TG PRIVÉ ☼ Table Ronde → Première rencontre

Tout le monde est la. Finalement.
Les Cabots semblent être très sympathique même si je ne les connais pas, les Quincy, dont Anja que je salue d'un sourire rayonnant de l'autre côté de la table, sont arrivé. Elias est finalement la, et il me fait rire comme toujours. Je le salue aussi, discrètement, attendant que toute la réunion commence et excité de voir la suite.

Margot prends la parole, et j'hoche la tête a chacune de ses phrases, étant moi même adepte de la paix, et ayant basé ma compagne sur ce thème la. Mon regard glisse, un instant, sur Ashleigh, au moment ou elle prends la parole et demande des explications, avant de passer vers ma présidente que je questionne des yeux, sur son avi à elle.
Tout concentré, j'écoute les paroles de Margots, ainsi que son pastrèssubtil mouvement de tête sur les Mathers et les Eliots. Ce geste traduit tout à fait ce que les membres présents pensent. Et ses mots étaient censée, jusqu'a ce qu'elle soit interrompue par une arrivé.

Je recompte tout le monde mentalement, et ... non on est tous la...
Serais ce un autre bizut? A quel maison celui la appartient il? c'est pas l'un des nôtres... Alors? Il n'est pas Cabot c'est sur... Anja pourrait donner un défis de ce genre, mais... apparement ce n'est pas elle. Les Winthrop? Les Mather?
Oh ... Non. C'est un Lowell. Et à part qu'il est artistiquement beau, je ne sais pas s'il est artiste. Même si c'est de l'art que de traiter le petit ami de sa présidente de dadais, et de remettre ses goût en question... en présence du dit petit ami... et d'a peu près une dizaine d'autres personnes.
De l'art.
   

Il y avait plus en retard qu’eux, c’était toujours ça de gagné ! Paris se demandait quand même ce que lui réservait cette table ronde. Dans ses souvenirs, les différentes confréries s’alliaient et se tiraient dans les pattes bien plus souvent que nécessaire. L’an passé, Jimmy et lui avaient préconisé une certaine neutralité dans les histoires de chacun. Il faut dire que bien souvent, toutes les alliances se faisaient et se défaisaient en fonction de qui couchait avec qui. « Pas de problème pour commencer de notre côté » dit-il après avoir jeté un coup d’œil à sa femme Summer. Après tout, plus ils entreraient vite dans le vif du sujet, moins longtemps ils en auraient. En tout cas l’ambiance était rafraichissante songea-t-il avec un brin de dérision. Qui avait dit qu’il fallait être sociable pour être président ? Certainement pas Paris ! Il détestait faire des ronds de jambe et avait le tact d’un poulpe. Paris salua rapidement Jonathan, le VP de la Eliot House en lui serrant la main. Elias de la Winthrop arriva également en retard et Paris le salua d’un hochement de la tête. En ce moment, La Dunster House était en pourparlers pour une compétition intellectuelle avec la maison des sportifs. Ça promettait ! « Tu vois, je t’avais dit que nous ne serions pas les derniers » murmura-t-il à l’oreille de sa femme car il savait combien elle voulait faire bonne impression. « J’en connais une qui ne dira pas non pour une énième collation » se moquait-il de sa vice-présidente adorée. Paris du se retenir de lever les yeux au plafond  à l’arrivée d’un deuxième bizut. Sérieusement, il allait en avoir combien ? « Si je comprends bien, la Lowell se cherche une nouvelle image et la réunion c’est un peu à : qui m’aime me suive ? » demandait-il.

