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You act like a paranoid
— with Léolia
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Ne prenez pas vos rêves pour une réalité. La peur, un sentiment des plus naturels, que tout être vivant ressent je le crains. La peur est forte, est destructrice. Sans la peur des gens, Hitler n'aurait peut être jamais pris le pouvoir et cet assassinat en masse n'aurait peut être jamais eu lieu. Sans la peur, la peur de l'étranger, il n'y aurait pas le racisme qui gangraine le monde. Sans la peur, il n'y aurait pas de guerre. La peur est le sentiment le plus primitif que nous ressentons. Prenons exemple de la maman Lionne qui attaque un humain, on pourrait croire que c'est à cause de ses gènes sauvages mais finalement en étudiant, on se rend compte tout simplement que l'ignorant était trop près de ses petits. Les bêtes sauvages qui fuient quand un danger arrive. Le lapin qui va se terrer dans son terrier. La peur personne ne peut y échapper, pas même Léonidas Vasilis. Il devra faire face à ses peurs l'une après l'autre pour avancer et même si elles ne peuvent être vaincu, on peut les contrôler, prendre le dessus sur ces peurs incontrôlable. Mais visiblement c'est presque comme ci il a peur que je le découvre entièrement avec sa réponse. A t-il peur que je vois des choses moches sur lui ? J'en sais pas vraiment plus mais une chose est sûre. J'aime vivre dans le danger. depuis la maladie, c'est une certitude, une vie plan plan, un quotidien morose, je ne pourrai pas. C'est au dessus de mes forces. C'est trop me demander. Je me suis battue trop fort pour arriver à respirer encore aujourd'hui pour me contenter de peu.
Mais de toutes les peurs, il y en a une pire que les autres : la perte d'être chere. Et je sais de source sûr que Léonidas a perdu son meilleur ami de maladie. Je suis consciente que je suis une privilégier à être encore en vie car la maladie est pire que tout. Incontrôlable, parfois incurable, elle emporte des milliards de personnes chaque année. Les gens décèdent de cancer, de maladie orpheline, de problème cardio respiratoire. C'est commun. Quand on évolue dans le milieu hospitalier, on les voit ces morts, ces gens qui ressemblent à des cadavres, qui ne semblent plus vraiment avoir de vie. On les voit se décomposer. On les voit mourir à petit feu. J'ai été un de ces cadavres, presque incapable de me lever. Je m'en souviens encore, j'en cauchemarde encore. La maladie emporte les gens comme la marrée emporte le sable et les dessins que les gens font dessus, et les châteaux. Léonidas avait vu un être aimer périr. Quoi de plus injuste comme vision. Quoi de plus cruel ? Quoi de plus déplorable ? Des bons ou des mauvais fantômes ? des bons c'est certains sinon, il ne prononcerai probablement pas son nom, mais je peux deviner qu'il en souffre encore. Culpabilise t-il pour cette mort ? Car c'est pire que tout quand la colère ou la haine se mêle à la perte ... On dit qu'on ne cicatrise jamais vraiment de la perte d'un être cher, on s'habitue à vivre sans, à vivre avec le manque, avec la souffrance et les souvenirs. On s'habitue. On a pas vraiment le choix de toute façon. Mais là, je dois avouer que ce n'est ni la peine ni la peur que je ressens mais la colère. Il a fouillé dans mes affaires, bafoué mon intimité, violer ma vie personnelle. Je suis autant en colère contre lui qui l'a fait que contre le système qui le lui à permis. Il est presque un inconnu et il sait les choses les plus privées de moi. Il a le mérite de le dire en face mais ça ne me plait guère. Et même si il le justifie avec son amour pour son paternel, je ne peux l'accepter. Ce ne sont pas des manières que je valide, loin de là. Et moi je tiens à protéger ma vie privée. même si il ne s'excusera pas, chose qui est à la fois agaçante et admirative, je le redis, je n'apprécie pas ce comportement des plus border line pour moi et je campe sur mon avis. Et quand je lui annonce que j'apprendrai aussi à le connaitre, il finit par me lâcher une information dont j'aurai pu me passer. Un coup sur l'épaule, je reprends amusé, un sourire aux lèvres J'ai pas besoin de savoir ça ! je lève les yeux au ciel après ça. Il m'en sort vraiment des vertes et des pas mûres. Mais ça a un côté intriguant, amusant. Mais je ne lâche rien, je veux qu'il les supprime. Je ne serai pas un dossier sur son PC, c'est exclus pour moi. Il finit par accepter ma requête et je reprends simplement Merci bien. enfin. Tout ce que je veux c'est qu'il ne les ressorte pas et qu'il ne les ai pas à disposition, même si je me doute qu'il pourra les rechercher si il veut, ça a pas eu l'air de le freiner la première fois.
