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I would do anything for you • Denys

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C'était le défilé des avocats. Il fallait peaufiner le plaidoyer, n'oublier aucun détail, m'entraîner encore à ce moment où le juge m'appellerait à la barre... Gab était aux abonnées absente. Avait-elle lâché mon dossier après notre dernière discussion un peu tendue ? Ou alors s'était-elle dit que c'était un cas perdu d'avance ?  Je n'en savais rien... J'aurais pu stresser mais au lieu de cela j'étais bizarrement impatient, presque fébrile. En  grande partie parce que début du procès = ouverture du droit de visite et donc revoir Ash. "Zacharias, courrier !!!" Tonna la voix du gardien en faisant glisser la lettre dans ma cellule. Je fonçais les sourcils intrigué. J'avais fait savoir à Ash qu'elle avait le droit de venir me voir, lors du coup de fil surprise avec Alexys. Alors pourquoi m'écrirait-elle ? Parce qu'il n'y avait qu'elle, et sa soeur, qui m'écrivaient ici. C'est donc avec  un mauvais pressentiment que j'ouvris l'enveloppe. Mauvais pressentiment qui se confirma vite. La soeur d'Ashleigh avait disparu après avoir pris un vol pour l'étranger. Mes pensées se focalisèrent aussitôt sur ma meilleure amie, l'angoisse qui devait l'habiter et qui se sur ajoutait probablement aux épreuves qui se cumulaient un peu trop ces derniers temps. Mentalement, je décidais que, tant pis pour les avocats, mon appel du jour lui serait dédié à elle. Il fallait que je m'assure qu'elle allait bien malgré tout.
Une sonnerie. Puis deux. Puis trois... puis sa messagerie. Aie. Je crevais d'envie d'entendre sa voix. J'allais devoir me contenter de son 'bonjour vous êtes bien sur la messagerie d'Ashleigh Strauss...' Grande inspiration et je commençai :

"Ash..  C'est Denys. Je viens de recevoir ta lettre. Je voulais savoir comment tu te sentais. Mais tu dois être occupée avec les recherches et tout ça... "

Essayant de pas paraître trop déçu, même si j'aurais adoré l'avoir devant moi, je ne devais pas être égoïste. Elle devait être très inquiète pour sa soeur et elle avait pas besoin que je la culpabilise de ne pas être venue.

"Je pense fort à toi et j'espère que vous allez vite avoir des nouvelles de ta frangine. T'en fais pas pour moi, pour ta visite. Mon plâtre attend sagement ton autographe. Tu me manques aussi mais prends le temps qu'il faut pour retrouver ta soeur. Courage... Et je te rappelle très vite..."

Je reposai le combiné ensuite, raccrochant, terminant mon message sur ces mots, l'air soucieux.



@Ashleigh H. Strauss
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Quelques jours plus tôt, j'avais essayé de joindre Ash sans succès. Occupée, à l'étranger, cherchant sa soeur, ma meilleure amie n'avait sûrement pas pu prendre mon appel. Mais aujourd'hui, 4 juin, impossible de ne pas retenter un coup de fil. C'était son anniversaire. Je voulais absolument lui souhaiter de vive voix... Mais de nouveau, les tonalités résonnaient. Une fois. Deux fois. "Allez Ash... Décroche..." Et messagerie... À nouveau je n'eus le droit d'entendre sa voix que via son 'vous êtes bien sur la messagerie de..." Une petite pointe d'inquiétude vis à vis d'elle, imaginant la tension et le climat dans lequel elle allait passer cette journée, j'espérais vraiment que sa frangine ré apparaîtrait rapidement. "Hey... Ash... C'est Denys. Décidément je ne sais pas si c'est le décalage horaire ou quoi mais on va pas réussir à se parler je crois. J'aurais aimer t'entendre..." Petite pointe de déception que je ne laissais pas s'installer dans mon ton, reprenant de façon plus enjouée : "Je voulais te souhaiter un bon anniversaire. J'espère vraiment que t'auras le retour de ta soeur comme cadeau. J'aurais aimé être avec toi... " Être absent, être loin d'elle, ça devenait de plus en plus pesant. "J'ai peut-être un cadeau pour toi aussi. Je te dirais ça quand je te rappellerais. Écris moi pour me dire quel jour et quel moment je peux t'appeller sans te déranger." Je me sentais mal. De manquer son anniversaire. De ne pas être là dans cette nouvelle épreuve qu'elle traversait avec la disparition de sa soeur. " Je suis désolé, je voudrais être là... Tu me manques. Tu me manques trop... Essaie de profiter de ta journée quand même. Encore joyeux anniversaire Ashleigh." Soufflai-je avant de raccrocher.
@Ashleigh H. Strauss
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Écrite le dimanche 4 juin, posté le 6 juin

