Invité
est en ligne
Invité
You act like a paranoid
— with Léolia
— with Léolia
Ce qui est drôle dans cette rencontre, c'est la répartie de Léonidas et du jeu qu'il y a entre nous. Ce jeu qui est venu très vite et qui semble installé pour l'instant dans notre manière de dialoguer. D'ailleurs, mes paroles ne semblent pas lui plaire puisqu'il a un rire presque jaune avant de répondre avec un ton d'ironie dans sa voix Vous pourrez pas fuir les sentiments indéfiniment. que je rétorque avec un regard en coin alors qu'il vient de dire que celle qui le briserai n'a pas encore vu le jour. Oh rassurez vous, vous n'avez rien de l'anti héro. Personne n'est le héro de sa vie, simplement l'acteur principal. Et lui visiblement a décidé de vivre sa vie sans faire attention aux autres, sans faire attention à ses sentiments, préférant se renfermer dans sa solitude pour éviter d'avoir des émotions trop forte, trop lourde, trop dur à porter. Parce que ce n'est pas un secret, les sentiments, ça fait mal, ça blesse, ça brise, on finit au fond du trou. J'ai vu ma mère dépérir quand nous avons quitté mon père elle et moi. Elle l'aimait encore et je l'ai vu sombrer dans les médicaments, les excès, l'abus, je l'ai vu aimer un connard rien que pour combler ce vide qu'elle avait créé elle même. J'ai vu les désastres de l'amour. Des sentiments. Je sais à quoi la souffrance ressemble. La souffrance c'est ce sentiment qui m'a envahit quand j'ai appris que l'opération de Bonaventure n'a pas fonctionné.. C'est toujours dans un coin de ma tête ... Il est parti. Ce que je ressens c'est de la souffrance et je l'accepte. Je ne fuis pas ces sentiments comme lui. On voit dans votre discoure que vous êtes loin d'être un habitué des sentiments. il se voile la face. Les réprimender, c'est ça la véritable lâcheté. Car finalement on est heureux seulement quand on vit et on ne vit que quand on aime, on pleure, on rit, on se blesse et on recommence. Et quand arrive le sujet de ses maitresses, il me parle en un murmure, son regard braquer sur moi, ça en serait presque gênant, surtout que je peux lire dans ses yeux un message sans équivoque. Je l'écoute, en me mordant la lèvre inférieur avant de reprendre Elles en ont de la chance alors. Elles sont nombreuses ? je finis par arquer un sourire pour ajouter Je devrai presque les envier si vous êtes un si bon amant. mais ce n'est pas le cas, moi j'ai quelqu'un et ça me convient. En plus, il le fait probablement pour m'ennuyer rien de plus, ce type a assez de filles à ses pieds.
Je ne pensai pas qu'il viendrai. Enfaite, je pensai qu'il lâcherai l'affaire, qu'il laisserai tomber tout ça et qu'il irait voir une de ses maitresses justement. Ca l'occuperai et ça m'éviterai de jouer avec le feu et lui aussi car si son père voulait nous voir nous entendre, je ne sais pas si il apprécierai tout ça. Tout ce jeu. Pourtant, il est là et je suis contente de le voir. Je ne l'avouerai mais ça me fait sourire. Un sourire que je cache derrière mes mèches de cheveux rebelles. Et je dois dire que plus la discussion avec lui s'enclenche plus sa façon de faire m'intrigue. Alors pourquoi m'emmener moi là bas et perdre ton temps ? c'est vrai, il me prend pour une croqueuse de diamant après tout. Alors pourquoi dépenser de l'argent et du temps ? Et je le taquine un peu, annonçant que je lui ferai un beau sourire dans l'espoir de l'entendre. Chrystos dit toujours qu'il s'illumine quand il joue. Et ensuite, je tente le diable en lui demandant si j'aurai le droit de conduire sa voiture. Sa réponse ne laisse nul place au doute et je croise les bras tirant une moue boudeuse. Non je n'aime pas qu'on me dise non. Tsss, t'es nul. sa voiture à l'air cool. Pour tout dire, je pense à changer et je pensai opter pour un modèle du même genre. La conduire aurait été un moyen de la tester. Et c'est sur cet air presque boudeur que je réponds alors en fixant la route Dans le centre ville de Boston. répondant tout de même à sa question, bien que mécontente qu'on me refuse un plaisir que je demande avec le sourire. Mais c'est la vie. Et je ne suis pas réellement vexée, j'ai juste envie d'en jouer un peu.
