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Une personne vous manque et tout est dépeuplé. Cette phrase, citation, avait prit du sens comme jamais les derniers mois. Tu as plusieurs amis, de très bons, très proches. Lucky et Ivy que tu connais depuis tes trois ans. S'il arrivait malheur à une d'elle, tu ne supporterais pas. Mais une telle attache à un autre individu, c'était bien la première fois. Qui aurait cru que en même pas un an tu allais t'attacher à lui comme ça ? Au point que son absence soit insupportable. Que son manque soit immense, incessant ? Que son odeur te suive de partout. Son visage également. Et que tes pensées soient embrumées par lui et lui seul ? Sûrement pas toi. Vingt deux de vie, à te faire larguer ou larguer car justement tu étais incapable de t'attacher pour quelqu'un, pour un mec. Et lui, alors qu'il était juste ton meilleur ami, et qu'il n'y avait rien d’ambiguë entre vous, il avait réussi à prendre cette place, cette importance, dans ta vie, sans même que tu ne le vois venir. Ton quotidien c'était vite battit autour de lui. Un feeling exceptionnel, que tu n'avais trouvé en personne. Peut être ce lien, inattendu, inexpliqué, qui avait fait que vous vous êtes liés si vite, si fort. Le fait était là, aujourd'hui, tu n'arrivais plus à te passer de lui. Ces deux mois et demi avait été affreuse souffrance. Et là, c'était tout l'opposé. La simple vision de son corps, de son visage, enlevait un poids énorme. Alors son étreinte, c'était que mieux, que meilleur. Et les taquineries ne se firent pas prier. Quoi de mieux pour ne pas trop tomber dans l'émotionnel, le sentimental ou le mélodrame ? Quoi de mieux pour cacher tout trouble et pour retrouver cette complicité inchangée, même avec la distance ? Comment ça je suis pas un cupidon efficace ? C'est pas ma faute si t'es pas une bonne victime. Ca avait pas marché avec Kacy, c'était pas ta faute. T'avais essayé au moins. Et peut être que ça n'avait pas marché parce que vous étiez menés à vous rapprocher. En tout cas, il était plus trop question que tu joues au cupidon, pour lui du moins. Désormais tu te voyais pas le jeter dans les bras d'une autre, surtout connaissant l'énergumène qui s'amourache en un rien de temps. Un battement de cil et il allait tomber fou de la prochaine. Comment dire que t'avais pas très bien envie alors que tu le retrouvais à peine ? J'ai abandonné avec toi, t'es pas un bon client que tu le taquines, trouvant cette excuse pour expliquer qu'il se débrouillerait s'il voulait se trouver une nana. Cupidon Ash' était game over pour lui. Par contre pour Aaron, Ivy, Marin ou compagnie, là t'étais plus qu'open. Justement, il voulait savoir pour vos meilleurs potes et le coup des menottes... Je te dirais tout. Et t'as intérêt, j'ai beaucoup de boulot, mais je t'ai pas remplacé t'inquiètes. Jamais. Personne pourrait remplacer le grec. Sa place lui était attitré et pour des longues années à venir. Câlin 'terminé' tu lui faisais face, te perdant sur chaque trait de son visage. Te remémorant chaque détails qui le rendait si unique, si Denys. T'avais rien oublié malgré que tu ne l'avais pas vu depuis que vous aviez fait genre que la voiture de Lucky était en panne... Il avait pas changé, tu le trouvais même plus beau, peut être dû à son absence. Dans tous les cas, il en profitait pour te taquiner, sur ton poids. Et si à n'importe quelle fille c'était la chose à ne pas dire, toi tu t'en moquais royalement. De même, Den' était un très mauvais menteur, tu savais lire en lui pour ce genre de choses et pour savoir qu'il plaisantait juste. Tu rentrais ainsi dans son jeu, mettant la faute sur Lucky et ses pots de nutella. Vraiment ? C'est cool mais... ça veut dire que tu vas beaucoup bosser ? La déception était bien là. S'il passait tout son temps au boulot, moins de temps pour toi. En revanche, tu savais qu'il avait besoin de cet argent, de ces jobs. Impossible tout de même de trop te réjouir. Tu crois je pourrais squatter ? Au pire je fais genre je suis une cliente, je te demande comme coach, comme ça tu peux bosser et je peux rester avec toi. Et c'était vraiment pour lui, pour passer ton temps en sa compagnie, parce que si t'aimes le sport, t'étais pas une accro non plus hein. Puis... l'autre fois que tu l'avais aidé au garage, ça avait plutôt fini en réprimande par son bosse. Enfin, si tes bosses sont plus cool que l'autre... N'empêche que le coup de la cousine ça avait bien marché. Tu finis par lui avouer qu'il t'a manqué. Réciprocité. Puis tu penses à l'Afrique du Sud, au pays que vous auriez pu faire s'il avait jamais été en prison, hors il était au moins libéré. Quant au summer camp, tu en venais vite à lui dire ta décision de rester avec lui. Tu le connaissais pour savoir qu'il approuverait pas. Mais c'était ton choix, pas le sien. Il tentait de te dissuader mais c'était peine perdue. Ca rentrait dans une oreille, pour sortir par l'autre. Des summer camp y en aura d'autres Denys. Quant à la bande, je les ai vu en long, large, travers pendant deux mois et demi. J'irai peut être là bas quelques jours, mais c'est tout. Je le fais pas pour toi, mais pour moi... En gros, tu te forces pas pour être la meilleure amie idéale. T'en a juste besoin, de rester avec lui après tout ce temps manqué. Mais s'il veut pas, s'il se sent pas capable de te supporter, sachant que vos autres colocs partent, alors... Alors il fait genre que ça sera compliqué. Un petit regard noir, il sort finalement l'excuse qu'il ne pourra plus venir dans ta salle de bain. Toi, sur le coup, super sérieuse, sans trop capter au premier abord l'allusion, tu réponds : ben comme vous êtes trois mecs, j'ai vu avec eux pour que si tu veux, tu puisses utiliser ma salle de bain. Fin tu peux garder la tienne, mais vous allez être trois à vous battre, tandis que j'aurais la mienne que pour moi. C'est comme tu veux. Deux par salle de bain c'était mieux que trois pour une et juste toi pour l'autre. Puis, tu souris, lui mettant une tape sur l'épaule. T'es vraiment en manque mon coco que tu t'amuses, préférant le taquiner. Est ce que c'était juste car c'est toi, car votre amitié a toujours été basé sur des taquineries, ou bien il rentrait dans l'ambiguë pour de bon ? Tu savais plus trop, parce que le beau gosse devant toi, il t'avait plutôt montrer un côté détaché de ton célibat récent, quand il avait plutôt mal prit ta mise en couple. Sur quel pieds danser à présent ? Bon, avant de rentrer, tu veux qu'on aille te prendre un téléphone ? Il avait dit que son tél avait été réquisitionné et tu savais par Darren que dans ce genre de cas le tél n'était pas retourné mais gardé comme preuve, définitivement. Et vient pas encore contester, si j'ai besoin de te joindre, je sais pas faire le morse que tu t'amuses, le voyant encore venir se plaindre, surtout si tu payais pour lui. Et au moins, ça te faisait une bonne raison pour le garder loin du loft et laisser le temps à Nate de tout prévoir, et les invités d'arriver...