Denys,

J'ai encore manqué ton appel... Tu peux pas savoir comme je suis dégoûtée. Je suis encore à Zanzibar, on a toujours pas de nouvelles, de traces d'eux, et j'ai reçu plusieurs messages pour mon anniversaire mais... ton appel, c'est ce qui m'aurait fait le plus de bien. Je suis énervée de l'avoir raté, encore. J'aurais adoré t'entendre me chanter happy birthday (a). Tout le monde me parle de le fêter, mais j'en ai pas envie cette année. Parce que ma sœur est je ne sais où, puis surtout, parce que t'es pas là. Je me serais bien vu juste dans notre loft, dans ta chambre ou la mienne, à regarder un film, tout en buvant et fumant. Rien que ça, ça aurait été un anniversaire parfait. D'ailleurs, je veux pas de cadeau, ou si, le seul que je veux, venant de toi, c'est que tu sortes de cette putain de prison et que tu rentres chez nous. Rentre au loft. Rentre pour revenir dans ma chambre à l'improviste. Rentre pour le petit déjeuner que tu me dois toujours. Rentre, tout simplement, rien que pour être là, même si c'est pour rien dire, rien faire, juste te voir, t'entendre... Je rentre demain ou mardi, je pense, et j'espère que je pourrais te voir ou t'entendre, cette fois je manquerai pas ton appel. Tu me manques, l'oublie pas.

Ashleigh



Après avoir passé un moment avec Aaron, tu vas à la prison pour déposer cette lettre à Denys. Dans l'espoir d'un appel futur, qui t'annoncera également que tu peux aller lui rendre visite. T'attends ce moment avec impatience : le jour où tu pourras le revoir, sous ton nez.

@Denys Zacharias
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Elle n’était pas venue. Ashleigh ne s’était pas présentée. Ni le lendemain de l’appel, ni les jours qui avaient suivi. Et bien sûr, je le savais qu’elle avait plein de choses qui la tracassaient en ce moment, je m’inquiétais aussi, j’espérais qu’il n’était rien arrivé à sa sœur, mais dans le fond, je craignais aussi que ce soit un certain moment de notre précédente discussion qui la pousse à m’éviter alors pour en avoir le cœur net, mon appel quotidien était pour elle. Sauf que je tombais directement sur sa messagerie. « Ash… C’est Denys là. Bon… T’es pas venue. Là tu réponds pas. J’essaie de ne pas faire mon parano… Tout va bien ? Il s’est passé quelque chose avec ta sœur ? Ou alors… tu m’en veux ? C’est parce que j’ai parlé de Gabrielle l’autre coup c’est ça ? Je suis désolé. Je veux pas m’étaler là dessus mais j’suis complètement flippé avec la date du procès qui approche et… j’sais pas. C’est bête, ça me rassurait de me dire qu’il y aurait une tête connue avec moi. C’est pas parce que c’est elle, c’était juste parce que c’était quelqu’un qui je connaissais tu vois… Et du coup là, bah, je sais que ça va être moi tout seul face aux juges. Bon moi tout seul et mon armée de supers avocats. Mais tu vois l’idée… » J’étais pas sûr que de me justifier, encore, changerait grand chose. Mais je voulais trop la voir, et si c’était véritablement à cause de ça, de ce petit accro de notre dernier appel, qu’elle refusait mes coups de fils, qu’elle n’était pas venue pour une visite, je me devais d’essayer de désenvenimer la situation. « Ashleigh s’il te plait. J’ai vraiment trop envie de te voir… Viens… » soupirai-je avant de raccrocher.
@Ashleigh H. Strauss
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A peine de retour de Chicago avec Nesryne, tu te rendais à la prison pour déposer la lettre que tu avais écrite aussitôt que tu avais écouté l'appel manqué de Denys. T'avais eut mal au coeur en écoutant son message. T'avais pu sentir sa détresse face au procès et ça te peinait qu'il soit seul comme il l'avait dit. T'avais juste envie de le rassurer et de le serrer contre toi en lui disant que ça allait, que ça irait, hélas, tu pouvais rien faire. Juste écrire quelques mots.


