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Deux gamins au parc aquatique

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« J’espère bien car je ne suis ni échangé, ni remboursé » s’amuse-t-il à répondre avec un sourire en coin. Il ne voulait même pas imaginer sa vie sans cette pétillante brune au caractère de feu. Capucine était déjà vitale à son existence quand elle n’était que sa meilleure amie mais à présent, c’était impossible. Isaiha serait prêt à la suivre jusqu’au bout du monde s’il le fallait. Londres, Boston, Hong Kong, il se fichait bien du lieu dans lequel ils vivraient si et seulement si, ils étaient côte à côte. C’était la première fois qu’une femme lui donnait envie d’être égoïste, de ne penser qu’à son propre bonheur et non à celui de Casey. Oh, le lowell ne se mentait pas : vivre sans sa sœur jumelle serait un véritable crève-cœur mais il fallait bien qu’un jour, il coupe le cordon et mène sa propre existence. Sa sœur était grande et il espérait secrètement qu’elle aurait toujours besoin de lui seulement, il voulait également qu’elle trouve le même bonheur que lui. « Je serais encore plus solidaire avec ton père dans ce cas » dit-il alors que son sourire amusé s’accentuait. Son beau-père aurait un allié de poids pour supporter les femmes de sa famille car Isaiha ne comptait pas fuir devant l’adversité -surtout qu’il trouvait le caractère de Capucine aussi adorable que rafraichissant. Il éviterait de trop lui répéter sait-on jamais. « Oui je sais que tu aimes ça » rigole-t-il en secouant la tête. Encore un peu coincé sur les questions de sexe, Isaiha avait du mal à se lâcher et se montrer spontané auprès de sa petite-amie. La seule fois où il l’avait fait, c’était en Nouvelle-Orléans mais il travaillait là-dessus, je vous assure. Le couple se décida pour une pause digestive aux abords d’une piscine, profitant de la verdure pour s’allonger. Isaiha cala son sac à dos derrière sa nuque afin d’être légèrement surélevé. « Tu n’as qu’à le proposer à Summer et Paris, je sais qu’ils ont toujours du mal à trouver une babysitter quand ils veulent sortir le soir » répondit-il en regardant les photos, l’une de ses mains jouant les ombrelles. « Tu veux des enfants ? Enfin je veux dire… tu as déjà pensé à ce genre de choses ? » demanda-t-il maladroitement. Il n’osait plus vraiment s’imaginer père pour sa part, refroidi par l’épisode désastreux qu’il avait vécu quelques mois plus tôt. C’était simple, Isaiha rentrait la tête dans les épaules dès qu’il entendait les mots grossesses et maternité. « Donne le tube de crème, je vais t’en mettre dans le dos » dit-il en tendant la main après lui avoir rendu son téléphone.


