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Il boit à son tour me filant la bouteille une nouvelle fois. je la prend dans mes mains la regarde et je continue de penser le temps qu'il trouve de quoi m'occuper. J'approche la bouteille de mon visage prêt à boire, mais il m'arrête quand il me demande tout en touchant mon ventre que j'ai eu dévoilé plus tôt si je n'ai pas fait plus de tatouage que là fois ou il avais vu mon corps des années plus tôt. Tu ne croit pas si bien dire, mon corps en est presque recouvert maintenant et ... j'ai des piercing aux têtons que je n'avais pas avant...

« En effet, mon corps est presque entièrement recouvert maintenant, j'ai même des piercings. »

Je relève mon tee-shirt prenant dans ma main sa main pour qu'il la lève un instant. Je lui montre mes nouveaux tatouages, inconsciemment ma main garde la sienne dans la mienne je regarde ses réactions concernant mes nouveaux bébés qui ornent mon corps.

« J'ai amélioré les ornement vers le bas ventre, j'ai complété la tête qui était encore en cours quand on s'est vu.. y a deux ans.. »

Je relâche sa main le regardant, je le laisse caressé mes courbes du regard, son côté artiste doit sans doute prendre le dessus quand il regarde mes tatouages. Je regarde ses main qui en comporte aussi, lui aussi il semble aimé les tatouages mais pour être franc je croit qu'on en as jamais parlé tout les deux.

« tu semble aussi apprécier les tatouage parle moi de leurs significations... Moi je compte en rajouter d'autres, peut être à la mémoire de mon bébé qui sait ! »

J'y pensais sérieusement ces temps certains de mes tatouage sont plus des œuvres d'art plutôt qu'avoir des signification mais mais pour mon bébé sa aurais LA vraie signification, a voir si je le ferais.

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Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis

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À ma question sortie de nul part, il me confirme que je n'ai pas une si mauvaise mémoire, même si on était assez imbibé la dernière fois que je l'ai vu. Pour prouver le tout, il retire ma main de sur son torse et soulève à nouveau son chandail, me laissant la possibilité d'admirer le travail tandis qu'il commente. Mes yeux courent sur sa peau, s'arrêtant là où il fait mention.

- T'as plus de cran que moi pour les piercings, constatais-je. J'ai fait le nombril cet été et je suis pas encore habitué, alors je m'accroche encore.

J'aurais peur de faire la même chose avec les nipples. En plus douloureux selon mon point de vue inexpérimenté. Me penchant un peu plus, je tourne la tête en tous sens pour essayer de capter les milles et un détails qui le orne de partout.

- Men, c'est juste dingue! Finis-je par m'exclamer. T'as tellement d'heure de travail là-dedans, admirais-je. Faut que tu me files l'endroit où tu vas!

Mon ton est presque suppliant, comme un enfant qui insisterait d'un "s'te-plaaaaaaait!". Limite, je lui fait une tête de Chat Potté, je le jure! J'ai trouvé un "bon" tatoueur pour le moment, assez pour faire retoucher ma cheville blessée l'an dernier et inscrire quelques mots, mais c'est rien de comparable à ce que j'ai sous les yeux. Je me suis pas relancer dans de "grosses" pièces depuis que j'ai emménagé à Boston, mais ça risque de changer si je vais au même salon que lui!

Semblant remarquer mon intérêt - tu parles, mon âme d'artiste bave littéralement - il me demande de lui parler des miens, expliquant que son canevas n'est pas encore complet et qu'il en fera peut-être un pour son fils. Relevant finalement la tête pour croiser ses pupilles claires, j'ai un doux sourire.

- Ce serait une bonne idée, acquiesçais-je tout bas.

Mon regard s'attarde encore un instant sur les traits qui foncissent son torse et je redescends mon regard sur mon poignet que j'ai fait encrer y'a quelques jours à peine. Seulement, je me rends rapidement compte qu'il est caché sous la manche de ma veste.

