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Emilia,

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« C’est ça fous toi de ma gueule » grogna-t-il en la fusillant du regard. Si elle savait combien il avait envie de lui arracher son sourire d’une manière cavalière, elle rigolerait moins. Remarquez, il ne dirait pas non pour goûter à nouveau ses lèvres pleines mais là, son père ne le lâcherait plus d’une semelle jusqu’à ce qu’ils soient mariés. « C’est devenu une seconde nature, je n’y fais même plus attention » hausse-t-il les épaules et c’était le cas. Se méfier, ne faire confiance à personne était devenu au fil des années plus qu’une habitude : un art de vivre. Il ne cherchait pas à ce qu’elle le plaigne ou le prenne en pitié, il assumait complétement ses travers et sa personnalité calculatrice. La spontanéité n’avait pas sa place dans son quotidien ou du moins, elle n’y avait plus sa place. Emilia ne pourrait pas comprendre, elle était l’exemple même de la spontanéité. Elle croquait la vie à pleine dent comme si elle craignait de mourir demain. Lui, il avait besoin de contrôler chaque minute de son existence pour s’assurer qu’il n’y avait aucun grain de sable dans son existence.

Pourtant, ce soir, il acceptait sous la pression populaire à lâcher prise, à abandonner son contrôle pour lui permettre de s’épanouir telle une fleur le ferait aux premiers rayons du soleil. Il ne savait pas qui était cet Adam mais il le maudissait d’être là où pour le coup, il avait envie d’être : à la première place dans le lit de cette belle brune. Le porté fut une réussite du moins si on oublie le côté branlant de la chose pour se concentrer sur le fait qu’elle avait été en l’air quelques instants. Leonidas avait même affiché un sourire à la fois conquis et satisfait alors qu’il la ramenait en sécurité dans ses bras. Troublé, il avait plongé son regard dans le sien, y lisant très certainement la même envie mais une fois de plus, elle s’éloigna de lui, lui arrachant un grognement de frustration. « C’est la jeunesse mais accorde moi encore des leçons et tu verras si mon fils danse mieux que moi » s’écria Chrystos en faisant mine d’être vexé. Leonidas lui, se racla la gorge pour reprendre contenance, allant se chercher une bière tandis qu’une foule masculine cherchait l’attention d’Emilia pour une danse ou deux. « Fils, la laisse pas t’échapper… » murmura son père à son oreille tandis que les deux Vasilis regardaient la Cabot danser. « Elle m’est interdite » souffla-t-il avant de boire une gorgée de sa bière.


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Je suis naturelle, je suis comme je suis, je ne joue pas de rôle, je ne me contrôle pas vraiment, je ris trop fort, je cris trop fort, je suis une espagnole, j'ai le tempéramment hispanique de mon paternel. Léonidas lui, est mon opposé, mon parfait contraire, c'est dans le contrôle qu'il se rassure, qu'il se plait. Il met de côté tous les problèmes, il les résous et ne croit qu'en la science et la force de la raison. Mais si il savait, la raison, on finit tous par l'oublier. On finit tous par se laisser aller dans le danger de la vie. La vie est mon terrain de jeu personnel, j'ai envie de vivre sans le regret, sans les problèmes et il semble se radoucir, j'aperçois enfin le portrait de ce garçon que me dépeignait Chrystos pendant des heures. Ce gars qui a l'air formidable. Mais enfaite, je crois que j'aime aussi sa version sombre, j'aime beaucoup ce gars, sous toutes ses nuances. Ce n'est qu'un constat. un grand sourire, un court instant, je lui caresse la joue en reprenant le sérieux de la danse, mon regard dans le sien plongé. Son être me captive, m'hypnotise. Je devrais fuir, m'éloigner de lui, de sa noirceur, de la complexité qu'il emmène sur son passage mais je ne peux pas, je ne peux plus. Et pour le cacher, je me montre de plus en plus sauvage, incontrôlable comme le vent. On attrape pas un courant d'air pas vrai ? Je crois que au contraire, tu y fais bien trop attention. je lui réponds franchement, sans filtre, sans honte, on est honnête après tout l'un avec l'autre. Et la danse continue, se poursuit. Féline, sauvage, je mène la danse.

