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Deux gamins au parc aquatique

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Silencieusement, Isaiha écoutait la raison qui poussait Capucine à ne pas consommer de viande. Dans un sens, c’était louable même s’il ne comprenait pas trop ce que venait faire les corps humains dans cette histoire. Il faut dire qu’il n’avait jamais été confronté à un mort de toute sa vie. A des blessés oui mais il n’avait jamais vu de cadavre et ce n’était pas quelque chose qu’il était pressé de vivre d’un point de vue d’expérience. « Non ce n’est pas débile du tout. Je respecte tes principes » répondit-il avec un petit sourire. Isaiha ne la comprenait pas toujours et dans le fond, ce n’était pas un problème car toutes ces petites incompréhensions ne le faisaient que l’aimer davantage. « Ma mère a eu plus ou moins la même réaction que toi quand je lui ai annoncé que je ne voulais plus manger de viande. Elle m’a regardé comme si j’étais fou avant de se tourner vers mon père qui a simplement haussé les épaules. Je pense qu’à l’époque, ils s’imaginaient que ce n’était qu’un caprice d’enfants puis à la longue, ils s’y sont faits » dit-il avec un petit rire. Isaiha décida finalement pour un autre restaurant, poussant Capucine à venir avec lui. Il était temps qu’elle se fasse plaisir ! « Non tu ne vas pas brûler en enfer. On évolue avec les expériences, les rencontres. Des principes peuvent évoluer également… Rien n’est immuable » lui sourit-il. « Après tout, j’en suis bien la preuve vivante non ? » rit-il en l’entourant de ses bras, déposant un baiser sur son front. « Personne ne te jugera pour cela et si quelqu’un le fait, c’est que c’est un idiot » tenta-t-il de la rassurer en glissant son index et son majeur sous son menton pour lui faire relever le visage vers le sien. « Cesse de te torturer, si tu veux à nouveau manger de la viande, tu es en droit de le faire. Tu es seule maitresse de ta vie » ajouta-t-il avec tendresse pour achever de la convaincre. « J’ai envie de goûter un hamburger au poulet… j’aime pas les poulets… Tu n’imagines pas combien de fois j’ai dû courir après une de ces bestioles à la ferme à cause du jeune Jimmy qui n’arrêtait pas d’ouvrir leurs enclos pour s’amuser… Je vais me venger pour toutes ces cavalcades » dit-il en souriant avec amusement.


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Y avait il plus formidable que Isaiha ? Non. Capucine en était définitivement certaine. Il était tout parfait cet homme là. Et malgré tout le respect qu'elle devait à Jorah, Isaiha était même plus paraît que lui et il lui aurait bien servi d'exemple. Capucine observait le blond lui raconter son histoire mais elle s'avoua honteusement qu'elle ne l'écoutant pas même si son expression en donnait l'impression. Elle buvait ses paroles, ne l'écoutant que d'une oreille pas très attentive. Capucine se rendait compte qu'elle aurait pu aisément tromper Jorah avec Isaiha. Pour lui, elle aurait tout plaquer. Comment Amanda avait pu le laisser partir ? Enfin, Capucine n'allait pas s'en plaindre de l'avoir récupéré. Mais elle ne comptait pas le laisser partir elle. Le jeune homme prenait les choses en main et ça plaisait à la brune ça. Un petit rire franchit ses lèvres alors qu'elle venait se blottir au creux de ses bras. « Ah, me voilà rassurée alors ! Qu'est ce que je ferais sans toi pour me remonter le moral et me protéger hein ? » La Dunster planta son regard dans le sien, à la fois amusée et sérieuse. Car c'était vrai, Isaiha l'avait réparé à sa manière et c'était une manière qui convenait parfaitement à la demoiselle. Elle profita d'avoir le nez levé vers lui pour se hisser sur la pointe des pieds et l'embrasser tendrement. « Tu as raison mon petit cœur... » L'histoire de Isaiha fit rire Capucine qui glissa un regard vers le menu, restant toute collée contre son petit-ami. Déjà parce qu'elle était bien entre ses bras mais aussi pour montrer qu'il état à elle et que celle qui tenterait de s'en approcher se prendrait un violent coup de griffes sur le visage. Glissant un bras dans le dos de son chéri, Capucine fit une moue songeuse. « Je pense que je vais mes prendre un hamburger au bacon avec des frites et un coca. Ça me tente bien ça !! » La Dunster fouilla dans son porte-feuille pour en sortir quelques billets, faisant patiemment la queue. Une fois le repas sur le plateau et payé, Capucine alla trouver une table sous un parasol, s'installant sur le banc. « Ah !!! Ça fait du bien cette petite journée quand même ! » Capucine attrapa ses frites pour commencer à manger. « Bon appétit mon cœur. »
