Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLeolia ♔ You act like a paranoid - Page 2
-50%
Le deal à ne pas rater :
[Adhérents Fnac] -50% Casque Pro Gaming HyperX Cloud Alpha Noire et ...
49.99 € 99.99 €
Voir le deal


Leolia ♔ You act like a paranoid

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
You act like a paranoid
— with Léolia

Il serait presque divertissant Léonidas si il n'était pas aussi irritant. Ses remarques, toujours lancée de manière acerbe et cru sont déplaisantes et à la fois amusantes. Et je pourrai partir et le planter, mais il est le fils de Chrystos alors je ne peux pas. Le voila qui critique mes goûts alimentaires tout simplement parce que manger de la gelée ici ne me dégoûte pas plus que ça, lui visiblement, il peinerait à avaler quoi que ce soit. Moi j'appelle ça les petites natures, lui visiblement, affirme qu'il a des goûts de gastronome. Si ça lui fait kiffer de bouffer du kangourou ou ce genre de truc après tout c'est à lui de voir. La gastronomie et le discoure bien lourd des enfants trop gâté. Ca m'aurait étonné. un regard de défi apparait dans mes yeux suite à ses paroles méprisantes à souhait. Et j'en rajoute en l'attaquant sur son mauvais caractère, un peu trop présent. Il est bien loin des gentlemans lui et ses remarques sont d'un déplacé et d'une déplaisance. Il a cet air insolent dans le regard, qui le rend mystérieux et intrigant et à la fois terriblement agaçant. Et que faut-il faire pour gagner cette honneur d'être dans vos bonnes grâces ? être un mec déjà ça me parrait évident, de son pédigrée je suppose ça serait mieux. Je pense avoir raison en tout cas.

Et le voila qui continue avec son image de jeune homme déplaisant et loin d'être de bonne compagnie. Bon sang c'est quand même dingue, son père est prévenant toujours à faire attention à moi alors qu'il n'y a pas lieu d'être alors lui, je le vois très bien me fermer la porte au nez, ça serait totalement son genre j'en suis sûre. Je me contente de lever les yeux au ciel suite à ses paroles, que dire de plus ? Il changera pas d'avis. Qu'il reste monsieur prétentieux c'est son problème après tout. Si il veut être présomptueux et sans gène qu'il le soit, ça me regarde pas. Et la conversation continue, une conversation plutôt vide, où chacun amène son point de vue et contredit l'autre, une genre de bataille où nous nous rendons coup pour coup. Selon vous, pour désamorcer cette discussion désagréable je devrai donc ... ouvrir les cuisses ? C'est d'un élégant de penser comme ça. Qu'on soit bien claire, ça marche peut être pour certaines ce genre de truc mais ce n'est pas dans mes pratiques. En tout cas, maintenant je sais où se trouve votre cerveau, bien loin de votre crâne. un soupire d'exaspération et un regard méprisant à mon tour il m'annonce qu'il ne croit pas en la perfection Et bien vous allez y croire avec moi. et dans mes paroles suivantes, je le cherche un peu en lui annonçant que comme il me prend pour une escorte, une croqueuse de diamants, j'agis comme telle, mais j'étais bien loin de me douter de sa réponse des plus désagréable. Une respire doucement pour rester calme alors qu'il me demande mon prix, ma main se referme sur mon verre d'ice tea Reste calme Emi, reste calme. Il le fait exprès. du moins j'espère. Mais bel et bien prête à le pousser dans ses retranchements, je continue sur ma lancée Je ne sais pas ça vaut combien mon départ à vos yeux ? avant d'ajouter Merci de la proposition, mais je passe mon tour. son père est bien plus sympa. Lui ca m'étonnerai pas qu'il soit en délire Christian Grey et soumissions autant dire loin d'être dans mon domaine de prédilection ou de préférence. Et ses paroles suivantes me font hausser les épaules C'est Chrystos qui choisit qui voir. Il me remettrai sur les petits papiers. présomptueux certes mais j'en suis convaincu. C'est mon ami, nous avons une vraie connexion lui et moi. Même son fils ne nous privera pas de ça. Je ne pense pas. Et le voila qui se lève et fait le tour de la table, je l'ignore du regard, je fixe le mur, prenant un air désintéresser en me demandant intérieurement ce qu'il est entrain de foutre. Je le comprends bien vite quand je sens sa présence derrière moi et son souffle caresser mon oreille alors qu'il prononce ses paroles dans un murmure. Il conclue en se penchant au dessus de moi pour poser un calepin devant moi et un stylo, me demandant mon adresse Vous comptez me faire découvrir votre fameuse gastronomie ou m'offrir un McDo ? les mots s'échappent d'entre mes lèvres et je me penche en avant, autant pour m'éloigner de lui que pour saisir le stylo et écrire le nom du bar où je travaille, le Drink ainsi que l'adresse, poussant ma chaise, je me lève pour lui faire face, mes yeux plantés dans les siens, un sourire de défiance sur les lèvres j'ajoute Très bien, 20 heure, à la sortie de mon travail. Ne soyez pas en retard, vous n'êtes pas assez de bonne compagnie pour vous permettre ce genre de fantaisie. Moi par contre, je peux me le permettre et je le sais. Plaquant le carnet et le crayon contre son torse histoire qu'il attrape l'adresse je ne le quitte pas des yeux, ça non. Si il veut être autoritaire, je peux être la plus indiscipliné de ses élèves.


© SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Emilia,

you fill my lungs with sweetness and i fill my head with you





« Parce que savoir ce qui est bon est réservé uniquement aux enfants gâtés ? Première nouvelle » dit-il sur un ton nonchalant car pour lui, ce n’était pas une question d’étoiles sur un guide pour choisir un restaurant mais simplement de faire plaisir à ses papilles. Leonidas pouvait fondre devant un bon hamburger comme s’éclater sur un plat beaucoup plus préparé tant qu’il y avait du goût et non un semblant d’arrière-goût qui se voulait convainquant. « C’est bien ce que je pensais, toute une éducation à refaire d’un point de vue alimentation » en jetant un regard dédaigneux à son paquet de gâteaux qu’elle grignotait. Appétit de moineau ? Encore quelque chose qu’il ne supportait pas chez une femme. A quoi bon perdre du temps et de l’argent en invitant une nana qui bouffera une salade et qui calera à la première tomate cerise ?! « D’une, savoir ce qui est bon à manger… De deux, le mériter tout simplement. Je ne suis pas le genre de personne qui va faire ami ami avec le premier venu. La confiance, le respect, ça se mérite tout simplement » hausse-t-il les épaules. Le grec savait se montrer gentil, adorable quand il le désirait mais à quoi bon faire ami ami avec une femme qui allait disparaitre de sa vie ?! Cela ne servait absolument à rien : le temps c’est de l’argent comme dirait son grand-père.

Un petit rire secoua ses épaules alors qu’elle jouait les tigresses, qu’elle cherchait à lui faire croire qu’elle n’était pas comme toutes ces femmes qui se donnaient au premier venu. Il en croisait pourtant tellement à Harvard à croire que cette université était le lieu de débauche par excellence. « Je vous ai vexé » s’amusa-t-il à dire tandis qu’elle l’attaquait sur son deuxième cerveau. Si seulement elle savait comment il réfléchissait, elle serait plutôt à partir en quatrième vitesse car ce n’était ni avec sa libido ni avec son cœur qu’il régissait sa vie mais bien avec un tableau excel. Leonidas ne laissait jamais rien au hasard dans ses relations sociales : le contrôle, toujours le contrôle. Seuls ses amis les plus proches avaient le droit de voir une autre facette de sa personnalité. « Et c’est moi qui ne suis pas modeste, j’aurais tout vu. Vous êtes du genre à dire : faites ce que je dis, pas ce que je fais. Intéressant » lâcha-t-il en la toisant avec une pointe d’amusement dans le regard. Emilia était divertissante, elle savait répondre sans piquer un fard ou se mettre à pleurer voire même à tomber dans les insultes. Cela ne l’empêcha pas de sortir son portefeuille, prêt à lui faire un chèque avec quelques zéros derrière. « Même pour 10 000$ ? » demanda-t-il avec un sourire narquois. Son prix serait le sien même si Leonidas commençait à entrevoir une possibilité bien plus réjouissante comme la mettre dans son lit. « L’un comme l’autre m’ira très bien » rétorqua-t-il au sujet du restaurant. « Je voyais plus un restaurant français mais si vous préférez un McDo, pourquoi pas » hausse-t-il les épaules. L’avantage de sa double éducation, c’est que le grec se fichait bien de manger avec les doigts ou avec une fourchette en argent. Satisfait, il la regarda noter l’adresse du bar où elle travaillait. Bien, avec un peu de chance, son patron informatisait toutes les informations à son sujet comme son numéro de sécurité sociale ou autre. « Je ne suis jamais en retard Emilia » dit-il avant de se pencher vers elle pour déposer un léger baiser sur sa joue. « Que tu le veuilles ou non, ce serait vraiment très électrique entre nous deux dans un lit » murmura-t-il avec un sourire narquois pour mieux s’éloigner et lui tourner le dos, agitant son carnet « A ce soir ! » déclara-t-il.

Spoiler:

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
You act like a paranoid
— with Léolia

Divertissant, voila ce qu'il est. Il a le mérite de me divertir. Son côté agaçant est intrigant et presque plaisant, je crois enfaite que j'aime bien ce petit du chat et de la souris qu'il y a entre nous. Je ne devrai probablement pas mais moi, bien loin d'être dans le contrôle, je vis, je vis comme je l'entends, j'ai arrêter de me prendre la tête pour tout et rien, je me contente d'apprécier l'instant présent parce que finalement on peut se faire renverser par un bus du jour au lendemain comme George O'Malley dans Grey's Anatomy ou bien se faire tirer dessus, frapper, enlever, avoir une maladie incurable. Dans tout ce puzzle qu'est la vie, il y a une chance dont tous le monde manque effrontément et que personne n'a le luxe de se l'offrir : du temps. Le temps file comme un courant d'air, disparait aussi vite qu'il est arrivé. Alors je me contente d'être heureuse d'être en vie et de vivre tout simplement. Et vous souhaitez être mon professeur ? un regard de défiance dans les yeux, je le fixe avec un léger sourire amusé, mais il n'a pas tord, je me suis habituée à la sale bouffe. Pour moi la gastronomie n'est pas essentielle, je peux m'en passer. Petite, je mangeai que des légumes et des fruits bios, et puis arraché de mes racines, en compagnie d'une mère dépressive, on finit par bouffer un peu n'importe quoi et la nourriture de l'hôpital est presque bonne a côté des boites de conserves. Quel dommage, je ne remplis même pas le premier critère. un air faussement désolée sur les lèvres et je mange encore un morceau de mon truc bourré de sucre tout en le toisant de mes yeux bruns. Chrystos avait raison : il ne va être facile à apprivoiser, c'est une certitude que j'ai depuis le début de cette conversation.