Et j'ai cette idée un peu folle, un peu trop spontanée, qu'il n'apprécie guère, un porté. Il est contre quand il voit de quoi il s'agit, mais il finit par se laisser convaincre et pendant un instant, je crois qu'il va me laisser tomber par terre, mais non, je flotte dans les aires comme un oiseau, un bébé oiseau pas très stable mais je vole quand même dans les aires. Et il me ramène vers lui, un instant, il y a ce brulant regard que je plonge dans le sien, et je finis par fuir, fuir ce truc qu'il y a d'indéniable, trop peureuse pour tenter de jouer à la roulette russe. Trop buté pour l'admettre aussi. J'ai quelqu'un dans ma vie, quelqu'un de merveilleux. Alors je m'éloigne de lui, de son emprise, en taquinant Chrystos Je suis sûre que tu deviendras le danseur le plus caliente que je connaisse. un sourire envers mon ami et je propose à la foule de se joindre à moi à leur tour pour une danse, histoire d'oublier le trouble, d'oublier ces conneries. Il y a du monde autour de moi, pourtant, un instant, mon regard s'accroche sur lui. Le tiens des yeux quelques instants. Rien que quelques instants avant de détourner le regard pour attraper la main d'un ancien flic, l'ancien coéquipier de Chrystos, Tobias, pour reprendre une danse.





© SEAWOLF.

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Emilia lui tenait tête, elle osait lui dire les choses en face et c’était quelque chose qu’il appréciait réellement. Cette femme lui donnait envie de lui tordre son joli petit cou tout en souhaitant la posséder comme aucun autre homme ne l’avait fait auparavant. « Peut-être bien ,peut-être pas, qui a réellement la réponse à cette question ? » hausse-t-il des épaules. La logique voudrait qu’il soit celui qui détenait la vérité sur ses pensées les plus intimes mais cela faisait des années que Leonidas ne cherchait plus à se comprendre tout comme cela faisait des années qu’il fermait les yeux ou se détournait d’une glace pour ne pas voir son reflet s’y réflechir. Le grec avait commis trop de choses, il avait consenti à trop de sacrifice pour qu’il puisse à nouveau se regarder dans une glace. Son grand-père l’avait brisé certainement plus que le départ de sa mère. Chrystos aimait à se dire qu’il restait encore du bon en lui mais qu’il ne voulait pas l’admettre pour ne pas tendre le bâton à son grand-père mais Leonidas en doutait. Pour lui, il n’y avait plus rien d’humain en lui si ce n’est des réflexes sociaux.

Emilia elle, semblait tout autant persuadée que son père et cela le dérangeait autant que cela le fascinait. Comment une femme comme elle pouvait accepter de danser à ses côtés, chercher sa compagnie ? Elle était la vie, il était la mort, elle était la fougue, il était le calme. Ils étaient en tout point différents et pourtant, il se sentait bien en sa présence. Il avait réellement apprécié l’étreinte qu’elle lui avait offerte en début de soirée. Pire, il avait envie de retrouver la douceur de ses bras. Sa main se serra davantage contre sa bouteille de bière comme pour s’abstenir de faire les quelques pas qui les séparaient encore. « Voilà une femme qui sait parler aux hommes. Je serais heureux de te compter comme belle-fille » s’amusa Chrystos tandis que son fils rentrait la tête dans les épaules. Par moment, son père lui collait la honte et tout le monde le savait car même Tobias indiqua qu’il voulait bien divorcer pour épouser Emilia. « Ouais c’est bon les gars, laissez-là respirer bordel » s’énerva-t-il en se retenant de récupérer la jeune femme. « Tu vois Emilia, il est déjà sous ton charme »se moqua Chrystos. « P’pa la ferme » lâcha-t-il en grec avant d’aller s’asseoir dans le canapé, l’air revêche au possible. Foutue soirée.