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hj : super désolée, c'est super long I would do anything for you • Denys - Page 4 3363626789 j'essaye de raccourcir je te jure mais... I would do anything for you • Denys - Page 4 1881463262
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« Je suis une très bonne victime. » protestai-je en prenant un air outré. Ouais j’étais tout ce qu’il y avait de plus réceptif moi, aux foudres de cupidon, c’était juste que c’était toujours à sens unique. « Emilia, Louve, Gabrielle, je continue ? » Ouais non, continuons pas. Pas besoin de répéter le prénom suivant, l’histoire foireuse suivante, et le schéma qui se répétait, schéma du Denys amoureux sans réciprocité. « Je suis une bonne victime, c’est toutes les filles que je rencontrent qui ne le sont pas. » Peut être qu’en fait, Cupidon était bigleux et que c’était moi qui prenais toutes les flèches à chaque fois. Puis quand elle me taquinait sur mon ‘manque’, je riais un peu nerveusement. Je ne voulais pas trop approuver, mais je clarifiais direct un point : pas de nouveau coup arrangé. Mais la blondinette annonçait qu’elle avait lâché l’affaire, que j’étais pas un bon client. « J’suis meilleur en assistant cupidon. » D’ailleurs, j’étais content qu’elle m’annonce avoir garder ma place et que j’allais pouvoir la reprendre. « Beaucoup de boulot ? A ce point ? Tu comptes me rémunérer un jour au fait ? » lançai-je alors, avec un petit ton intéressé, mais absolument pas sérieux. Même si ensuite, quand le thème du boulot fut lancé, la demoiselle se plaignant de son poids et que j’en profitais donc pour lui parler du deuxième poste, en plus du garage, que je convoitais, elle parut déçu. « Je… Je peux pas rester sans bosser Ash. Mon frère ne va plus m’envoyer d’argent, je toucherais pas les bourses, et là je risque d’être pas mal à sec avec tous les chèques que je viens de faire… » expliquai-je, désolé, répondant ainsi indirectement à sa question : oui, j’allais devoir beaucoup bosser. Mais c’était mal connaître Ash de croire qu’elle se laisserait abattre, elle avait déjà un plan la blondinette. Plan qui m’arracha un rire. « Tu peux pas faire semblant d’être une cliente, tu seras vraiment une cliente. Je vais t’en faire baver. Les pompes que t’avais pas voulu faire au surf, t’y échapperas pas cette fois. » lançai-je alors avec un petit air diabolique. Enfin, ça promettait d’être tellement plus fun que des séances de gymdouce avec les mamies de la ville, même si j’étais certain que dans tous les cas, qu’importe les clients, si j’avais ce contrat j’allais m’y plaire. « Rick était super comme prof alors j’espère qu’il va m’embaucher… » Et puis ensuite, le sujet vacances arriva, parce que j’avais soufflé que je ne voulais plus jamais rester aussi longtemps loin d’elle, comme ça, égoïstement, emporté par le moment, sans réfléchir à ce que ça signifiait, aux opportunités que ça lui ôtait. Et je m’en voulais presque, quand aussitôt elle me fit part qu’elle ne participerait pas au SC. J’avais beau répliquer, son doigts sur ma bouche m’invitait à me taire, et elle avait réponse à chacun de mes arguments. « T’es… » Parfaite, géniale, indispensable ? « …pas croyable. » Comment elle faisait pour me faire craquer encore plus ? Et voilà comment en deux deux, après cinq dix minutes, après avoir lutté contre mon envie de l’embrasser fiévreusement, je me sentais fondre et mes résolutions avec moi. Voilà comment donc, se glissa cette remarque aux tendances ambigües, évoquant la salle de bain, la sienne, qui en l’absence de nos collocs je n’aurais aucune raison de venir squatter. Elle m’informa alors très sérieusement, pas réceptive à l’allusion, du système revisité et de la nouvelle répartition des pièces d’eau vu qu’elle était à présent la seule fille du loft. Et une tape sur mon épaule assorti d’une remarque sur mon manque, et une. « Ouais ça doit être ça… » Ou alors j’étais encore bien trop amoureux pour m’en tenir à ma promesse… Enfin qu’importe, pour l’heure, je voulais profiter d’elle, amicalement ou pas, je prenais ce qui était au menu, pourvu que ça soit du Ashleigh Strauss et elle proposait que pour la suite, on passe d’abord m’acheter un nouveau téléphone. « Ouais ils ont pas voulu me rendre le mien… Faudra que je prévienne Hadès tu crois ? C’était lui qui me l’avait filé quand même. » Naïf.com. « Non, mais tu peux pas me payer mon portable, mon forfait, mes billets d’avion… » Je me sentais comme un ado entretenu par ses parents là. « Mais tu peux me payer une bière si tu veux. » ajoutai-je en m’avançant vers sa voiture. « Et puis m’avancer pour le téléphone quand même… Je te rembourserais. T’ajoutes ça à la liste. » Une vie entière à lui préparer des petits déj au lit pour payer ma dette… Et cette idée me faisait sourire de plus belle.

