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ALIPER ► Les humiliations nous ont jamais appris la bonne discipline

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Les humiliations nous ont jamais appris la bonne discipline
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• J’ai jamais vraiment eu de problèmes d’argent étant plus jeune. Mon père étant le directeur d’un grand journal à New-York, disons que je n’ai jamais su ce que c’était de ne pas manger à sa faim et de ne pas avoir tout ce que je voulais. Fils unique, enfin, jusqu’à il y a quelques années où j’ai appris que j’avais une demi sœur du même âge que moi, j’ai toujours été gâté par mes parents, tout ce que je voulais, je l’avais, sans même le demander. Je ne dis pas que j’en ai jamais profiter, vous savez, quand vous êtes gamin et que vous êtes habitué à avoir ce que vous voulez, et bien… On y prend l’habitude en fait. Je sais, c’est mal d’être un gamin pourri gâté qui pense avoir droit à tout, mais disons qu’à côté de ça, mes parents ont réussi à m’inculquer des valeurs, que je puisse me débrouiller par moi-même, que je suive de grandes études pour avoir un bon boulot, grandes études que je n’ai pas terminées. Ouais, j’ai arrêté en plein milieu de ma dernière année. Je sais, c’est complètement con après tant d’années d’études, mais disons que j’avais des circonstances aggravantes. J’ai pété un câble et j’ai tout abandonné, étude, famille, femme, enfant, vie. Tout. Aujourd’hui, je n’ai toujours pas de problèmes d’argents, je vis ma vie comme je le veux, à mon rythme, à ma façon, pour le moment, je n’ai pas de travail, mais je sais bien qu’un jour ou l’autre je vais devoir en retrouver un, juste pour avoir une vie sociale un peu plus rempli. Là pour le moment j’en ai pas envie, dans quelques mois je pense que j’aurais retrouvé un boulot, un pas trop chiant non plus, sans d’énorme responsabilité, histoire d’avoir quand même un bon salaire. De toute façon, j’ai de quoi faire sur mon compte, alors pourquoi prendre un travail qui le remplirait encore plus. J’ferais quoi moi de tout cet argent ? Tant que je ne suis pas pauvre, ça me convient perso. Tant que j’arrive à payer ce que je veux quand je veux, faire vivre mes proches, ça me convient. Vivre d’amour et d’eau fraiche, c’est un beau proverbe on est d’accord, mais sérieusement, j’ai quand même besoin d’un minimum de technologie. J’veux bien vivre l’aventurier pendant une ou deux semaines, fuir sur une île et manger du poisson que j’aurais galéré à pêcher, si j’y arrive évidemment. Vivre nue au soleil, dormir à la belle étoile. Ouais, mais juste quelques semaines, pas toute la vie, sérieusement, tu finis par choper des maladies et des conneries du genre, et si un jour tu meurs, personne ne le saura. Bref, j’aime Piper. J’sais que c’est pas la conclusion qui était attendu, mais je l’aime, et je lui dis que je l’aime bien plus qu’elle, comme pour la taquiner, comme pour lancer un concours de qui de nous deux aime le plus. « Certain même… » Que je lui répond, quittant ces bras pour aller chercher mes vêtements. Me rhabillant, je ne manque pas une miette du spectacle qu’elle m’offre en faisant de même, et je ne peux m’empêcher de lui faire remarquer. « Tu sais que j’pourrais passer des heures à te regarder faire ça ? » Un sourire aux lèvres, je vois qu’elle fait de même. Ouais, elle a été plus rapide que moi pour le coup. Je me dépêche, secouant la tête de gauche à droite quand elle me dit être galante, et, poussant la porte pour y passer ma tête, je regarde à gauche puis à droite avant d’attraper sa main pour nous faire sortir d’ici rapidement sans que quelqu’un ne puisse nous voir. « Mission accompli… Bon, c’est par où maintenant ? » Ouais, moi je suis le professionnel pour trouver les endroits cachés, et elle la professionnel pour savoir où aller dans cet endroit. •