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« Pas grand-chose, tu aimes trop me prendre pour ton ours en peluche » la taquina-t-il en la serrant un peu plus contre lui. Isaiha n’était jamais vraiment à l’aise en public mais Capucine avait le don de lui faire oublier le monde les entourant. Il aimait vraiment la tenir dans ses bras si bien qu’il se montrait de plus en plus démonstratif en public -sûrement à la plus grande joie de sa petite-amie qui ne privait pas pour l’embrasser. Pour le Lowell, la rassurer, la protéger, était devenu une seconde nature et les sentiments amoureux qu’il lui portait ne faisait que la renforcer. Il ne s’imaginait plus sa vie sans cette petite brune et cela remontait déjà à leur toute première rencontre. Avec elle, il voulait tout découvrir et faire également de nouvelles expériences comme celle de manger de la viande. Il ne changerait pas sa vision de la vie mais comme il lui avait dit : entre les poulets et lui, ce n’était pas une grande histoire d’amour. C’était comme avec la nourriture mexicaine, il ne pouvait plus l’encadrer. Le couple prit commande et alla par la suite s’installer avec leur plateau à une table. « Oui, je m’étais pas autant amusé depuis des années. Je crois que la dernière fois, c’était quand les frères Everett étaient revenus de leur rumspringa et avaient tenté de recréer un rodéo dans la ferme de leur grand-père. Ils étaient ridicules à grimper sur les vaches qui, elles, se fichaient bien de les avoir sur le dos, elles continuaient de brouter » dit-il avec un sourire espiègle. Isaiha arrivait de plus en plus à parler des amish ces derniers temps et cela sans ressentir la moindre nostalgie. Il était passé à autre chose mais ce passé continuait de faire partie de lui. Des histoires de ce genre, il en avait des tonnes et il appréciait de pouvoir les partager avec elle en toute insouciance. Ouvrant la boîte de son hamburger au poulet, Isaiha en huma la bonne odeur avant de regarder sur le plateau. « Je crois qu’on a oublié les couverts » dit-il en regardant autour d’eux mais il ne voyait aucun distributeur mise à part ceux pour les serviettes en papier. « Je vais aller en chercher à la caisse » dit-il en commençant à se lever, loin de se douter que c’était avec les mains qu’on mangeait les hamburger car aussi étrange que cela puisse paraitre, il n’était jamais entré dans un fastfood de toute sa vie ni vu personne en manger. Ce n’est qu’en quittant sa chaise qu’il s’aperçut que les autres clients les dégustaient comme des sandwiches. « Tout le monde a oublié ses couverts sans oser le dire ? »


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Isaiha ne se rendait pas du tout compte le bien qu'il faisait à Capucine ? Il arrivait à lui remonter le moral juste avec de la simplicité. Le jeune homme ne se prenait pas la tête et Capucine adorait son côté enfantin. Il allait toujours au plus facile et Capucine se rendait compte qu'il rendait sa vie bien plus fluide. L'étudiante ne cessait de lui adresser des sourires pleins d'amour et de tendresse parce que c'était comme ça qu'il rendait sa vie désormais. Un rire franchit les lèvres de la jeune Dunster, amusée par l'histoire de Isaiha. Elle buvait ses paroles comme s'il était un grand gourou qui déversait un flot de vérité, charmée par le grand blond. « C'est quoi le rum...rumpsika ? » Lorsque Isaiha parlait de son ancienne vie d'Amish, Capucine remarquait qu'il était bien plus à l'aise qu'avant. Ça lui faisait plaisir de voir le jeune homme un peu délivré de son passé, en espérant qu'il ne veuille plus jamais y retourner. Parce que Capucine comptait bien le garder pour elle ce grand blond. Qui était désormais son blond à elle, son Lowell, son Amish, son Isaiha. Son amoureux. Capucine mangeait tranquillement ses frites, soupirant d'aise. Isaiha finit par se lever, lui faisant hausser les sourcils. Elle ne put s'empêcher de se mettre à rire, lui prenant la main pour qu'il se réinstalle. « Mais non chéri, on mange avec les doigts !!! Ça n'a pas d'intérêt de manger un hamburger avec des couverts voyons !! » Qu'il était drôle ce Isaiha. La jeune femme secoua son visage, amusée. Il n'y avait que lui pour la faire rire si facilement. Capucine attrapa son hamburger et mordit dedans comme si c'était la chose le plus délicieuse qu'elle ait mangé de sa vie et qu'elle attendait ça avec impatience. Elle soupira bruyamment. « Mon dieu, dix ans sans manger de viande ! J'ai la sensation de revivre presque tellement c'est bon !! Je me rend compte que ça m'avait affreusement manqué !! »