Hj : non mais après deux moi et demi c'est normal quoi I would do anything for you • Denys - Page 4 3997999705
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L'excuse qu'il n'est pas une bonne victime et donc que tu abandonnes, ça marche moyen. Selon lui, ce qui est vrai en plus, ce sont les filles qu'il a rencontré qui ne sont pas de bonnes victimes, puisqu'elles lui ont toutes faites du mal et l'ont rejeté. Le prénom de la dernière, il t'irrite les oreilles, mais tu passes au dessus, plus touché par la façon dont il avoue qu'elles l'ont toutes faites souffrir. Ton cœur se brise légèrement, parce que tu te comptes dans le lot. Tu t'ajoutes à la liste, sans même qu'il ne l'ait fait. Elles sont connes, c'est tout ! Commence pas à te dénigrer ! que tu dis autoritaire. Et tu t'insultes également. Conne que t'es de l'avoir fait souffrir. Conne que t'es de pas l'embrasser à cet instant même, de pas lui dire que toi tu sais ce qu'il vaut, et qu'elles sont toutes perdantes. Mais c'est pas le moment. Tu penses trop qu'il t'a oublié, alors pas question de gâcher vos retrouvailles avec un rejet énormissime. Il se trouve meilleur pour l'assistant cupidon et tu approuves, alors qu'il réclame une rémunération. Je suppose que tu voudras pas d'argent, alors tu veux quoi en échange ? Des massages ? Petits déjeuners au lit ? Son prix sera le tien, comme toujours, même pas peur. Et il fait part de son second travail qu'il peut obtenir prochainement. Ce qui veut dire, + de Denys au boulot, moins pour toi. Il tente de t'expliquer qu'il n'a pas le choix, mais ça tu le sais. Alors pour pas qu'il s'en veuille, car le connaissant il risque de culpabiliser, tu trouves un moyen pour qu'il bosse et que tu sois avec lui. S'il obtient son autre travail, tu iras faire la fausse cliente pour qu'il te coach. Tu peux rêver pour le 'fausse'. Monsieur compte t'en faire baver. Tu le vois déjà prendre son pieds et se marrer devant toi qui râlera car t'es épuisée, que tu veux une pause ou que c'est dur. Essaye Zacharias, une fois ton boulot finit, c'est moi qui te fera souffrir au loft. Voix menaçante, haussement de sourcils, tu annonces la couleur. Et des idées pour le torturer t'en a plus d'une. T'avais un peu montré pendant les petits déjs de quoi tu pouvais être capable. C'était de la rigolade comparé au reste. J'espère pour toi, même si ça voudra dire moins de temps pour moi. Tant que lui était heureux, ça te convenait. Puis étant donné qu'il pouvait pas sortir entre 22 h et 6 h du matin, tu te chargerais de le tenir éveiller, assez, pour profiter. Bordel quoi, deux mois et demi sans lui, s'il croyait qu'il allait t'échapper comme ça, c'était mal te connaître. T'allais faire la sangsue. Le koala. Le singe. Peut importe mais t'allais le coller. Si bien que tu avais prit la décision de ne pas aller au summer camp. Ca aurait été ton premier, oui, mais y en aurait d'autres. Lui il t'avait bien trop manqué pendant tout ce temps pour le laisser filer comme ça. Ton été ça sera ici, à Boston, point. Tu lui donnais un simple sourire quand il abandonna, voyant que t'étais décidée. M'enfin, si tu me veux pas, je pourrais aller chez Lucky squatter... Tu te joues de lui. Tu le test. Clairement. Et pour la salle de bain, tu captes pas l'allusion, pas tout de suite. Tu en conclus qu'il est en manque et il avoue que c'est peut être ça. Et tu repenses à vos lettres, aux siennes, où il avait avoué que rien qu'avec tes mots tu lui donnais envie. Rien qu'en te lisant. Mais non, supprime ça de tes pensées, spas le moment, c'est plus d'actualité... Puis quoi de mieux pour te faire oublier ça, quand tu oses l'entendre parler d'Hadès et qu'il devrait le prévenir. Ton sang monte si rapidement, que tu te recules de lui, mettant ta paume de main sur ton front, lui tournant le dos, marchant dans la direction opposée à lui. Tu tentes de te calmer, de te pincer les lèvres pour ne pas t'emporter, mais... c'est trop fort. Tu n'entends même plus ce qu'il te dit. Tu bouillonnes juste. Tu vois rouge et noir. Tu inspires, tu expires. Tu refais la manœuvre trois quatre fois. Ta tête se bascule en arrière, le regard vers le ciel, tes mains venant se poser sur ton visage et remonter sur ton crâne, tes cheveux. Calme toi Ashleigh, calme toi. T'as toujours pas comprit ou quoi ? Si t'étais là bas, pendant deux mois et demi, c'est leur faute. Bordel ouvre les yeux Denys. Le téléphone donnait par Hadès ? Le même Hadès qui voue une haine à la mather ? Le meilleur pote de Cole, que je déteste et qui me déteste. Arrête de croire que tout le monde est bon que tu t'emportes, essayant de pas trop oser la voix, de pas trop lui crier dessus. Tu veux pas te disputer avec lui, ni qu'il soit mal alors qu'il sort de prison. Tu te rapproches de lui, plantant ton regard dans le sien. T'es un gars en or, et j'aime ce côté de toi où tu crois que tout le monde est gentil, a un bon fond, mais... c'est pas le cas. C'est pas le cas je t'assure. Et je t'interdis de reparler à Hadès. Je t'interdis de parler à Cole, à Abélard, à ma sœur, à Hippolyte ou je ne sais qui encore. Je t'interdis de leur faire confiance et de ne pas m'écouter moi ! Est ce que tu allais devoir lui sortir la liste des témoignages pour qu'il y lise le nom d'Hippolyte, de Malicia ? Tu lui ordonnais de plus les voir, leur parler, parce que tu savais qu'ils sont néfastes, surtout pour lui, ce gars si naïf, si gentil, si attachant. Qu'ils s'en prennent à toi, osef tu pouvais encaisser, mais pas à lui. Promet moi Denys, je veux plus qu'ils nous séparent... que tu lui dis en attrapant son visage entre tes mains sous la précipitation, voulant qu'il promette dans tes yeux, et qu'il voit dans les tiens combien toute cette histoire t'avait touché, bien plus qu'il ne pouvait l'imaginer. Mais sous la pulsion, tu ne réalisais pas que vos visages étaient si près, tu réalisais pas ton geste, votre contact. Trop emportée par la colère. Par la douleur de le perdre, encore une fois.