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« J'ai jeté le ticket de caisse de toute manière... » Capucine adorait quand son Lowell faisait de l'humour comme ça. Il était tellement drôle et tellement adorable. Là où une pétasse y verrait un abruti, Capucine y voyait un homme plein de vie. Son Lowell. Le plus adorable. Capucine était tellement heureuse qu'il partage sa vie qu'elle ne voulait plus rien changer. Et pour la première fois depuis bien longtemps, elle recommençait à faire des projets d'avenir. Comme leur voyage en France cet été. Capucine avait tellement hâte d'y être, de présenter la France à son petit américain, lui montrer de nouvelles choses. Elle savait qu'il aimait voyager et elle avait envie de voir son regard s'émerveiller devant les paysages qui défileront sous ses yeux. « Hey ! On est pas si terrible que ça tout de même !! » S'amusa t-elle. Ça lui faisait chaud au cœur de voir Isaiha prendre part à sa famille. La jeune femme aimait tellement le voir s'investir. Son comportement envers elle lui donnait un sentiment de sécurité qu'elle n'avait pas ressenti depuis bien longtemps. Capucine se sentait bien plus sereine avec Isaiha dans sa vie, dans son cœur, à ses côtés au réveil et au coucher. Elle était même prête à lui demander de vivre avec elle mais c'était peut être encore un peu tôt. Et les photos de Jorah traînaient encore dans l'appartement même s'il n'était plus celui qu'elle avait partagé avec lui. Un petit sourire se dessina sur le visage de l'anglaise, observant toujours Isaiha. « J'adore quand tu fais ton timide. Parce que je suis la seule à savoir ce que tu vaux réellement et tu vaux bien plus que tu ne veux te l'avouer. Et crois moi que je sais de quoi je parle ! » Après tout, elle ne pouvait que le complimenter sur ses performances sexuelles. Isaiha était celui qui lui avait donné le plus de plaisir jusqu'à présent et Capucine ne pouvait s'empêcher de réclamer au moins une fois par jour s'ils le pouvaient. Le matin, le midi, l'après-midi, le soir, en pleine nuit. Bon, ce n'était arrivé qu'une seule fois qu'elle le réveille pour ça. Mais ça avait été vraiment agréable. « Oui, enfin Paris le sait que j'aime garder la petite crotte. Il peut me le demander s'il a besoin, je dirais toujours oui si je suis disponible. Ça ne te dérangerait pas qu'elle soit là un soir si tu es là ? » Lui demanda t-elle en l'observant à travers ses lunettes de soleil. Après tout, Isaiha passait pas mal de temps chez Capucine, du coup elle se devait de lui demander son avis. Après tout, ça le concernait aussi maintenant. « Hum... Plus tard oui, j'en voudrais. Au moins un ! Mais pas avant que j'ai terminé mes études, c'est la condition de mon père pour être à Harvard. Il sait que les étudiantes ont tendance à être un peu trop fertiles dans les universités... » Soupira t-elle. Enfin, elle soupirait surtout parce qu'elle ne comprenait pas comment on arrivait à se faire engrosser si facilement. La pilule existait. Les préservatifs aussi. « Mais oui, j'aimerais bien avoir un petit à moi une fois que je serais posée ! Un travail, un appartement, un mari. Et il ne manquera plus que le mini nous ! Et c'est mieux d'avoir une bonne situation. Ce n'est pas rien un enfant après tout ! Mais je préfère profiter un peu de mon couple avant quand même. » Capucine sourit en tendant le tube de crème à Isaiha, le laissant lui étaler dans le dos. « Et toi ? Tu en veux plus tard ? »
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Avec Capucine, les choses les plus compliquées devenaient les plus simples tout comme, les choses simples restaient tout aussi simples. Le quotidien, la routine, il ne les craignait pas car c’était un véritable plaisir que d’évoluer à ses côtés. Elle avait ce grain de folie qui rendait son quotidien magique, qui faisait que chaque jour était différent du précédent. A ses côtés, il avait trouvé sa place mais également une utilité. Il n’y avait rien de pire à ses yeux que de ne servir à rien, d’être un boulet en quelque sorte. La Dunster lui permettait à la fois de la protéger, de l’aimer mais également d’être simplement une épaule sur laquelle se reposer. En retour, elle le guidait dans sa nouvelle existence, toujours prête à le relever à chacune de ses chutes. Leur complicité était telle qu’il pouvait se lâcher, faire preuve d’humour même si bien souvent, ses plaisanteries étaient des plus simplistes, surtout des traits d’esprit. Il n’avait pas assez de références culturelles pour sortir des idioties comme : oh mon dieu, ils ont tué Kenny ou spider cochon, spider cochon, il marche au plafond. Bref. « Disons que vous n’engendrez pas la mélancolie » la taquina-t-il au sujet du tempérament de feu qu’elle partageait avec sa mère. Cela ne devait pas toujours être facile à gérer pour le père de Capucine mais lui, il adorait cela. Bon, après quelques disputes il ne penserait peut-être pas la même chose -et encore, il y avait un brin de masochiste dans son ADN. Pour en revenir à leur quotidien, Isaiha admettait être encore frileux d’un point de vue sexuel. Il avait du mal à se lâcher mais cela venait avant tout de son éducation et de sa pudeur. « Tant que j’arrive à te satisfaire, je suis le plus fier des amants » s’amuse-t-il à répondre avec un petit sourire séducteur en culotte courte.

