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Emilia,

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Qu’est-ce qu’il devait dire ou faire pour qu’elle arrête de lui tourner autour de cette façon ? Pourquoi ne voulait-elle pas tout simplement se dire qu’il avait tourné la page et était passé à la suivante ?! « Voilà ! Et elle n’a pas un petit-ami affligeant du coup, elle me sort pas le couplet de la fidélité » lâche-t-il avec ironie comme pour lui rappeler qu’elle avait un petit-ami. Un petit-ami dont elle n’arrêtait pas de lui vanter les mérites au cours du repas qu’ils avaient partagé ensemble quelques jours plus tôt. Là encore Emilia se fichait bien de ses propos et continuait de le provoquer, de tirer sur la corde comme si elle voulait voir jusqu’où elle pouvait aller. Le prenait-elle pour un jouet ? Une sorte de méchant loup qui l’exciterait pour qu’elle puisse coucher avec son petit-ami sans avoir recours à du lubrifiant ?! Il en savait rien et cette pensée l’irrita. « Enormément… tu mettrais des jours avant de pouvoir t’asseoir sans grimacer » rétorqua-t-il en se retenant de se lever pour venir empoigner ses fesses entre ses mains et la plaquer contre son corps. Or, un tel rapprochement finirait de foutre en l’air ces maigres résolutions. Oh Athena ne pourrait pas lui reprocher d’essayer mais avec une tête de mule pareil en face de lui, c’était beaucoup plus difficile que prévu surtout que la brune décida de faire la plus grosse connerie de sa vie en lui accordant un câlin. « J’en ai pas envie de ton câlin bordel » répliqua Leonidas en cherchant à la virer de ses genoux mais Emilia continuait de s’accrocher à lui. Il ne voulait pas se montrer violent avec elle car son père ne lui pardonnerait jamais un tel geste. Il ne comprendrait pas surtout. Elle non plus. « Tu te fous de ma gueule ? Qu’est-ce que tu cherches au juste Emilia ?! » lui demanda-t-il après un court silence. Il lui avait demandé gentiment mais là aussi, elle n’avait pas lâché. Pire, elle l’avait serré davantage contre lui. « Tu veux savoir ce que je te ferais hein ? En fait, cela t’excite de jouer avec le feu… Petit Adam ne te satisfait plus, tu veux connaitre le frisson avec le méchant garçon ? » se moqua-t-il avec un certain mépris. « Je préfère les actes aux paroles… qu’est-ce que tu vas faire maintenant ? Partir en courant parce que tu vas te sentir coupable vis-à-vis de ton mec ? » demanda-t-il avant de soupirer, posant son front contre son épaule avant de nicher son visage au creux de son cou, sa barbe de trois jours chatouillant sa mâchoire.

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J'ai pas besoin de grands frissons ou de le voir pour pimenter quoi que ce soit dans ma vie, enfaite, tout se fait naturellement alors quand il fuit, je le suis, j'sais pas pourquoi, je devrais pas, je sais. Mais c'est ainsi. Les choses se déroulent de la sorte, je sais pas quoi dire ou quoi faire pour arrêter. Je suis prise au jeu, prise au piège. Je vais finir brûler vive en enfer. D'ailleurs, il me renvoit dans la gueule mes propos et je me contente de répliquer avec de l'ironie dans la voix Comme ci ce couplet t'intéressait. soyons franc, il en a rien a faire de la fidélité, de ces conneries, lui il s'en contre fou, contrairement à moi. Mais pour le moment, j'ignore la moitié de ses paroles, je le cherche, je ne sais pas dans quel but mais je le fais. Grrr, c'est toi le sauvage de nous deux. je réplique, amusé par ses paroles. Et finis par prendre un risque, celui de me faire mordre par le grand méchant loup quand mon corps se rapproche du sien et que je lui fais un câlin. Un geste improbable qu'il n'a pas l'habitude d'avoir. Je le sens se contracter, s'énerver, il ne sait pas quoi faire, enfaite, il ne sait pas faire des câlins. Il sait pas les faire et c'est étrange mais en même temps, je pense que ça cache plus qu'une simple peur d'être proche des autres. Il se montre un peu plus dur, un peu plus agressif alors que je m'accroche. Il râle, monte en tour, quand il me demande ce que je cherche je réponds simplement Rien du tout. parce que je cherche rien enfaite, j'agis, sur le moment, j'en avais envie donc je l'ai fais, c'est pas plus complexe que ça. Je fais les choses avec spontanéité. Il devrait le savoir maintenant je ne prévois rien. Il reprend ses attaques avec un timbre de mépris alors que j'enchaine Pas du tout, je veux juste un câlin. et je ne lâche pas. Mon petit corps tout frêle contre le sien, il enchaine avec des paroles durs, qui rentre dans mon esprit sans que j'ajoute quoi que ce soit. Je réplique juste quelques mots Non, je ne bouge pas. et je sens sa tête se poser dans le creux de mon cou, sa barbe qui chatouille ma joue. D'une main, je caresse en douceur ses cheveux bruns alors que de l'autre, je reste accrochée, je voudrai pas tomber par terre. C'est Chrystos qui tirerai une tête bizarre si il nous voyait ...