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Je n'avais pas dit ça pour la blesser. Pour ça que j'avais pas ajouté son prénom à la liste même si oui, il y était... L'aveu de mes sentiments qui était resté sans réponse en début du spring break, la retrouver au lit avec un autre à la fin des vacances, qu'elle se mette soudain  en couple comme ça, qu'on s'éloigne ensuite et qu'elle finisse, encore, dans les bras d'un autre pendant mon incarcération, info qui m'avait été donnée par sa soeur, oui tout ça clairement ça y contribuait et j'aurais pu donc ajouter son nom à la suite de ceux des filles auxquelles je m'étais accroché à sens unique. J'aurais pu sauf que... À la différence des autres, elle, Ashleigh Strauss, je l'avais toujours dans la peau. Et puis quand bien même ça ne serait plus le cas. Elle était ma meilleure amie. Je ne voulais pas la blesser en lui renvoyant à la figure qu'elle avait pu me faire souffrir. Mais Ash repliquait que c'était elles toutes les fautives, m'interdisant de porter le chapeau et de me dénigrer. " Je ne me dénigre pas promis mais... Dis pas qu'elles sont connes. Peut être que le fautif c'est juste cupidon. Il ne sait pas viser." Parce que même si mes ex ne m'avaient pas toutes très bien traité, je refusais qu'on les insulte. Quelqu'un qui a compté compte toujours un peu... Et puis peut être que si j'avais fait ma vie avec Émilia, avec Louve, avec Gab, Ashleigh ne serait jamais entrée dans ma vie. Peut être même qu'on ne se connaîtrait même pas. Alors oui, personne ne dénigrait personne, on blamait cupidon. De toute façon, Ash allait prendre sa place et moi je récupérais celle de son fidèle assistant prêt à l'aider dans ses magouilles, réclamant un salaire au passage. "Petits déj avec douche froide ou chanson à tue tête ?  Je vais peut être travailler bénévolement en fait." Rigolai-je alors que j'avais envie de lui réclamer une seule chose. Comme dans mes lettres... Ses lèvres sur les miennes... Je devais bien prendre sur moi, essayer de plaisanter, de penser à autre chose, et surtout ne pas trop la dévorer des yeux... Tout ça pour réprimer cette envie de l'embrasser fiévreusement. Puis parler de choses sérieuses,  de mon futur potentiel taf, ça m'aida à dissiper, furtivement, mon désir... Oui j'allais faire pas mal d'heure si j'étais embauché, mais qu'importe car miss Strauss avait un plan pour qu'on passe malgré tout du temps ensemble. Et je lui promis d'être un prof exigeant, qu'elle n'échapperait pas aux pompes cette fois. Elle répliqua qu'elle se vengerait au loft. "Ha oui ? Et tu te vengera comment ? En recommençant les réveils en fanfare ? Tu sais que je vais dormir ma porte verrouillée en fait." Ouais genre. Dès le soir même j'allais réclamer qu'on dorme ensemble et le lendemain encore, j'allais limite la supplier par texto pour qu'elle squatte mon lit... Mais bon, pour l'heure, je faisais style. Et puis je repris, sur un ton sérieux, sincère : "J'aurais toujours du temps pour toi Ash." Je pourrais avoir trois, quatre, cinq jobs même que je m'accordais toujours un temps avec elle. Ça sonnait comme une promess, bien assortie avec celle de ne plus jamais s'éloigner aussi longtemps l'un de l'autre. J'objectais un peu en comprenant, après coup, le sacrifice que ça impliquait pour elle. Mais obstinée qu'elle était, elle ne voulait rien entendre. Elle repliquait même qu'elle irait chez Lucky . "Tu sais très bien que je te veux..." Ok dis comme ça, c'est étrange alors : "...Je te veux tout l'été avec moi. " Bon entre ça et la discussion salle de bain, je me sentais prendre une pente glissante et c'est avec la pirouette du téléphone gardé par la police que je renchanais, acceptant finalement que mon amie m'en offre un autre. Ou avance les frais pour moi. Endetté ta vie pour endetté à vie, je n'étais plus à cela prêt.

 D'abord je ne remarquais rien. Elle s'était écartée me tournant le dos. Alors je ne notais pas son agacement, continuant à parler du portable en acceptant finalement son offre tout en m'approchant de sa voiture. Et comme elle ne me suivait pas, je fis volte face pour la regarder. Et là, son énervement me sauta au visage. A sa façon de respirer, de s'agiter... "Qu'est-ce que j'ai dit?" Questionnai-je sans comprendre. Et elle explosa. Je n'avais pas compris.  Selon elle, c'était leur faute. Le téléphone venant D'Hadès c'était donc sa faute. D'autant plus qu'il détestait les mathers. Qu'il était ami avec le grand ennemi d'Ash. Je la regardais perdre son calme avec un petit air incrédule. J'avais envie de lui dire qu'on s'en fichait, que qu'importe qui était à l'origine du quiproquo j'étais désormais dehors, mais vu comme elle était, je n'osais même pas l'interrompre. "Ash, je..." Commençai-je en cherchant les mots pour faire redescendre sa colère sans les trouver pour autant. Et la demoiselle s'approcha de moi pour m'interdire de leur parler, m'affirmant qu'ils étaient tous indigne de confiance . "Mais..." bredouillai-je avant de me taire, coupé,troublé par ses mains qui venaient de se placer autour de mon visage, soudain tout proche du sien. Mes prunelles plongées dans les siennes, impossible de m'en décrocher, impossible de m'éloigner. Elle était la devant moi, un peu furieuse, son petit air furibond, révolté, celui qu'elle avait souvent quand il s'agissait des Eliots, et puis elle avait cette lueur blessée dans les yeux, stigmate de ma détention, qui, je ne comprenais bien, n'avait pas été qu'une épreuve pour moi.  Elle était donc la devant moi, toute proche, à seulement quelques millimètres, avec sa beauté fracassante, chacune de ses expressions ne la rendant que plus sublime. "Ash..." Toute mon envie, tout mon désir, toute ma frustration dans ce soupir. " Personne ne nous séparera. Je te promets. " Et mon front vint se poser sur le sien. Mes mains glissèrent sur ses hanches, mes paupières se fermèrent un instant pour se rouvrir la seconde suivante et je lançai, dans une dernière tentative pour lutter contre l'attraction qu'elle avait sur moi : "Si tu restes comme ça par contre, je vais finir par te voler ce baiser que je t'avais réclamé..." avertis-je.