- Pour répondre à ta question, j'ai la piqûre aussi, oui, confirmais-je en enlevant ma veste zippé pour me laisser respirer avec mon simple t-shirt noir à manche courte. C'est pas aussi répandu et pas aussi esthétiquement fou que toi, je le reconnais, mais ils ont tous une signification, expliquais-je. M'enfin sauf un peut-être, marmonnais-je après réflexion.

Celui-là, à part souligné le fait que j'accepte parfois des paris débiles, il a pas vraiment de sens.

- J'en ai environ une dizaine, l'informais-je.

Remontant ma manche gauche, j'expose le boulet de prison qui se trouve sur mon épaule, mon premier tatouage dans une phase de rébellion à 15 ans, représentant le paternel et toute la tradition familiale des Davis que j'ai dû trainer pendant des années alors que je ne ressemble à aucun d'eux. Sur mon épaule droite, une ancre de navire : mon frère aîné, ma bouée en ce bas monde et l'un des piliers de ma vie. Je trouverai bien un truc pour mon demi-frère cadet lorsque notre relation sera meilleure. Tirant sur le col de mon chandail sans trop succès, je fini par le relever de par le bas pour exposé mon torse à mon tour. Beaucoup moins découpé que le sien, mais bon. Montrant le coeur d'encre noir et les papillons, j'explique rapidement que je l'avais fait faire en mémoire de ma mère qui était partie quand j'étais plus jeune, mais que j'ai retrouvé cet été. Passant volontairement le "unreasonable" inscrit sous ma clavicule gauche sans l'expliquer, je montre plutôt les deux moitiés de crânes sur mon pect droit, symbole du combat que j'ai passé des années à mener, essayant d'être moi tout en répondant à ce qu'on me demandait d'être. Laissant retomber mon chandail. Revenant à mon bras gauche, l'intérieur du bicep où trône une hirondelle : mon envol, ma première participation à un vernissage. Fuck, j'étais fier! Mon avant-bras "Love - Always and forever" avec une rose : toujours faire ce qu'on aime pour s'épanouir entièrement. Conseil que je n'ai vraiment mis en pratique qu'en m'inscrivant à Harvard, même s'il est sur mon bras depuis plusieurs années. Viennent ensuite mes majeurs, que j'adore. Le crâne sur la gauche : la fatalité qu'on ne contrôle pas tout dans la vie. La croix sur la droite : la foi qu'on peut tout de même trouver le moyen d'écrire sa propre histoire. Le petit dernier : subtile, en commun avec ma cousine pour qu'elle se souvienne du message et arrête de se faire du mal "Never alone" inscrit simplement sur mon poignet gauche.

- Mes préférés, ça reste mes chevilles, expliquais-je en me tortionnant pour remonter le bas de mon jeans noir, descendre mon bas et faire glisser un peu ma converse gauche, le tout sans poser le pied sur son lit. Les deux chevilles sont pareilles, mais la droite a été amoché par mes cicatrices du Chili, le renseignais-je. J'ai voulu semblable à des ailes d'Hermès pour mon art qui me porte et m'empêche de devenir complètement cinglé. Je planifiais de les faire quand on s'est rencontré. Je suis retourné à Montréal quelques jours après notre nuit pour ne pas rater mon rendez-vous, ajoutais-je. Et… bon y'en reste un qui date de mes 17 ans, mais tu veux pas voir, déclarais-je en riant, vaguement gêné.

...s'il s'en souvient pas.



HJ:
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En fait tout le monde pense que les piercing sa fait mal, mais quand on y pense il s'agit d'une aiguille qui passe par un endroit de la peau, tout comme le tatouage sauf que l'un on peu le regarder faire l'autre on panique trop pour le faire et donc pour voir comment sa ce passe. Je souris quand il me dis que j'ai eu du cran de les faire et je remonte un peu plu mon haut pour qu'il les voient.