Une fois installés sur l’herbe, la discussion du couple tourna essentiellement autour des enfants et d’Ashlynn, la fille de Summer et Paris. « Non, j’aime beaucoup les enfants donc cela me dérangerait pas. Et puis, je trouve leur fille adorable. Au départ, je pensais qu’elle était la fille biologique de Summer. Elles sont aussi blondes l’une que l’autre, c’est troublant » répondit-il avant de lui demander un peu craintivement si elle voulait des enfants. Sa réponse lui arracha un discret soupir de soulagement. Isaiha n’était pas prêt à revivre l’annonce d’une seconde grossesse aussi vite. Et puis, il ne voulait rien presser avec Capucine. Au contraire, il voulait prendre le temps de savourer chaque étape dans leur couple pour mieux les graver dans sa mémoire. « M’en parle pas » grommela-t-il en prenant le tube pour en écartant les jambes afin qu’elle puisse s’asseoir afin qu’il lui étale la crème solaire dans le dos. « Je suis du même avis que toi… J’aimerai beaucoup fonder une famille nombreuse car il n’y a rien de plus beau que de rentrer dans une maison pleine de rire d’enfants mais pas de suite. J’ai besoin de savoir réellement ce que je veux faire, de me poser… Et puis je veux profiter de toi. Nous avons tout le temps devant nous » dit-il en déposant un baiser sur son épaule gauche alors que ses mains continuaient leur œuvre dans son dos. Un petit Isacine ? Ce serait le rêve mais pas de suite, ils avaient le temps de vivre beaucoup d’autres aventures avant.



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Il était vrai que vivre avec Capucine et sa mère n'était pas de tout repos. Surtout que Monsieur Vickers avait été le seul mâle de la famille. Parfois Capucine s'était même demandée comment son père avait fait pour supporter les deux femmes, spécialement pendant les vacances. Quoi que ça dépendait, Capucine était aussi proche de son père. Elle adorait faire de la plongée avec son père dans la Méditerranée. La jeune femme sourit à Isaiha avant de hocher la tête. « Je suis plus que satisfaite ! » Une fois installés sur la pelouse, Capucine et Isaiha se lancèrent dans une conversation des plus sérieuse. « J'en parlerai à Paris alors ! » Et ça prévoyait de sacrées soirées à trois. Au fond, ce serait un peu comme si Capucine et Isaiha avaient un enfant. Ashlynn était tellement adorable que Capucine se demandait comment on ne pouvait pas aimer ce petit bout. Elle n'avait pas du tout le caractère de Paris. Enfin, du point de vue de Capucine, elle préférait garder Ashlynn qu'un mini Paris. Et en prime, elle avait hâte de voir Summer et Paris faire un petit à leur tour. Ce couple était tellement parfait que parfois Capucine avait envie d'être comme eux. Paris était un papa parfait pour la petite Ashlynn et Capucine était admirative qu'il parvienne à gérer tant de choses tout en gardant son rôle de papa. Alors, parfois, elle se complaisait à lui donner un petit coup de pouce pour qu'il ait un moment de tranquille avec Summer. Capucine s'installa entre les jambes de Isaiha, le laissant lui passer de la crème dans le dos. « Tu ne sais pas ce que tu veux faire ? Enfin, par rapport à tes études ? » Parce que pour elle, elle ne voyait que ça. Ça ne lui venait même plus à l'esprit que Isaiha pouvait avoir envie de repartir dans sa communauté et rester un amish pour le reste de sa vie. Après tout, ça les séparerait s'il faisait ça. La jeune femme appréciait de sentir les mains de son amoureux sur la peau de son dos, le laissant faire en soupirant doucement. Quand il eut terminé, Capucine se colla contre son torse, fermant les yeux. Elle était bien là, contre lui. Elle n'avait pas envie d'être ailleurs. L'une de ses mains caressait doucement sa jambe. « Tu as vraiment eu une excellente idée pour le parc aquatique !! Je suis contente de passer du temps avec toi, loin des autres étudiants !! Je commençais à en avoir ras le bol de les croiser ! » S'amusa t-elle doucement. Enfin, c'était vrai qu'elle préférait ne croiser personne qu'elle connaissait.