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Tu l'adores Denys, tu l'adores énormément, mais cette manie de défendre ses exs... tu comprendras jamais. Pour Louve et Emilia, tu sais vaguement ce qui s'est passé. Mais Gabrielle par exemple, tu sais qu'elle l'a fait souffrir en beauté, à le prendre, le jeter. Le draguer, le repousser. C'est limite si elle ne lui a pas brisé le cœur cinquante fois, pour toutes les fois où elle lui faisait croire qu'il avait une chance avec elle. Bref, il préfère mettre la faute sur cupidon que sur les demoiselles. Tu insinues que c'est ma faute ? Etant donné que tu étais le cupidon de tes amis, tu jouais avec les mots. Façon d'écourter le sujet des exs dont t'avais pas envie de commenter en long, large, travers, alors que tu le retrouvais à peine. Justement sur ce cupidon, il réclamait un salaire pour son aide. Salaire que tu proposais de massages ou petits déjs, lui voyant les souvenirs des réveils au retour du sb et voulant décliner l'offre. J'aurais dit des petits déjs en douceur, avec un fond de musique agréable, pas fort, pour se réveiller doucement, ou avec des papouilles... que tu le nargues. Mais bénévolement ça ira... Trop tard quoi, il venait de perdre sa chance... Tout comme toi tu venais de perdre un peu ton sourire en sachant qu'il bosserait beaucoup, mais trouvant bien vite une idée. Tu te voyais pas l'attendre tous les jours qu'il revienne du boulot. Enfin si, sauf que bon tout le monde allait être au sc, t'aurais pas grand monde à Boston, t'allais bien vite tourner en rond, ou finir par louer un garage afin d'y stocker toutes les fringues que tu allais acheter, trouvant ton occupation dans le shopping et de quoi faire griller la carte bleu de papa Strauss. Lui, il envisageait de te 'maltraiter' avec ton idée pour passer du temps avec lui. Tu sais qu'une poignée de porte ça se démonte Denys... Haussement de sourcil, rien qu'avec ça, tu lui prouves qu'il aura beau faire ce qu'il veut, si tu veux lui mener la vie 'dure' pour la souffrance qu'il causera à ton petit corps, tu auras des tas d'idées. Et le loft étant désormais le tien, tu pouvais sans problème casser un mur et ensuite payer les travaux, si besoin est d'en arriver là. #cinglée. Mais il te rassurait en confiant avoir toujours du temps pour toi. Ce qui fit apparaître un sourire sur tes lèvres, bien que tu poussais le vice un peu plus loin, jouant la victime, l'informant que tu pouvais toujours aller chez Lucky si besoin est, pour qu'il souffle s'il en avait marre de te supporter. Loin d'être le cas, lui il voulait que tu restes avec lui tout l'été. Un nouveau sourire, encore plus grand, plus satisfait, de l'entendre dire ces simples mots qui avaient un effet incroyable sur ton moral, ton humeur. Mots gâchés par son aveux de prévenir Hadès concernant le téléphone qu'il lui avait passé. Téléphone dans lequel ils avaient trouvé des preuves. Comme de par hasard ? La coïncidence tu n'y croyais pas et tu vrillais facilement en le voyant encore aussi naïf. Oui tu l'aimais pour ce côté insouciant qu'il avait, à voir du bon en tout le monde, à laisser une seconde chance, même une troisième, pour aimer les gens malgré qu'ils puissent lui faire du mal. Mais là, non. Juste non. Tu ne tolérais pas qu'il soit naïf sur ce point là quand ces personnes avaient détruits sa vie et vous avez éloignés. Tu tentais de lui ouvrir les yeux, t'emportant. Et tu te maîtrisais, car c'était lui, car tu le retrouvais à peine. Sinon t'aurais été sûrement plus dur, plus cru. Il restait sans mots. La première fois qu'il te voyait en pétard comme ça. Toutes vos disputes avaient toujours eut lieu par sms, ce qui avait été un mal pour un bien, mais fallait une première à tout. Et dans un élan, une pulsion, tu attrapes son visage pour bloquer vos regards l'un dans l'autre, lui demandant de te promettre et que tu ne veux plus qu'ils vous séparent. Ni eux, ni personne. T'en avais bavé de son arrestation, de son enfermement, de l'interdiction des visites, des appels de cinq minutes par ci par là, seulement une à deux fois dans la semaine, des lettres qui t'avait donné encore plus envie de le voir. Pas question de repasser par ce genre de choses. De tous, t'avait été la plus touchée, la plus brisée de le voir là bas. Tes mains toujours présentes sur son visage, il promettait que personne vous séparerez. Tes paupières se fermèrent à l'instant même où il parlait, sentant alors son front venir se poser contre le tien, et ses mains agripper tes hanches. Plus proche que jamais. Tu pouvais sentir son souffle sur toi quand il reprit la parole, te mettant en garde sur ce qui allait venir si tu restais ainsi. Ton cœur manque un battement, se serra dans ta poitrine. Les yeux toujours fermés, sans même t'en rendre compte tu te mordis la lèvre du bas. Tu repassais ses mots dans ta tête, et deux choix s'offraient à toi à cet instant. Rester comme ça et goûter à ses lèvres à nouveau ou, t'éloigner pour qu'une telle chose se produise. Et pourquoi c'était toujours à toi de briser tout rapprochement comme au spring break pour l'anniversaire de Louve, à cause de ce foutu défi de l'époque ? Parce que là, tous tes sens réclamait ce rapprochement, le goût de ses lèvres, encore une fois, rien qu'une. Je devrais avoir peur ? que tu lui demandes finalement, ouvrant à nouveau les yeux, remontant tes pupilles vers les siennes, séparant ainsi le contact de vos fronts. Joueuse, comme toujours, tu préférais te mettre dans ce rôle et feindre l'indifférente, celle qui n'y voyait aucun mal, aucun risque. C'était bien sûr tout autre. Parce que c'est pas le cas... Et on a ton téléphone a allait acheter, avant de rentrer chez nous. Tu le provoquais oui, parce que ce petit jeu, cette ambiguïté naissante d'avant la prison, ça t'avait manqué. Malgré que tu pensais que c'était pas la bonne chose à faire, trop risqué de te faire tomber encore plus dans ses filets. Pour le coup, tu déposais un simple baiser au coin de ses lèvres. Alors t'attends quoi ? que tu dis, attrapant une de ses mains. Un attend quoi qui pouvait signifiait pour le baiser comme pour le moment d'aller sérieusement acheter son téléphone. Toujours face à lui, une de tes mains dans la sienne, tu avançais en arrière vers ton véhicule.

