TG 2 ✱ Panel Avengers Infinity War

Me voilà à crier comme une hystérique aux côtés de mon meilleur ami, à l'intention de Chris Hemsworth aka Thor et Tom Hiddleston aka Loki. Putain que je les aimais ces deux acteurs et leur jeu incroyable dans ce film. Thor. Franchement, je suis une Burberry, mais malgré ça, je ne pourrais pas obtenir un plan à trois avec ces deux mecs. VDM. Je criais, je bavais et je sentais des doigts me pincer la hanche. Faisant face à Ezio, j'haussais les épaules et la voix. « Baaaaaah quoi ? » Allez, qu'est-ce que t'as là ? Tu fais ton jaloux ? Bah voyons bébé, tu resteras l'homme de ma vie oh ! Mais là vraiment, c'était Thor et Loki kouaaaaa. Le panel se terminait et tous les acteurs disparaissaient. Trop court vraiment. Je voulais admirer les abdos de Thor omg ! Mais J'éclatais de rire face à ta tronche pas super belle en ce moment. « Tu n'as pas apprécié ? Je crois que j'ai chaud ! C'est l'effet Thor tu crois ? » Te taquinai-je en te tirant la langue. Je crois que ça allais devenir un passe-temps pour moi, te taquiner à longueur de journée.

Sans grande surprise, Ezio était un fervent adepte du septième art, lorsqu'il eu vent de la venue de ce panel, il n'hésita pas une seule seconde à réserver des places. Présent aux côtés de sa meilleure amie Lucky, il avait suivit l'intervention des acteurs et du réalisateur avec un certain intérêt. A la fin, son regard se posa sur la blondinette, tandis qu'il ne pu réprimer un petit rire blasé. « Mais t'as fini, on dirait une fan hystérique qui rencontre Justin Bieber pour la première fois de sa vie. » dit-il en roulant des yeux pour la taquiner un peu. Ses doigts vinrent pincer la hanche de Lucky, toujours dans un esprit de provocation. Elle lui rendait bien, c'était de bonne guerre. « Si j'ai apprécié, arrête c'est du fake ses abdos, ça se voit ! » grogna-t-il entre ses dents. Il n'y avait rien de plus compétiteur qu'un italien macho à l'ego démesuré. « Je préfère les miens, ils sont plus dessinés et plus ferme ... puis ton thor là, il a une sale gueule ! » dit-il en rigolant. Bah voyons. Ezio croisa les bras contre son torse et regarda autour de lui. « La seule nana du film n'était même pas là ... je suis dé-çu ! » Il insiste bien sur le dernier mot. Lui aussi aurait voulu baver un peu.

« Mais t'as fini, on dirait une fan hystérique qui rencontre Justin Bieber pour la première fois de sa vie. » Non mais qu'est-ce qu'il ne fallait pas entendre sérieux ? Moi ? Hystérique face à Justin Bieber ? Euhhhh ÇA VA PAS LA TÊTE EZIO ! J'éclatais cependant de rire avant de te donner un bon coup de coude sur ton torse. « Arrête de faire un peu ton jaloux. T'as presque des rides à force de froncer les sourcils. » Mais bon, ça avait vraiment été très court ce panel. Si je pouvais, je me serais de ce pas faufilée dans les coulisses histoire de me faire signer une fesse à l'autographe de Chris et l'autre fesse, celle de Tom, mais je ne pouvais pas parce que j'avais un italien super possessif et compétitif à mes côtés. « Si j'ai apprécié, arrête c'est du fake ses abdos, ça se voit ! » Bah voyons. T'étais le seul aveugle ici. Ou alors, tu savais simplement que ses abdos étaient mieux dessinés que les tiens et ça te frustrait de ne pas avoir ce corps d'Apollon. « Je préfère les miens, ils sont plus dessinés et plus ferme ... puis ton thor là, il a une sale gueule ! » Oui Scorsese, tu pouvais toujours courir. T'avais de jolis pecs, mais bordel, t'étais loin d'égaler Thor. On parle de THOR quoi ! No offense bébé. « Tu rigoles là j'espère ? Tu veux comparer sa tablette de chocolat à une barre chocolatée ? » Que j'ajoutais, moqueuse. Je rigolais parce qu'il ne pouvait pas en être autrement avec toi. « La seule nana du film n'était même pas là ... je suis dé-çu ! » « Sorry, not sorry ! » Je répliquais en croisant les bras contre ma poitrine et tirant une mine boudeuse. Bah ouai, pour le coup, j'étais bien heureuse qu'elle ne soit pas là. Je savais que tu me l'aurais bien rendu à me provoquer avec ses charmes. Aujourd'hui, j'avais totalement le dessus et j'allais bien profiter pour animer et nourrir ta jalousie.