Et la conversation continue, loin d'être réellement légère, elle est plutôt lourde de sense, de sous entendu et je sors presque les griffes : sérieusement quel arriéré comme ci une femme ne pouvait pas réussir sans coucher. Qu'il ne mette pas un pieds à la Cabot, là bas, elles sont toutes féministes presque, il se ferait flageller sur place. Un rire moqueur quand il demande si il m'a vexé j'ajoute Très cher Léonidas, vous apprendrez bien vite que pour me vexer, il en faut bien plus. c'est pas un macho comme lui qui va me blesser dans ses paroles. Hors de question. Et voila que je le cherche un peu plus en faisant preuve de tout sauf de modestie, ce qu'il remarque, je le savais d'avance et j'hausse les épaules et reprend Je suis réaliste. C'est pas ce que vous vouliez ? un léger sourire sur les lèvres, presque amusée de la situation, le voila qui me propose de l'argent et du sexe. Seigneur Jesus. On aurait tout entendu. Mais entrant dans son jeu je lui demande combien il est prêt à mettre pour mon départ et sa réponse est avec un chiffre : 10 000$. Un sourire narquois sur ses lèvres à mon égard. C'est ce genre de chiffre qu'il a tendance à proposer ? Je suppose que je ne suis pas la première à qui il veut proposer ce genre de deal. Pour partir ou pour coucher avec vous ? Il est pas gêné quand même et normalement, je serai déjà parti, mais là non, je reste, yeux dans les yeux pour un duel face à cet homme autant charismatique qu’horripilant. Et le voila qui se lève, et qui se pose derrière moi, tel un prédateur. M'intimant de diner avec lui. Le taquinant sur le type de restaurant, il me propose un français en haussant les épaules. Choisissez le restaurant, ma seule requête est qu'il doit y avoir un piano. Votre père m'a dit que vous jouiez extrêmement bien. et je veux l'entendre par moi même, peut être que ça le décoincera un peu par la même occasion. Et je me penche en avant pour écrire l'adresse du Drink, l'endroit où je travaille, tentant d'éviter la proximité physique avec lui. Je finis par me lever, collant le carnet contre son torse, lui demandant de ne pas être en retard. Je ne peux malheureusement pas vous promettre la pareil. parce que moi je suis toujours en retard, tout le monde le sait, mais tant pis, il prendra un verre en attendant. Il se penche vers moi et embrasse ma joue, pour tout dire, je reste crispée par cet échange inattendu. Il en profite pour me murmurer quelques mots à l'oreille avec son air narquois comme toujours avant de s'éloigner. Dites à Chrystos que je passerai demain. et tourne les talons, pour ne pas le regarder s'éloigner, pourtant il y a ce sourire sur mes lèvres qui reste un instant.

20 heure approche et je suis perchée sur mes hauts talons, en slim moulant et débardeur noir, derrière le bar, à nettoyer les verres un à un avec efficacité et vitesse. Cette après midi est passé rapidement, il y a de l'affluence au bar ce qui m'a permise de me tenir occuper. Mon patron dans le coin est assis à son bureau et entre deux verres, je me penche pour lui parler par entrebâilleur de sa porte Tu te souviens que je finis plus tôt ce soir ? Karl ne devrait pas tarder, ça va être bon pour toi ? en parlant de Karl, le voila qui arrive au pas de course, s'excusant de son retard et filant au vestiaire. Je le regarde avec un air amusé, me disant intérieurement que de toute façon, ce Léonidas n'allait probablement pas se pointer. Tout cela, ce n'était que de l'amusement pour lui. Personnellement je suis prête à rentrer chez moi et regarder un film, tranquillement avec un cocktail à la main. Un nouveau client arrive, je me tourne pour lui faire face, sourire aux lèvres Hola ! Qu'est ce que je vous sers ? et c'est parti pour une bière, je lui tourne le dos pour me lancer dans la recherche de sa commande, je vais bientôt débaucher et c'est tout ce qui compte.


© SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Emilia,

you fill my lungs with sweetness and i fill my head with you





Leonidas s’était contenté d’hausser les épaules à sa question quant à devenir son professeur. Pour lui, c’était peine perdu car rien qu’à la voir picorer, il savait qu’elle n’était pas une grande mangeuse. Néanmoins, Emilia l’intriguait et il était déterminé à découvrir le moindre de ses secrets car il était certain que l’un d’entre eux lui permettrait de la mettre sur la touche. En attendant, l’un comme l’autre se lançait dans cette petite joute verbale pour savoir lequel des deux aurait le dernier mot. Pour le brun, c’était certain qu’il remporterait la victoire car il détestait perdre. C’était contre nature ! La défaite n’était pas une solution et ne le serait jamais voilà pourquoi il ne se lançait jamais dans un défi qu’il était certain de perdre. Compétiteur okay mais pas bête non plus. « Brave petite fille, c’est qu’elle sait obéir de temps en temps. Je suis flatté que vous m’écoutiez à ce point » lâcha-t-il avec un sourire sans joie tandis qu’il sortait son portefeuille dans le but évident de trouver son prix. « Je n’ai pas besoin de payer une femme pour qu’elle couche avec moi, ne prenez pas trop vos désirs pour des réalités » dit-il en plongeant son regard dans le sien. Elle jouait avec lui, il le savait pertinemment tout comme elle savait qu’il en faisait de même de son côté. Pourtant, elle ne cherchait pas à fuir. Au contraire, elle l’affrontait avec aplomb. Rien que pour cela, il lui tirait son chapeau, c’était rare ce genre de femmes mais ce n’est pas pour autant qu’il allait l’admirer ou la respecter. « Et maintenant je dois vous obéir ? Cela ne fonctionne pas comme ça » rigola-t-il en secouant la tête. Elle s’imaginait qu’il allait se mettre derrière le piano parce qu’elle claquait des doigts ?! Si elle pensait cela, elle était loin du compte car il n’obéissait à rien ni personne. Au bout du compte, l’amusement céda sa place peu à peu à un certain désir. L’idée de la faire plier sous lui avait un certain charme. « Dommage que demain n’arrive jamais » dit-il après coup pour avoir le dernier mot.