   @Cecilia V-L.Windsor @Sacha C. Angharad @Paris A. Maconahey @C. Summer Maconahey @Agathe Thomspers @Jonathan Skelton-Lynch  @Margot Weasley @Danneel M. De Suède-S. @Ashleigh H. S-Burberry @Agathe A. de Belgique-S @Anja Eldjarn @Keyla Haven Hepburn @Eliot Llewellyn @Elias Caldeira

Je pensais que c’était la politesse qui avait poussé les gens présents à nous dire que nous n’étions pas si en retard que cela, mais quand d’autres personnes prirent le train en marche après nous, j’étais plus que soulagée. Je saluais chacun des gens venus se présenter et saluais en serrant la main d'Anja, Sacha ou encore Elias - arrivées après nous - les gratifiants d’un sourire, avant d’entendre qu’il y avait un buffet. Oh bah ça, je l’avais remarqué, mais là où je tentais d’être discrète Paris m’affichait royalement. Je le regardais avec une insistance, tout en décochant un sourire qui voulait dire « Je t’emmerde », avant de répondre avec assurance « C’est fait pour être mangé, nan ? Alors oui, je vais faire honneur et manger chaque chose qui s’y trouve… » Je tendais le cou, fièrement, avant de me diriger vers la table ronde, suivi de Paris, à qui je me permettais d’ajouter « Je prendrais ta part aussi pour la peine…Espèce de balance. Je n’aurais jamais dû te dire que j’avais encore faim, dans la voiture ! » Bien évidemment je savais pertinemment que Paris faisait cela pour me taquiner, et surtout pour me détendre un peu, vu la pression que je me mettais à vouloir être à la hauteur de ce nouveau rôle au sein des Dunsters.
Naturellement, les Présidents et Vice-Présidents s’étaient enfin concentrés sur cette table ronde et Margot, tenta de nous expliquer le but de cette réunion. A mesure que je l’écoutais, je ne pouvais m’empêcher de jeter des regards ci-et-là, me demandant si j’étais la seule à trouver ce but de la réunion un peu étrange. Mais peut-être pas plus étrange que de voir des bizuts débarqués dans la salle pour faire leur show. En arrivant, nous avions croisé un homme nous montrant son string, et cette fois-ci, on n’allait plus loin en nous montrant un trou du cul ? Quoi ? C’est pas moi qui le dit, c’est cet homme (Miles) installé à côté de Margot. Cette dernière souhaitait le congédier, et quoi de plus normal : Pas évident de faire passer un message à toutes les confréries en prétextant devoir redorer des réputations, et de voir que des bizuts viennent faire foirer toute crédibilité en deux secondes... Paris ouvra la bouche pour dire ce que j’avais pensé dès le début du discours : En gros on n’est là pour faire plouf plouf à qui suivrait la Lowell, et qui parmi les restants feraient des alliances entre eux. Pas sûre que ça puisse emballer tout le monde ici…

S'appliquant à encourager Miles à dégager de la salle, Margot, elle écoute les arguments des autres qui réagissent, et .. elle se décompose à entendre les premières réactions. Est-ce qu'elle s'exprime donc si mal que ça, pour qu'ils pense qu'elle ne parle qu'au nom de la Lowell et lance une politique du "qui m'aime me suive" ? Elle fronce les sourcils, la rouquine, un peu déboussolée par les mots du président Dunsters, ainsi que de la présidente Cabot. Et après avoir bu une longue gorgée de son verre de jus d'orange, elle secoue la tête, essayant de ne pas afficher le visage d'une enfant qui viendrait de se faire engueuler. « Je .. Non, c'est pas du tout ce que je voulais dire. » Elle pince les lèvres, pèse ses mots, retrouve une certaine contenance. « Le but de cette réunion, c'est que tous puissent aborder les sujets qu'ils veulent, justement. Cécilia, tu veux parler de la rush week, soit, vas y on t'écoute. Je parle pour la Lowell parce que je suis à la tête de celle-ci et que je n'ai pas mon mot à dire pour les autres. Et non Paris.. il ne s'agit pas de dire "qui m'aime me suive" mais de lancer une idée ouverte au débat, celle de créer des événements ensemble tout au long de l'année pour dynamiser toutes les maisons. » Malgré elle, la jeune fille lance en toute discrétion un regard légèrement paniqué à sa vice-présidente, mais aussi à un certain président Winthrop. Elle conclue donc simplement d'un timide: « On veut simplement que l'année démarre sur un bon pied pour tout le monde, avec un maximum de communication. » Mais peut-être Danneel s'était-elle montrée trop utopiste à vouloir faire un tel échange.