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On a tous une part de sombre en soit, une part, la pire de nous même, on a tous des démons, des secrets bien caché, moi la première, j'ai connu la mort, la violence d'une personne qui me terrifie encore mais j'ai décidé de ne pas laisser la noirceur mener ma vie, j'ai décidé de vivre enfaite. J'ai décidé de laisser le sombre dans un coin, d'être la lumière, d'être la joie, la folie, la spontanéité. Mais léo lui n'a pas réussi, c'est le négatif et l'ombre qui s'est emparé de lui, mais il y a ce truc que je vois en lui. Ces deux facettes de lui. A certains moment, je vois dans son regard l'espoir qu'il ignore je suppose. Et je le taquine dessus, c'est aussi peut être un moyen de lui faire prendre conscience de tout ce qu'il manque. Toi. je me doute qu'il apprécie peut mon côté franc parlé, qui ne prend pas de pincette mais j'aime le pousser dans ses retranchements. J'aime passer du temps avec lui. Discuter avec lui. On est pas souvent d'accord, on est même jamais d'accord je crois. On se batra toujours sur tous les sujets qui nous opposent c'est une certitude, mais là, je ne sais pas comment je ferai sans. Et putain ça me gonfle de le penser. Je devrai pas. Je le sais pertinemment, mais je n'ai jamais été douée pour écouter la raison. Alors je continue de danser avec lui, de danser entre les flammes. De me laisser consumer. Jusqu'à avoir un genre de déclic ou une prise de conscience, je me lance dans la gueule du loup. Il n'attend que ça. Alors je m'éloigne de nouveau même si mes yeux ne le quittent pas.

Je plaisante avec Chrystos alors que mes yeux bruns s'accrochent à lui et son air boudeur. Tu fais déjà un peu parti de ma famille pour moi vieux chauve, tu le sais bien. il est ce qui se rapproche le plus d'une famille pour moi ici. Loin des manigances de ma mère et de ses coups de pressions et de la pression royale que m'impose mon père. Je me stope un instant quand même pour imaginer un genre de future avec Léo. Ca serait ... Un bordel non ? A se battre sur tout, tout le temps. Ca vaudrait le détour. Je suppose. Il est tout le contraire des mecs que je fréquente en général. Il est le risque. Et je m'étonne à lui adresser un léger sourire avant de me reconcentrer sur les gentleman, prêt à danser avec moi. Tobias s'amuse à plaisanter sur un divorce pour mes beaux yeux, une annonce flatteuse, je ne peux dire le contraire. Mais visiblement ça ne plait pas au grecque qui reprend sa bouderie. Et Chrystos continue de le taquiner et ça me fait rire alors qu'il se vexe. Se vautrant dans le canapé, cet air résigner au visage, décidé à rester loin de moi. Ne m'adressant plus de regard. Je m'excuse auprès de mon partenaire pour aller m'affaler à côté de lui, piquant sa bière des mains pour en boire une gorgée, restant silencieuse parce que finalement, les mots ne sont pas toujours primordiale ou important. Parfois, un simple geste veut tout dire.





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Son père ne pouvait pas s’empêcher de jouer les marieurs et lui, il n’avait que ses grognements pour seule défense. Il était pathétique à souhait mais Leonidas n’avait jamais pu se résoudre à envoyer paitre son paternel. Chrystos était presque un Dieu dans sa vie tant il l’aimait. Il n’avait qu’à voir la manière dont son fils le couvait du regard, qu’il s’inquiétait quand il voyait son père se retenir trop fatigué pour rester bien fixe sur ses jambes. « Vieux chauve ?! Dis donc mademoiselle, vous fréquentez un peu trop mon fils finalement. Il déteint sur toi » râla ce dernier avant de s’adresser quelques instants à son fils en grec au point que Leonidas n’attrape un coussin pour hurler dedans, provoquant l’hilarité de la petite foule. Les collègues de son père avaient toujours connu le fils Vasilis tant il avait trainé à la brigade criminelle de Boston. C’était un peu le fils adoptif de tous ses mâles qui n’avaient d’yeux que pour Emilia. En même temps comment leur en vouloir tant cette beauté espagnole était captivante. Leonidas se demandait bien encore comme il pouvait rester de glace à ses côtés… Ah oui, il n’y arrivait tout simplement pas. Sa tête ne cessait de lui rappeler le câlin qu’elle lui avait donné, provoquant comme un manque chez lui. Il voulait connaître à nouveau cela, il en crevait d’envie mais sa fierté l’empêchait de l’exiger d’elle. Elle se ficherait de sa tronche et il était hors de question qu’il s’abaisse à réclamer de la tendresse. C’était de la faute de son père, Chrystos n’arrêtait pas de sous-entendre des choses plus connes les unes que les autres. « Hey ma bière ! » râla l’étudiant avant de froncer les sourcils. « Tu sais ce que je fais aux vilaines filles qui me piquent mes bières ? » dit-il alors qu’Emilia était venue s’installer à ses côtés sur le canapé. Sa main se porta à la cuisse de la jolie cabot, comme pour lui rappeler ce fameux diner partagé où ils s’étaient amusés à jouer avec les nerfs de l’autre. « Tu as de la chance que nous ne soyons pas seuls car tu aurais adoré cette démonstration » murmura-t-il à son oreille pour mieux lui reprendre sa bière. A défaut de l’embrasser, il pouvait se consoler avec le fait qu’elle ait bu à la même bouteille que lui. Leonidas Vasilis, tu es pathétique !