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Honnêtement, on s'en tape de qui a énormément d'argent, de qui à une vie normal ou qui est dans la galère. Moi, ce que je demande, c'est juste d'avoir une personne qui m'aime et pourquoi pas, dans quelque temps avoir des enfants. Bon, ok, j'aimerais avoir suffisamment d'argent pour vivre bien, sans être dans la galère. Bref, tout ça pour dire que je n'ai pas besoin d'être dans le luxe pour être heureuse. Ouais, je suis heureuse de cette surprise, qu'Alek est prévu un petit week-end à Disney, juste pour lui et moi, sans personne d'autre. Même si c'est interdit, si on aurait pu se faire prendre, je suis heureuse de m'être envoyé en l'air dans cette pièce. Oui mesdames et messieurs, moi Piper Jane Redmayne, je suis heureuse de ce genre de chose. M'enfin, là, c'est l'heure de quitter la salle et de retrouver le peuple qui ne se doute de rien, du moins, je l'espère. Pendant que nous remettons nos vêtements, Alek semble vouloir lancer un nouveau concours de : qui aime plus l'autre. Franchement, c'est con, mais ça me fait rire. "Moi je ne serais pas si sur de ça tu sais...", je rétorque en finissant de mettre mon pantalon. Mouais, franchement, c'est un jeu complètement débile, mais en même temps, c'est nous, on est comme ça. "Et je pourrais passer des heures à te regarder comme ça, m'enfin avec ou sans vêtements quoi", je ris de ma connerie. Putain, on est vraiment deux beaux cons quand même. Mais bon, en même temps, il est beau et sexy, alors comment voulez vous que je regarde ailleurs ? Non mais sérieux, ce n'est juste pas possible. Ayant fini de remettre nos vêtements, je sors une excuse complètement débile, pour faire sortir Alek le premier. Étant derrière lui, je le laisse sortir sa tête, puis, je me fais embarquer hors de la salle, pour me retrouver dans un grand salon dans l'ambiance maison hantée quoi. "Hum...hum...par là !", je lui réponds en le tirant vers la petite foule, qui se dirige vers une autre salle. Bon ok, on ne s'est pas fait voir, c'est parfait. Après quelques minutes, nous finissons par monter dans notre petit wagon, nous baladant dans une ambiance pas très joyeuse quoi. "Tu veux faire quoi maintenant ? Je lui demande tout en regardant l'heure sur mon portable". Bientôt l'heure de manger, je lui dis ou je me la ferme ?.

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• Est-ce qu’à un moment donné j’ai remis en doute cette vie que j’ai ? Non. J’aurais pu vouloir récupérer Nevada en revenant sur Boston, j’aurais pu tout faire pour éviter le divorce, pour pouvoir reprendre notre petite vie là où on l’avait laissé. Mais je ne l’ai pas fait, non, je ne pouvais pas lui faire ça, elle avait déjà assez souffert par ma faute, et je ne voulais pas recommencer, je ne voulais plus être la cause de son mal. Elle avait réussi à s’en sortir, à sortir la tête de l’eau, retrouver une vie qui me paraissait plutôt normal, et surtout, une vie saine. J’voulais la laisser vivre sa vie, ne plus être la cause de ces souffrances, et surtout, je ne pensais ne plus mériter l’amour, ne plus pouvoir aimer, avoir laissé passer ma chance. Je m’étais trompé. Moi qui pensais finir ma vie seul et triste, mourir sans que personne ne s’inquiète de moi, je m’étais trompé. J’étais retombé amoureux, d’une fille extraordinaire. Complètement folle. D’une beauté que je ne pourrais décrire. D’un humour à me faire rire pendant des heures. Elle était le genre de fille que l’on croise qu’une seule fois dans une vie, celle que tu ne peux pas laisser passer sous risque de le regretter. En à peine quelques mois elle avait pris une place tellement importante dans ma vie que jamais je ne pourrais la laisser partir. Piper, elle était celle qui me suivait dans mes conneries, celle avec qui j’étais sûr de m’amuser, peu importe l’endroit et la situation dans laquelle on pouvait être. Piper, elle était folle, mais c’était ma folle à moi. Elle était tellement folle qu’elle m’avait suivi dans cette pièce, qu’on avait couché ensemble en prenant le risque de se faire attraper. Elle était tellement folle qu’elle m’avait fait confiance, qu’elle était tombée amoureuse de moi. Et putain, qu’est-ce que ça me plaisait, le fait de me sentir comblé. J’avais oublié à quel point c’était bon, à quel point ça me donnait envie d’avancer, de lui plaire, de ne pas tomber dans une routine qui pourrait éteindre petit à petit la flamme qui continue de grandir entre nous. J’veux qu’on en fasse un feu, un grand feu de forêt que personne ne pourrait éteindre. Une flamme