« En fait tout le monde pense que sa fait mal mais moi j'ai rigolé et j'ai de suite demander le second, je n'ai ressenti aucune douleur. Tu veux grimacer ? Mon tatoueur attitré là ou je vais il en a un... en bas ? Et il n'a pas eu mal. »

Je hausse un sourcils me demandant s'il réagira comme j'ai réagis quand j'ai su. À savoir un froncement du nez en signe de douleur que l'autre n'a pas ressenti, il parais même que les femme aiment ça et que c'est plus stimulant au lit avec... Je préfère pas tenter le diable pour ma part, je ris à ma pensé et je regarde Oliver perdu dans sa contemplation de mon corps. Il me demande où je vais et je hoche la tête en signe d'acceptation. Je lui montrerais bien ou je vais, et qui s'occupe de mon corps parce que ouais ce tatoueur là à vu tout mon corps nu. Je souris et je regarde chacun des tatouages qu'il m'expose m'approchant cependant plus sur ses chevilles. Elles sont magnifique, j'adore son explication quand à ceux là en prenant une monté de chaleur quand il me dis qu'il l'à fais quelques jours plus tard après notre nuit. Il semble à l'aise d'en parler et moi je rugis comme une pucelle. Je passe mon doigts sur les reliefs de son tatouage en hochant la tête.

« En fait, j'aime bien avec les cicatrices, tu sais pourquoi ? Tu pourrais trouver un signification au malheur qui t'es arrivé au Chili, comme «même quand je suis blesser je continue de voler haut et je deviens pas fou même si cet accident aurais pu me rendre dingue. » ou un truc dans le genre et puis les cicatrices sont signes d'une guerre gagné ? Tu as gardé le dessus sur ton passé et c'est un très bonne chose, Oliver. »

Il me parle ensuite d'un tatouage que je n'ai pas envie de voir et par instinct tout en le regardant je penche la tête sur le côté me demandant ce de quoi il me parle, j'essaie d comprendre... Oh ! il aurais un tatouage, caché ? Merde je m'en rappelle plus pourtant je me souviens de son corps lors de notre nuit...

« Je me rappelle plus de ce tatouage là pourtant je me souviens de la nuit qu'on à passé.. ou es-t-il ? sur t'es fesses ? »

Je ris mais s'il confirme je vais rougir gêné. Je le regarde en descendant mon tee-shirt s'il veux voir mes tatouages il n'aura qu'à me demander et je lui montrerais le dos aussi.Après tout mon corps est presque tout recouvert maintenant.

©️ LOYALS.
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Une grimace de douleur étire mes traits sans que je ne controle vraiment. C’est juste une réponse naturel à ce qu’il vient de me dire. Non, j’ai beau aimer les tatouages, y’a certaines zones que je tatouerais jamais.

Après avoir passé un moment à regarder la finesse de détails de ses tatouages - et encore, je suis certains que j’en ai manqué s’il dit qu’il est presque tout tatoué - je lui explique les miens, gardant mes préférés pour la fin : les ailes d’Hermès sur mes chevilles. Je ne lui en montre qu’une paire, me débattant avec mon jeans, mon bas et ma converse pour qu’il puisse voir un minimum. Expliquant brièvement, je lui fait comprendre que les cicatrices qui viennent jouer sur ma cheville droite m’énervent profondément même si j’ai fait retoucher pour que ça paraisse plus ou moins. Ses doigts s’attardent dessus me tirant un léger frisson. Je suis chatouilleux et son toucher est délicat. Cependant je n’ai pas vraiment besoin de me concentrer puisqu’il m’amène une façon de voir que je n’avais pas figurer. Penchant la tête, je continue à suivre le mouvement de ses doigts, me perdant un instant dans mes pensées.

- J’y avais pas songé, admis-je encore un peu pensif. T’étais au Chili durant le Spring Break en 2016? Demandais-je. Moi oui, c’était la première fois que je quittais l’Amérique du Nord, souris-je doucement au souvenir.

Le premier voyage que je me payais véritablement. Voir le monde un peu et ses différents paysages. Avant la catastrophe, j’avais adoré.