Denys,

Comment peux tu croire que je ne suis pas venue te voir de mon plein gré ? Je suis désolée de pas t'avoir prévenue, mais je suis bien venue jeudi, le problème est qu'ils m'ont refusé a cause d'un foutu document que je n'avais pas. Document que j'ignorais dont j'avais besoin. Je te dis pas comment j'étais furieuse, je suis étonnée que tu ne m'a même pas entendu de ta cellule, parce que je t'assure que je leur ai cassé les oreilles tellement j'ai hurlé de colère. J'espérais tellement te voir tu sais... J'étais au bout de ma vie, et sur un coup de tête je suis partie avec Nora à la Nouvelle Orléans. Parce que Lucky est encore amoureuse de l'autre connard et te moque pas mais j'ai voulu tenter le tout en trouvant une sorcière pour me faire un filtre d'amour pour la faire tomber amoureuse d'un autre... Je te vois rire ou désespérée mais je la veux tellement pas avec lui s'il revient... Elle mérite mieux, beaucoup mieux. Bref, désolée... Mais comment peux tu croire que je refuserais de venir te voir ? Oui tu m'as énervée avec Gabrielle, mais jamais je te lâcherai, surtout pas à cause d'elle ! Je t'interdis de croire que je n'ai pas voulu venir te voir. Tu te rends vraiment pas compte combien j'attends cette visite et combien tu me manques... Désolée aussi que tu te sentes seul et que tu flippes pour le procès. Si ça peut te faire du bien, tu seras pas seul, je serai là, par la pensée. Je serai aussi là, le 13 juin, dehors, à attendre ton avocat pour savoir le verdict. Ivy a dit qu'elle m'accompagnera. Je pourrais pas être dedans, mais tu pourras m'imaginer dehors, à prier pour que tu sois vite libéré. À prier pour que tu rentres au loft, pour que je puisse enfin avoir mon petit déjeuner. Et même t'en faire tous les jours. Avec plaisir je t'en ferai tous les jours, rien que pour le bonheur de te réveiller à nouveau et de savoir que t'es là, dans la chambre à côté de la mienne. Je vais réessayer de venir, avec ce foutu papier. J'ai besoin de te voir aussi Denys... Et jamais je te laisserais tomber, jamais. Met toi ça bien dans la tête Denys Zacharias ! Tu me manques. Tu me manques beaucoup...

L'unique Ashleigh de Denys

@Denys Zacharias
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Début d’après midi. J’avais passé la matinée au tribunal et me revoilà au centre de détention. Procès clos. Direction la salle téléphonique. Je m’installai dans cette pièce, sous le regard du gardien. C’est la dernière fois. La dernière fois que j’allais poser mes fesses sur cette chaise, la dernière fois que j’allais attraper ce fichu combiné, que j’allais composer ce numéro. Cet endroit. Cette bulle. Cet aparté. Ces cinq minutes quotidiennes. Trop courtes bien souvent. Ma bouffée d’oxygène. Mes appels avec elle. Avec eux. Ca allait être terminé… Et j’avais un large sourire aux lèvres.
Mon premier coup de fil c’était Ash. Le dernier serait également pour elle. Téléphone contre l’oreille, mes doigts appuyaient presque mécaniquement sur les touches pour composer son numéro, sans même que j’y pense. Les tonalités résonnaient. Je savais qu’elle savait, elle avait même dit qu’elle serait au tribunal pendant mon audience, donc même si je ne l’y avais pas aperçue je me doutais qu’elle allait répondre, qu’elle devait attendre de mes nouvelles puisque j’avais promis de la tenir au courant…

@Ashleigh H. Strauss je poste ici, comme ça va finir en rp (a)
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Tu avais attendue toute la matinée devant le tribunal, à t'inquiéter, et à patienter. Tu voulais savoir le verdict, voir son avocat, lui demander comment ça c'était passé, s'il était libre. Mais il avait rien voulu te dire cet enfoiré. Déjà que tu avais dû prendre grandement sur toi à voir les minutes tourner, là c'était pire. Ivy t'avait accompagné mais tu préférais ne pas repenser à ce qui c'était produit, par ta faute... Tu avais préféré rester dans le coin, plutôt que rentrer. Histoire de marcher, de pas ruminer, mais comment dire que c'était impossible ? Tu ne cessais d'imaginer le pire puisqu'il n'avait voulu rien dire et quand ton téléphone se mit à sonner, et que tu reconnus le numéro, ton coeur s'activa... Décrochant, tu ne disais pas un mot, comme si tu avais perdu la parole. Aucun ne sortait, probablement dû au stresse. Tu craignais le pire, clairement. Den... tu réussis à sortir alors que tu avalais, que ton ventre se nouait. Bordel fallait que tu réagisses mieux au cas ou le verdict était mauvais. Il allait avoir besoin de ton soutient, pas que toi aussi tu t'effondres...