éternelle. Disney, je n’y connaissais rien, c’était la première fois que j’y mettais les pieds. C’était pas vraiment mon délire, mais c’était plutôt cool en réalité. Je pensais que j’allais débarquer dans un endroit avec des Mickey et autre personnage de partout, des attractions pour les enfants où tu te fais chier, mais étrangement je m’étais trompé, c’était pas le cas, c’était même plutôt cool. Bon, je vais pas le dire tout de suite à Piper car elle va vouloir qu’on prolonge le séjour d’une semaine, je lui dirais plus tard, une fois rentré, et la connaissant, je vais surement devoir lui faire la promesse qu’on y retournera. « Tu sais que je peux être têtu et continuer ça pendant des heures encore ? » Ouais, le coup du « non c’est moi », du « à l’infini » et tout ça, j’peux y jouer pendant encore longtemps. « Quand on rentre, on se fait une journée à poil okay ? Pendant vingt-quatre heures on reste à l’appart avec interdiction de porter un seul vêtement ? Comme ça on pourra s’admirer tu vois… » Que je lui propose en rigolant. Bon, Piper elle se balade déjà souvent à poil, mais j’vais pas dire non à la regarder encore plus. Bref, on sort de la pièce, on réussit même à s’infiltrer dans un petit groupe ni vu ni connu, des vrais agents secrets. Et, une fois monté à bord du wagon, je vois Piper sortir son portable, zieutant l’heure. « Oh j’ai plein d’envies tu sais… Mais vu l’heure, j’pense que tu vas pas refuser si je te dis qu’on va trouver un endroit pour manger ? » Piper et la bouffe c’est une grande histoire d’amour, limite je me demande des fois qui elle choisira si elle devait faire un choix entre moi et de la bouffe. Gros dilemme la putain. •

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Je suis loin d'avoir connu le grand amour pour ma part, enfin, j'ai été amoureuse oui, mais pas de là à me marier et avec un enfant. Non pas que je ne sois pas prête, enfin si dans un sens, mais je n'avais jusqu'à là pas trouver le mec qui me donnerait cette envie. J'ai aimé Niels, ça oui, mais notre relation a été courte. J'ai vit mis fin à notre relation, tout ça pour mes études. Où est-ce que j'en serais, si j'avais choisi l'amour ?. Je serais peut-être heureuse oui et qui sait, j'aurais peut-être la bague au doigt et un enfant. Ouais non, l'enfant toujours pas non, sachant que j'ai rencontré Niels à 18 ans, c'était quand même jeune. Bref, tout ça pour dire qu'Alek est le premier à me faire ressentir tout ça. J'ai envie de finir ma vie avec lui, si possible. J'ai envie qu'on se mari, mais certainement pas à Vegas et qu'on est des enfants, au moins un. Je l'aime, et même si ça ne fait que quelques mois, il est l'homme de ma vie. Je suis heureuse, je respire le bonheur à pleins nez et que personne ne vienne me retirer ça sinon, je bous et j'explose dans la tronche de quelqu'un. Bref, il s'amuse, il me taquine, il veut jouer. "C'est vrai ? Ça tombe bien parce que je suis aussi têtue que toi mon chéri". Mais alors là, en plus d'être chiante, je suis têtue et je n''aime pas perdre. Bon, là, c'est mignon ,mais quand même. "Ok, d'accord pas de soucis mais tu sais que toi comme moi, ça va se finir à coup de tu me prend sur la table du salon ?". Quoi ? Soyons honnête, impossible de passer toute la journée avec mon mec à poil dans l'appartement, sans avoir la pensée de lui sauter dessus quoi. Nous finissons par monter dans le manège, quand je lui demande ce qu'il souhaite faire par la suite. Personnellement j'ai faim, comme toujours, mais notre partie de jambes en l'air m'a ouvert l'appétit. "Oh tu as pleins d'envies tiens !", je souris, enfin, j'essaye de le cacher, mais comme à mon habitude, on ne voit que ça. Là, il dit les mots magiques, il me parle de nourriture. C'est vrai qu'entre moi et la bouffe, c'est une vraie histoire d'amour, mais non, je choisirais Alek. Enfin, oui et non. Je choisirais de la bouffe sur le corps d'Alek. "Super, bonne idée allons manger comme ça après, on se fait un bon Space Moutain", et on ira vomir sur le voisin. L'attraction étant finit, nous quittons le manège, direction la petite rue principale du parc, là où l'on trouve les petits snack. "Hmm, tu vas prendre quoi ?", je demande, bavant déjà sur la photo du hot dog.