- À l’époque, j’avais le pied en atelle, mais je recommençais à marcher sans béquilles. Durant le bordel, je suis tombé et je me suis retrouver le pied coincé sous un rocher. Je sais pas combien de temps ça a pris pour qu’on sorte de là, mais au final j’ai eu de la chance parce que c’est l’atelle qui a manger le coup. Les trous dans ma peau, c’est qu’elle a cassée et perforé et que j’ai marché dessus pour sortir du parc où on était. J’ai pas pensé que ça pouvait faire un peu comme une blessure de guerre, une preuve de survie, tout ce que je voyais depuis que c’est arrivé, c’est que ça a bousillé une oeuvre que j’aime énormément, expliquais-je. Merci, j’aime ton point de vue, souris-je, sincère.

La tête penchée sur le côté, il me regarde un instant avant d’admettre qu’il ne se souvient pas du dernier tatouage. Il l’a déjà vu, mais il faisait peut-être trop noir pour qu’il le remarque réellement. Ou son attention était simplement occupé ailleurs. Chose qui n’est pas plus mal. Quand il fait un essai pour deviner, je détourne les yeux, passant une main dans ma tignasse tandis qu’un sourire stupide étire mes lèvres.

- Sur une seule, finis-je par admettre après un temps de silence, le regardant à nouveau. La preuve que je réponds un peu trop vite aux paris stupides. Je crois pas que j’aie besoin de te montrer pour que tu me crois, mais c’est inscrit « Bob Dylan » sur ma fesse droite. Pas que je sois particulièrement fan. Un de mes potes de l’époque m’a parié que je ne serais pas assez courageux pour le faire, je lui ai échanger contre « Bethoveen » inscrit au même endroit sur lui. Mais je suis passé sur la chaise du tatoueur, alors je te laisse deviner s’il est marqué ou non, fis-je, le laissant rire ou non de ma stupidité de jeunesse.

Je m’en vante pas, l’oubliant volontairement quand je liste mes tatouages, mais j’arrive normalement à en rire. Sauf dans certaines occasions comme il m’est déjà arrivé, mais disons que c’est pas tant le tatouage la faute que la réplique qu’on m’a lancé.

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Je ris quand je voit la tête qu'il fait, je me laisse aller et je me sens beaucoup mieux qu'à son arrivé c'est certain... Je hoche la tête et le regarde, l'écoutant me parler du spring break au Chili. Je n'étais pas là lors de ce voyage, en fait quand j'en ai l'occasion j'empaquette mes affaire et je rentre chez ma mère comme le petite garçon à sa maman que je suis. En fait c'est les seuls fois ou mes grands-parents m'autorise d'être chez eux.

« Je.. Euh, non je n'y était pas, je rentre souvent à Londres quand je peux pour retrouver mon frère et ma mère. C'est la seule période ou ma grand mère me laisse rentré alors j'en profite souvent. en tout cas voit le de cette manière ton tatouage et t'es cicatrices sa donne une côté aventureux que j'adore personnellement. »

Je hoche la tête comme pour validé mes dire et je continue de le regarde, il se débat avec ses affaires. SIl me parle de son dernier tatouage, celui sur les fesses, j'avais visé juste. Je pouffe de rire j'en ai aussi certain des tatouages paris sur ma peau alors que je savais parfaitement le fou rire que tu peux avoir avec t'es potes quand finalement tu passe sous l'aiguille. Je ris en mettant ma main devant ma bouche.

« Je connait parfaitement se sentiments d'avoir gagné ton paris avec ton pote, j'en ai aussi un ou deux qui traines par là. Et puis, tu sais j'ai aussi dû montré mes fesse pour certains tatouages que j'ai par là aussi, tu rougis sur le coup mais une fois que tu y est, tu rigole comme un con tant c'est chatouilleux. »

En tout cas moi j'avais pas eu mal, et j'avais même ris avec mon tatoueur. Je regarde à nouveau Oliver, les idées un peu embrouillé après tout l'alcool que je boit, tout en continuant d'ailleurs j'en boit encore une rasade et je lui tend la bouteille. Je m'étire et je regarde le plafond encore une fois. Je sais pas quoi faire de plus pour me sentir mieux au vrais dire, je suis trop content qu'Oliver soit là au moins je rigole et je penses à autre choses mais qu'en sera-t-il quand il voudra partir après?