Le restaurant est classe, lumineux, spacieux, bien fréquenté. Les serveurs dans des tenus en noir et blanc. Une fois conduit à notre table, nous prenons place et je lui dis de choisir ce que nous allons boire. Il commande alors un vin rosé et je ne peux m'empêcher de répété le nom en français, avec mon accent espagnole prononcé un château Romassan des Domaines Ott juste pour voir si j'arrive à le dire car il faut l'avouer, je comprends assez bien le français mais j'ai toujours cet accent hispanique qui rend la prononciation de certains mots complexe. Et encore, heureusement qu'on est pas dans un restaurant allemand. Et le voila qui me lance une remarque comparant le vin à nous. Je n'en attendais pas moins de toi. ma réponse se fait avec un sourire en coin et le voila qui commence, sans prendre de pincette ou bien le temps à des banalités à me parler de son père. Sa séance s'est bien passée ? Ouf, j'en suis soulagée. Il a eu des nausées ? Des vertiges ? Son anti nauséeux ne fonctionnait pas, j'ai prévenu l'infirmière mais je ne sais pas si elle a écouté. je parle bien trop pour quelqu'un qui n'est pas censé s'y connaitre... Mais le fait est que je m'y connais, je connais cette maladie, puisque je l'ai vécu, je l'ai vaincu. Et le voila qui m'annonce qu'il accepte que je vois son père. Ca par exemple ... Attends, tu veux dire que tu acceptes qu'une croqueuse de diamant tienne compagnie à ton père ? je m'adosse dans le fond de mon siège, croisant les jambes et le regardant, assez surprise de cette annonce. Mais la suite de sa proposition m'arrache une petite grimace, trahir Chrystos me pose problème. Si il choisit de se taire, c'est son droit, il y a quelques années, j'avais fais le même choix. J'aime moyennement ton idée.. Enfin je veux dire pourquoi moi ? Les médecins peuvent te parler de son état. Manger avec toi me dérangerai pas, mais trahir sa confiance si. Ton père a confiance en moi. Une confiance que je ne peux brisée. Alors je te propose autres choses : je le vois quand je veux. Nous dinons ensemble 1 soir par semaines et pendant ce repas, tu auras le droit de me poser disons ... 3 questions sur ton père auxquels je répondrai honnêtement. Tu auras juste à bien les choisir. Ca te vas ? tentant une négociation pour ne pas trahir entièrement et totalement mon ami, mais avec la possibilité de lui parler quand même de son père, une chose importante pour lui, ce que je peux comprendre. Oh et t'aurai même le droit à une question bonus si tu me joue un air de piano. un sourire sur les lèvres, j'attends une réponse de sa part mais cela reste un deal honnête que je lui propose. Il devrait dire oui.