Je suis faites pour vivre passionnément avec un seul homme que veux tu. Sourire faux sur les lèvres. Il s'amuse à jouer avec moi, avec ma patience, mes nerfs et je réplique, je réponds, mon regard planté dans le sien. J'aurai dû m'en douter et me taire car un nouvel assaut arrive de sa part. Sa voix rauque me clou sur place alors qu'il me parle. Il finit par rapprocher sa chaise de moi pour me parler au creux de l'oreille, je regarde dans le vide et l'écoute, captiver par ses paroles salaces. Putain. Sa voix sexy me possède, il me flanque des images dans la tête avec ses murmures déplacés. Il ne s'arrête pas rapidement, ses paroles s'enchainent et sont de plus en plus intenses. Il finit par conclure en me mordant légèrement le lobe et je ne peux retenir un frisson me parcourir la colonne vertébrale. Je mets quelques instants à reprendre mes esprits, le temps qu'il repousse sa chaise plus loin alors qu'un serveur vient prendre la commande et c'est quand il disparait que j'avance à mon tour ma chaise vers la sienne parce que non, je ne laisserai pas le dernier mot. Penchant la tête vers lui, je lui murmure mes paroles comme un secret Et toi, est ce que tu aimeras ce moment d'intimité ? Je me demande comment tu me diras que tu aimeras, si tu y repenseras le soir en éteignant la lumière ? Parce que si ça arrivait, je voudrai t'entendre dire mon prénom, je voudrai que tu me regardes quand je découvrirai ton corps pour la première fois. ma main vient se poser sur son genou Et est ce que tu aimeras cette main, qui remontera peu à peu ? Est ce que ça te plairai si je te prenais en main, pour te faire du bien ? Comment ton corps réagirait ? Aimerai tu que je continue jusqu'à ce que tu te lâches ? Et ensuite que je te possède ? D'abord doucement, puis plus brusquement ? Et toi comment réagirai tu si j'aimais ça ? Tu aimerais c'est certains. Tes mains pourraient parcourir mon corps. Tu pourrais m'avoir pour toi. Une fois. Mais soyons lucide puisque nous le sommes ... A force d'attendre ... Et avec la possibilité -improbable mais soyons imaginatif- de m'avoir une fois ... Est ce que tu n'en voudrais pas plus qu'une nuit volée ? je ressers doucement mon emprise sur lui entre mes doigts Bien sûr que si. Même avec toute la volonté du monde, tu voudrai plus. je remonte un peu plus haut mon emprise, juste un peu. C'est pour ça que tu repenseras à moi ou même que dès ce soir tu imagineras ce que ça peut être de m'avoir rien qu'une nuit. Ca t'obsèderas à notre prochain repas. Tes yeux ne pourront pas s'empêcher de me déshabiller du regard et d'en vouloir toujours plus. Tu auras même pas eu le temps de réaliser que tu seras déjà pris au piège, entre mes griffes. Et ça sera plus qu'une histoire de plaisir pour toi. Ca sera beaucoup plus réelle, même si tu ne veux l'avouer. mon regard se plante dans le sien et je reprends pour conclure Et le pire dans tout ça c'est que tu adorerai être accro. mes lèvres lui adressent un fin sourire provocateur et ma main remonte juste un peu avant de le lâcher et de re-déplacer mon siège à ma place pour continuer le repas.
Un repas qui étonnamment se passe bien, sans accro, sans dispute, on discute, des discussions sans réel intérêt, sans vraiment de profondeur car personne ne veut dévoiler ses cartes. Je lui glisse une ou deux fois les talents de l'homme de ma vie, de Adam, comme pour lui rappeler, à lui comme à moi qu'il y a Adam. J'aime Adam. Ce gars m'intrigue juste par ses manières et sa confiance en lui. Il est un challenge, il est une énigme et j'aimerai être Sherlock et la résoudre. Et le temps passe tellement vite en sa compagnie que très vite, il n'y a plus personne, que les serveurs qui débarrassent les tables vides. Je termine mon verre de vin, pensant qu'on va rentrer, mais non. Il m'invite à le suivre, attrapant ma main, m'entrainant je ne sais où. Je le devine bien vite quand je regarde le piano, seul qui n'attend que ses doigts pour jouer. Il me rappelle que je voulais l'entendre jouer et j'acquièse de la tête en le regardant s'installer le clavier. Il enchaine quelques notes d'échauffements avant d'entâmer sa musique. Captivée, hypnotiser par les notes qu'il joue, je le regarde, un sourire léger sur les lèvres, accouder contre le piano. Il joue terriblement bien. Si bien que même si la chanson n'est pas triste, mon sourire disparait pour laisser mon esprit s'emporter par les notes. Et quand les dernières notes arrivent, captiver, prise en otage par la musique, les yeux brillants, sous l'emprise de ce gars des plus horripilant et captivant, une larme s'échappe d'entre mes yeux, descendant le long de ma joue. La musique m'a envouté. Je pleure rarement, mais là, ce fût l'émotion incontrôlable. Je finis par lui adresser un sourire admiratif et par applaudir doucement Chrystos avait raison, tu es envoutant quand tu joue. et bordel, c'est peu de le dire, il est carrément hypnotique quand il touche un piano.