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« Peut être que tu devrais porter des lunettes, petit cupidon en carton. » la charriai-je, avant de laisser les doigts courir le long de ses côtes pour la chatouiller. Ouais non, elle était pas mon Cupidon à l’époque, que ce soit pour Emi, Louve ou même Gabrielle. Donc je ne la blâmais pas elle pour ça. Mais si elle avait pu, je sais pas, être moins géniale, moins drôle, moins attachante, moins intelligente, moins sublime, ça, ça m’aurait arrangé, et ça m’aurait évité d’être là, à la regarder rire sous mes guilis, la dévorant du regard, complètement mordu, complètement fichu. Comment j’allais la tenir ma place de meilleur ami moi si ça s’éteignait pas ce truc qu’elle provoquait en moi ? Et quand je refusais son offre de paiement, craignant déjà des réveils en fanfare comme elle savait si bien les faire, elle s’amusa à me dresser un tout autre tableau, un tableau qui n’était pas sans me rappeler le réveil aux framboises… « Attends en fait je… » Trop tard, elle venait de décréter que j’allais bosser bénévolement en tant qu’assistant cupidon. « T’as intérêt d’être une gentille patronne. » Ouais parce que j’allais cumuler trois boulots moi : assistant de mademoiselle Strauss pour jouer les entremetteurs, mécano et coach de sport, peut être, si j’étais embauché. Et Ash s’invitait déjà comme cliente du gymclub, histoire qu’on se voit plus, même si moi je saisissais l’occas’ pour la faire marcher et lui faire peur quant aux innombrables exercices, pompes, abdo que j’allais lui réserver. Menaces en entrainant d’autres du même genre de la part de la blonde, qui me promettait de belles vengeances au loft, qu’importe que je verrouille ma porte. « Il en faut plus pour m’effrayer. Puis tu seras tellement fatiguée de tes séances de sport que tu roupilleras toute la matinée. » taquinai-je. Et puis donc pas de Sc, intransigeante, têtue. C’était peine perdue de lui faire entendre raison. Même qu’elle répliquait qu’au pire elle irait chez Lucky, juste pour me faire avouer que je la voulais, tout l’été, avec moi. Et que j’étais égoïste pour le coup. Mais après deux mois et demi, je pouvais l’être un peu non ? Et ensuite, on parlait téléphone et sans que je tilte d’abord pourquoi, l’ambiance vrilla sur le champ. Je me tournais vers elle et découvrais une Ashleigh que mes mots avaient rendue furieuse, fulminant contre Hadès, contre toute sa bande, grognant contre moi et ma naïveté, essayant de me faire comprendre qu’ils étaient forcément impliqué dans l’épreuve que je venais de vivre. Qu’on venait de vivre. Parce que sa fureur elle venait de là : la crainte que ça recommence, qu’on nous sépare. Et c’est finalement collés l’un à l’autre, mon front contre le sien, mes mains sur ses hanches, que je lui soufflais l’assurance que ça ne se produirait pas, que rien ne nous séparerait.  Ses yeux se refermèrent, les miens se rouvrirent pour la scruter, admirant chacun des petits détails de son visage qui la rendaient si unique, si parfaite… C’était de la torture. Et il ne restait pas grand chose de mes bonnes résolutions. Juste assez pour ne pas fondre tout de suite sur ses lèvres, pour lui glisser cet avertissement, qu’elle ne devrait pas rester ainsi, si proche, sous peine de se voir voler ce baiser que je lui avais quémandé dans nos lettres. Je ne ratais pas le mouvement de ses lèvres, ce léger mordillement sensuel qui ne fit qu’accélérer la pulse de mon sang dans mes veines, et heureusement, à la seconde où je me sentais vaciller et où j’allais finir par rompre le peu de distance qu’il restait entre nos bouches, son front s’éloigna, ses paupières vacillèrent et ses prunelles réapparurent, allumées d’une lumière joueuse alors qu’elle me questionnait sur la peur qu’elle devrait ressentir. Du jeu, un certain détachement, comme si ça ne voulait rien dire, comme si ce que j’avais réclamé dans mes courriers n’avaient pas plus de sens que ça, un petit geste, une petite attention que je lui aurais réclamé, comme on réclamerait une boîte de chocolat ou une friandise après une rude épreuve. Elle le voyait donc ainsi ? Elle pensait que j’étais juste trop en manque, que j’avais simplement besoin de contact physique ? J’en restais muet, quelques instants, songeur, l’entendant d’une manière lointaine, plongé que je l’étais dans ma réflexion, alors qu’elle listait ce qu’il nous restait à faire pour le reste de l’après midi. Et puis là dessus, elle s’avançait pour déposer un smack ultra furtif au coin des lèvres. « C’est pas un baiser ça… » protestai-je alors qu’elle me pressait d’un ‘t’attends quoi’ que je ne sus pas vraiment interpréter. « Que Cupidon vise mieux. » Et ça aussi, tu l’interprètes comme tu veux Ash. Parlais-je du mini baiser qu’elle venait de me donner et dont elle devrait revoir la localisation de façon plus centrale, ou est-ce que je parlais du fait qu’une fois encore, le schéma se répétait, et que donc Cupidon n’avait pas du la prendre dans son viseur ?  

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Le cupidon c'est toi, tous tes amis le savent puisqu'une bonne partie d'eux ont le plaisir de subir tes foudres, ou tes flèches, via des rendez vous arrangés. Ben ouais ils ont de la chance d'avoir une amie qui s'inquiète de leur vie sexuelle et amoureuse comme tu le fais. Pour l'heure, tes compétences sont remises en cause par Monsieur Zacharias. Tu crois que ça ferait plus sérieux ? Moi je crois que ça ferait surtout secrétaire sexy, et c'est pas mon rôle. Jusqu'à présent, c'est vrai, les couples que tu avais tenté de former, c'était que du flop. Denys/Kacy, Agathe/Marin. Y avait Aaron et Ivy qui peut être allait relever le niveau, mais compliqué vu que la jeune femme avait décidé de plus te parler. Puis niveau cupidon, l'assistant voulait être payé. Toi tu proposais des réveils sympa, mais lui il y voyait le mal immédiatement, si bien que tu détaillais ce que ça aurait pu donner les réveils, mais tu l'en privais, annonçant que l'accord était fichu. Il pouvait s'en prendre qu'à lui. Si tu promets d'être un gentil coach ? Qu'il croit pas que tu allais être mignonne s'il t'en faisait baver à son job. C'était donnant/donnant, puis t'es le genre qui dit 'en amour comme à la guerre, tous les coups sont permis'. Forcément, tu pouvais promettre d'être gentille mais tout de même le torturer. Ce côté plus sympa, plus joueur, tout à fait toi. La preuve était que tu lui montrais que rien ne t'empêcherait d'arriver à tes fins, pour le torturer, s'il se montrait tortionnaire pendant les séances de sport. Pas effrayé le coco, il se jouait même de la situation, de ton épuisement à venir après le sport. Dommage, c'est toi qui perdra du temps avec moi le soir et le matin alors, et mon lit qui en gagnera beauuuuucoup. Il voulait jouer ? Tu jouais. Quoi de mieux que le narguait avec ton absence, à sous entendre que tu ferais la petite vieille, douche, repas, et dodo, super tôt, direct après ton sport ? De quoi lui faire réfléchir à deux fois et changer d'avis. Si tout se passait super bien, complicité présente, sourires sur vos lèvres, comme si vous ne vous étiez jamais séparés pendant deux mois et demi. Ca déjantait vite quand tu proposais de lui acheter un tél et que lui il pensait à celui d'Hadès, à Hadès même, le prévenir etc. La dernière chose à faire c'était de parler de ce gars, de sa bande, des eliots, parce que là tu te contrôlais plus. Tu devenais une boule de nerfs, de colère, prête à tout détruire sur son passage. C'était ce que tu étais les derniers temps. Aujourd'hui, t'avais retrouvé cette paix