Ezio jaloux ? Absolument pas. Il râlait, comme à son habitude et démontrait son mécontentement. C'était juste histoire de parler et de commenter de panel. L'italien avait un avis sur tout et tout le monde et critiquer semblait être sa priorité.  « J'compare rien du tout, j'analyse, je constate. » s'amusa-t-il à répondre de mauvaise foi mais, malgré tout, amusé par la situation. Ses yeux se posèrent sur Lucky tandis que ses bras se croisèrent contre son torse. « T'es vachement égoïste en fait, j'suis sur que t'aurais tenue le même discours si la sublime Johansson avait montré ses petites fesses ici. » Il haussa les épaules, un peu déçu de ne pas encore avoir eu le privilège de rencontrer cette beauté. Ezio en avait vu beaucoup des stars du grand écran, grâce à son grand-père mais la Scarlett, pas encore. Il se leva de son siège et se tourna vers Lucky. « Tu sais que si on se grouille, j'suis certain qu'il y a encore moyen qu'on les rattrape et que tu juges par toi même que mes abdos sont mieux que les siens. » Ezio jouait la carte de la provocation, cela l'amusait beaucoup.

« J'compare rien du tout, j'analyse, je constate. » « Ben alors t'es un piètre analyseur chéri ! » T'es un italiano bébé et je te connais comme mon sein gauche. Okey ça faisait weird là, mais osef. « T'es vachement égoïste en fait, j'suis sur que t'aurais tenue le même discours si la sublime Johansson avait montré ses petites fesses ici. » Je pouffais de rire sans me contrôler. Franchement, elle n'était pas aussi belle que moi Scarlett machin blonde. Okey, moi aussi j'étais trop fière pour avouer que cette nana était beaucoup trop canon et que je lui arrivais certainement pas à la cheville, du coup, j'enfonçais encore plus cette sublime demoiselle. « T'es sérieux ? Tu trouves cette fille sublime ? T'as vu ses lèvres ? On dirait celles d'un poisson. Elle va t'embrasser et tu vas avoir de la bave partout sur le visage, BERK ! » Je faisais une mine dégoûtée. Pardon Scarlett, sache que tout ce que je venais de dire, je ne le pensais pas du tout. Mais alors paaaaas du tout. « Tu sais que si on se grouille, j'suis certain qu'il y a encore moyen qu'on les rattrape et que tu juges par toi-même que mes abdos sont mieux que les siens. » Proposition plutôt alléchante, même si je suis certaine qu'on ne nous laisserait pas les approcher. Mais je voulais te mettre au défi allez. Je me plaçais alors devant toi plaquant mes mains sur mes hanches, regard défiant. « Obtiens-moi un face à face avec Chris alors. Je veux voir si t'as raison. Si ce sont des faux. Et pour le savoir, il faut que je touche aussi. » Putain j'avais déjà la bave qui coulait rien qu'à l'idée de pouvoir toucher aux pecs de Chris. L'imprégner sous mes doigts. Le mec va certainement me prendre pour une folle, mais qu'est-ce que j'en avais à foutre ?

Sublime ? Non, ce mot était beaucoup trop faible. Ezio leva les yeux au ciel en entendant la réponse de Lucky, elle n'était pas mieux que lui. Aussi jalouse et possessive visiblement. « Pardon ? Bien sûr que j'ai vu ses lèvres, elle doit surement très bien s'en servir ... Elle fait fantasmer tous les hommes cette fille, elle a du potentiel hm. » lança-t-il, plein de sous-entendu. Scarlett était l'une des femmes les plus belles du monde et c'était largement mérité. Finalement l'italien lui proposa de partir à l'assaut de l'acteur et d'essayer de le retrouver. Contre toute attente, Lucky vint acquiescer mais pas que. Elle le mettait au défi de lui obtenir un tête à tête avec ce mec. « T'as rêvé toi, je ne vais pas t'obtenir de tête à tête, j'disais ça dans l'hypothèse où tu voudrais lui parler de plus près, j'men fou moi de ce type. » répondit-il en rigolant, haussant négligemment les épaules. Fallait pas pousser non plus.