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Tu vas t'en plaindre maintenant ? je taquine Chrystos, grand sourire accroché à mes lèvres, il me fait rire, il est toujours là, il est la voix de la sagesse, du réconfort, quand ça va pas, je sais qu'il est là. C'est pour ça aussi que je me bats avec lui dans la maladie car je ne pourrai pas le voir partir, j'en serai incapable. Je ferai quoi moi sans lui ? Alors j'imagine très mal Léo sans son paternel. Je peux voir l'amour inconditionnel qu'il a pour son père. Je crois que je l'envie même d'avoir une relation pareil avec un membre de sa famille. Ma relation avec mon père est complexe puisqu'il est trop oppressant et que j'ai longtemps vécu sans lui. Avec ma mère, ma relation est au point mort depuis qu'elle est tombée en dépression et dans l'ignorance de ma personne. Elle appel pour tirer un peu plus de fric pour se sortir de cette misère dans laquelle elle s'enferme. Je n'ai pas de réel parents dans le coin sauf ceux de Adam qui me connaissent depuis longtemps maintenant. Léonidas lui, à un père qui l'aime plus que tout. En parlant du grec, il est dans son coin, il boude, il fait son Léonidas quoi, terrer dans son côté, il se fait petit après avoir essuyer les railleries des amis de son père. Je le rejoins, pique sa bière en m'installant à ses côtés, absorbant quelques gorgées de liquide. On pourrait croire qu'une princesse, ça boit pas de bière, mais je suis pas comme tout le monde. Il râle, il réagit à ce vole en fronçant les sourcils qui lui donne cet air sérieux et amusant à la fois. Je réponds en français, avec cet accent qui caractérise les hispaniques Je pensais que tu ne buvais que du château Romassan des Domaines Ott. un regard remplit de malice je le regarde alors qu'il pose sa main sur ma cuisse pour continuer, instinctivement, mon corps se tend et je m'en veux d'avoir cédé et d'être venue m'installer ici. Je pouvais pas rester à danser ? Il me murmure quelques mots à l'oreille et profite de cet instant où je suis captive de sa présence pour reprendre son bien. Je finis par lui adresser un sourire Je ne te pensais pas pudique. sérieusement, je ferai mieux de me taire parfois. Je finis par pousser un soupire et poser ma tête sur son épaule en reprenant Tu assouviras ce désire de correction avec une des autres. une des autres qu'il baise. Elles sont plusieurs je suppose et selon lui de qualité mais elles existent, il se satisfait avec elles non ? Elles, elles lui ont cédé.





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« Oh loin de m’en plaindre justement… mais j’aurais préféré que ce soit lui qui prenne de toi et non l’inverse » rigole Chrystos avant de faire un clin d’œil à la jeune femme qu’il considérait comme sa fille. Leonidas n’avait pas besoin d’être proche d’eux pour comprendre que son père appréciait réellement la belle espagnole et qu’il nourrissait bien des projets pour eux. C’était à se demander s’il ne devait pas avoir peur de son père à présent. Après tout, il était un Vasilis également et de ce fait, obtenait toujours ce qu’il voulait. Pour sa part, il n’y avait guère de place pour le moindre attachement et ces derniers jours, on s’était chargé de le lui faire comprendre. La pilule passait encore difficilement. Quel con, il ne savait pas trop ce qu’il s’était imaginé mais quoique ce soit, il avait intérêt à l’oublier très vite et à passer à autre chose. Emilia aurait été la distraction rêvée car il n’arrêtait pas de s’imaginer dans un lit avec elle mais aussi en dehors. Elle avait un certain pouvoir sur lui et ce câlin qu’elle lui avait offert continuait d’hanter ses pensées. Il avait beau tout essayer, il n’arrivait pas à se détacher d’elle, comme si malgré toutes les décisions rationnelles qu’il pourrait prendre, un sourire d’elle et il craquait à nouveau. Dans quel merdier s’était-il encore fourré ? En parlant de la brebis, voilà qu’elle montrait la douceur de sa laine. « Je préfère les bons crus à la bière mais il était hors de question que j’amène une bouteille à ces ivrognes qui ne feraient pas la différence entre de la piquette et un millésime » répliqua-t-il avant que le jeu ne reprenne entre eux. Le grec voyait bien qu’elle commençait à faire machine arrière et mine de rien, ça l’agaçait. « Je pensais surtout à ta pudeur mais si tu es partante, pourquoi m’en priverais-je ? » la taquina-t-il avant de grogner non sans passer un bras autour de ses épaules. « Pour le moment, je préfère me tenir éloigné de la population féminine de cette planète »