Je trouvais la réaction du président de la Dunster un peu déplacé. Margot ne voulais pas en arrivais à cette conclusion, pas le moins du monde, et Paris avait donc tout compris de travers, mais pour le moment c’est un Bizut de notre maison qui attira mon attention, le jeune homme avais pris place entre Margot et moi, non mais ça va oui ?! Pour qui il se prend, d’accord c’est un Lowell et je protège toujours les membres de ma confrérie, mais la non, c’était une réunion privé, on avait eu le passage du Bizut Eliot qui lui au moins avais eu la courtoisie de s’éclipsé rapidement. J’encourage donc fortement Miles à partir de la pièce. « Ton petit passage nous fait très plaisir, mais là c’est une réunion privé, alors part s’il te plait. Tu n’es pas convié. » Lui lançais-je avec un sourire aux lèvres, il était temps qu’il s’en aille ! Je croiser le regard de Margot, elle semblait ce décontenancer face à la réaction de Paris, je soupire et je la laisse parler, puis c’est la Cabot qui dis vouloir parler de la Rush Week, très bonne idée ! Je lance un sourire à Margot pour la soutenir. Et puis j’ajoute à sa dernière phrase. « La communication est quelque chose d’important, et surtout on peut très bien s’entraider, nos confrérie on toute une particularité qui leur est propre, un atout que l’on peut mettre au service des uns et des autres. Donc non le but n’ai pas de lancer un vulgaire : qui m’aime me suive, mais bel et bien de prendre part à un changement, que lorsque l'on quitte ce soir cette réunion, nous sachions tous sur quel pieds danser les uns avec les autres. » Voilà c’est dit, je lance un rapide regard sur l’assemblée, puis je chercher le regard de Margot, voyant toujours la tête de Miles entre nous, je soupire, bon il est grand temps que monsieur bouge ses fesses de là !

Un sourire amusé étira ses lèvres quand sa femme l’envoya balader. Ce qu’il y avait bien de bien avec sa grossesse, c’est que les hormones parlaient bien souvent pour elle. Pour le coup, traitez le de masochiste mais il adorait leurs joutes verbales.  « Comme si tu avais besoin d’une excuse pour me piquer ma part » lâcha-t-il non sans humour avant que la réunion ne commence réellement. Un bizut toutefois, faisait de la résistance et Paris s’en préoccupa absolument pas. C’était un problème interne à la Lowell House alors à elles de gérer cela mais ça commençait bien si elles n’arrivaient pas à tenir leurs troupes. Lui, c’était sa langue qu’il ne retenait pas et visiblement, sa réplique avait fait mouche dans le mauvais sens.  « Désolé si j’ai manqué de tact, le but n’était pas de vous mettre en boîte. C’est elle la diplomate de notre duo » dit-il donnant un petit coup de menton vers sa femme.  « Ce que je voulais dire, c’est : vous organisez cette réunion et visiblement, votre image vous pèse. Je me demandais donc, si cette réunion avait pour but uniquement de trouver des alliances au sein des autres confréries. Vous savez, comme sur le marché, qui veut mon poisson, il est beau et frais mon poisson » reprit-il en haussant les épaules. Oui, il s’exprimait comme un manche mais c’était un scientifique, pas un orateur.  « Bref maintenant, après explication, je comprends mieux le but de cette assemblée et je suis pas contre, loin de là même si je me doute que la Mather et la Eliot, pour vous, ça sera statut quo entre vos deux confréries » lâcha-t-il en rappelant l’espèce de guéguerre que se livraient, depuis des années, les deux maisons.

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