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• Remonter le temps afin de pouvoir revivre son enfance, qui n'en a jamais rêvé ? Qui n'a jamais souhaité être un enfant à nouveau afin de retrouver l'insouciance de nos jeunes années ? Pouvoir faire ce qu'il nous plaît sans craindre le regard des autres excepté celui de nos parents. Rire à gorge déployée pour tout et n'importe quoi sans se demander si c'est ce que l'on est censé faire. Pouvoir dire ce que l'on pense et être pardonné sous prétexte qu'on est jeune. N'est-ce pas merveilleux que de retrouver cette liberté perdue ? Quand on est petit, on se dit toujours qu'on est entravé par nos parents, qu'on ne sera jamais libre tant qu'on n'aura pas atteint la majorité. On attend avec impatience de devenir un adulte, pour faire des choses d'adultes. Travailler, fonder une famille, acquérir une maison. Lorsque j'y pense, je me dis que les enfants sont fous de vouloir grandir. Ils ne se rendent pas compte de la vie de calvaire qui les attend, entre les histoires de cœur, les problèmes d'argent, les soucis de la vie quotidienne. Les bonheurs de la vie adulte ne sont rien comparé aux tracas qui les accompagnent et plus d'une fois je me suis dit que je les échangerais volontiers contre la liberté de l'enfance. Enfin, aujourd’hui j’ai enfin trouvé une vie mais surtout un mode de vie qui me convenait. Sans soucis, sans problème de cœur, sans histoire à régler, sans problème d’argent, sans rien à part du bonheur, de la joie, des rires, c’est limite si ma vie en ce moment c’est pas un conte de fée. Obligé il va nous arriver une couille dans peu de temps. C’est toujours comme ça. Quand tout est trop beau, tout est trop rose, un problème fait surface pour te rappeler que t’es un connard et que tu dois encore payer les erreurs de ton passé. Mais bon, comme d’habitude, je finirais par le régler, je finirais par retrouver ma petite vie sans problème, juste il faut que j’accepte de me prendre une bonne tornade en pleine gueule qui va surement me faire tomber et me péter une ou deux dents en chemin, rien de bien grave. « T’as vraiment envie qu’on se lance dans ce petit jeu-là ? » Haussant les épaules pour faire comme si c’était logique et qu’elle n’en avait pas envie, j’étais tout à fait conscient qu’elle aussi avait ce côté têtue qui ferait en sorte de ne pas me donner raison. Je crois qu’on va devoir se battre verbalement pour savoir qui aime plus l’autre, alors qu’on pourrait tout simplement trouver un terrain d’entente. « J’vois pas où est le problème, on assouvis nos envies et on continuer à se balader à poil, ça te dérange toi ? » J’en étais sûr, elle comme moi, on sait comment ce genre de petit jeu peu se terminer, je ne peux pas lui résister, je n’ai jamais trouvé comment faire, l’attirance que j’éprouve pour elle est bien trop forte et je ne peux rien y faire, je ne peux pas la combattre. Et honnêtement, j’ai pas envie de la combattre. Bref, c’est notre suite logique à nous deux, c’est comme ça qu’on fonctionne, comme des ados qui découvriraient le sexe, mais c’est tellement plaisant et jouissif avec Piper que j’en ai envie, encore et encore, tout le temps. Insatisfait. En parlant d’insatisfait, c’est aussi le deuxième prénom de la jeune femme quand il s’agit de bouffe. Jamais rassasier, elle a toujours faim, toujours envie de manger, à n’importe quelle heure. Bon cette fois ci ça va, c’est l’heure de manger, et d’ailleurs je suis étonné qu’elle n’est pas demandée plutôt, même si pour le coup c’est moi qui l’ai fait. « J’connais peut-être pas Disney, mais je sais que le Space Moutain c’est un truc dangereux un peu ! Je l’ai vu à la pub la dernière fois… » Ouais, sur je ne sais plus quelle chaîne qui vendait les mérites de Disney, c’était peut-être bien une émission d’ailleurs. Mais bref, tout ça pour dire qu’en fait ce qu’elle veut, c’est qu’on vomisse sur les gens. Quand je vous dis qu’elle est pleine de surprise… Bref fois mille, on finit par se retrouver à l’endroit où la bouffe est Reine, et tout comme Piper mes yeux vont un peu partout jusqu’au moment où ils s’arrêtent sur un poulet… Ouais, une espèce de poulet rôti… Okay, je crois que cette partie de jambe en l’air elle m’a vraiment donné faim pour le coup. « Le poulet il me chauffe bien là… Et toi ? » Au pire, on prend plein de trucs différents et on mélange comme les gros qu’on est, ça peut-être cool aussi. •