Ça me va I would do anything for you • Denys - Page 2 3850463188
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  Pendant les quelques tonalités, je réfléchissais au meilleur moyen d’amener la chose. Je ne comptais pas me jouer d’elle, mais je me sentais d’humeur joueuse, même si quand sa voix résonna, qu’elle prononça mon diminutif un peu faiblement, je n’avais pas encore d’accroitre son inquiétude, je tentais quand même d’adopter un ton neutre. « Bon… J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. » Garde un ton neutre Denys, garde un ton neutre. Elle avait un détecteur de mensonges me concernant donc si j’essayais de jouer les malheureux elle allait me griller direct. « Je commence par la mauvaise : tu pourras pas me signer mon plâtre… » Laisse traîner la chose, qu’elle croit pendant un quart de secondes que les visites étaient peut être suspendues again. « …parce qu’ils me l’ont enlevé avant hier… » continuai-je avant d’ajouter : « et puis de toute façon, tu ne pourras pas obtenir de parloir. » Avant qu’elle n’hurle contre les autorités, les démarches administratives, les papiers qu’il lui manquait, je ne tenus pas longtemps pour conclure, perdant tout ton neutre pour finir avec enthousiasme : « Mais si tu veux, tu peux venir me chercher… »
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T'arrivais pas à parler, et tu te demandais comment tu avais sortis son diminutif. T'essayais de jauger son souffle ou un détail qui te donnerait un indice sur le verdict, mais rien. Il vit bien que tu devais t'inquiéter comme pas possible et appréhender l'annonce, et il était pas rassurant. Bonne et mauvaise nouvelle. Là tu te disais qu'aucune bonne nouvelle n'allait pouvoir rattraper la mauvaise. Y devait avoir juste une bonne nouvelle, qu'il allait sortir, tout de suite. Tu dis rien, retiens presque ta respiration. Son plâtre ? C'est ça la mauvaise ? Tu t'en fiche de son plâtre bordel ! Bon, à moitié, puisque apparemment s'ils lui ont enlevé c'est que son bras va mieux, lui aussi donc. Mais il s'arrête pas là, annonçant que tu n'auras aucune visite à l'avenir. Alors là c'est le pompom. On t'a déjà rejeté jeudi, c'est mort, on va pas t'interdire encore de venir le voir. Tu sens ton sang montait à ton cerveau, tes muscles se contracter et presque la vapeur sortir de tes oreilles. T'es en colère, sayé. Quoi ? Comment ça ? C'est une blague ? Ils peuvent pas encore t'interdire de voir tes proches, ils sont malades, il en est pas question que tu dis en écho à sa dernière phrase. Tu l'entends quand même mais trop énervée, prête à tout casser, tu percutes pas. Pas tout de suite du moins. T'a dit quoi ? que tu le questionnes, sa phrase revenant à ton esprit. Tu plaisantes ? Bien sûr que non, tu sais qu'il plaisanterait pas sur un tél sujet, que tu verrais le mensonge dans sa voix. Puis faudrait être sadique pour faire une telle blague quand tout ce qu'il doit vouloir c'est être à nouveau libre. Dit moi que tu plaisantes pas... que tu le supplies presque.
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  Et comme c’était prévisible, elle s’énerva, commençant à ronchonner après les services judiciaires alors que je lâchais la chute de ma phrase qu’elle me demandait alors de répéter. Sourire amusé aux lèvres, tout semblant de ton neutre ayant disparu, je repris : « Tu peux venir me chercher si tu veux… Et peux. Sinon j’appelle un taxi tant pis. » Enchainant ensuite : « J’ai pris trois mois ferme, mais de la remise de peine, et comme j’ai toujours mon contrat de travail, ils me laissent sortir maintenant et j’ai six mois de liberté surveillée ensuite. » Beau bracelet électronique à ma cheville. J’aurais pu rager, contre cette surveillance instaurée, les heures où j’allais devoir rester au loft, le périmètre de sortie restreint qu’on m’autorisait, mais à vrai dire j’avais tellement cru et craint prendre cinq ans, comme Camille, ou pire, que je trouvais que je m’en tirais pas si mal. « Tu crois que tu peux m’amener une tenue aussi ? Je n’en peux plus de l’orange criard. »
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