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Isaiha n’avait pas bombé le torse de fierté suite à ses propos sur ses prouesses sexuelles mais c’était tout comme car son sourire satisfait parlait pour lui. Quoi ?! Il était un homme après tout et tous les mâles appréciaient quand leur femme vantait leur mérite. Heureusement pour lui, il n’était pas familier du principe de la simulation féminine car le jour où il en entendrait parler, croyez-moi, il en parlerait à Capucine, avec inquiétude. Le Lowell n’était pas un homme très confiant. On pourrait croire qu’avec sa carrure, sa force naturelle, ce serait plutôt le contraire mais non : il doutait continuellement de lui en dehors du travail. Il savait qu’il était un bon botaniste, que les travaux manuels étaient plus qu’à sa portée mais dans le domaine des relations sociales et intimes, il restait un nouveau-né. Isa avait commencé à apprendre avec Amanda mais superficiellement. Les choses étaient devenues sérieuses auprès de cette femme qui à présent était sa compagne. Capucine l’avait fait devenir un homme dans tous les sens du terme. Auprès d’elle, il grandissait, il s’ouvrait au monde qui l’entourait mais ce n’était pas sans doute ou inquiétude. « Oui, cela ne leur fera pas de mal de se retrouver en amoureux de temps en temps » répondit-il au sujet d’Ashlynn. Le jeune homme appréciait beaucoup les enfants car ils étaient des êtres innocents, purs. Il n’y avait aucune méchanceté en eux et la petite du couple était vraiment adorable. On sentait l’influence de Summer dans le comportement de la fillette mais elle avait également la force de caractère de son père.

La conversation se poursuivit au sujet des enfants, de l’avenir. L’étudiant admettait qu’il ne savait pas trop quoi faire de son avenir. « Oui, j’aime la botanique mais je suis bien incapable de dire ce que je ferais après. J’ai commencé à me renseigner sur les débouchés, sur ce qu’il pourrait advenir de mon avenir professionnel et résultat : je n’en sais pas plus. J’ignore ce qui me plairait le plus : chercher des nouvelles plantes, les étudier, en créer de nouvelles ou mettre à profit mes connaissances et ouvrir une herboristerie dans une rue commerçante. J’aime également mon travail de palefrenier… En fait, là où tous les étudiants sont certains de leur avenir, j’ai l’impression d’être devant une page blanche et de décider de mon orientation scolaire » dit-il. On sentait que dans sa tête, un retour chez les amish était impensable mais le hic, c’est qu’il n’avait pas réellement réfléchit à son avenir. Terminant d’étaler la crème solaire dans le dos de sa brunette adorée, il la laissa s’adosser contre son torse, l’entourant de ses bras musclés. « Tu sais quoi ? Moi aussi, j’avais envie de m’éloigner des autres et puis, j’avais envie de découvrir un tel endroit… C’est vraiment amusant » dit-il avec de la joie dans le fond de sa voix. Il s’amusait comme un petit fou. « Il faudra qu’on teste les glaces ! C’est quoi ton parfum préféré ? »



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Capucine adorait parler avec Isaiha. Ce garçon avait la particularité d'être vraiment intéressant. Surtout quand il lui parlait à cœur ouvert. La Dunster aimait l'écouter et parfois l'aider dans ses choix. Trouver sa voie n'était pas quelque chose de facile. Capucine avait eu la chance de savoir ce qu'elle voulait faire très jeune mais il fallait dire que le corps de métier dans lequel était ses parents l'avait pas mal influencé. Mais, certaines personnes mettaient plus de temps que d'autres et ce n'était pas bien grave. Il n'y avait pas mort d'homme. Appréciant le fait que son Lowell lui caressait la peau pour lui passer de la crème, Capucine l'écouta attentivement. Le pauvre semblait un peu désemparé de ne pas se trouver alors qu'il voyait certains en avoir une facilité déconcertante. La réaction du blond la fit doucement sourire, sa