Emilia avait fait une erreur en lui donnant l’adresse où elle travaillait car si l’établissement n’était pas très informatisé, il put dénicher tout de même son numéro de sécurité sociale. Au bout d’une heure, il avait toute les informations la concernant et ce qu’il avait découvert le rendait perplexe. Ainsi elle était bénévole parce qu’elle-même avait souffert d’un cancer. Leonidas n’était plus certain de vouloir dîner en sa compagnie. D’un point de vue objectif, son expérience pouvait aider son père et à la vue de sa position sociale, elle n’était effectivement pas une croqueuse de diamant. Bon sang, il détestait quand son instinct avait raison songea-t-il en se vautrant dans son large fauteuil en cuir. Leonidas se passa une main dans les cheveux avant de se lever. Il avait encore le temps de prendre une décision. Décision qu’il ne mit qu’un quart d’heure à prendre. Emilia était aussi adorable que son père lui avait dit et il était prêt à accepter sa présence auprès de lui seulement, Leonidas conservait le désir de la mettre dans son lit. Ce n’était pas parce qu’il avait appris qu’elle avait un cancer que cette petite tigresse ne l’intéressait plus. Le challenge n’en était que plus intéressant car il devait faire en sorte d’obtenir ce qu’il désirait d’elle tout en faisant en sorte qu’elle n’abandonne pas son père. Une heure plus tard, il poussait la porte du bar où elle travaillait, habillé d’un jean, d’une chemise blanche et de son éternelle veste en cuir. Son regard s’attarda sur son environnement proche pour découvrir les lieux avant de tomber sur elle. Un léger sourire étira un des coins de ses lèvres. « Tu es prête ? » se contenta-t-il de dire en la toisant du regard.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
You act like a paranoid
— with Léolia

Si il déteste perdre, il devrait pourtant s'y attendre car je suis la pire perdante du monde. Je suis dans le genre hyper compète, toujours prête à relever des défis. Rien ne me fait peur. Rien. Sauf la mort je crois. Je ne sais plus vraiment si je la crains ou non. Tout ce que je veux c'est avoir le temps de vivre encore un peu. De barouder, faire des visites, des balades, rencontrer des gens. Je veux vivre. J'ai la rage de vivre. Et c'est cette rage que je veux donner à Chrystos car c'est cette rage qui m'a permis d'être en vie aujourd'hui. La rage m'a poussé à supporter les pires douleurs, les nuits blanches où le sommeil ne vient pas et cet état cadavérique qu'on devient quand on commence la chimio. Maintenant ça ne se voit presque plus. Deux petites cicatrices, deux petites incisions m'ont sauver la vie par une greffe de moelle. Je suis une challengeuse et je me laisserai pas emmerder par un mec pareil. Je compte bien lui faire face, quoi qu'il arrive. Ne vous y habituez pas, c'est un cas exceptionnel. c'est certainement pas à un gars pareil que je vais obéir ou donner mon respect ... Et en même temps il y a ce truc qui me pousse a rester, à discuter avec lui. L'amitié pour son père ? Peut être, je sais pas trop. Yeux dans les yeux, le duel continue alors qu'il continue ses remarques. Il ne paye pas pour coucher, c'est déjà ça, au moins, je peux comprendre qu'il se paye pas de putain. Coucher avec vous n'est absolument pas présent sur la liste de mes désires. aussi sexy soit il, aussi agaçant et électrisant peut-il être, coucher avec lui n'est pas dans mes projets. Et même si il venait à m'attirer, je sais encore me tenir, on est pas des animaux. Et je suis en couple et fidèle surtout. Je sais que je devrai partir, arrêter le petit jeu mais j'en suis incapable, fixée à ma chaise, je le fixe, attendant sa nouvelle vacherie. Mais elle n'arrive pas si vite que ça, puisqu'il prend le temps de se rapprocher physiquement de moi, me demandant, m'intimant même, de manger avec lui. Je ne sais pas ce qui me prend d'accepter. Est ce par curiosité ou bien pour lui prouver que je n'ai pas peur. En tout cas, je dis oui. Et quand je suis expose ma demande, il me dit non clairement et je lève les yeux vers lui pour demander Auriez vous peur de jouer devant une femme ? si je le défis, je me doute bien qu'il relèvera le défi car il semble avoir un air de challengeur. Du moins, c'est ce qu'il m'a semblé retenir de lui, il aime avoir le dernier mot et me donner tord lui fera plaisir non ? Et la conversation prend fin avec mon adresse, celle de mon travail pour qu'il passe me prendre. Alors qu'il s'éloigne, je lui demande dire à son père que je passerai demain et sa réponse m'arrache un sourire mais ne répond pas, me contentant de hausser les yeux aux ciels et retournant à mes occupations.

La soirée passe rapidement, les clients sont plutôt agréable et le patron est toujours assez présent pour que je ne me fasse pas ennuyer, il est assez protecteur avec moi. Mais pour ce soir, j'ai hâte de finir, de rentrer chez moi, de trainer en pyjama et de regarder la redif d'une série espagnole dans le genre des feux de l'amour. Mais pourtant, ma soirée ne va pas se passer comme je le pensai, puisque c'est avec stupeur que je vois Léonidas passer le pas de la porte alors que je suis entrain de servir un client. Je cache ma stupéfaction derrière un sourire flamboyant tout en encaissant l'ivrogne face à moi. Il me remarque derrière mon bar et arrive vers moi. Toujours avec son air froid, un sourire se fraye pourtant un chemin sur ses lèvres arrivées à ma hauteur alors qu'il me demande si je suis prête. Un regard faussement désolé je réponds sans perdre mon sourire Il me faut 5 minutes, le temps de débaucher. Je vous offre un verre pour patienter ? je lui propose on sait jamais, ça le fera attendre. De toute façon, je lui avais dis que je serai en retard, je le suis toujours. Je remets une mèche de cheveux en place en le regardant et je m'étonne moi même a être presque contente de le voir.


© SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Emilia,

you fill my lungs with sweetness and i fill my head with you





« ça ne saurait tarder » murmura-t-il d’un air confiant. Emilia pouvait se voiler la face aussi longtemps que cela lui plairait, elle finirait par se rendre compte qu’entre eux, cela pouvait faire des étincelles. Leonidas se fichait bien de savoir si elle avait quelqu’un ou non dans sa vie. Il ne lui demandait que du sexe et non des épousailles. Si elle était en couple, c’était d’autant plus agréable pour lui car elle ne chercherait rien d’autre. Mieux, elle aurait sûrement trop honte d’elle et de son infidélité pour le pourchasser de ses avances. Le grec soupira intérieurement : une femme fidèle cela n’existait que dans les contes de fées et Emilia finirait par lui faire entendre raison en cédant aux sirènes du plaisir charnel. En attendant, il jouait comme un chat le ferait avec une jolie souris bien que cette dernière avait un petit côté tigresse qui n’était pas déplaisant. « Je n’ai absolument pas peur de me produire devant une femme, je fais ça très régulièrement et j’avoue prendre un malin plaisir à coucher avec mes groupies » avoua-t-il sans détour. « C’est simplement parce que j’aime obtenir quelque chose en retour et je suis curieux de savoir ce que vous êtes prête à me donner pour que je joue devant vous » ajouta-t-il en la toisant du regard, laissant peu de place à ce qu’il attendait d’elle. A quoi s’attendre d’autre venant d’une femme après tout se demanda-t-il avec ironie. Pas grand-chose. Cette femme avait beau avoir l’air d’un ange tombé du ciel, il n’en restait pas moins qu’elle représentait une menace pour son père et ça, Leonidas ne l’avait pas oublié. Quelques heures plus tard, il n’était plus sûr de rien. Sa recherche avait porté ses fruits et il se retrouvait avec un cas de conscience : céder à l’envie qu’il avait de la posséder au moins une fois et celle d’accorder à son père le droit d’avoir un soutien dans sa lutte contre le cancer. Dans le fond, le jeune homme avait déjà sa réponse : il ferait tout pour son père quoiqu’il arrive. Pour Chrystos Vasilis, il renoncerait à tout même à sa fortune car il l’aimait, il l’admirait et le respectait. Ce n’était pas pour rien que Leonidas était paniqué à l’idée de le perdre à cause du cancer. Une panique qu’il dissimulait derrière sa froideur, son arrogance. Un dernier round se dit-il en se levant..Qui sait, il trouverait peut-être une solution miracle à son problème.

Arrivé au bord, il se dirigea automatiquement vers Emilia, son masque de parfait héritier froid et sans scrupule collé à son visage. Il n’agissait jamais autrement en public : contrôle, contrôle, contrôle. « Une bière dans ce cas » répondit-il en s’installant sur un tabouret devant le bar, l’observant travailler. Il ne l’avouerait jamais sous la torture mais il avait choisi un restaurant avec un piano mais ça, Emilia n’était pas sensée le savoir après tout. Il pouvait toujours garder cela pour lui et continuer de mener la barque. Au bout de cinq minutes, il consulta sa montre avec un certain agacement. « Tu as bientôt fini ? » demanda-t-il, étant pressé de quitter cet établissement et de retrouver sa voiture de sport.


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
You act like a paranoid
— with Léolia

Je crois que cette discussion a finit par prendre l'allure d'un jeu. Un jeu entre lui et moi. Un jeu qu'aucun de nous ne veut perdre. Pas prêt a baisser les armes, chacun répond, pose son avis, son idée, chacun met en avant ses arguments, son répondant. Comme deux bêtes sauvages prêtes à s'attaquer mais avec en plus de ça cette attraction entre nous. Et il l'a noté, il connait trop bien les femmes pour ne pas le comprendre tout de suite qu'il a ce truc en plus. Ca semble même l'amuser que je ne lâche rien, que j'affirme que non. Il répond avec son air confiant et d'un regard d'amusement je reprends J'espère que vous êtes patient. car déjà je ne me donne pas comme ça au premier venu et en plus, mon couple est important et pour moi, la fidélité est primordiale. Vous direz peut être que c'est vieux jeux, mais c'est comme ça que je vois les choses. Et puis il y a ce genre de défi que je lui lance en lui demandant un restaurant avec un piano, mais monsieur ne veut pas recevoir d'ordre et quand je le cherche pour savoir si il a peur, sa réponse est à la hauteur de ce que je pourrai attendre de sa part. Vous aimez qu'on vous mette sur un pied d'estale un ? Un vrai briseur de coeur je paris. je le vois très bien dans le genre a enchainer les conquêtes. Ca vous apporte quoi ? d'enchainer les filles sans avoir d'attache, pourquoi ? C'est vrai, si il se dit courageux, je vois plus ce genre d'acte comme de la lâcheté. C'est trop facile de partir avant que ça se corse, avant que ça devienne compliquer et passionnant. Je vous offrirai mon plus beau sourire. c'est un sacré cadeau non ? On dit que j'ai un sourire resplendissant. Mais je ne pense pas honnêtement que ça suffira pour un gars comme lui. Seulement qui ne tente rien n'a rien, pas vrai ?