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Je penche la tête quand il m’explique qu’il n’était pas au Spring Break parce qu’il est rentré voir sa famille. Je peux comprendre, je vais peut-être faire la même chose à un prochain férié. Ce qui me fait tiqué par contre c’est l’histoire de la grand-mère. Ça semble compliqué son truc. Cependant, ça me sort rapidement de la tête lorsqu’il me dit que mes cicatrices me donnent un côté aventureux qu’il aime bien. J’en pouffe de rire, puis me penchant un peu plus vers lui, m’appuyant sur une main, je répête.

- J’ai un côté aventureux que tu adores à cause de mes cicatrices? demandais-je, rigolant encore tellement je trouve que ce terme n’est pas celui qui me convient le mieux. T’es sérieux, là? demandais-je encore avec un sourire moqueur.

Le faisant rire également avec le tatouage sur ma fesse, il en vient à confesser que je ne suis pas le seul, ni à être marqué à cet endroit, ni à avoir accepter de se faire tatouer par pari. Ça m’en tire un sourire autant pour sa franchise et l’épisode qu’il me décrit que pour le souvenir de cette fois ou je me suis fait aiguiller.

- J’ai dû mordre une serviette parce que c’était à mi-chemin entre le pincement et le chatouillement et j’ai fait rire de moi pendant un certain temps par mes potes, mais bon, j’ai pas l’égo pour en être vraiment offensé. J’ai fait une connerie et, à dire vrai, j’en ris facilement maintenant, même si j’ai pas pour habitude de le citer. Y’a quand même un moment ou un autre où y’a quelqu’un qui fini par le voir, donc autant le prendre du bon côté et puis j’ai pas envie de faire un cover. Ça fait un truc à raconter, fis-je en haussant les épaules.

Parlant de tatouages comme ça, je remarque qu’il a finalement retrouver le sourire, s’étant un peu foutu de moi au passage, même si je lui ai retourné ses plaisanteries à d’autres moments. La bouteille qu’il a sortie de sa cachette tantôt est désormais assez entamé puisqu’on se la partage depuis tantôt. Je commence d’ailleurs à en ressentir les effets : ce sera beau pour regagner la Lowell! Encore heureux que ce soit que quelques coins de rues! Le voyant de renfrogné légèrement, je penche la tête et m’approche de lui en lui rendant la bouteille donc je viens de tirer une gorgée.

- Qu’est-ce qui se passe? Le questionnais-je un peu surpris. Tu souriais y’a deux minutes.

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Voilà le topo depuis mon début de soirée, après l'arrivé d'Oliver est arrivé je suis passé par la tristesse, l'angoisse, la haine, la tristesse à nouveau et me voilà maintenant détendu, riant de bon cœur avec lui. Ce garçon qui par je ne sait qu'elle moyen arrive à m'apaiser sans rien faire de grandiose en tout cas. Je l'observe usant de ma qualité à tout remarquer, comme le fait qu'il s'approche de plus en plus de moi et de mon visage, mais je remarque que je m'en sens pas particulièrement gêné ce qui aurais pu être le cas.

« Ouais j'aime bien sa te donne une côté sauvage tu voit ? Même si d'après t'es dire tu n'est pas un mec comme ça. Je commence à te connaître et je sais que ce genre de choses, « être sauvage » te plais parce que sa te rend... comment dire... naturel toi même quoi. Comme si tu avais lutté pour être celui que tu es. »

Je parle trop, et sans doute que je réfléchie trop aussi. je prend la bouteille de ses mains et je la finit d'un trait, il devais rester que le fond car quand j'ouvre les yeux je voit Oliver plus prêt.. Il était déjà aussi prêt avant. Il me demande ce qu'il se passe, pourquoi je souris seul et je ne peux m'empêcher de parler, après tout l'alcool commence bien à faire son effet.