et sérénité, grâce à lui, mais qui venait de s'envoler comme rien. T'avais aucune preuve, aucun moyen de les faire tomber, juste ces connexions, cette intuition, qu'ils étaient dans le coup, qu'ils y étaient pour quelque chose. Comment pouvait-on détruire la vie d'une personne à ce point ? Son avenir ? Tout ça pour une histoire de maisons universitaire ? Ils étaient capables de tout, et lui trop naïf, trop bon, ils risquaient de retomber dans le piège. Il risquait d'être encore qu'un pion pour atteindre des personnes comme toi. Il en était hors de question. Tu le mettais alors en garde, lui interdisant tout contact avec ces gens, te calmant enfin avec sa voix, son contact. Son regard bleu azur. Oui il venait de te mettre en pétard, mais il avait surtout ce don de t'apaiser, de te calmer. Juste avec son touché, ses mots, sa voix. Et tu avais juste envie de le serrer encore plus fort contre toi, de déposer tes lèvres sauvagement sur les siennes... Ce qu'il osa demander. Les cartes entre tes mains, tu pouvais faire ce que tu mourais d'envie de faire. Mais à quoi bon ? Pour succomber un peu plus dans tes sentiments grandissants pour lui ? Pour devenir que plus dépendante de ses lèvres, de son corps ? Quand tu pensais qu'il devait juste être en manque d'un contact physique, de la vision d'une femme... Il allait falloir que tu parles avec lui, que t'éclaircisses cette situation, que tu trouves des réponses, mais pour l'heure, tu t'amusais de lui, de vous, ta façon de cacher toute cette frustration, cette envie, qui te frappait dans le ventre et la poitrine. Un simple baiser, au coin de ses lèvres, et c'était déjà trop. Déjà trop proche, trop intense, ce que bien sûr il contredisait. C'était bien un baiser, juste pas un comme tu avais envie de lui donner. Alors, tu lui faisais signe qu'il fallait y aller, droite dans ce mur avec ce baiser, ou juste au magasin pour son tél. Réponse totalement opposée de sa part. Que Cupidon vise où ? Du tac au tac, tu t'enfonçais toi même dans ce que tu essayais de combattre. Tu luttais contre tout ton corps, tes pensées, tes envies. Mais tu te brûlais que plus avec ces sous entendus, cette ambiguïté. Moi je trouve qu'il vise bien... Petit commentaire à double sens, là encore. A prendre concernant le baiser, tout comme le concernant lui. Si tu avais merdé à tomber pour ton meilleur ami, tu étais assez honnête avec toi même pour savoir que Denys était un mec en or, idéal, et qu'il t'avait apporté beaucoup cette année, sans même que lui ne s'en rende compte. Faut juste savoir saisir les chances qu'il offre que tu t'amuses, maso complet, en l'emmenant complètement à ta voiture. Ton audi. La même que tu avais prise pour aller le chercher à l’aéroport, au retour du Mexique. Une pression sur ta clé, la voiture se déverrouille. Côté conducteur, tu montes dedans, la clé enclenchait dans son trou, la ceinture prête à être bouclée. Et d'une voix douce, calme, presque neutre, le visage tourné vers lui : tu sais que je l'ai toujours pas baptisé ? Un sourire en coin se dessine sur tes lèvres. Petit rappel de la discussion du retour du Mexique, ta voiture qui n'avait jamais eut à faire les frais d'une de tes parties de jambes en l'air. Tu te détestes aussitôt au moment où t'as osé dire ça. Bien que sa réaction, sa réplique, tu l'attends les bras grands ouverts. Plus fort que toi, impossible de rester impassible avec lui. T'as bien trop prit goût à ce petit jeu du chat et de la souris, quitte à y perdre les plumes.

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 Pourquoi j’avais parlé de lunettes ? Non parce que forcément, quand on parlait lunette, chez Ash ça voulait dire jeu de rôle où elle endossait celui de la secrétaire sexy, et moi rien que d’en parler, j’avais des images dans la tête, imaginant la blonde dans un petit tailleur moulant, un chemisier bien décolleté… Cliché. « Moi je pense que ça t’irait bien. » que je soufflai donc avec un sourire déjà conquis rien que d’y penser. Enfin bon, toi, Denys, même dans un sac à patate Ashleigh réussirait encore à te faire baver. Fallait que je reprenne. Parlons taf, parlons de la torture qu’en tant que coach tortionnaire j’allais lui imposer. Sauf que je parlais à Ash, et qu’elle savait y faire la petite. « On ne négocie pas avec son coach. Je postule dans un gymclub, pas dans un institut de massage. » On venait pas faire du sport pour se la couler douce, fallait souffrir un peu quand même, sinon c’est que ce n’était pas efficace. Alors à l’écoute de ses menaces, je ne me laissais pas démonter, promettant qu’elle serait trop usée le matin pour venir m’embêter. Et là encore, elle répliquait. « T’as vraiment réponse à tout. J’aurais jamais le dernier mot avec toi c’est ça ? » rigolai-je, en venant finalement embrasser sa joue et cédant par un : « Je ne serais pas trop intransigeant, promis. » Ash gagnerait toujours.
Et si ces premiers instants avaient été parfaits, en deux deux, tout vrilla. Il avait suffi d’une phrase, d’une évocation à Hadès et mon intention éventuellement, de m’excuser pour le téléphone dont il ne reverrait jamais la couleur et qui était sien à la base. Ash perdit son calme, furieuse, complètement en pétard. Et puis elle s’approchait, emprisonnant mon visage de ses mains, venant me réclamer la promesse de ne pas les laisser se mettre en nous, de ne pas les laisser nous séparer. Promesse que je fis, avant de me noyer dans l’azur de ses yeux, de me laisser troubler par la proximité de son visage, de ses lèvres, ses aimants sur lesquelles les miennes rêvaient de venir s’accrocher. Je me risquais donc, me référant à ‘la demande de ma lettre’. Elle ne pouvait pas l’avoir oubliée. Elle n’avait jamais dit oui, jamais dit non. A l’époque nos retrouvailles nous paraissaient un truc lointain, dur de s’y projeter, mais à présent, Ash devant moi, Ash près de moi, j’avais plus que jamais envie de ce baiser. Mais la blondinette n’était qu’humour et détachement, je lui aurais réclamé n’importe quoi que ça aurait été pareil. Et ça me troublait, comme ce micro bisous de rien du tout qu’elle m’offrit au coin des lèvres. Alors quand elle me demandait ce que j’attendais, je ronchonnais au sujet de cupidon qui visait mal, phrase que l’on pouvait tournait dans tous les sens et la comprendre de plusieurs façons. Elle me demandais de préciser, trouvant elle que le célèbre angelot visait bien, je répliquai : « Je vais vraiment t’acheter des lunettes Ashleigh. » Ouais, peut être que je lui ferais le coup. Parce que c’était vrai que j’avais vachement besoin de l’imaginer en secrétaire sexy, je fantasmais pas assez sur elle déjà. Fallait croire que j’aimais me faire du mal. Et en sous entendant que je ne savais pas ‘saisir les chances qu'il offrait’ elle m’entraina jusqu’à sa voiture, me laissant encore plus confus, perplexe, perdu. C’était moi qui avais ré-initié le jeu de l’ambigu, abandonnant après à peine cinq minutes les bonnes résolutions d’amitié platonique que je m’étais fait à moi même pendant ma détention. Alors je ne pouvais m’en prendre qu’à moi même ensuite, quand une fois installés dans son audi, elle relança le jeu sur ce terrain là toujours, faisant remarquer qu’elle n’avait toujours pas ‘baptisé’ le véhicule. « Quoi ? Ni Darren, ni Dimitri, ni un autre, n’a eu le privilège ? » que je lançais alors avec une certaine jalousie à peine masquée, piquant, sarcastique, bougon, lui citant les deux noms de ces conquêtes connues pendant les deux mois et demi qui venaient de passer. Ha oui, Ash, tu te souviens de Denys chonchon ? Il est sorti aussi de prison tu vois.