Après l'avoir quitté, j'étais bien loin de penser qu'il viendrait réellement, je le voyais plus lâcher l'affaire, ou bien j'imaginai très bien Chrystos lui demander de ne pas venir si c'est pour faire le con. Pourtant, 20 heure tapante, je le vois entrer dans le bar, avec son air calme et serein, toujours dans le contrôle, aucune spontanéité. Il va être servi avec moi je pense, car je suis miss spontané en chef. J'aime l'imprévu, j'aime le risque, moi je joue, je joue avec la vie, je suis capable de sauter en parachute ou faire un saut en élastique parce que j'ai ce foutu besoin de me sentir vivante. Certains ne comprennent pas mais quand on frôle la mort, on a ce besoin de se sentir en vie et utile aux autres. Quand il arrive, je lui adresse un sourire, il est à l'heure, il va attendre, je lui avais dis que je ne le suis jamais. Il était prévenu. Mais visiblement ça ne l'a pas découragé. Lui proposant un verre, il me commande une bière et j'attrape un verre, le pose sous la tireuse à bière et lui sert le récipient pleins, le faisant glisser à sa hauteur. Vous voila servi Monsieur Vasilis. et je finis de faire ma vaisselle de mon côté, me maudissant en silence : j'aurai dû mettre un col roulé, ça l'aurait calmé, mais non, au lieu de ça, féminine jusqu'au bout, je suis un jean moulant et débardeur échancré. Je me fatigue des fois. Il finit par m'interpeler pour me demander si je suis bientôt prête. Un sourire amusé, je réponds alors Dis donc, tu te décoince, ça y'est, tu me tuttoie. Je vais chercher ma veste et mon sac, si c'est bon pour toi. déjà que j'ai uniquement une veste en cuir et que je risque d'avoir froid vu ma préférence pour les pays chauds, je vais pas sortir comme ça. Marchant bien lentement vers le bureau pour récupérer sac et veste, j'enfile ma veste, passe mon sac sur mon épaule, discute deux minutes avec mon patron appuyer contre l'entrebaillur de la porte, je finis par revenir vers lui, tout sourire. Je suis prête. sortant de derrière le bar, j'avance à sa hauteur en lui posant la question et sans réellement attendre de réponse, je me dirige vers la porte, puisque de toutes façons, il y a pas 36 sorties ici. Je me retourne en marchant pour lui adresser un regard en coin et faire un léger sourire Alors, où mangeons nous finalement ? puisque c'est lui qui choisissait, autant demander.


© SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Emilia,

you fill my lungs with sweetness and i fill my head with you





« Quand je désire réellement quelque chose, je sais me montrer très patient » avoua-t-il avec une pointe de menace dans la voix. Emilia n’en avait pas conscience mais elle jouait avec le feu car Leonidas n’était pas connu pour être quelqu’un qui s’embarrassait des convenances ou même des histoires de cœur. Il se fichait bien dans le fond qu’elle soit infidèle, fidèle, en couple ou non. S’il la voulait, il ferait en sorte de l’obtenir. La seule inconnue dans l’histoire était de savoir quand est-ce qu’il y arriverait. En attendant, il comptait bien participer à ce petit jeu du chat et de la souris car il trouvait cela divertissant à souhait. « J’aime être le meilleur dans ce que j’entreprends. Etre adulé ne m’intéresse absolument pas contrairement à ce que vous pensez. Par contre, pour ce qui est de briser des cœurs, ce n’est pas ma faute si une femme ne sait jamais se contenter de ce que je peux lui donner. Pourtant, ce n’est pas faute de prévenir » dit-il en haussant les épaules, comme si la détresse de ses conquêtes l’indifférait. C’était le cas en réalité et il n’avait absolument aucun problème pour dormir la nuit, merci de vous en soucier. « Ce que ça m’apporte ? Vous n’avez jamais connu d’orgasme de votre vie ? » lui demanda-t-il comme s’il ne comprenait pas la question. « Le sexe est quelque chose que j’aime. Les histoires d’amour en revanche, ce n’est pas ce qui me passionne. A quoi bon se prendre la tête avec quelqu’un alors que cela se terminera tôt ou tard alors qu’on peut se contenter de prendre le meilleur et de rejeter le reste ? » dit-il avec une pointe de mépris. Leonidas ne croyait pas en l’amour, c’était que des foutaises pour lui. L’amour, c’était la pire invention des hommes, comme si un être pouvait être monogame et dévoué corps et âme à l’être aimé. Son avenir sentimental ne lui appartenait pas de toute manière. Son grand-père lui trouverait tôt ou tard une fiancée avec qui, il signerait un contrat de mariage en vue de jouer les hommes respectables en public. Cela ne le chagrinait absolument pas, Leo n’avait pas l’intention de tomber amoureux. Il ne pouvait pas.

Si l’amour n’était pas au programme, il comptait bien faire en sorte de s’amuser et de prendre autant de plaisir que possible -notamment avec cette belle espagnole aux allures de tigresse. Emilia avait de sacrés arguments physiques, il ne pouvait le nier. S’asseyant sur un tabouret, il attrapa la bière qu’elle venait de lui servir, lâcha un simple merci. En public, elle n’obtiendrait guère plus car il n’appréciait pas de se donner en spectacle. Toutefois il commençait à s’agacer, voulant la demoiselle rien que pour lui. « C’est bon pour moi » dit-il avant qu’elle n’aille chercher ses affaires et l’attende près de la sortie. Le duo improbable sortit dans la rue et Leonidas posa sa main au creux de ses reins pour la conduire vers sa voiture qui les attendait non loin de là. « J’ai réservé dans un restaurant français « les Zygomates » sur Boston. Tu connais ? » demanda-t-il tandis qu’il lui ouvrait galamment la portière passager. Leonidas collectionnait peut-être les conquêtes mais il savait se montrer galant quand il le voulait. « Sait-on jamais que ton sourire veuille me faire jouer au piano » reprit-il en fermant la portière pour contourner sa voiture et se glisser derrière le volant. La circulation était relativement fluide si bien qu’ils ne mirent qu’une vingtaine de minutes pour rejoindre le restaurant. « Bonsoir Georges, ma table est prête ? » demanda-t-il en habitué. Il n’avait pas pour habitude d’amener des femmes dans ce restaurant qu’il aimait fréquenter en solitaire mais si Emilia souhaitait l’entendre jouer du piano, il voulait avoir au moins un instrument de qualité entre ses mains. « Suivez-moi Monsieur Vasilis » les invita-t-il à les suivre vers une table un peu à l’écart du restaurant. Ici, ils seraient tranquilles pour discuter ou autre. « Vous prendrez un apéritif ? » leur demanda-t-il. « Tu veux boire quelque chose ? »

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
You act like a paranoid
— with Léolia