main caressant doucement sa jambe comme pour le rassurer. « Tu as encore du temps devant toi Yaya... Tu n'es qu'en première année après tout ! » La Dunster faisait de son mieux pour le rassurer, le mettre à l'aise. Elle n'aimait pas le savoir un peu perdu et désorienté. Il lui donnait la sensation de ne pas parvenir à être comme les autres alors que Capucine ne voulait pas qu'il soit comme les autres justement. Ce qu'elle aimait chez lui c'était son unicité. Il n'y avait qu'un seul Isaiha et c'était le sien. Et elle comptait bien le garder. Capucine se colla contre son Lowell, souriant en sentant ses bras l'entourer. « On est bien ici, juste nous deux... Hum... j'adore la glace à la noisette mais je doute qu'ils en aient ici. Et sinon, j'aime la noix de coco ! Beaucoup beaucoup ! » Capucine s'installa un peu mieux contre Isaiha, levant la tête pour lui embrasser le menton et réclamer un bisou. « Tu sais Yaya, il y a pleins de métier avec les plantes. Tu pourrais faire aussi paysagiste ou jardinier !! Tu as un don pour les plantes alors qu'avec moi, elles meurent tout de suite !! Alors, je pense que tu n'as pas à t'inquiéter. Tu peux aussi être parfumeur ? Tu deviendrais riche en inventant ton propre parfum ! » Une léger rire franchit les lèvres de la Dunster malgré qu'elle soit sérieuse. Isaiha était vraiment doué avec les plantes. Elle ne comptait plus le nombre de plantes qu'il avait réussi à sauver en venant chez elle.
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« Il est vrai… Dis-moi, tu as su comment que tu voulais devenir médecin légiste ? » l’interroge-t-il afin d’en apprendre plus sur elle. Isaiha avait soif de la connaitre dans les moindres détails. Il voulait tout savoir d’elle de ses petites manies à ses rêves en passant par tous ses petits défauts qui la rendaient plus que parfaite à ses yeux. Il pourrait passer des heures simplement à l’écouter parler, à savourer sa douce voix au creux de son oreille. Il aimait les moments simples comme celui qu’il vivait actuellement où ils n’étaient que tous les deux, parlant de tout et de rien. C’était ce genre d’instant qui cimentait leur couple, les rendait plus fort. La communication était le secret de longévité de bien des histoires d’amour mais ça, peu de personnes le comprenait. A l’heure actuelle, on préférait se déchirer, s’affronter en oubliant l’essentiel : s’aimer. Il ne voulait pas de cela avec Capucine. Bien sûr, ils ne seraient jamais à l’abri des disputes car cela faisait partie de leur histoire d’amour mais en aucun cas, il voulait lui faire du mal sciemment. Elle était plus importante que tout à ses yeux et la préservait coûte que coûte en allait de son devoir de petit-ami. Ses lèvres se posèrent sur son menton, véritable appel aux baisers et il ne se fit pas prier pour l’embrasser tendrement. « Je n’ai jamais mangé de glace pour le moment mais je pense que j’aimerai le parfum de la pêche. J’adore ce fruit » dit-il avec un léger sourire tandis que sa main caressait son ventre plat, remontant de temps en temps vers sa poitrine dans un geste inconscient. Son pouce effleura l’un de ses seins tandis qu’ils repartaient dans une conversation concernant son avenir. « Je ne suis pas très parfum mais j’ai envie de travailler avec les plantes, c’est vrai. Je vais continuer de me renseigner sur les pistes que l’on me proposera… Mais il est certain que tu seras la première au courant de mon choix » dit-il avant de lui voler un baiser. « Perso, j’adore quand tu laisses tes plantes mourir car cela me fait une excellente raison de venir te voir en dehors du fait que j’adore passer du temps avec toi » ajoute-t-il avant qu’un ballon n’atterrisse dans leur jambe et qu’un enfant vienne le chercher en s’excusant. « Par moment, j’oublie que nous ne sommes pas seuls ! Tu as vu le pouvoir que tu as sur moi ? » plaisante-t-il en ramenant une mèche de cheveux derrière son oreille.