Mais de toutes les peurs, il y en a une pire que les autres : la perte d'être chere. Et je sais de source sûr que Léonidas a perdu son meilleur ami de maladie. Je suis consciente que je suis une privilégier à être encore en vie car la maladie est pire que tout. Incontrôlable, parfois incurable, elle emporte des milliards de personnes chaque année. Les gens décèdent de cancer, de maladie orpheline, de problème cardio respiratoire. C'est commun. Quand on évolue dans le milieu hospitalier, on les voit ces morts, ces gens qui ressemblent à des cadavres, qui ne semblent plus vraiment avoir de vie. On les voit se décomposer. On les voit mourir à petit feu. J'ai été un de ces cadavres, presque incapable de me lever. Je m'en souviens encore, j'en cauchemarde encore. La maladie emporte les gens comme la marrée emporte le sable et les dessins que les gens font dessus, et les châteaux. Léonidas avait vu un être aimer périr. Quoi de plus injuste comme vision. Quoi de plus cruel ? Quoi de plus déplorable ? Des bons ou des mauvais fantômes ? des bons c'est certains sinon, il ne prononcerai probablement pas son nom, mais je peux deviner qu'il en souffre encore. Culpabilise t-il pour cette mort ? Car c'est pire que tout quand la colère ou la haine se mêle à la perte ... On dit qu'on ne cicatrise jamais vraiment de la perte d'un être cher, on s'habitue à vivre sans, à vivre avec le manque, avec la souffrance et les souvenirs. On s'habitue. On a pas vraiment le choix de toute façon. Mais là, je dois avouer que ce n'est ni la peine ni la peur que je ressens mais la colère. Il a fouillé dans mes affaires, bafoué mon intimité, violer ma vie personnelle. Je suis autant en colère contre lui qui l'a fait que contre le système qui le lui à permis. Il est presque un inconnu et il sait les choses les plus privées de moi. Il a le mérite de le dire en face mais ça ne me plait guère. Et même si il le justifie avec son amour pour son paternel, je ne peux l'accepter. Ce ne sont pas des manières que je valide, loin de là. Et moi je tiens à protéger ma vie privée. même si il ne s'excusera pas, chose qui est à la fois agaçante et admirative, je le redis, je n'apprécie pas ce comportement des plus border line pour moi et je campe sur mon avis. Et quand je lui annonce que j'apprendrai aussi à le connaitre, il finit par me lâcher une information dont j'aurai pu me passer. Un coup sur l'épaule, je reprends amusé, un sourire aux lèvres J'ai pas besoin de savoir ça ! je lève les yeux au ciel après ça. Il m'en sort vraiment des vertes et des pas mûres. Mais ça a un côté intriguant, amusant. Mais je ne lâche rien, je veux qu'il les supprime. Je ne serai pas un dossier sur son PC, c'est exclus pour moi. Il finit par accepter ma requête et je reprends simplement Merci bien. enfin. Tout ce que je veux c'est qu'il ne les ressorte pas et qu'il ne les ai pas à disposition, même si je me doute qu'il pourra les rechercher si il veut, ça a pas eu l'air de le freiner la première fois.