Je vous voyais plutôt impatient. il semble être un homme exigeant et pressé enfaite. La conversation se poursuit avec ce jeu de chat et de la sourie, si il est le chat, je suis la souris qui lui échappe, qui passe entre les mailles du filet qui attaque à son tour et ça m'amuse, ça me diverti et je reste alors je devrais probablement partir, ça serait mieux non ? On vous a brisé le coeur pour que vous montriez au monde cette carapace dure et froide de vous même ? en général, si on agit comme ça c'est pour une bonne raison, c'est pas par envie mais par choix après une déception trop grande. Combien de fois je me suis jurée ne plus jamais m'ouvrir aux autres après des déceptions ? Et finalement moi je tiens pas, comme un cheval sauvage, personne ne me retient de rien, mais j'aime la compagnie des autres, j'aime les discussions, l'échange, j'aime le libre arbitre et l'égalité. Vos partenaires ont le droit à l'orgasme elles aussi ? Parce que vous avez plus l'air de voir les femmes comme des vides couilles et non pas pour des personnes dotés de sentiments. un sourire remplit d'ironie et ses paroles déplorables continue. On voit qu'il a jamais aimé ou bien s'est pris un mur trop fort en amour, car il ne veut clairement pas s'attacher. Vous avez peur des sentiments enfaite. je lui prononce ces paroles droit dans les yeux, une affirmation, ce que je pense tout simplement. Et je peux le comprendre dans un sentiment, les sentiments ça finit par nous faire tourner la tête, et on finit parfois avec le coeur déchiré, mais en même temps, le sexe n'est-il pas meilleur avec une personne avec qui on a une connexion ? C'est un peu mieux que la simple baise du samedi soir dans les chiottes d'une boite. Ce qui vaut le coup d'être vécu, c'est la passion, le feu, ce truc qui te dévore petit à petit, qui te fait mal tellement c'est bon. Ce qui est important, c'est l'attente, le désire, le plaisir partager dans des étreintes qui semblent trop peu nombreuse. Je ne dis pas que cette passion ne s'essoufflera pas. Elle le fera peut être, c'est une possibilité, mais ne vaut-il pas mieux aimer et souffrir, vivre à fond, que de ne pas vivre du tout et rester sur la retenue sur le quai de la gare à regarder passer les trains ?

Leonidas est une énigme, une énigme que je veux résoudre, pas esprit de challenge ou simplement parce qu'il est le fils de Chrystos et que Chrystos compte pour moi. Son père est un ami, une personne qui m'est cher et j'ai envie qu'il sourit, parce qu'on ne peut pas savoir si la maladie ne l'emportera pas, et il voudra savoir son fils entouré et compris. J'avoue aussi que ce game entre nous me plait et je ne peux m'empêcher d'être presque contente quand il passe le pas de la porte du bar. Mais bien entendu, je le fais attendre, histoire de tester sa patience, histoire de rigoler un peu et tout simplement aussi parce que c'est dans mon caractère d'être en retard, je suis comme ça, si je suis trop à l'heure c'est qu'il y a un problème. Si ça arrive, posez vous des questions. Je ne suis jamais en retard pour le travail mais quand il s'agit des sorties privées, c'est simplement une habitude et mes proches le savent, je ne suis pas capable d'être à l'heure, j'avais même prévenu le jeune Vasilis à ce sujet. Lui proposant un verre, il choisit une bière et je la lui donne avant de me remettre au travail. Mais rapidement son agacement se fraye une place en lui et il me demande quand je finis enfin. Il me manque juste mes affaires enfaite, sinon j'étais entrain de faire du temps en rab juste pour l'embêter. Il me laisse aller les chercher, m'attendant vers l'entrée, je le rejoins, sans me presser enfaite. Je rejoins mon partenaire improbable du soir. En avançant je sens sa main se poser au creux de mes reins et mon corps s'électrise suite à ce contacte inattendu. Il en profite pour m'annoncer le nom du restaurant Je connais pas du tout, c'est bien, tu vas me faire découvrir un truc. mais une question me brûle les lèvres, je ne peux me retenir C'est là bas que t'emmène toutes tes conquêtes ? Je suis sûre qu'il a un restaurant spéciale pour les faire tomber dans ses bras alors je demande on sait jamais. Arrivés à la voiture, il m'ouvre ma portière, faisant preuve de galanterie finalement. Et quand je m'installe, il me reparle de ma demande : un morceau de piano. Mais avant que je ne réponde, la portière se ferme et il fait de longue enjambé pour arriver de son côté. Une fois installé, je lui adresse un regard en coin, avec un léger sourire sur les lèvres Je vais tout faire pour. j'ai réellement envie de l'entendre. Mon regard finit par admirer sa voiture, elle est pas mal, je dois bien l'admettre, elle est classieuse, jolie, sportive, j'adore. Je pourrai conduire au retour ou tu comptes me coller dans un taxis ? sait-on jamais, je suis persuadée qu'il serait capable de me planter là bas si je disais un truc qui ne lui plait pas. Je finis par tourner la tête en lui adressant un sourire amusé.

La route est agréable, il conduit bien et la circulation est fluide à cette heure là de la soirée. C'est donc sans mal et en un seul morceau que nous arrivons au restaurant prévu. A peine entré, il demande si ça table est prête, comme ci c'était une habitude, comme ci c'était naturel et moi je suis concentrée à contemplé l'endroit, à détailler la pièce. Le serveur sans attendre nous invite à le suivre et nous voila à une table un peu à l'écart, au calme du brouhaha de la pièce. Au moins ici, nous serons tranquille. Je vais peut être enfin le déchiffrer. Et je m'étonne presque à être contente d'être tranquille avec lui. Je m'installe, déposant ma veste sur ma chaise, mon sac à main à mes pieds, le serveur demande si un apéro est désiré. Léo en gentleman me demande si je veux quelques choses Hmm ... je fais une petite moue boudeuse pour réfléchir un instant avant de dire Je te laisse choisir pour moi. un sourire en la direction de ma compagnie pour la soirée. Oui, je le laisse choisir, niveau cocktail, ou apéro, je ne suis pas vraiment compliqué et il connait probablement mieux les boissons que moi. Alors il n'a plus qu'à bien choisir.


© SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Emilia,

you fill my lungs with sweetness and i fill my head with you





Leonidas eut un petit rire sans joie en réponses aux paroles d’Emilia. « Sincèrement, je parais aussi pathétique que cela ? Vous pensez sincèrement qu’une femme a joué avec mon pauvre petit cœur et l’a abimé et depuis, je fais payer à toutes les femmes ses erreurs ? Ma petite tigresse, il va vraiment falloir arrêter de regarder des comédies romantiques » lâcha-t-il avec une ironie mordante. « Le jour où une femme me brisera le coeur n’est pas arrivé. Je ne suis même pas certain que cette créature ait vu le jour » hausse-t-il des épaules. « Vous vous ne dites pas que c’est parce que je n’ai pas de cœur, que je ne suis pas quelqu’un de gentil ? Non, il faut que j’ai une bonne excuse, l’anti-héros au lourd passé qui dissimule sa souffrance derrière de l’arrogance et de la froideur ? On se croirait dans une mauvaise série » soupirait-il en secouant la tête comme si cette idée était des plus idiotes. Le grec n’était jamais tombé amoureux de sa vie. Il s’était attaché à des femmes, il ne pouvait pas le nier. Certaines avaient compté plus que d’autre mais il n’était jamais tombé amoureux -que Dieu l’en préserve. Les sentiments rendaient faibles et un Vasilis n’avait pas le droit d’être faible. Son grand-père lui avait fait apprendre cette leçon des plus efficacement. Chrystos serait sûrement le premier à prendre le premier vol pour Athènes afin de tuer son père s’il apprenait ce qu’il avait fait subir à son fils pour l’endurcir de cette manière. Leo lui, ne regrettait rien car dans la vie, il y avait toujours un prix à payer pour obtenir ce que l’on désirait. Si on n’acceptait pas ce deal alors on terminait à terre. Une raison de plus pour voir dans les relations sociales, plus des transactions qu’autre chose. « Je n’ai pas peur des sentiments. Ils rendent faibles, obscurcissent votre jugement. Je les occulte tout simplement. Concernant mes maitresses, sachez que si je ne promets ni amour ni mariage, je fais très attention à ce qu’elles obtiennent une compensation de taille à savoir une nuit de pur plaisir entre mes bras. Aucune femme n’a jamais eu à se plaindre de moi » murmura-t-il en la couvant du regard. Un regard qui ne voulait dire qu’une chose : cède-moi et tu connaitras la plus brûlante des passions. Le sexe faisait partie intégrante de sa vie et Leonidas n’y renoncerait pour aucune femme. On pouvait le traiter de connard sans cœur mais il ne jouait pas avec les sentiments des autres. En quoi serait-il responsable de la douleur d’une conquête alors qu’il ne faisait rien que de lui promettre du plaisir ? Il ne prendrait certainement pas la responsabilité de leur bêtise. Si elles s’attachaient à lui, ce n’était pas son problème mais bien le leur songea-t-il avec amertume.

Avec les informations qu’il avait réussi à obtenir sur Emilia, Leonidas aurait dû s’abstenir de l’emmener diner. C’était de la folie mais il appréciait sa compagnie dans le fond. Elle était à la fois grisante et intéressante. Le fait qu’elle soit la protégée de son père rendait le challenge d’autant plus risqué. Chrystos ne lui pardonnerait jamais qu’il la blesse pour une raison ou une autre. Or, il avait réellement envie de la connaitre. C’était un peu le chien qui se mordait la queue. « Je ne perds pas mon temps avec mes conquêtes. Ni mon temps, ni mon argent. Je ne suis pas du genre à amener les femmes au restaurant, leur compter fleurette pour les mettre dans mon lit. Est-ce que cela répond à ta question ? » demanda-t-il pince sans rire. Ce genre de soirée, il ne les réservait qu’à ses proches ou alors à des femmes avec qui, il aimait coucher régulièrement. « C’est le restaurant que j’aime fréquenter donc non, je n’y amène personne » lâcha-t-il au bout du compte en refermant la portière passager pour se glisser derrière le volant. L’histoire du piano l’amusait car sûrement ignorait-elle qu’il jouait dans un groupe de musique à Harvard. Il n’en avait pas informé son père pour la simple et unique raison qu’il s’agissait d’une passion. Si son grand-père l’apprenait, à coups sûrs, il lui demanderait de cesser sur le champ cette infamie. « Conduire ma voiture ? Hors de question. Néanmoins, je serais suffisamment gentleman pour te ramener chez toi. Tu habites où ? » l’interroge-t-il avant de s’engouffrer dans la circulation.
Arrivée au restaurant, Leonidas lui ouvrit la portière et l’aida à sortir de la voiture en lui tendant la main pour mieux la conduire vers le réceptionniste qu’il connaissait bien pour venir au moins une fois par semaine, diner dans cet établissement. Le grec y était un habitué. Ce dernier les mena à sa table, légèrement à l’écart des autres clients afin de pouvoir diner tranquillement. Au moins ici, il serait libre de discuter avec Emilia sans autre parasite. « Très bien. Nous allons prendre du rosé. Apportez nous un château Romassan des Domaines Ott » dit-il en fin connaisseur. « Un bandol » ajouta-t-il tandis que George opinait de la tête et les laissait seuls. « Un rosé aussi complexe qu’intense. A notre image » s’amusa-t-il à dire à sa compagne pour la soirée. « La séance de mon père s’est bien passé. Il est fatigué mais il s’en relèvera » poursuivit-il sans préambule. « J’accepte que tu continues de rendre visite à mon père à une seule et unique condition. Je veux qu’une fois par semaine, nous dinions ensemble afin que tu me parles honnêtement de son état de santé. Il cherche toujours à me protéger en se gardant de me donner des détails. En somme, je fais de toi mon informatrice attitrée »

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)