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Depuis qu'on est enfant, on nous élève avec du Disney. Enfin, pas tous apparemment. Mes parents m'ont toujours laissé regarder ce genre de film et de dessin animé. Je ne sais pas pourquoi, parce qu'en les regardant à nouveau, je me dis qu'ils sont bien tristes bien que la fin soit heureuse. Non mais c'est vrai, genre quand Mufasa meurt en sauvant son fils. Quand on est gamin, on ne comprend pas vraiment, on ne sait pas trop ce qu'est la mort. Adulte, personnellement, je chiale comme une madeleine. Tous les contes sont déformés pour les mettre au goût des enfants. La belle au bois dormant se fait en réalité violer par le prince, les demi sœurs de Cendrillon se coupent les pieds si je ne me trompe pas et Ariel, il me semble qu'elle meurt. Donc bon, nous sommes bien loin des Disney quoi de ce monde tout est beau, tout est rose. Les, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants ne sont que dans les films, pas les contes et rarement dans la vraie vie. Certaines personnes rencontrent rarement l'amour du premier coup, il leur faut attendre des années. D'autres, le trouve au premier regard. J'ai eu ni l'un ni l'autre, je veux dire par là que, bien que je n'ai pas fait ma vie avec lui, j'ai été amoureuse de Niels, mais j'ai fait un choix. Mon amour pour lui n'était pas suffisamment fort. Alek, je n'ai pas eu le coup de foudre. Enfin, nous sommes vite devenus amis, il m'a mis à l'aise, il m'a fait rire. Mais l'amour est venu petit à petit, il m'a fait tombé amoureuse au fil des jours, de ses actes envers moi. Je l'aime et aujourd'hui, j'ai envie de me dire que c'est lui l'homme de ma vie, que c'est mon Disney à moi. Comme dans les contes, il est loin d'être un prince qui a un beau passé, qui est parfait et c'est peut-être ça aussi que j'aime chez lui. Le fait qu'il ne soit pas parfait, et qu'il ne prétend pas l'être. "C'est toi qui a commencé je te rappel !", réponse pas du tout mature, bien au contraire, ça montre le degré de gaminerie que nous avons. Le pire, c'est qu'il fait comme si de rien était, il est tellement sûr de gagner. Je ris, je secoue la tête en levant les yeux au ciel. C'est le genre de jeu qui peut durer des années. "Ah non, non, ça ne me dérange pas du tout bien au contraire ! Bizarrement, j'aimerais bien être à la maison là", je m'amuse à lui répond, un petit sourire en coin. Ce n'est pas possible de lui résister, non, il y a cette attirance que j'ai pour lui, tout le temps en fait. Je ne peux pas me passer de lui. C'est notre truc à nous, à tout le monde peut-être, mais pas possible d'être à poil devant mon mec, nu lui aussi et de faire comme si de rien était. Non, il y a toujours cette attirance, cette envie alors pourquoi la refouler quand on peut y céder ?. Nous décidons enfin de partir manger, c'est l'heure, j'ai faim et j'ai fait l'effort de ne pas en parler plus tôt. Bon en même temps, j'étais trop occupée à autre chose, qu'à penser à mon estomac. "Dangereux ? Ce n'est pas dangereux, c'est juste que si tu n'es pas ami avec les vrilles ou les loopings, ça ne sera pas ton attraction favorite". Mon dieu, en vrai, j'ai hâte de voir sa tête. En plus, c'est depuis récemment, sur le thème de Star Wars. Enfin, en vrai, je ne sais même pas s'il aime Star Wars ou les sagas dans le genre. Nous finissons par arriver dans un genre de restaurant snack, où l'odeur me donne envie de tout dévorer. Mon dieu, on peut tout acheter ou comment ça se passe ?. "Huuu, mais c'est énorme !", je lui réponds en voyant la tête du poulet. C'est pour 15 ça non ?. "Je vais prendre le hot dog avec des frites et un brownie ou non un muffin !", ou les deux ?. A notre tour, nous passons commande. Je ne lui laisse pas payer, un peu à moi quand même. Par contre, je lui laisse volontiers porter le plateau. Douée comme je le suis, je serais capable de tout faire tomber par terre. Nous prenons place à une table, où là, je regarde le poulet énorme qui se trouve sous les yeux d'Alek. Bon, on va peut-être faire une attraction calme avant SpaceMoutain.