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Capucine fit une moue songeuse. Ce n'était pas le métier de rêve quand on y pensait médecin légiste. « Je crois que c'est quand on a commencé les cours d'anatomie à l'école. Je devais avoir treize ans. Et puis je regardais beaucoup de séries policières à la télé et ça m'a toujours passionné. » Il était vrai que les séries policières avaient pas mal contribué à son choix de carrière. « Et aussi parce que je voulais être dans le domaine médical sans pour autant côtoyer des gens qui risquaient de mourir. Ceux là sont déjà morts après tout. Et puis... Sans te mentir, la mort ne me fait pas peur... » Et ça, c'était bien vrai. Malgré ce qu'elle avait vécu par rapport à Jorah, côtoyer des morts ne l'effrayaient pas. Au moins, Capucine n'était pas une bimbo effarouchée qui s'offusquait qu'une femme puisse mettre ses mains dans un cadavre. Son travail à la morgue était sympa. Enfin, quand il y avait Bonaventure. Il lui manquait d'ailleurs.

La conversation allait et venait, donnant à Capucine se sentiment de légèreté. La jeune femme n'avait pas envie d'être ailleurs, elle était collée contre son amoureux et le soleil lui chauffait la peau. Un léger sourire se dessina sur son visage. « On prendra plusieurs parfums alors. Tu as déjà faim ? On sort de table, espèce de ventre !! » S'amusa t-elle à le taquiner en lui pinçant doucement la peau des cuisses, sans lui faire mal. Elle appréciait ses caresses sur son ventre, ne disant pas le moindre mot quand il remontait trop haut. Pour une fois qu'il était audacieux et câlin en public, elle n'allait pas le priver ou le brider. Elle craignait trop de le faire rentrer dans sa coquille. La Dunster aimait aussi qu'il l'embrasse, savourant chaque moment où ses lèvres touchaient les siennes. Le jeune homme était perdu dans la recherche de sa voie alors Capucine faisait de son mieux pour l'aider. Un rire franchit les lèvres de la brune. « N'importe quoi !! Mais je les fais trop boire ou pas assez ! J'ai pas le temps de m'en occuper. Et Rags m'en mange parfois... » Capucine se redressa légèrement pour mieux s'installer contre Isaiha alors qu'un enfant ne venait chercher un ballon qui avait atterri entre leurs jambes. Capucine lui adressa un léger sourire, levant la main pour signaler que ce n'était rien puis rit doucement. « Ne t'en fais pas, si je trouve qu'on est trop en public, on rentrera ! Mais j'aime avoir du pouvoir sur toi ! » Lança t-elle en lui tirant la langue. Finalement Capucine se redressa pour se tourner face à Isaiha. Elle s'agenouilla entre ses jambes, lui volant un tendre baiser au passage. « Hum... Tu aimes les plantes mais tu aimes aussi les chevaux. Tu aimerais bien être fermier non ? Peut être avoir ton propre haras ? Et puis, tu pourrais entretenir le jardin du haras non ? Enfin, je ne sais pas, tu as l'air d'être plus un homme comme ça. Je ne te vois pas vraiment enfermé dans un laboratoire à chercher des plantes. Jardinier ou paysagiste. Je trouve que ça t'irait. Et même pourquoi pas fleuriste ? Ce n'est pas un métier réservé qu'aux femmes et en plus, te connaissant je suis certaine que tu feras des bouquets magnifiques... Parce que c'est toi le meilleur. » Capucine l'observa avec un petit sourire sincère. Oui, pour elle, Isaiha était le meilleur. En tout.