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S’il était honnête, Leonidas s’en moquait comme de sa première chaussette qu’elle soit en couple mais depuis le désastre avec Siloë, il s’était inventé une nouvelle règle : célibataire ou rien. Il ne voulait plus se prendre la tête ou se retrouver dans une situation qui ferait qu’il perdrait le contrôle de ses nerfs. Il était incapable de supporter la seconde place, il fallait qu’il soit le meilleur dans tout ce qu’il entreprenait tout simplement parce qu’on l’avait éduqué comme cela. Si c’était pour participer, cela ne l’intéressait pas. Lui, il voulait gagner et obtenir la première place que ce soit dans ses études, dans le boulot ou dans ses relations. On oubliait trop facilement les seconds ou les troisièmes. « Je m’en cache pas… tu adorerais j’en suis certain » lâche-t-il avec un haussement d’épaule avant qu’elle ne se lance dans une entreprise risquée à savoir lui offrir un câlin. Qu’est-ce qu’elle cherchait mise à part à le rendre dingue ? Il n’aimait pas qu’on le touche et encore moins qu’on l’étouffe dans une étreinte et pourtant, elle continuait de le serrer dans ses bras. « Tu m’énerves » grommela-t-il en ne sachant pas quoi faire dans une situation pareille. Leonidas ne savait pas ce que c’était de faire un faire un câlin. Ses mains restaient sur les hanches d’Emilia, ses doigts se crispant alors qu’elle lui assurait qu’elle ne voulait pas bouger. « Tu fais chier » grogna-t-il faiblement en rendant les armes car dans le fond, il avait besoin de cette étreinte, besoin de lâcher prise pour une fois. Heureusement pour lui, il n’y avait aucun témoin à l’horizon car il n’aurait jamais pu supporter qu’on le voit aussi vulnérable. Il n’était pas certain de pouvoir à nouveau croiser le regard de cette femme tant il s’en voulait d’être aussi faible. Alors, il ferma sa tronche et se laissa câliner une minute ou deux, sentant sa main caresser en douceur ses cheveux. Il grogna sous la sensation, cherchant une nouvelle fois à l’écarter mollement. Soudain, la vieille chaise en plastique sur laquelle il était assis, céda sous leur poids, les entrainant dans une chute grotesque. « Ouch » souffla-t-il alors qu’il se trouvait étendu sur l’herbe, Emilia allongée sur lui. Dans sa chute, il avait eu le malheureux réflexe d’entourer sa taille de ses bras comme pour lui épargner une douleur inutile. « Tu me portes la poisse ! » râla-t-il avant de rigoler faiblement.