« Hm, je me disait que j'était vraiment content que tu soit venus ce soir parce que je sais absolument pas ce que je j'aurais fait si tu n'était pas venu. Je sais aussi que là, maintenant, je suis bien, parler de choses légère me fais du bien et je t'en remercie parce que broyer du noir seul c'est pas cool du tout. »

Je le regarde sincèrement je pense tout ce que j'ai dit, je pense encore à mon fils et seule un lueur de tristesse me passe par le regarde, parce que maintenant que dann m'en avais parlais il serais toujours au fond de moi mais j'avais Oliver pour m'aider et qui sait ce qu'il allais bien trouver pour me faire aller mieux ce soir.

« Mais rien n'est acquis, as-tu une autre idée pour, me changer les idées ? Je laisse cours à ton âme d'artiste ce soir. »

Je souris plus encore me demandant bien ce qu'il pourra trouver de mieux pour me changer les idées, ici, ce soir.

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Je pouffe de rire à nouveau. Moi, sauvage. Non, mais qu'est-ce qui faut pas entendre! La plupart du temps, je passe pour un grand naïf, bisounours aussi par moment, tellement on croit que j'ai pas une once d'agressivité. C'est une bonne chose en vrai et je fais rien vraiment pour démentir ce genre de rumeurs. Parce que c'est destructeur quand je me laisse sombrer. Destructeur et autodestructeur. Mais ça Jax peut pas le savoir. À moins d'avoir entendu parler de moi ou d'avoir cherché un peu sur mon compte depuis qu'on s'est vu la dernière fois. Mais disons que j'en doute.

Il continue son explication et j'arrête de rire, plus captivé par ce qu'il a compris sur ma personne. J'en baisse la tête un instant, souriant, amusé de voir qu'il a finalement mis dans le mille.

- J'ai dû lutter pour être qui je suis, confirmais-je en le regardant dans les yeux. Et c'est peut-être pourquoi je suis aussi bien dans ma peau et capable de m'affirmer autant. Je me suis battu longtemps pour essayer de remplir une liste de critères qu'on me demandait sans m'abandonner en chemin, mais j'ai fini par me rendre compte que c'était deux styles de vie distincts. Et que je pouvais pas vivre les deux à la fois. Tous les hommes chez les Davis, la famille du paternel, sont policiers. Ils ont tous des carrures de joueurs de football américain, excellent d'ailleurs en sport, tous bruns ténébreux aussi... bref, tu comprends facilement que j'ai beau être grand, c'est le seul critère que je remplie. Je suis un artiste, zéro sportif, j'aime danser, j'ai les cheveux longs, je suis tatoué... pour le paternel, j'ai toujours été une honte. Ha! J'oubliais! La dernière pierre de l'insulte pour lui : je suis gay. Je le sais depuis mes quinzes ans environ et lui le savait depuis mes dix-huit peut-être. Pour lui, si on en parlait pas - que ce soit des mecs ou d'art - j'allais finir par redevenir "normal", fis-je en posant les guillemets avec mes doigts. Mais, un soir, je suis sorti, tranquille, avec des amis et mon copain et de ses collègues m'ont vu l'embrasser et le lui ont rapporté en conneries le lendemain. Ça n'a pas passé et on s'est pris la tête une fois de trop : il m'a fichu à la porte. Mon frère m'a ramassé et depuis, je vis à Boston, expliquais-je. Depuis, je suis libre d'être moi dans mon entièreté. Plus de pression, plus de tradition. Je respire mieux qu'avant, conclus-je, plus ferme dans mes dires.

Un truc que j'aurais appris avec le père, c'est justement d'être capable de me tenir droit et de m'affirmer. Jason m'a beaucoup aider je dois dire, parce qu'il m'a fait réaliser que je restais son frère peu importe mon apparence ou mon orientation. Même s'il ne viendra pas nécessairement me parler de mecs. Donc… ok, selon le point de vue de Jax, je suis peut-être sauvage.

Un peu étonné de le voir changer d'air, je le questionne sur ce qui a pu lui passer par la tête et sa réplique me tire un nouveau sourire, chassant une inquiétude qui se pointait.

- Boh, t'aurais trouver une brunette ou une rouquine pour te tenir compagnie ou t'aurais appeler un autre de tes potes, fis-je en riant doucement. Je suis pas irremplaçable, indiquais-je, mais tant mieux si ça te fait du bien que je sois venu, souris-je.