Ouai ça n'était pas réellement une surprise me concernant. J'étais possessive et jalouse. La preuve avec les nombreuses crises avec mon ex-mari. C'était dans ma nature et je n'y pouvais rien. Personne n'aimerai changer ce qu'il est, alors j'aimerais qu'on accepte la fille que je suis. Pas pour mes qualités, mais pour mes défauts et jusqu'à présent, aucun homme n'a su encore m'apprécier telle que je suis. Aucun homme sauf toi Ezio et c'était bizarre que ce soit mon meilleur ami qui le fasse. « Pardon ? Bien sûr que j'ai vu ses lèvres, elle doit surement très bien s'en servir ... Elle fait fantasmer tous les hommes cette fille, elle a du potentiel hm. » Et plus tu rendras sublime cette femme devant moi, plus j'essayerai de l'enfoncer. Encore et encore, jusqu'à ce que tu avoues enfin, qu'aucune n'est plus belle que ta seule et unique Burberry. « Et ses seins sont trop balaises, tu t'étoufferais avec ! » Okey, la c'était vraiment con comme remarque. Tous les hommes aimaient les gros seins. Les miens n'étaient ni petits, ni trop gros, ils étaient parfaits et généreux. « T'as rêvé toi, je ne vais pas t'obtenir de tête à tête, j'disais ça dans l'hypothèse où tu voudrais lui parler de plus près, j'men fou moi de ce type. » Retournement de situation monsieur Scorsese ? Tu n'étais pas jaloux ein ? M E N T E U R. Je riais face à ton changement de mine, comme si t'avais pensé que je me défilerai et n'insisterai pas. Mais au fond, je m'y attendais un peu. T'étais ma moitié, alors je connaissais un peu tes réactions et ta façon de penser. « T'sais que tu ne sais pas du tout mentir ? M'bon, je garderais alors à l'esprit que Chris a une meilleure tablette de chocolat que toi. » Te dis-je en faisant mine de siffler dans le vent.  « Et si ça se trouve, la tienne est un fake aussi ! » J'arquais un sourcil accompagné d'un sourire carnassier.

Ses seins trop balaises ? Ezio plissa les yeux pour essayer de se remémorer la poitrine généreuse de Scarlett Johansson mais, de mémoire, elle n'était pas si énorme que ça. Non, lui il se souvenait de sa combinaison noire moulante lorsqu'elle incarnait Natasha Romanoff. « Mais nan au contraire tu vois, il y a matière à toucher, à palper, de vraies formes pulpeuses et sensuelles. » répondit-il en agitant les mains devant lui pour mimer le palpage de seins. En voyant la tête de Lucky, il ne pu s'empêcher de rigoler. C'était de bonne guerre, elle l'avait cherché. Et puis, à son tour, il fut pris à son propre jeu lorsque la blondinette vint se moquer de lui. Ils ne prenaient absolument rien au sérieux ces deux-là, ils étaient désespérant. Ezio lâcha un pffff d'entre ses lèvres, il n'était pas content mais ça l'amusait énormément. C'était devenu un jeu entre eux, ils étaient assez fusionnels pour se chamailler ainsi pendant des heures sans se lasser. « Quoi ? » dit-il en se tournant vers elle, l'air faussement indigné. « Tu doutes encore de ma sculpture de rêve ? » L'italien avait une fierté à toute épreuve et un égo tellement démesuré qu'il ne pouvait pas laisser passer ça. Il se mit devant elle. « Ok, tu ne me laisses plus le choix là. » marmonna-t-il. Ezio attrapa les mains de Lucky qu'il fit glisser sous son sweat, sous ses deux couches de vêtements. « Et ça c'est du fake peut-être ? » Il fit parcourir les mains de la blondinette sur son torse, bien décidé à lui faire changer d'avis à cette effrontée.

« Mais nan au contraire tu vois, il y a matière à toucher, à palper, de vraies formes pulpeuses et sensuelles. » Et tu levais même tes mains pour mimer ton palpage et je baissais tes mains en les claquant de mes paumes. « Ouai ouai ouai, ils ne sont pas aussi bien palpables que les miens. Merci. » Mine boudeuse à nouveau, je finissais par éclater de rire et à regarder mes propres seins. Pourquoi je doutais en fait ? Les miens sont moelleux et doux au touché. Pas de quoi envier ceux de Scarlett, ouaich. « Quoi ? Tu doutes encore de ma sculpture de rêve ? Ok, tu ne me laisses plus le choix là. » Je secouais positivement de la tête comme pour appuyer tes dires et là, d'un coup, t'attrapais mes mains pour les glisser sous ta chemise. Surprise, j'écarquillais les yeux. Wow... Première fois que je touchais ton torse de si près et lorsque tu lâchais mes mains, je fermais les yeux. Gardant alors le bout de mes doigts sur ta peau, je descendais lentement comme si j'essayais d'imprégner chaque parcelle. « Chocolat » Je descendais davantage, surtout prenant mon temps. « Chocolat » Continuant ma course aussi lentement que possible. « Chocolat » Mes doigts frôlant à peine ta peau. « Pas chocolat.... Pas chocolat... Pas chocolat. » Et je terminais ma course à l'entrée de ton pantalon, pour enfin retirer mes mains et ouvrir les yeux. « T'as que trois tablettes et genre Chris il en a cinq ou six mec ! » Que je lançais en éclatant de rire histoire de me foutre de ta gueule. En fait, je cachais bien l'électricité qui m'avait parcouru le corps à cet instant. C'était bizarre. Genre vraiment bizarre. Ça devait être le froid mélangé à la chaleur de ta peau ein ?