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Il y a plus de jeu. Je crois que le jeu s'est évaporé. Il y a que lui, que moi. Il y a rien d'autres. Du moins, j'ai ce sentiment. Je finis par le taquiner sur sa façon d'être et sa réponse m'arrache un grand sourire amusé. Si tu le dis. j'hausse les épaules l'aire de rien. Je continue de le faire tourner en bourique, de le chercher, parce que je veux le trouver je suppose non ? Et mon geste ultime est un câlin. Je m'installe sur ses genoux et le prend dans mes bras, sans le brusquer mais assez rapidement pour qu'il ne puisse pas m'arrêter. Mes bras encerclent son cou alors qu'il râle, il se tend, se contracte face à ce contacte physique qui n'est pas ce qu'il connait : du sexe. Non, là c'est un simple geste qu'il a dû manquer trop cruellement et j'entends mon coeur battre à la chamade alors que je le serre avec douceur contre moi. Il gromele dans sa barbe que je l'énerve et je reprends, d'une voix douce Je sais ... oui je suis parfaitement consciente de ce que je fais. Mes cheveux en bataille et mon être contre le sien. Ses mains figées sur mes hanches cherchent une issue je crois. J'imagine. Et moi je lui assure que je ne bougerai pas alors qu'il se crispe un peu plus. Moi, je ferme les yeux un instant, me laissant portée par le moment. Ce n'est qu'une simple etreinte. C'est ça que je me répète même si ça sonne faux. Quand ma main se pose sur ses cheveux, il tente de nouveau mais moins de me repousser, comme ci il le faisait simplement pour le forme. Et moi, yeux clos, et un sourire sur mon visage, je ne vois pas venir la chute qui m'attend. La chaise pourrie du jardin cède sous notre poids, je pousse un cri de surprise et on s'effondre au sol, lui comme moi. Il me retient, ses bras encerlant ma taille pour m'empêcher de chavirer. La situation est caucasse, drôle, il grogne un peu, annonce que je lui porte la poisse et je le regarde un instant, mon regard dans le sien avant d'éclater de rire, un rire d'amusement, un vrai rire, en revoyant la scène. Mon rire mélodieux s'élèvent dans les airs et je finis par poser ma tête contre son torse pour continuer de rire. Encore un peu parce que ça fait du bien. Mais je me stope, et si il s'était fait mal. Je relève ma tête, mes cheveux en vrac, je dégage un bras pour les renvoyer un arrière et lui demande Ca va tu n'as rien ? parce que non, ça me ferait pas rire qu'il ait mal ou quoi. Après ces paroles, je lui adresse un grand sourire. Parce que ça a l'air d'aller, même si monsieur est râleur.





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Emilia le serrait contre elle, s’efforçant de ne pas le lâcher comme si lui offrir cette étreinte était importante. Pour le coup, Leonidas sentait qu’elle ne jouait plus. Ce constat l’alarma car la dernière chose qu’il souhaitait, c’était bien de lui faire du mal. Il détruisait ses proches quoiqu’il fasse. Parker avait beau lui avoir certifié qu’il avait été heureux de pouvoir rester au moins près de lui, le grec savait qu’il avait ravalé sa tristesse toute sa vie de ne pas voir ses sentiments être payés en retour. Siloë… Quand il songeait à ce qu’il lui avait fait, le brun en avait honte. Il avait voulu la frapper, il aurait pu le faire s’il n’avait pas recouvré son calme au dernier moment. Chrystos aurait honte d’avoir engendré un monstre comme lui alors si pour le protéger, il devait tenir cette femme éloignée de lui, il le ferait bien volontiers. Emilia représentait le fruit défendu mais également une petite lumière qu’il se refusait d’éteindre mais égoïstement, il avait envie de baisser les armes au moins quelques minutes. Demain, oui demain, il ferait en sorte de sortir définitivement de sa vie, quitte à s’arranger pour ne pas la croiser à l’hôpital. En attendant, il pouvait simplement profiter de sa tendresse, se repaitre de son parfum qui lui chatouillait agréablement les narines. « On t’a déjà dit que tu étais mère poule ? » grommela-t-il, ne pouvant s’empêcher de mordiller dans ses propos comme pour se dédouaner de cet acte de faiblesse. Après tout, c’était elle qui le serrait dans ses bras et non l’inverse. Emilia ne voulait pas le lâcher, qu’est-ce qu’il pouvait faire d’autre que subir la chose ? On s’arrangeait comme on le pouvait avec sa conscience hein !

Le moment fut brisé à bien des égards -du moins, la chaise, c’était certain. Leonidas, dans un réflexe, entoura sa taille de ses bras pour la plaquer contre son torse, amortissant la chute avec son propre corps. La douleur fut pas forte mais assez pour lui arracher un petit « ouch » significatif. Sa tigresse éclata alors de rire et malgré lui, il se laissa porter par ce rire cristallin. Elle était magnifique quand elle riait ainsi songeait-il avant de se baffer mentalement. « C’est gentil de poser la question ! » lâcha-t-il avec ironie avant de secouer la tête. « Rien que mon égo qui a souffert, je m’en remettrai » ajoute-t-il avec une grimace comique tandis qu’il plongeait son regard dans le sien. Il avait envie de l’embrasser là maintenant. « Tu devrais me lâcher maintenant… sinon il risque de se passer un truc que ta conscience supportera pas petite cabot » murmure-t-il comme pour se rappeler qu’elle était une rose et donc, inaccessible. « Et puis, j’ai pas envie qu’Athena me castre… Ce serait dommage de priver les femmes d’un tel Apollon » ajoute-t-il comme pour lui rappeler le connard qu’il savait si bien être.


