it's a new dawn (jally)

Tu commençais à être finalement sur des comportements de Sally. Pour le coup, le fait que tout ça ait été une surprise pour elle finissait presque par la rendre pudique dans ses agissements. Il ne s'agissait pas de faire des sous entendus à tout va pour te taquiner maintenant. C'était autre chose et en cette phase de transition tu la trouvais bien sur la réserve et ça t'amusait. C'est ça, manipule moi ! Je sais à quoi tu joues, Mendoza ! Je te rappelle que c'est toi qui a fuit quand moi je te demandais de rester. Tu marquais forcément un point là. Tu lui demandais de venir le soir de la saint-valentin, tu lui demandais de rester, et tu lui avouais qu'elle te manquait. Et elle de son côté, elle se prélassait dans sa petite zone de confort. Voilà qui était amusant. Oui, c'est à peu près ça. Avais-tu dit en la défiant. Parce que oui ça viendra d'elle cette fois. Elle prenait la décision de se lancer, alors tu la laisserais agir comme elle l'entendait la première.

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Je savais très bien qu'il était fort aussi à ce jeu là, notre relation était loin d'être un jeu mais on avait cette complicité et parfois on en jouait, on jouait comme des gosses et j'aimais plutôt ça, je le provoquais pour le faire réagir mais il avait réponse à tout. "Mais quand on veut vraiment retenir une femme on arrive à être convaincant.." Je me pinçais la lèvre inférieure pour retenir un rire moqueur et quand il me défiait je ne voulais pas me défiler, j'agissais comme une ado qui était prête à donner son premier baiser à un mec qui lui plaisait pourtant au Brésil on ne s'était pas gêné pour aller plus loin, je souriais en regardant Zoé qui avait toujours son gâteau en main avant de me lancer, je m'approchais donc pour venir poser mes lèvres lentement sur les siennes.

(Invité)

Elle était culottée et toi tu avais beau être gentleman ça ne suffisait pas. Tu étais joueur aussi et surtout tu avais aussi besoin qu'on te montre des choses. Tu n'avais pas besoin qu'elle te prouve la sincérité de ses sentiments, tu n'en doutais pas. Par contre tu avais besoin qu'elle te prouver qu'elle était prête. Elle était la seule à pouvoir te rassurer là-dessus. Mais j'ai fait ma part du marché très chère. Tu es revenue, presque aussi vite que tu es partie. Oui tu osais la charrier jusque là. Et alors ? Ce n'était pas comme si vous en étiez à votre deuxième rencart, ou comme si tu allais la faire fuir ! Tu souriais amusé en la voyant s'approcher et quand elle glissa ses lèvres aux tienne ta main se glissa instantanément à sa joue. Les premières secondes ça semblait presque être un premier baiser jusqu'à ce que la voix de Zoé se fasse entendre puisque mademoiselle criait.

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Si je devais choisir je préférerais le laisser tout faire quand il s'agissait de faire le premier pas, j'aimais les vieilles traditions qui laissait le mec prendre les devant mais là c'était pas n'importe lequel et en plus il avait beaucoup fait, il m'avait fait revenir et il ne manquait pas de le rappeler, j'en souriais en posant mon regard dans le sien. "La prochaine fois sa ne sera pas aussi facile tu verra." Je lui tirais la langue amusé avant de passer ce cap d'amusement pour venir prendre possession de ses lèvres, je partageais avec lui un baiser tendre en laissant ma main venir contre son torse mas Zoé fini par crier, je me reculais pour la regarder et elle jetais son gâteau au sol une vraie capricieuse comme sa mère. "Waouh elle a pas l'air d'être contente." Voilà on en avait trouvé une qui n'était pas fan de nous voir ensemble, il fallait bien que cela arrive. "Mon coeur maman ne te vole pas ton papa tu sais."

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Menace en vue ? Elle était mauvais perdante dans son genre. Mais tu savais que tu aurais pu céder facilement si tu ne tenais véritablement à ce qu'elle soit celle qui explicite son envie d'être avec officiellement. C'était elle qui tournait la page sur des choses douloureuses et très récentes. Tu lui avais fait une place entre tes jambes, et tu avais pris ce baiser comme l'officialisation de ce qui s'était tramé entre vous ces derniers temps. Et Zoé se mit à râler, tu as fini par rire en entendant Sally. Mais non ! Tu avais du mal à y croire pourtant ça faisait sens. Te relevant, tu t'en approchais pour la sortir de sa chaise. Ben alors qu'est-ce qu'elle a ma petite princesse ? Quand ta fille venait à t'embrasser, tu finissais par dire. Regarde moi ça, t'es pleine de gâteau. Tu regardais Sally en nettoyant la bouche de votre bébé, puis la tienne puisse que tu y sentais du gâteau, et par curiosité, tu t'approchais de Sally pour l'embrasser à ses lèvres, et là Zoé te tournait le visage vers elle pour t'embrasser après avoir manifester son mécontentement. C'est une blague ?! Je l'avais pas vu venir ça, tu vois ! Tu en riais c'était plus fort que toi. Tu as réessayé une tentative en embrassant Sally, et Zoé reproduisait la même réaction. On aurait peut-être du lui demander son avis avant de se bécoter en fait. Tu étais sacrément amusé, c'était le cas de le dire. Tu étais le papa poule de Zoé, et elle t'avait vu embrasser aucune femme. Surement qu'avec Sally c'était différent mais tu ne voulais pas y penser.