Je sais que trop ce que ça peut donner de broyer du noir. Quand ça m'arrive, si je passe pas un paquet de cigarette, je finis au bar et à partir de là, c'est assez dangereux. Je me retrouve souvent blessé. J'ai un don particulier pour choisir des adversaires dont c'est déterminé d'avance qu'ils vont m'en coller une sévère. Allez savoir pourquoi j'ai besoin de ça pour me remettre droit sur les rails.

- Tu laisses cours à mon âme d'artiste? Répêtais-je en haussant un sourcil. Tu t'attends à ce que je mettes de la couleurs sur tes tatouages en noir et blanc? Questionnais-je, amusé. Si c'est le cas, j'ai pas de matériel, j'ai tout laissé dans ma chambre. Et puis, je me vois pas vraiment dessiner tandis que tu m'as appeler pour te tenir compagnie. Je dis pas non à ce que t'acceptes de poser pour mes projets photos par contre, l'invitais-je, mon regard scannant à nouveau son corps. Ça pourrait être intéressant.

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Okey, carrément. Oliver devais finir flic si on en croit ce qu'il me dis sur sa famille ce n'était pas négociable. Je suis surprit parce que lorsqu'on le voit c'est tout le contraire d'un flic, non pas qu'il soit dealeur ou je sais pas mais il n'a pas l'air du genre à vouloir suivre le troupeau mais plutôt du genre à en crée un, ce mec il est tête de clan pas mouton. Je souris et j'écoute ce qu'il me raconte, son père à vraiment dû être infâme avec lui, du genre tout ce que tu fais ne m'intéresse pas parce que tu veux pas être flic comme les autres. Je penses soudain que j'ai eu de la chance, ma mère avais dis à ma grand-mère que je choisissait ma filière et j'ai pu choisir la psychologie. je remarque d'ailleurs grâce à mes études passées qu'Oliver à beaucoup souffert à cause de son paternel. Je soupire un cou, moi je ne l'ai plus, j'ai toujours cette fâcheuse tendance à comparé la vie des autres à la mienne, même si je pense que tout le monde fait la même choses sans rien dire.

« Je penses au contraire que tout ce que tu as vécus à fait ce que tu est Oliver, je prétend pas tout connaître loin de là je t'assure, mais est-ce que tu aurais finit artiste si tu avais continuer à vivre chez ton père ? Je pense que le fais de t'avoir foutu à la porte au contraire il t'a donner la chance d'être celui que tu voulais être. Et ton frère même si je l'ai vu qu'une fois et qu'il n'était pas content de me voir, semblais sincèrement s'inquiéter pour toi. »

Je souris pensant l'apaiser à son tour avec tout ses tourments, il ne semble pas aller mal mais peut être qu'en lui disant ce que je pense de ce dont il me parle ça apaise aussi son esprit. Je sais qu'il n'a rien demander mais il semble vraiment avoir du mal avec ça, même si cela date en terme de temps. Je souris finalement quand enfin nous passons à un sujet plus doux et qu'il m'affirme que j'aurais trouver une fille pour passer la nuit, sans doute mais je croit que j'en avais pas envie ce soir, ce soir j'ai besoin d'une vrais tendresse, ressenti par les deux et pas une simple baise parce que je suis « beau » ou « omg jax couche avec moi ».

« Tu sais que tu as raison j'aurais pu trouver n'importe qui juste en ouvrant la porte de la chambre mais en fait, je n'en ai pas eu envie, je suis pas accroc au sexe comme les pimbêche du campus semblent le croire, j'avais besoin d'une vraie tendresse ce soir, de quelqu'un qui m'apaise et qui soit là en train de rire avec moi, c'est ce que tu as fait et d'ailleurs merci. J'ai besoin de tendresse ce soir, pas de baise. »

Je soupire un coup mais il me parle d'un projet peinture ou je ne sais quoi en souriant par contre il voudrais vraiment que je passe sous son objectif. Je ris déjà de ce que je vais lui dire.