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J'sais pas pourquoi je fais ça. Enfaite, c'est une envie, un coup de spontanéité comme je peux en faire preuve en est de mon acte. Et je le serre fort contre moi, je le lâche pas, comme ci le lâcher briserai tout. Comme ci ça serait l'abandonner alors que j'en ai pas envie. C'est mauvais, trop mauvais, trop mal, dans mon fort intérieur, je le sais, mais je le fais quand même, j'écoute rien, je pense à rien, je ferme les yeux, je profite de sa présence contre moi alors qu'il râle, qu'il pigne, qu'il n'est pas content et ça m'amuse plus qu'autre chose. Il finit par me traiter de mère poule et je réponds simplement Chuuute, profite. c'est pas tous les jours qu'on a un câlin de la princesse d'Espagne non ? Il devrait se taire et profiter. En tout cas, c'est ce que je fais, sourire aux lèvres, je profite de la présence de cet homme, qui en peut de temps, à tout chamboulé.

Mais ce moment est écourté par un craquement celui de la chaise, mon corps s'écrase sur le sien alors que je sens ses bras entourer mon corps pour m'empêcher de basculer et de me blesser. La chute n'est pas douloureuse, du moins pas pour moi. Et face à cette situation des plus inédites, je rigole, j'éclate de rire, un rire joyeux, amusée, ma tête s'écrase sur torse alors que je rigole de bon coeur. Prenant finalement conscience qu'il aurait pu se blesser, je relève la tête, je le regarde, je lui demande si ça va. Il me sourit et je lui souris encore plus, le coeur qui bat fort. Oh ton pauvre petit égo ! Je peux faire quelques choses pour le consoler ? un grand sourire complice que je lui adresse callant ma tête sur mes bras et le regardant dans les yeux. Il me murmure quelques mots, je le fixe sans rien ajouter, j'sais pas quoi en dire enfaite. Il conclue par un rappel sur qui il est : un Apollon, un coureur. Et ça m'emmerde sur le coup. Un regard légèrement reprobateur par ses paroles, je finis par sourire quand même car personne ne le gommera jamais et je me relève Allez, bouge tes fesses, il faut que j'aille apprendre à ces vieux comment on se déhanche sur la musique latine. Et Chrys exige ta présence. je lui tends la main pour l'aider à se relever alors que je l'invite à venir me regarder danser. Lui, il sait jouer du piano, moi c'est en danse latine que j'excèle. L'ironie du sors est que je danse bien, très bien même, tout type de danse, sauf la valse. Une fois debout, je tourne les talons pour aller vers l'intérieur, me tournant une unique fois vers lui pour lui adresser un regard espiègle et un sourire en coin Alors, tu viens ?





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« Il y a bien des choses que tu peux faire pour le consoler mais elles sont réprouvées par les bonnes mœurs… Du coup, je te propose simplement de garder ce moment gênant entre nous » répondit-il avec un petit soupire. Par ce moment gênant, il voulait surtout parler de ce câlin. Leonidas n’était pas certain de vouloir que cela s’ébruite. Il détestait bien trop les attouchements de ce genre pour se vanter de ce moment de faiblesse. Aussi, si elle avait l’amabilité de garder cela rien que pour elle, il lui en serait grandement reconnaissant songea-t-il un peu désespéré. Le pire dans toute cette histoire, c’est qu’il aimait bien l’avoir sur lui, entre ses bras. Emilia avait le don de l’hypnotiser, de l’attendrir et ça, croyez-le, c’était très dangereux. Pour une fois, le fait qu’elle soit Cabot était peut-être une bonne chose. Elle serait bien mieux loin de lui, que près de lui car au final, il ne ferait que la faire souffrir. Une bonne raison de lui rappeler ce qu’il était aux yeux de beaucoup de mondes : un coureur de jupon. Son regard légèrement réprobateur le fit culpabiliser mais il n’en montra rien, la laissant simplement se relever. « Je te signale que t’étais sur moi, comment veux-tu que je me lève… tu pèses ton poids » la taquina-t-il avant de se relever à son tour. « Mon père exige beaucoup de truc en ce moment ! Figure toi qu’il s’est mis en tête qu’il voulait être grand-père » soupire-t-il. « Du coup, j’ai le droit à toutes les filles de ses amis ou de ses connaissances » ajoute-t-il en la suivant bon gré mal gré. Il était surtout curieux de la voir danser, il devait bien le reconnaitre. « J’arrive ! Par contre je te préviens, tu m’oublies pour la danse ! » grogne-t-il en la rejoignant pour mieux entrer dans le salon en sa compagnie. « Ah vous voilà les jeunes ! Je n’osais pas venir vous déranger, histoire de ne pas vous surprendre dans une position dérangeante » les taquina Chrystos. « P’pa, elle est casée donc oublie tes rêves de mariage et passe à la suivante » marmonna Leonidas en les plantant pour aller s’avachir sur le canapé, les laissant à leur histoire de danse.