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Capucine lui expliquait d’où venait son choix de carrière et il l’écoutait attentivement, s’imaginant sa petite-amie à l’âge de treize ans en train de regarder des séries policières. Il ne savait pas pourquoi mais il l’imaginait presque avec un petit calepin sur les genoux, mordillant un crayon à papier comme si elle cherchait à résoudre elle-même les crimes ou à prendre en note le jargon scientifique. Cette pensée lui arracha un sourire. « Je sais que tu n’as pas peur de la mort. D’après Bonaventure, vous vous êtes complétement lâchés à la morgue à Halloween dernier » répondit-il avec un petit sourire en coin. Il était fier de sa petite-amie car elle ne ressemblait à aucune autre femme. Auprès d’elle, vous pouviez être assuré de ne jamais voir la vie de manière déprimante car elle était pleine de vitalité. En parlant de non déprime, Isaiha enchaina avec les glaces, son sourire s’accentuant devant l’air amusé de sa belle. « Qu’est-ce que tu crois ? Ce n’est pas avec un appétit de moineau que je suis devenu ce que je suis et puis, je suis intrigué. Il parait que c’est vraiment bon. J’ai goûté des cupcakes au Summer Camp dernier, c’était bon » dit-il avec une expression gourmande. Isaiha ne l’avouerait jamais mais c’était un bec sucré. Il adorait les bonbons, les douceurs. Il pourrait se nourrir uniquement de gâteaux s’il ne se retenait pas.

Une autre faim le tiraillait constamment et il ne fallait pas être clairvoyant pour comprendre de quoi il parlait : sa petite-amie. Il n’avait jamais été le genre de personnes très à l’aise avec les contacts physiques. Cela avait même tendance à le gêner mais de plus en plus, il se surprenait à initier le contact avec son petit cœur. Prendre sa main, caresser sa joue, l’embrasser. Il n’arrivait pas à se retenir et quand il la voyait se blottir contre lui, le lowell ne pouvait que s’encourager sur cette lancée. « Je t’ai dit de mettre une plante répulsive. Cela ne lui fera aucun mal mais il arrêtera de les manger » dit-il en secouant la tête tandis qu’elle s’installait plus confortablement contre lui. Il ne put d’ailleurs s’empêcher de lui dire que par moment, il oubliait les gens autour d’eux tant il était sous le charme. Son seul regret était certainement de ne plus percevoir la nuance de couleur de son beau regard. « Il faut que je t’embrasse, j’allais dire une grosse bêtise » murmura-t-il en reprenant l’adage : il vaut mieux tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Isaiha l’embrassa pour mieux glisser ses bras autour de ses hanches quand elle se retourna vers lui. « En fait, j’ai déjà été fleuriste mais ça m’a pas plu. Je n’aime pas vraiment le côté commercial… c’est pas trop ce que j’aime faire » dit-il en grimaçant. Il n’aimait pas vraiment le contact avec le public ni les endroits bondés. Capucine avait raison au moins sur un point : il n’était pas fait pour être enfermé dans un bureau. Son petit-ami était un terrien, un homme de la Terre. « J’aimerai avoir une ferme, pourquoi pas avec un élevage de chevaux. Le problème c’est que cela demande de l’argent et de l’investissement. Par moment, je me demande si cela vaut vraiment la peine que je poursuive mes études. Je pourrais travailler à temps plein au centre équestre… Je ne suis pas un acharné des études » confessa-t-il. « Sans compter que j’ai parfois du mal à suivre la cadence à cause de mon manque d’aisance avec les ordinateurs » avoue-t-il sans aucune honte.