Je ne pensai pas qu'il viendrai. Enfaite, je pensai qu'il lâcherai l'affaire, qu'il laisserai tomber tout ça et qu'il irait voir une de ses maitresses justement. Ca l'occuperai et ça m'éviterai de jouer avec le feu et lui aussi car si son père voulait nous voir nous entendre, je ne sais pas si il apprécierai tout ça. Tout ce jeu. Pourtant, il est là et je suis contente de le voir. Je ne l'avouerai mais ça me fait sourire. Un sourire que je cache derrière mes mèches de cheveux rebelles. Et je dois dire que plus la discussion avec lui s'enclenche plus sa façon de faire m'intrigue. Alors pourquoi m'emmener moi là bas et perdre ton temps ? c'est vrai, il me prend pour une croqueuse de diamant après tout. Alors pourquoi dépenser de l'argent et du temps ? Et je le taquine un peu, annonçant que je lui ferai un beau sourire dans l'espoir de l'entendre. Chrystos dit toujours qu'il s'illumine quand il joue. Et ensuite, je tente le diable en lui demandant si j'aurai le droit de conduire sa voiture. Sa réponse ne laisse nul place au doute et je croise les bras tirant une moue boudeuse. Non je n'aime pas qu'on me dise non. Tsss, t'es nul. sa voiture à l'air cool. Pour tout dire, je pense à changer et je pensai opter pour un modèle du même genre. La conduire aurait été un moyen de la tester. Et c'est sur cet air presque boudeur que je réponds alors en fixant la route Dans le centre ville de Boston. répondant tout de même à sa question, bien que mécontente qu'on me refuse un plaisir que je demande avec le sourire. Mais c'est la vie. Et je ne suis pas réellement vexée, j'ai juste envie d'en jouer un peu.
Le restaurant est classe, lumineux, spacieux, bien fréquenté. Les serveurs dans des tenus en noir et blanc. Une fois conduit à notre table, nous prenons place et je lui dis de choisir ce que nous allons boire. Il commande alors un vin rosé et je ne peux m'empêcher de répété le nom en français, avec mon accent espagnole prononcé un château Romassan des Domaines Ott juste pour voir si j'arrive à le dire car il faut l'avouer, je comprends assez bien le français mais j'ai toujours cet accent hispanique qui rend la prononciation de certains mots complexe. Et encore, heureusement qu'on est pas dans un restaurant allemand. Et le voila qui me lance une remarque comparant le vin à nous. Je n'en attendais pas moins de toi. ma réponse se fait avec un sourire en coin et le voila qui commence, sans prendre de pincette ou bien le temps à des banalités à me parler de son père. Sa séance s'est bien passée ? Ouf, j'en suis soulagée. Il a eu des nausées ? Des vertiges ? Son anti nauséeux ne fonctionnait pas, j'ai prévenu l'infirmière mais je ne sais pas si elle a écouté. je parle bien trop pour quelqu'un qui n'est pas censé s'y connaitre... Mais le fait est que je m'y connais, je connais cette maladie, puisque je l'ai vécu, je l'ai vaincu. Et le voila qui m'annonce qu'il accepte que je vois son père. Ca par exemple ... Attends, tu veux dire que tu acceptes qu'une croqueuse de diamant tienne compagnie à ton père ? je m'adosse dans le fond de mon siège, croisant les jambes et le regardant, assez surprise de cette annonce. Mais la suite de sa proposition m'arrache une petite grimace, trahir Chrystos me pose problème. Si il choisit de se taire, c'est son droit, il y a quelques années, j'avais fais le même choix. J'aime moyennement ton idée.. Enfin je veux dire pourquoi moi ? Les médecins peuvent te parler de son état. Manger avec toi me dérangerai pas, mais trahir sa confiance si. Ton père a confiance en moi. Une confiance que je ne peux brisée. Alors je te propose autres choses : je le vois quand je veux. Nous dinons ensemble 1 soir par semaines et pendant ce repas, tu auras le droit de me poser disons ... 3 questions sur ton père auxquels je répondrai honnêtement. Tu auras juste à bien les choisir. Ca te vas ? tentant une négociation pour ne pas trahir entièrement et totalement mon ami, mais avec la possibilité de lui parler quand même de son père, une chose importante pour lui, ce que je peux comprendre. Oh et t'aurai même le droit à une question bonus si tu me joue un air de piano. un sourire sur les lèvres, j'attends une réponse de sa part mais cela reste un deal honnête que je lui propose. Il devrait dire oui.
© SEAWOLF.
(Invité)