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Libérée, délivrée quoi. Voilà qui est parfait. Tu regardas alors la jeune femme en souriant alors que ses paroles te firent rire. Ouais, bon la lune tu étais dans la merde, vraiment mais c'était un simple symbole. J'essayerai de partir pour la lune, pour te ramener un petit bout de la lune que tu garderas avec toi. Ca te va ? dis-tu en rigolant doucement, essayant quand même d'éviter de rire trop fort. Bon, il était impossible pour toi de pouvoir le faire, puisque ton coeur n'y survivrait pas, mais l'intention était là, et tu avais presque envie de le faire. Mais voilà, tu la regardes. Elle avait raison. Vous deviez être présent pour Boston même l'envie de rester avec elle, ici, à vie était tellement tentant. Et puis, tu étais sur que cela ne poserait jamais de soucis à ta très chère mère en fait, mais c'était le plus amusant en soi. Elle qui voulait que son fils ainé reste à jamais ici. Tant pis, j'aurais essayé de te kidnapper, ça n'a pas marché dommage .. mais tu n'étais pas déçu bien au contraire. Tu savais que sa vie bostonienne était importante et tu ne comptais pas lui en priver, bien au contraire finalement. Et te voilà dans ta chambre, enfin dans la sienne, celle que tu as préparé pour son voyage, parce que ta mère avait la bonne idée de tout changer niveau décoration. Tu lui souris doucement, en hochant la tête C'est l'inconvénient du palais, après, dans la rue c'est pire en fait Oui parce que vous aviez eu affaire à des gens normaux à Monaco, tout le monde venait te serrer la main, serrer celle de Nevada, il y avait eu aussi les commerçants que tu connaissais par coeur ou les enfants, mais y'avait aussi dans la rue, comme celles à Boston où le regard était sans cesse déposer sur toi ou sur ta vie, inconvénient de la vie royale. Mais tu n'hésitas pas à la détailler ce soir, parce que tu avais le droit, tu venais de lui avouer tes sentiments, tu venais de lui dire qu'elle était tout ce dont tu avais besoin. Alors, tu caressas sa joue doucement, embrassant ses lèvres une première fois avant de sourire doucement. La timidité de ton être en prenant un coup finalement, tu ne savais pas trop comment être avec elle. Après tout, tu n'étais pas très doué avec les femmes, y'a eu que très de petites amies dans ta vie. Conséquence de ton coeur que tu avais peur de révéler à ses femmes que tu as aimé ...
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