(Invité)

On était officiellement ensemble on formait un couple à ce même instant, on avait pas besoin de plus de temps pour comprendre qu'on voulait les mêmes choses puis si on essayait pas on ne pourrait pas savoir si on était fait pour être ensemble ou pas, même si je n'en doutais pas. Zoé râlait et moi je compris tout de suite qu'elle ne voulait pas partager son père, elle avait eu l'exclusivité jusqu'à aujourd'hui alors forcément elle comprenait pas pourquoi maintenant ses parents s'embrassaient. "C'est ma fille je le connais Jamie je te dis qu'elle est jalouse là. Elle tient de sa mère." Je m'étais pousser d'entre ses jambes vu que notre baiser avait été interrompu par Zoé, lui sa le faisait rire, moi sa me faisait peur. Je le laissais prendre Zoé dans ses bras et elle venait même lui voler un bisous, c'était qu'elle était pire que moi ma fille, elle avait du Mendoza en elle c'était indéniable parce que la jalousie c'était de mi j'en étais sûre. Je laissais Jamie faire un test en s'approchant de moi mais notre fille lui tournait la tête pour l'embrasser elle, du coup les bisous entre nous sa allait être aussi peu qu'avant qu'on officialise. "Et toi sa te fait rire. Forcément le papa poule que tu es aime ça." Je lui tirais légèrement la langue avant de regarder Zoé, fallait qu'elle comprenne les choses et j'allais avoir besoin de l'aide de Jamie. "Ma puce tu veut pas partager papa avec maman??"

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Sally semblait tellement sure d'elle, et même si elle analysait plutôt bien la situation, toi tu en étais étonné. Tu n'avais pas vu venir un tel rebondissement. Et même si on pourrait penser que c'était aussi une complication, tu avais toi, du mal à le voir ainsi. Non tu t'en amusais et apparemment Sally en râlait. Ca me surprend autant que ça m'amuse, je vais pas m'excuser pour les réactions de notre fille quand même ! Tu étais plutôt détendu, et tu ne semblais pas voir ça comme un problème. C'était le genre de chose qui à priori se régleraient naturellement. En attendant, toi tu savais déjà que tu ne t'en lasserais pas le temps que ça durerait. Maman aussi a droit à tes bisous, mon bébé. Sally allait te détester mais une fois de plus tu t'approchais d'elle pour l'embrasser, et gentiment pour provoquer Zoé. Elle reprenait ton visage entre ses deux mains et te collait un bisou, et toi ça t'amusait ! Fais pas cette tête, elle va finir par s'y faire. Oui malgré tout tout,
tu semblais ne pas vouloir que Sally te déteste aussi vite.

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J'étais enfin avec Jamie, on était enfin un vrai couple et pourtant Zoé ne voulait pas, elle n'était pas d'accord et forcément Jamie était content, je le détestais presque, bon ok je ne pouvais pas le détester j'étais surement moi aussi jalouse en fait, pas de Zoé parce que bon elle me faisait les mêmes déclarations d'amour à la maison, on était complice au plus au point mais moi aussi je voulais voir le droit d'embrasser l'homme qui faisait parti de ma vie maintenant et il était impossible. "Tu devrais, voilà d'avoir attendu autant de temps au lieu d'habituer ta fille à nous dès le départ." Et voilà dès que je pouvais le provoquer avec ça je le faisais et j'étais contente de moi en plus. Je regardais Zoé en faisant la moue, d'habitude cela marchait, elle avait toujours pitié de sa maman en général. "Maman est triste que tu ne partage pas papa avec moi." Et Jamie lui s'amusait à essayer de m'embrasser pour enrager Zoé, je m'éloignais de lui en voyant qu'il s'amusait. "Tu sais quoi tu t'amuse tellement que tu te contentera des bisous de ta fille seulement, t'approche plus de mes lèvres." Je lui tirais la langue en guise de réponse et je m'éloignais pour aller m'asseoir sur un tabouret face à eux.

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Si tu n'avais pas vu venir le comportement de Zoé, tu avais pas encore moins vu venir le pic de Sally. Décidément, tu te marais plutôt bien entre elles cet après-midi. Ben voyons ! Il t'arrange bien cet argument hun ? Il était surtout bien servi au bon moment ! Elle t'en avait amusé. Tu la regardais faire son cinéma devant votre fille, et tu finissais par éclater de rire quand Zoé embrassait sa mère pour la consoler. Il n'y avait rien à tirer pour l'instant c'était certain. Tu t'amusais comme un gamin, et Sally perdait faussement patience au point de la jouer mauvaise joueuse. Mauvaise joueuse ! Puis je suis sur que tu ne tiendras pas de toute façon. Allez tiens, je vais aller mettre légumes à cuire pour son dîner. Tu lui filais Zoé, avant de sortir une pomme de terre, un oignon, et des carottes.

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Cet argument m'arrangeait bien c'est vrai et je m'en servais à point nommé, après tout aujourd'hui on pouvait rire de tout ça, il avait longtemps été vilain en me repoussant mais aujourd'hui on pouvait en rire, Zoé avait pas l'habitude de nous voir aussi proche, en même temps on a toujours garder de bons rapports mais sans rien de plus alors forcément voir ses parents s'embrasser et ce faire des câlins quand d'habitude c'est elle qui recevait nos papouilles c'était bizarre pour une petite fille de son âge. "Ouais mais c'est aussi la vérité." Avec ce petite sourire je changeais rapidement de tête pour faire la moue à Zoé et en plus cela marchait puisqu'elle venait m'embrasser pour me consoler. Je lui offrais un sourire en m'éloignant de Jamie, j'étais une grande joueuse aussi et je pouvais faire beaucoup pour gagner la partie. "Tu n'aurais jamais dû dire ça, parce que je te jure que tu n'aura rien de moi." Je pris Zoé sur mes genoux pour le laisser faire la cuisine et bizarrement maintenant c'est moi que Zoé bisoutait, tout pour marquer son territoire, je n'aurais jamais pensé que ma fille soit possessive aussi jeune.

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