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Il y a eu cette chute surprenante mais terriblement risible, il y a eu mon rire qui s'est élevé et cet instant qu'on pourrait appeler un moment de complicité où j'ai eu l'impression le vrai léonidas pendant un instant. Le vrai de vrai, pas cet homme froid et distant pour lequel il se fait passer. J'ai eu le sentiment de voir le vrai lui, entièrement, simplement, sans tricherie, sans faux semblant. Il est vraiment lui, sans cet air renfermé, il me sourit même et je le regarde, je suis captiver par le brun de ses yeux, hypnotiser par sa prestence, attiré par sa lumière. On fait comme ça. je hausse les épaules et le regarde encore un peu, me perdant dans ses yeux enfaite, me perdant dans ce moment qui est trop, trop pour ce qu'on est, trop pour nous je crois, puisque nous ne sommes même pas un nous. Il finit par casser l'instant en me rappelant ses travers et un regard qui trahit ma réprobation et je me relève, le pressant pour se relever, remonter comme une pile électrique, il me fait rire avec sa réponse Tsss, je vais te sauter sur le dos, tu vas voir que je suis pas lourde ! je suis un poids plume. Et le voila debout, je ne peux m'empêcher de sourire en l'entendant, enfaite quand il est là, je souris je crois. C'est intuitif, instinctif et je comprends pas pourquoi, et j'ai arrêter de chercher aussi. Grand père ? ouais, je suis étonnée, mais en même temps qu'à moitié, quand on croit mourir, on veut tout vivre trop vite. Oh, le pauvre chéri ! Et tu n'en trouvais aucune à ton gout ? un air rempli de malice en prononçant mes paroles, retournant à l'intérieur. Il précise tout de suite qu'il ne veut pas danser T'es si mauvais que ça ? et voila Chrystos qui arrive, en rajoutant à nouveau et Léonidas pique pour ensuite s'éclipser, pendant un quart de seconde, je le foudroie du regard. Il gâche tout. Mais mon regard se reconcentre sur Chrystos Bon, tu te souviens des pas que je t'avais montré ? On va tous les épater. je lui tape dans la main avant d'attraper une partition de piano dans mon sac et de la tendre à Léonidas, reprenant Penses pas que tu vas lézarder à matter, Chrystos m'a promis que tu jouerai. lui adressant un grand sourire. Oui, je voulais danser les musiques latines de base, mais le jazz, ça me va aussi, alors au boulot Vasilis. Epate les oreilles pendant que ton père et moi emerveillons les autres.