« Avec ou sans mes habits ? Parce que ce sont mes tatouages qui t'attire n'est-ce pas Oliver, ils te plaisent et on pourrais même penser du fait que tu soit si proche de moi en cet instant que tu aurais envie de les toucher... En fait, ça ne me gêne pas après ce qu'on a déjà fait tout les deux, touche les si tu en as envie... »

Je l'obseve droit dans les yeux, les joues rougie par l'alcool, je regarde ses réactions à tout ce que j'ai bien pu lui dire jusqu'à maintenant mais qu'elle va être sa prochaine réaction maintenant...

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How I feel


- Oh, mais t’as parfaitement raison. Je dis pas que c’est une mauvaise chose, au contraire, je vis beaucoup mieux depuis que je suis ici, assurais-je. J’étais en train de devenir cinglé quand c’est arrivé, je tenais moins en moins bien la pression, expliquais-je. Mais là, je vais très bien, souris-je. Tu ferais un bon psy, tu sais, fis-je mi-sérieux, mi-moqueur.

C’est facile de lui parler, pas tant que j’aie eu besoin de me confier ou de me vider le coeur, mais je lui explique des trucs sur ma vie depuis tantôt et il n’y va pas en jugements en tout genre. Il essait plutôt d’apporter une autre vision aux évènements qui se sont produits dans ma vie. Chose que c’est pas tout le monde qui est capable de faire.

Passant à un autre sujet, il me remercie d’être là ce soir, affirmant qu’il ne sait pas trop ce qu’il aurait fait. Je lui sors des propositions : je suis pas irremplacable, il aurait bien trouver quelqu’un. Je m’étonne en l’entendant dire qu’il n’aurait eu qu’à ouvrir la porte pour trouver une fille pour qui passer sa nuit. À ce point? Je finis cependant par sourire. Oui, j’ai déjà fréquenter quelqu’un de ma propre confrérie aussi et que c’est agréable de pas avoir à faire 12 blocs pour aller le voir. Après, il est assez grand garçon pour savoir si ça va pas lui causer des problèmes avec ses consoeurs.

Disant qu’il laisse libre cours à mon âme d’artiste ce soir, je m’étonne, me demandant ce qu’il veut dire par là. Ça m’est arrivé de passer des heures à faire des dessins sur les bras ou le dos de quelqu’un d’autre, mais lui, il s’est déjà chargé de couvrir bien de l’espace. En le scannant une nouvelle fois, je lui propose d’ailleurs de faire modèle pour mes projets photos. Ce serait dingue. Il rigole en me demandant si c’est avec ou sans les vêtements et si normalement j’ai l’habitude de répondre « Bah nu, évidemment! » juste pour flanquer le malaise et rire un peu, ce qu’il dit par la suite me coupe dans mon élan et je reste quelques secondes la bouche entrouverte pour la phrase que j’allais dire et que finalement je ravalle, affichant un léger sourire. J’ai été pris en flagrant délit tantôt.

- C’est vrai que je les trouve géniaux, acquiesçais-je doucement.

Pour ce qui est d’être près de lui par contre, c’est qu’une question que je n’ai pas une très grande bulle personnelle, alors j’empiète parfois sur celle des autres sans vraiment m’en rendre compte. Qui plus est, là, je crois que l’alcool aide pas. Mais il m’a donné la permission de toucher ses tatouages si je voulais alors ça doit pas le déranger tant que ça. Non? Donc, doucement, je pose une main à son cou, passant mon pouce sur la fleur qui l’ornemente.

- C’est ton lotus qui m’a fait tiqué la dernière fois. Je savais que je l’avais déjà vu quelque part, soufflais-je. Ça a juste été un peu long avant que je comprenne où et dans quelles circonstances, admis-je détachant finalement mes yeux de l’encre rouge pour remonter vers ses yeux.

Mon regard accroche cependant ses lèvres avant de s’y rendre et sous impulsion, sans réfléchir vraiment, je vais y poser les miennes doucement, fermant les yeux.

(Invité)

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