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• C'est fou comme tout le monde a peur de la solitude. Car je suis persuadée que même l'homme qui se prétend être le plus solitaire de tous a au moins un jour, une fois, eu peur de ne plus avoir personne avec qui partager le moindre instant. Personne n'aime réellement être abandonné de tous. On se dit solitaire un peu pour se donner un genre, ou tout simplement pour dire qu'on aime se retrouver avec soi-même de temps à autres, mais en réalité on est toujours content de savoir qu'il y a quelqu'un tout prêt, jamais très loin, pour nous accompagner pour quoi que ce soit. J'ai remarqué que c'est souvent le cas quand cela ne va pas d'ailleurs. J’ai pas envie de finir ma vie seul et sans aucun but, sans personne à mes côtés, sans femme, sans enfant ou petit enfant qui pourraient être là pour moi, pour me montrer que sur cette planète il y a encore quelqu’un qui tient à moi. Je crois que mourir seul, c’est la pire des choses qui pourraient m’arriver. Je sais que c’est con, mais j’ai besoin de sentir que quelqu’un est avec moi, de sentir que quelques personnes ressentent de l’affection pour moi et que mon passage sur cette terre n’a pas été inutile. Que j’ai pu redonner le sourire, que j’ai pu aider à aller mieux, que mes blagues pas drôles ont fait rires. Que ma façon d’être maladroit par moment a été hilarant. J’ai envie de me dire qu’on se souviendra de moi, que j’aurais marqué quelques personnes, que je n’aurais pas été inutile. J’veux pas une statue ou une rue à mon nom, non, j’en ai complètement rien à foutre de tout ça, j’veux juste me dire que j’ai pu aider, qu’avec moi, certaine personne se sont senti vivante comme je me sens vivant aux côtés de Piper. Je ne suis pas mort, non. Chaque jour à ces côtés me poussent à me dépasser, à le plaire encore plus, à la surprendre. Comme si je voulais passer ma vie à la conquérir encore et encore, comme au premier jour, comme à nos débuts un peu maladroits. La beauté de l’innocence. « Et c’est celui qui dit qui y est ! » Que je réponds le plus naturellement possible à sa phrase. J’crois que là, niveau gaminerie on va pas pouvoir descendre plus bas. Sérieusement, on est de pire en pire par moment, j’me demande ce qui peut bien nous passer par la tête pour vouloir avoir le dernier mot mais surtout, en sortant des phrases n’ayant ni queue ni tête. Des enfants, de grands enfants. « Tu sais que la chambre d’hôtel n’est pas loin ? Et qu’on peut très bien recommencer c’est pas moi que ça va déranger… » Petite provocation, je sais très bien qu’on ne retournera pas à l’hôtel, on est là pour que Piper puisse profiter de l’endroit et de la magie qu’il y règne, pas pour qu’on passe le week-end enfermé à coucher ensemble, et ça même si l’idée me plaît. Bref, c’est l’heure de manger, ou presque je ne sais pas, mais de toute façon avec la jeune femme il n’y a jamais d’heure, elle a un estomac qui est en action H24, alors il faut le nourrir. J’crois d’ailleurs que je vois gros dans ce poulet, peut-être même trop gros. Mais je sais pas, j’suis motivé là, j’ai faim, et j’en ai envie. Haussant les épaules quand Piper me signale que c’est trop gros, j’me dis que je verrais bien. Alors une fois assis, je zieute ces frittes en attendant mon poulet, et putain, je me contrôle. « C’est un motif pour demander le divorce avec toi de te piquer des frittes non ? » Ouais, j’crois que mettre un doigt dans l’assiette de Piper c’est comme l’insulter ou un truc du genre, elle aime trop sa bouffe je vous jure. Enfin, je vais pas avoir besoin d’essayer, mon beau poulet roi des forets arrive. Ah là… C’est vrai qu’il est gros. Ça doit surement se voir à mon regard, mais j’vais pas le dire car Piper va me dire qu’elle m’avait prévenu. •

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Bien sûr qu'on a tous peur de la solitude, celui qui dit le contraire est un menteur. Qui aurait envie de finir seul, avec 50 chats ? Non, mais c'est vrai. C'est mignon, mais c'est ultra triste. On a tous besoin d'amour, de se sentir aimer, de fonder une famille. On a envie de se marier, d'avoir des enfants et de les voir eux-mêmes être heureux et avoir une famille. Je trouve ça triste, les gens qui sont seuls, qui sont méchants et aigris par la vie. Putain, je me dis qu'en soit, j'aurais pu finir ainsi, avec des chats et à râler toute la journée. Bon, qui sait, peut-être que ça m'arrivera un jour, mais je n'ai pas envie d'y penser. Non, tout simplement parce qu'en ce moment, je suis heureux et amoureuse, et que j'ai envie que ça dure. Dans le pire des cas, je me suicide...C'est joyeux non ?. "Attends, tu viens vraiment de dire ça ?", je le stoppe en me mettant à rire. Ok, alors là, on atteint le top de la gaminerie quoi mais ça me fait rire. J'aurais pu le sortir moi-même, s'il ne l'avait pas fait. Est-ce qu'un jour, on se comportera comme des adultes ? Je veux dire, on est sérieux parfois, on peut se parler sans dire des conneries, mais la plupart du temps si, on dit des bêtises. On est comme ça, toujours à dire des conneries, à faire les gamins peu importe la situation. "Tu sais que si on était pas à Disney, je te dirais qu'on y aille de suite....", mais on est à Disney, et même si j'aime m'envoyer en l'air avec lui, là, je veux me taper Disney. Enfin, non, j'ai faim alors je vais allée me taper de la bouffe. Nous allons donc manger, se remplir l'estomac pour reprendre des forces. Je regarde ce qu'il y a de bon, je ne mets pas longtemps à choisir ce que je vais prendre, étant plus soucieuse de ce que va prendre Alek. Non mais, il ne peut pas manger ça. Il va vomir, mourir même ! Je préviens de suite, je le laisse en plan sur place s'il me fait ce coup là. Je paye notre commande, suivant Alek jusqu'à une table. Je salive devant ma nourriture, limite, si on était que tout les deux, je serais déjà entrain de manger comme une grosse cochonne, du style à avoir de la sauce de partout. J'attrape de la mayonnaise que je met sur le coin de la boîte de mon hot dog, quand j'entend la question qui vaut un meurtre. Bon, en soit, je ris parce qu'il me connaît tellement qu'il me pose la question, au lieu d'y aller direct et me voler des frites. "C'est un motif pour tuer oui !", je lui réponds, essayant d'être des plus sérieuse. Je ne touche plus rien, je rentre dans mon propre jeu en le fixant. Genre un regard noir, enfin..., les dents serrées pour ne pas rire. Putain, je n'y arrive pas. J'explose de rire. "C'est vraiment parce que c'est toi", je pousse un peu mes frites vers lui, regardant cet énorme poulet lui être servi. Alors là, je suis bouche bée. "Tu vas vraiment manger tout ça ?".