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Un éclat de rire franchit les lèvres de la brune en repensant à Halloween. On pouvait dire qu'elle ne s'était pas ennuyée avec Bonaventure comme collègue. Le problème était qu'il avait du repartir. Capucine avait été particulièrement triste de perdre son super collègue mais elle n'avait pas pu le retenir. La jeune femme soupira doucement. « On s'amusait bien à la morgue... » La Dunster craignait de ne pas réussir à retrouver un collègue aussi amusant et que son quotidien deviendrait ennuyeux. Capucine remua légèrement et sourit. « C'est bon ça les cupcake !! Mais tu sais ce qu'il me manque le plus depuis que je suis devenue végétarienne ? C'est le cheesecake. J'en ai pas mangé depuis que je le suis ! Tu pourrais m'en faire un ? Toi qui prends des cours de cuisine ! » Après tout, s'il se lançait dans la cuisine, il fallait bien qu'elle profite. Elle était prête à devenir sa goûteuse attitrée. Elle adorait le voir s'affairer en cuisine, ça le rendait encore plus sexy qu'il ne l'était déjà. Capucine se savait chanceuse d'avoir un homme comme lui dans sa vie. « Quand on sera en France, on mangera pleins de pâtisseries, je suis certaine que ça va te plaire ! » Et elle comptait lui faire découvrir bien d'autres choses.

« Oui, je sais mais ça ne marche pas avec Rags !! Il est bête ce chien ! » S'amusa t-elle. « La dernière fois que tu es venu avec Texas, il mangeait ses croquettes... » Capucine haussa les épaules, dépitée par le comportement particulièrement étrange de son chien parfois. Mais elle ne pouvait pas s'empêcher de l'aimer, il était trop adorable. Une fois encore, Isaiha lâcha un ânerie qui fit rire Capucine, secouant son visage doucement. « Idiot ! » Mais ça l'amusait quand il sortait des blagues de ce genre. La jeune femme fit une moue songeuse. « Tu pourrais le faire par internet si tu n'aimes pas le contact des clients ou engager un vendeur et toi tu ferais les bouquets en arrière boutique. Enfin, je te comprends ! » Après tout, si Capucine avait choisi la médecine légale c'était aussi pour éviter d'avoir trop de contact avec des personnes vivantes. Et pénibles surtout ! La jeune femme lui caressa doucement la joue. Le pauvre Lowell était tellement perdu dans la voie à choisir qu'elle ne savait plus trop comment l'aider. Elle pinça les lèvres, l'observant avec amour. « L'argent ne sera pas un problème, tu le sais en plus... Moi, j'adorerai te voir dans un ranch et t'occuper des chevaux. Si tu ne me délaisse pas ! » Lança t-elle faussement sérieuse avant de lui tirer la langue. La jeune femme voulait qu'il soit bien et elle ferait n'importe quoi pour ça. Et puis, si Isaiha vivait loin de la ville, il serait beaucoup moins tenté de jouer. « Si je n'avais pas fait médecine légale, j'aurais fait des études d'hôtellerie et je me serais acheter un hôtel au bord de la mer, sur les côtes galloises. J'aurais adoré pouvoir avoir mon propre hôtel à gérer. Dans un vieux manoir avec pleins de chambres. » Capucine se pencha pour l'embrasser puis se leva. L'heure n'était pas à la rêverie. Elle adorait son choix de carrière mais elle avait parfois des envies plus profondes. La jeune femme enfila sa petite robe et tendit la main à Isaiha. « Aller viens, on va manger des tonnes de parfums de glace ! On les goutera tous ! »
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