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oh il va prendre de moi bientôt ne t'en fait pas. Je lui montre l'exemple et encore même sans ca c'est un gars bien je le sais. Je le sens. Je serai pas là près de lui sinon pas vrai ? Du moins je l'espère. On est attiré par nos contraires pas vrai ? Et je me sens en danger. Je me sens dépourvu de tout mais bien loin de dire les choses ou de me dégonfler parce qu'on est allé trop loin on est foutu. J'ai ce sentiment que c'est trop tard qu'on a plus le contrôle du jeu que ce jeu est la présent et qu'on a plus qu'à faire avec. Je perds le contrôle quand je le regarde je sais pas pourquoi il a ce truc en plus. Alors je vais vers les autres mais irrémédiablement je reviens vers lui. Je m'installe à ses côtés je pique sa bière et le jeu reprends ou on l'avait laissé. Le carouselle n'arrête jamais de tourner pas vrai ? Alors ca recommence. Il rale. Il me murmure des paroles lourde en signification alors que j'en ai le sourire aux lèvres. et tu t'es pas caché une bouteille juste pour assouvir ton palet ? l'arque un sourcil amusé alors qu'il fait référence aux corrections qu'il aime donner. Quand il parle comme ça j'aurai presque envie de craquer pour le fun pour tester pour assouvir le truc qu'il y a entre nous. Mais cette part de moi le dis que quand je cederai je le perdrai. Je perdrai mon interet. La avec le jeu il finira par se lasser peut être mais céder à la tentation du diable rajouterai juste mon prénom sur une liste. Alors que moi j'ai toujours voulu être plus. j'aurai presque envie de te dire oui. je lui adresse ce sourire que je n'ai que en sa présence. Son bras passe autour de mon épaule et ma tête se pose contre la sienne je m'installe comme ci c'était ma place comme ci c'était naturel d'être près de lui. Pourquoi ? je le vois mal rester loin des femmes on va pas se mentir elles doivent faire la queue après lui pour avoir son attention. Je devrai m'éloigner alors je suppose.. mais j'en ai pas envie c'est ça la cruelle verite. Je veux pas. Je peux pas. Alors je dis cette affirmation mais je ne bouge pas d'un centimetre. Ma tête reste contre son épaule. Je reste comme ça. Je pousse juste un soupire On va se causer des problèmes l'un l'autre. Je le sais j'en suis consciente mais je suis pas prête à renoncer. A y pense. Je peux pas vous comprenez? Je suis sur cette route face à un mur et j'accelere sans penser au plus crucial : l'impact.





