avec lui, bien que je le fusse déjà avant, mais il n’y avait plus de restrictions, il n’y avait plus d’interdits. Du moins, pas ici en tout cas. On verra un peu plus tard pour le dessin, il faudra bien le finir. Je ne le laisserai pas inachevé. Enfin, c’est surtout toi qui dessines mais je poserais pour toi même si je serais très certainement un peu trop distraite. Je le sens m’embrasser dans le cou et çà me chatouille. Je sens aussi ses mains descendre simplement dans mon dos pour ouvrir la fermeture éclair de ma robe. Je souris, d’un air bien coquin. Tu dois me rendre superbe alors… merci c’est gentil lui réponds-je tout en me laissant faire. Il s’amuse, apprend à connaître que je peux lui offrir. Je serais folle si je te demandais d’arrêter ! m’exclame-je alors que j’essayais de me redresser. Je prends son visage entre mes mains et pose mon regard dans le sien Tu ne t’imagines pas combien de fois j’ai songé à cet instant Julian… lui dis-je avec un petit sourire en coin. Oui, je dois bien admettre que j’ai déjà songé à cet instant… je me mords la lèvre et lui enlève alors la chemise qu’il a en trop sur le dos.   

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Julian & Elisa

Je ne sais pas si c’était le moment, le lieu ou autre chose mais je me laissais davantage aller. En même temps, je le pouvais. Je veux dire.. nous étions dans ce lieu où personne ne nous connaissait, dans cette chambre où personne ne pouvait nous voir. Pourquoi s’abstenir ? Je me sentais un peu plus à l’aise et je savais que nous devions en profiter. « Tu le sais très bien. » Je lui disais en souriant. Elle marquait un point pour le coup. Je crois que je serai distrait si elle venait à être nue et que je devais la dessiner. Quoique, je savais quand même être concentré. « Bon.. je pourrais toujours te prendre en photo dans ce cas. Mais elles restent pour moi. » Et puis quoi encore, je n’allais pas les partager avec quelqu’un d’autre. Je pouvais me montrer possessif et jaloux. Et je crois que j’allais avoir du mal à ne pas l’être m’enfin, on verrait cela plus tard. « Très bien.. mais pas maintenant tu veux. » Je n’avais pas envie de dessiner pour le moment et je ne crois pas qu’elle ait envie de poser pour moi non plus. Je fis glisser sa robe jusqu’à l’en débarrasser. Je poussais un grognement. Cette fille ne m’aidait pas vraiment, au contraire. C’était comme si elle me poussait à aller plus loin. Elle fit glisser ma chemise et je m’en débarrassais. J’embrassais alors son ventre avant de remonter à ses lèvres. « Il faut que tu m’arrêtes.. » Je caressais alors sa joue et je commençais à me sentir à l’étroit dans mon short. « Je veux dire.. c’est encore tôt pour qu’on couche ensemble. Pas que je n’ai pas envie mais.. » Pas ici, pas comme ça, pas la première fois. Chaque chose en son temps, nous avions tout le temps pour cela. Mais je me sentais quand même frustré et c’était douloureux. « Tu veux aller à la plage cette fois ? » Je lui proposais alors.