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Les humiliations nous ont jamais appris la bonne discipline
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• Pratiquement toute ma vie je pensais savoir comment j’allais vieillir, comment mon corps allait changer, comment j’allais devenir. Je me souviens de tout, du grain de beauté sur ma main, de mes cicatrices, de mes tatouages. Je me souviens de tous les changements que mon corps a eus. Petit, je ne me voyais pas comme je suis maintenant. Non, déjà je me voyais plus grand, peut-être un peu plus musclé. Je m’étais imaginé sans tous ces cheveux, peut-être avec une barbe de quelques jours. Sans boucle d’oreille aussi. Je ne me voyais pas comme je suis maintenant. Je pensais me marier à trente ans, que j’aurais trois enfants, que toute ma vie je serais quelqu’un de bien, quelqu’un d’honnête. Je pensais que je ne ferais du mal à personne, que je continuerais d’être une bonne personne sans emprunter de mauvais chemin. Je m’imaginais millionnaire à vingt ans, en retraite à cinquante maximum, grand père à cinquante-cinq ans. Toujours marié à soixante-dix. Des petits enfants qui court partout autour de moi dans le jardin de la maison familiale à quatre-vingts, et mourir après quatre-vingt-dix ans dans mon sommeil, pas une mort douloureuse, pas une vieillesse ou je n’aurais été qu’un légume, un poids mort accroché aux pieds de mes enfants qui n’aurait pas osé me jeter dans une maison de retraite ou une connerie du genre. Mais putain, à quel moment j’ai cru que la vie c’était ça ? Que d’un coup, tu pouvais tout planifier et tout prévoir, même ta mort ? C’est impossible, et à chaque fois que j’ai eu trop confiance je me suis pris une bonne claque en pleine gueule, une claque qui m’a demandé de faire attention, de ne pas merder, de ne pas continuer sur cette voix-là. Mais bon, on sait tous que je suis con et que je n’en fais qu’à ma tête. C’est pour ça que je suis ce genre de mec qui va pas vivre au jour le jour, mais plutôt à la semaine, au mois, à l’année, gardant tout de même en tête un objectif à atteindre sur le long therme. Je préfère fonctionner comme ça, me fixer des petits objectifs pour m’en sortir. Depuis que je suis revenu, je m’étais fixé de redevenir un bon père, de me faire pardonner par mon fils, de garder mon calme lors de mon passage devant le juge, de conquérir Piper, de la combler. De l’aider à retrouver la mémoire, de faire d’elle une jeune femme heureuse. Et là, mon dernier objectif était de lui faire une surprise, une surprise qu’elle ne pourrait pas oublier, une surprise dont elle pourra parler plus tard, cette fois où je l’ai réveillé de bon matin pour l’emmener à Disney. Et en rentrant, je me trouverais un autre objectif, un autre but à atteindre. Pour le moment, on s’est lancé dans des gamineries, comme à notre habitude, et disons que ma dernière phrase est bien au-dessus de toutes les conneries qu’on pourrait sortir. Impossible à battre. « Hein ? De quoi tu parles ? J’ai rien dit moi… » Je fais comme si de rien était, comme si elle avait entendu une voix et je n’avais pas osé sortir cette connerie. Enfant jusqu’au bout. Autre petit jeu de la journée, se chauffer. Je ne sais pas ce qui nous prends aujourd’hui, mais l’envie est encore plus présente que d’habitude, à chaque geste, à chaque mouvement, on a des envies qui viennent, des pulsions, et c’est compliqué à gérer. « On va profiter des attractions et tout ça, mais après je te préviens… Ça va être quatorze dix-huit dans la chambre d’hôtel… » Ouais je venais de lâcher ça comme si de rien était. Au moins, elle était prévenue… Bref, on a faim alors on va manger, on ne galère pas trop à trouver, et une fois choisi, on va s’installer. Piper qui est servi en première, j’ose lui demander si lui voler des frittes pourraient être un motif de divorce. Piper et la bouffe