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Il fallait qu’il redevienne le connard insensible à ses yeux. L’instant de tendresse et de communion qu’ils venaient de partager ne devait plus se reproduire car il refusait à nouveau de baisser sa garde. La prochaine fois qu’elle se lancerait dans une telle manœuvre, il la repousserait. Il était hors de question qu’il se laisse prendre au piège de ses beaux yeux. Emilia était une femme et à ce titre, elle était rusée et dangereuse. Pour l’étudiant, il ne fallait plus qu’une telle situation se reproduise car ils n’étaient ni amis ni amants. Elle n’était rien à ses yeux que l’amie de son père. Ni plus ni moins. « C’est ce que les femmes disent toutes ! On fait juste semblant de pas galérer quand on vous porte uniquement pour ne pas vous vexer et nous priver d’une partie de jambe en l’air » rétorqua-t-il avec un sourire en coin. N’empêche, il y en avait un sur Terre qui espérait que ces deux-là se rapprochent et cette personne n’était autre que son père. Chrystos avait envie de voir son fils se caser, se marier et avoir des enfants pour jouer les papy gâteaux mais il en était hors de question. « Oui grand-père.. Tu vois, dans tous les cas, je suis coincé car tous les membres de ma famille veulent me trouver la perle rare mais elle n’existe pas et n’existera jamais » hausse-t-il les épaules. Il était impossible pour lui de trouver la femme parfaite car il était incapable d’aimer. Oh il pouvait s’attacher à une femme mais la vie se chargeait à chaque fois de lui rappeler combien il était dangereux d’accorder sa confiance à la gente féminine. Siloë en était l’exemple le plus récent songea-t-il alors que son humeur s’assombrissait à nouveau. « Je suis le pire danseur de la planète » grommela-t-il alors qu’ils étaient accueillis par son père qu’il envoya rapidement paitre.   « Comment les oublier ? Tu es une merveilleuse professeure ma petite Emilia » répondit Chrystos tandis que cette dernière partait tendre des partitions à son fils. « J’y crois pas… quand est-ce que j’ai mon mot à dire avec toi ce soir ? » râla Leonidas tout en obtempérant sous le regard mi-rieur mi-pensif de son père. Chrystos connaissait bien son fils et si ces derniers temps, il n’avait pas été très en forme, la présence d’Emilia le rendait plus vivant. Loin des pensées de son parent, Leonidas s’installa derrière le piano familial avant d’étudier rapidement les partitions. « C’est quand vous voulez les amoureux » se moqua-t-il en faisant craquer ses doigts au-dessus des touches blanches et noires.

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Je n'aurai pas dû, j'aurai dû garder cette distance entre nous, ce froid, j'aurais dû m'éloigner, c'était la meilleure chose à faire, la meilleure chose à décider, pourtant, je ne l'ai pas fait, j'ai couru droit dans le mur, je me suis arrêtée, cette spontanéité qui me guide m'a fait foncer, sans réfléchir au conséquence. Sans réfléchir au reste. J'aurai pas dû mais je l'ai fais. J'aurai pas dû mais j'ai pas réfléchis, j'ai agis. Quand on cottoie la mort de trop près, on arrête de refaire le monde, on arrête de se stresser pour rien, on arrête de se prendre la tête. On vit. C'est ce que je fais, je vis. Là, tu as rien à perdre. je lui adresse un sourire en coin et un regard rieur. Il me fait rire. Encore plus quand il me raconte que sa famille lui cherche la perle rare, ça l'emmerde visiblement, ça ne lui plait pas, ce que je peux comprendre, quoi de plus désagréable que de se sentir utilisé, pris au piège, forcé à faire des choses qu'on ne veut pas ? Personnellement, je ne pourrai jamais accepter que quelqu'un décide à ma place de ma vie, j'aime trop cette liberté qui m'annime. Et je suis sûre que Léo à cette même flamme en lui. Braver les interdits, il le pourrait mais il se retient. La perfection n'existe pas. je lui adresse un fin sourire, je suis la perfection bien entendu, je suis un exemplaire unique. Rejoignant Chrystos, ce dernier nous taquine, et ça m'amuse plus qu'autre chose en entendant Léo encore râler Ton père n'était pas doué non plus, mais quelques heures entre mes mains et il est excellent. mes pieds ont souffert, mais ils s'en sont remis. Oh merci Chrystos ! un grand sourire, un bisou sur la joue de mon ami et une brève accolade, bien moins importante je crois que celle que je viens de vivre, je finis par tendre la partition à Léonidas et il gromele, comme à son habitude Non. je lui prononce ce mot à l'oreille, avec un regard complice que je ne devrais pas avoir. Retrouvant mon partenaire, nous sommes prêts et quand Léonidas commence à jouer, les pas s'enchainent. Rien de bien trop compliqué au début, les pas de bases qui glissent avec la mélodie, je montre mon talent en danse et en déhancher avec mon ami, il me fait tourner et un instant mon regard se porte sur le joueur de piano, pour croiser son regard peut être, je ne sais pas. Je ne sais plus.





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