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Qui dit lunette, dit secrétaire pour toi et secrétaire sexy donc. C'était pas ça ton rôle mais celle de Cupidon, bien que ton meilleur ami te voyait bien dans ce rôle là. Là encore, t'étais dans le floue. Etait ce une simple taquinerie ou y avait-il un sens caché ? Va savoir. Ce qui était sûr c'est qu'il comptait t'en faire baver en tant que coach sportif. Pas le temps de rigoler avec lui. Le travail c'était le travail. La bouche ouverte en grand, tu fais genre t'es choquée, avant de le 'menacer'. S'il t'épuise comme il envisage de le faire, tout ce qu'il obtiendra c'est que tu fasses des grasses mats, ce qui veut dire moins de temps pour lui le soir, comme le matin. Et CA c'était un argument de taille, que tu espérais, si tu lui avais manqué comme il t'avait manqué. Pris à son propre jeu, tu hoches la tête. Jamais que tu dis fière de toi, sourire aux lèvres, le narguant. T'étais pleine de ressources et quand tu voulais quelque chose, tu faisais tout pour l'avoir. Persévérante, ou têtue, à prendre comme vous voulez, en qualité, ou en défaut. Et il cédait, promettant de pas être trop dur. Sourire aux lèvres, tout bascula ensuite. Hadès, le tél offert à Denys, ta colère, l'envie d'ouvrir les yeux au jeune homme, pour se re calmer à nouveau. Yeux dans les yeux, corps si proches, lui affirmant un potentiel baiser volé si tu ne bougeais pas. Et joueuse, aussi un peu effrayée, qu'il soit juste en manque de contact, de femmes, tu le lui donnais mais sur la joue, au coin des lèvres. Pas vraiment ce qu'il avait souhaité. Et pour ne pas tomber encore dans ce risque de contact trop proche, tu voulais l'entraînais à quitter ce lieu dont il ne remettrait plus les pieds. Le motivant avec un 't'attends quoi' significatif pour le baiser s'il le voulait qu'il vienne le chercher, Den' s'en prit à Cupidon ou toi, qui visait mal. Double sens, dont tu répondais du même genre. Et à ce jeu, tu te perdais, ne sachant pas déceler le vrai du faux. Ce qu'il pensait vraiment ou s'il jouait juste, ce qui te faisait te poser encore plus de questions à son sujet. Mais tu ne te stoppais pas pour autant, t'enfonçant dans cette pente, dans cette ambiguïté. Encore plus dans ta voiture, faisant la remarque que tu n'avais toujours pas baptisé l'engin, le lieu. Surprit, presque choqué, il citait Darren et Dimitri comme cible potentielle qui aurait pu y passer. Ah non, non, pas question de partir dans ce sujet. De remettre de l'huile sur le feu. Tu ne souhaitais pas t'expliquer sur le premier, ni remettre le couvert avec le dernier. Façon il était en couple avec une amie, dieu merci ça évitait des soucis. Nop que tu lâchais avec une voix plus enjouée que la sienne. Allez dit au revoir à cette prison, t'as plus intérêt à y mettre un pieds ! que tu dis en démarrant le véhicule, positionnant le levier sur le R pour reculer et sur le D pour aller à un magasin de téléphonie. Fenêtre ouverte, tu sortais ton bras à l'extérieur, vaguant ta main pour dire au revoir à ce lieu. Soulagée. Heureuse. L'oxygène retrouvée. Et direction une boutique pour lui acheter son téléphone.

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  Retrouvailles entachées par ce moment, par mes mots au sujet d’Hadès qui firent vriller l’ambiance. Et si l’espace d’un instant, quand emportée elle vint s’emparer de mon visage approchant le sien, je me mis à espérer de nouveau ce baiser réclamé dans mes lettres, c’était illusoire. Ash tout en désinvolture et en détachement, joueuse, m’embrasser à la lisière entre lèvre et joue, smack qui n’avait rien d’un baiser et qui nous fit nous perdre dans des propos à double sens sur les facultés à viser de cupidon. Et si elle gardait son entrain, moi, je me sentais devenir chonchon en montant dans le véhicule. La frustration peut être. La fatigue de ces derniers jours aussi, avec le procès. Ou alors juste le fait de constater que rien n’avait changer : fou d’elle et elle se fout de moi. Même le fait de relancer notre petit jeu, les allusions sur les lieux testés, Ash soulignant que son audi n’avait toujours pas été baptisée, même ça, ça me faisait ronchonner. Réplique piquante et sarcastique m’étonnant du non passage ni de Darren, ni de Dimitri, ni d’un autre sur la banquette arrière, on pouvait sentir la jalousie pointée dans ma voix. Rien qui ne fit flancher la bonne humeur de la blondinette qui clôturait le débat d’un ‘nop’ avant de démarrer. Et je restais songeur quelques secondes, les images de la demoiselle dans les bras de son petit ami, ex désormais. Ce mystérieux gars sorti de nul part dont Lucky n’était persuadé qu’il n’était qu’une fausse relation. Est-ce que tout avait été fake ? Où l’avait-il fait ? Est-ce qu’elle le voyait au loft ? Chez lui ? Ailleurs ?  Et ce Dimitri là, ça, ça avait été vrai alors, où s’étaient-ils fréquenté ? Et Ashleigh m’arracha de mes ruminations en me soufflant de dire au revoir à la prison, ajoutant qu’elle ne voulait plus m’y voir. « On n’aura même pas eu de parloir… » commentai-je, mon regard voyageant sur le bâtiment pénitentiaire quelques secondes, réalisant que j’étais libre, et en train de me prendre la tête pour des bêtises. Osef de ces gars. En plus, je m’étais dit que j’allais reprendre ma place de BF, un meilleur pote ne jalouse pas chaque fréquentation de sa meilleure amie, me sermonnai-je intérieurement. « Mais de toute façon, c’est mieux de te voir en vrai. Je suis sûr que tu te serais foutue de moi. Le orange c’est pas ma couleur. » lançai-je alors, retrouvant un peu le sourire alors que l’on s’éloignait de l’endroit et qu’Ash roulait vers une zone commerciale.


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