c’est une longue histoire, je vous assure. Mais là, elle m’étonne, elle essaie de rester sérieuse en me faisant savoir qu’elle va surement me tuer, sauf qu’elle finit quand même par en faire glisser vers moi. Je hausse les épaules, plutôt étrange mais je m’en moque, j’vais les manger les frites. « J’espère que c’est pas un piège… » On sait jamais, elle serait capable de sortir un couteau de sous la table parceque j’ai mangé ces frittes. D’ailleurs en parlant de bouffe, mon poulet arrive. Bien. Parfait. Il est un peu gros en fait, et je pense ça se voit à mon regard. « Bah… Tu m’aideras au pire, non ? » Petit regard de chat battu, ou plutôt de chien battu car je suis loin de ressembler à un chat, et puis au pire, si j’arrive pas à le finir, bah il restera là hein. •

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Je n'ai pas envie de vieillir, de prendre de l'âge, mais aussi des rides. Honnêtement, ça me fait peur de devenir vieille. Pourtant, un jour, je le serais. Je porterais à nouveau une couche, on devra m'aidé à manger, mais aussi à m'habiller. Non mais c'est vrai, quand tu dors, tu peux te faire pipi dessus, c'est juste une horreur. Non moi je dis, je veux crever avant hein. En plus de ça, mes gosses vont certainement me mettre dans une maison de retraite, parce qu'Alek sera mort, et parce qu'ils ne voudront pas s'occuper de moi. Ouais, ça arrive la majeure partie du temps, et je trouve ça bien triste. J'ai envie de vieillir jusqu'à un certain point. Prendre de l'âge, devenir enfin mature, mais avec toujours cette petite pointe de folie. J'ai envie de me balader dans un parc avec Alek qui traîne derrière moi, ne pouvant pas aller vite avec son déambulateur. J'ai envie qu'on continue nos conneries, peu importe notre âge, comme maintenant, alors qu'on se lance dans le débat de qui aime plus l'autre. De vrais gamins. Je lève les yeux au ciel, on va faire comme si je n'avais rien entendu sinon, ça peut durer des heures, mais bon, ça ne veut pas dire qu'il a gagné. Quatorze dix-huit dans la chambre d’hôtel, carrément ? On va peut-être vraiment retourner à l'hôtel en fait !. "C'est une promesse j'espère !", bah quoi ? Il parle, il parle, il me fait imaginer des choses, mais en attendant, ça me titille de l'intérieur moi ses conneries. Bref, je vais me concentrer sur mon estomac qui a faim, qui réclame à manger. Je bave devant mon hot dog, mes frites mais surtout sur Alek qui semble pensé qu'il peut me les manger. Bon, d'accord après tout, il m'a offert Disney non ? Je peux donc faire ça pour lui, mais bon, s'il peut prendre les plus petites, ça serait sympa. "Pourquoi est-ce que ça serait un piège ?", je lui demande en riant, poussant encore plus mes frites vers lui. Non, je ne vais pas le tuer, je vais me retenir, partager ma nourriture, parce que c'est ce que font les couples non ?. Ils partagent, même si la bouffe et moi, nous sommes comme un couple. En fait voilà, on va dire que je partage Alek avec mes frites. On regarde le poulet, énorme, qu'Alek a commandé et là, je ne peux m'empêchée de l'imaginer entrain d'être malade. Non mais c'est vrai, même pas Shrek serait capable de manger ce truc énorme quoi. "Hum, le jour où je serais enceinte ouais, je le mangerais peut-être même à moi toute seule mais là, tu te débrouille mon chérie". Je souris, lui tapotant la main, j'entame mon hot dog. Hmmm c'est bon. Regardant par la fenêtre, je remarque qu'à quelques mètres, il y a le coin photo avec Mickey. Han mon dieu, faudra que je fasse la photo mais pas maintenant, trop de queue. Je me contente juste de regarder, piquant des frites et peut-être piquant un bout de poulet d'Alek. "Oufff, j'en peux plus, je crois que je ne vais pas manger ce soir", je lui dis en tapotant sur mon ventre, tout en portant mon attention sur le blondinet.

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