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Leonidas avait toujours eu un certain succès auprès de la gente féminine et il devait reconnaitre qu’il ne s’en était jamais plaint. Après tout, pourquoi se plaindre de quelque chose qui vous flatte l’égo, qui vous donne du plaisir ? On ne va pas se cacher, il adorait l’idée de plaire… La seule chose qui détestait, c’était quand une femme s’attachait à lui car c’était toujours de là que les ennuis partaient. Emilia finirait par s’attacher à lui et elle en souffrirait puisque c’était ainsi que finissaient toutes les personnes qui s’imaginaient qu’il avait un cœur. Il avait beau leur dire que non, qu’il avait choisi de ne plus rien ressentir, on aimait à croire qu’il mentait pour se protéger. Les gens avaient tendance à voir ce qui les arrangeaient surtout face à un gros connard. Le problème c’est que Leonidas se connaissait par cœur, il n’hésiterait jamais à poignarder un ami si cela servait à ses intérêts. Il avait essayé de croire qu’il n’était pas un monstre sans cœur, que son grand-père n’avait pas tué tout ce qu’il y avait de bon en lui mais il avait été forcé de constater que c’était le cas. Chrystos en était le parfait exemple : il n’hésiterait jamais à effacer le nom d’un patient pour placer celui de son père si jamais un jour, cela s’avérait utile. Il se fichait bien des conséquences de ses actes ou de la mort d’une tierce personne. S’il devait protéger son père, il le ferait quoiqu’il arrive parce qu’il était ainsi à présent. « Je préfère savourer une bonne bouteille dans les bonnes conditions… Tout ce qui est d’exception mérite une situation d’exception après tout » répondit-il tandis que le jeu n’avait jamais été aussi étrange, aussi vrai entre eux. Emilia se perdait, il en avait conscience. Devait-il insister et la croquer ou alors renoncer à elle avant qu’elle ne se consomme entièrement ? Telle était la question. « Presque ? C’est que j’ai plus autant de charme qu’avant » plaisante-t-il tandis qu’il lui affirme vouloir se tenir éloigné de la gente féminine. Vu le désastre de sa vie sociale, c’était peut-être mieux après tout. « Tu m’en causes déjà ma tigresse mais pour te répondre, disons que vous les femmes, vous êtes des nids à problèmes ! Vous me poses des cas de conscience et je n’en ai pas d’ordinaire. Tu vois, je pourrais te mettre dans mon lit mais après, tu t’attacheras à moi, tu finiras malheureuse et mon père me tombera dessus en m’accusant de tous les maux de la terre… Ou je pourrais t’envoyer paitre une bonne fois pour toute pour que tu retrouves ton si gentil petit-ami avec l’idée que je suis qu’un gros connard que tu détestes. Tu te sentiras idiote de t’être fait des films sur moi mais au moins, ton petit cœur restera intact ! Tu vois, il n’y a rien de bon à entretenir des relations sociales avec les femmes, vous êtes que prises de tête »

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Il est sûr de lui, sereins, il dégage une aisance et une assurance qui pourrait presque m'impressionner, mais je ne suis pas née de la dernière pluie et je vois ses bons côtés, même si il tente de les cacher. Je crois même que je vois les bons côtés de tout le monde, je ne peux pas m'en empêcher, je suis comme ça, je dois toujours voir le bon en l'espèce humaine, je refuse de renoncer et d'admettre que ce monde est trop cruel, trop dur, trop rude et trop imparfait que finalement les hommes finiront pas s'entre tuer pour des guerres de pensés. Moi je crois en l'espoire, l'espoire d'un monde nouveau. J'ai vécu le pire, j'ai été au plus bas, j'ai connu ce sentiment que la mort aurait été plus douce que la vie, mais je m'accorche à la vie comme une acharnée, je ne lâche rien. Et Léonidas, je vois en lui cette force et cet amour qu'il a pour son père. Tant qu'il a ça, rien n'est perdu pas vrai ? Et sinon, je crois que je suis prête à brûler avec lui. Je vois.. Donc je peux considérer être une personne d'exception ? vu la bouteille qu'on a bu, la question peut se poser non ? Et voila que le jeu n'a jamais été aussi vrai, aussi dangereux et je me hais d'apprécier ce truc qu'il y a entre nous. J'aurai dû le tuer dans l'oeuf, tourner le dos, partir. J'aurai dû, mais je suis là, électrisée sur place. Ou bien que je suis immunisée, qui sait ? immunisée contre son charme, sa présence. Léonidas, c'est comme les sirènes qui attirent les navires dans les rochers et tuent les matelos, mais en plus virile, plus sexy, plus tout quoi. Et me voila qui lui fait face, si proche et pourtant, si loin à la fois De 1, je ne suis pas comme toutes les femmes. Arrête de faire une généralité chérie. je suis pas comme ces filles de passages qui partagent son pieux. Je ne le serai jamais, je ne m'abaisserai jamais à ce niveau. De 2, qui te dis que toi tu tomberai pas accro ? un regard de défi dans les yeux, je finis par détourner le regard et reposer ma tête contre son épaule Te fait pas d'illusion, tu piétineras pas mon petit coeur. Je tomberai pas dans ton piège. parce qu'il est la tentation du diable, il pourrait faire tout péter. Je devrais rester loin, mais il y a ce truc... Cependant ce n'est pas parce qu'il y a ce truc justement que je vais faiblir. Il est le fils de Chrystos, il est torturé et compliqué, encore plus qu'une fille, il est tout ce qu'il ne me faut pas.





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