Je suis faites pour vivre passionnément avec un seul homme que veux tu. Sourire faux sur les lèvres. Il s'amuse à jouer avec moi, avec ma patience, mes nerfs et je réplique, je réponds, mon regard planté dans le sien. J'aurai dû m'en douter et me taire car un nouvel assaut arrive de sa part. Sa voix rauque me clou sur place alors qu'il me parle. Il finit par rapprocher sa chaise de moi pour me parler au creux de l'oreille, je regarde dans le vide et l'écoute, captiver par ses paroles salaces. Putain. Sa voix sexy me possède, il me flanque des images dans la tête avec ses murmures déplacés. Il ne s'arrête pas rapidement, ses paroles s'enchainent et sont de plus en plus intenses. Il finit par conclure en me mordant légèrement le lobe et je ne peux retenir un frisson me parcourir la colonne vertébrale. Je mets quelques instants à reprendre mes esprits, le temps qu'il repousse sa chaise plus loin alors qu'un serveur vient prendre la commande et c'est quand il disparait que j'avance à mon tour ma chaise vers la sienne parce que non, je ne laisserai pas le dernier mot. Penchant la tête vers lui, je lui murmure mes paroles comme un secret Et toi, est ce que tu aimeras ce moment d'intimité ? Je me demande comment tu me diras que tu aimeras, si tu y repenseras le soir en éteignant la lumière ? Parce que si ça arrivait, je voudrai t'entendre dire mon prénom, je voudrai que tu me regardes quand je découvrirai ton corps pour la première fois. ma main vient se poser sur son genou Et est ce que tu aimeras cette main, qui remontera peu à peu ? Est ce que ça te plairai si je te prenais en main, pour te faire du bien ? Comment ton corps réagirait ? Aimerai tu que je continue jusqu'à ce que tu te lâches ? Et ensuite que je te possède ? D'abord doucement, puis plus brusquement ? Et toi comment réagirai tu si j'aimais ça ? Tu aimerais c'est certains. Tes mains pourraient parcourir mon corps. Tu pourrais m'avoir pour toi. Une fois. Mais soyons lucide puisque nous le sommes ... A force d'attendre ... Et avec la possibilité -improbable mais soyons imaginatif- de m'avoir une fois ... Est ce que tu n'en voudrais pas plus qu'une nuit volée ? je ressers doucement mon emprise sur lui entre mes doigts Bien sûr que si. Même avec toute la volonté du monde, tu voudrai plus. je remonte un peu plus haut mon emprise, juste un peu. C'est pour ça que tu repenseras à moi ou même que dès ce soir tu imagineras ce que ça peut être de m'avoir rien qu'une nuit. Ca t'obsèderas à notre prochain repas. Tes yeux ne pourront pas s'empêcher de me déshabiller du regard et d'en vouloir toujours plus. Tu auras même pas eu le temps de réaliser que tu seras déjà pris au piège, entre mes griffes. Et ça sera plus qu'une histoire de plaisir pour toi. Ca sera beaucoup plus réelle, même si tu ne veux l'avouer. mon regard se plante dans le sien et je reprends pour conclure Et le pire dans tout ça c'est que tu adorerai être accro. mes lèvres lui adressent un fin sourire provocateur et ma main remonte juste un peu avant de le lâcher et de re-déplacer mon siège à ma place pour continuer le repas.
Un repas qui étonnamment se passe bien, sans accro, sans dispute, on discute, des discussions sans réel intérêt, sans vraiment de profondeur car personne ne veut dévoiler ses cartes. Je lui glisse une ou deux fois les talents de l'homme de ma vie, de Adam, comme pour lui rappeler, à lui comme à moi qu'il y a Adam. J'aime Adam. Ce gars m'intrigue juste par ses manières et sa confiance en lui. Il est un challenge, il est une énigme et j'aimerai être Sherlock et la résoudre. Et le temps passe tellement vite en sa compagnie que très vite, il n'y a plus personne, que les serveurs qui débarrassent les tables vides. Je termine mon verre de vin, pensant qu'on va rentrer, mais non. Il m'invite à le suivre, attrapant ma main, m'entrainant je ne sais où. Je le devine bien vite quand je regarde le piano, seul qui n'attend que ses doigts pour jouer. Il me rappelle que je voulais l'entendre jouer et j'acquièse de la tête en le regardant s'installer le clavier. Il enchaine quelques notes d'échauffements avant d'entâmer sa musique. Captivée, hypnotiser par les notes qu'il joue, je le regarde, un sourire léger sur les lèvres, accouder contre le piano. Il joue terriblement bien. Si bien que même si la chanson n'est pas triste, mon sourire disparait pour laisser mon esprit s'emporter par les notes. Et quand les dernières notes arrivent, captiver, prise en otage par la musique, les yeux brillants, sous l'emprise de ce gars des plus horripilant et captivant, une larme s'échappe d'entre mes yeux, descendant le long de ma joue. La musique m'a envouté. Je pleure rarement, mais là, ce fût l'émotion incontrôlable. Je finis par lui adresser un sourire admiratif et par applaudir doucement Chrystos avait raison, tu es envoutant quand tu joue. et bordel, c'est peu de le dire, il est carrément hypnotique quand il touche un piano.
© SEAWOLF.
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