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« Le rumspringa » la reprit-il gentiment en faisant ressortir sans le vouloir son accent aux intonations germaniques. Isaiha faisait un effort au quotidien pour que son accent ne s’entende pas même si ce dernier avait tendance à lui échapper quand il était en colère. « C’est un rite de passage pour les adolescents amish. Durant cette période, tous les interdits de la communauté sont levés pour eux. C’est pour nous permettre de découvrir le monde moderne. Durant cette période, on a le droit de rencontrer des personnes en dehors de notre communauté. On a le droit de porter des vêtements modernes, de consommer de l’alcool, de fumer même les filles peuvent se maquiller et porter des bijoux. A la fin de ce rite, nous avons le choix entre demander le baptême et être admis définitivement au sein de la communauté ou alors de refuser mais dans ces cas-là, nous n’avons pas le droit de réintégrer la communauté. C’est pour nous permettre d’avoir le choix en toute connaissance de cause » lui expliqua-t-il tandis qu’ils se trouvaient une table, à l’abri du soleil grâce à un large parasol. Isaiha était sceptique quant à la façon de se restaurer. Il n’était pas contre de goûter son hamburger mais impossible de mettre la main sur les couverts. Il était prêt à se lever et en demander aux caisses quand Capucine l’arrêta dans son élan en lui prenant la main. « Avec les doigts ? » s’étonna-t-il en se rasseyant. Il la regarda faire en premier avant de prendre son propre hamburger. De la sauce s’écoula sur ses doigts et il les porta à ses lèvres pour les lécher avant de mordre de bon cœur dans son sandwich. « Ch’est delichieux » dit-il la bouche pleine mais l’air ravi. Il en mangea une autre bouchée avec un enthousiasme non feint. « Tu ne vas plus avoir à te priver alors… Je suis certain que ta mère en sauterait de joie » la taquina-t-il avant de croquer dans une frite.


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« Oh... En gros, c'est pour savoir si vous préférez rester dans la communauté ou si vous préférez la quitter pour le monde moderne ! Et ça dure combien de temps ? » Capucine était toujours très curieuse concernant l'ancienne vie Amish de Isaiha. Déjà parce qu'elle faisait partie de lui mais aussi parce que la demoiselle avait très envie d'en savoir plus sur l'homme qui partageait sa vie désormais. Elle avait toujours eu ce petit côté très curieux et en savoir plus sur les Amish l'intéressait. Ce n'était pas une chose que la petite anglaise connaissait. Dans son pays, il n'y avait pas de communauté de ce genre. Simplement de vieilles coutumes qui restaient ancrée dans le cœur des anglais. Comme certaines fêtes ancestrales ou le côté royal qui émanait du pays. Capucine était toujours captivée par ce que lui disait Isaiha, observant ses beaux yeux bleus remplis de cette petite lueur d'excitation. Elle sentait que ça lui plaisait d'en parler mais elle ne savait si c'était parce qu'il en parlait avec elle ou si c'était quelque chose qu'il faisait avec n'importe qui. La jeune femme était toujours amusée par la fraîcheur que dégageait le Lowell, comme cette histoire de manger avec les doigts. Pour toute réponse à sa question intriguée, Capucine se contenta de hocher la tête et de lui montrer l'exemple, mordant goulûment dans son hamburger. Un petit rire amusé franchit les lèvres. « Oh oui, c'est super bon !!! » Lança t-elle joyeusement en se régalant. « Ah ça, tu peux être sûr que ma mère va être capable d'en faire une fête familiale !! » Rit-elle doucement en terminant son hamburger rapidement. Capucine était contente que Isaiha ne la juge pas sur ce qu'elle décidait de faire. Enfin, tant que ça restait quelque chose d'anodin pour eux. La jeune femme termina de manger et soupira doucement d'aise. Elle était tellement heureuse d'être avec son Lowell, juste tous les deux. « Ça va ? Ça ne t'embête pas trop de devoir garder tes lunettes de soleil même dans les toboggans ? » Capucine ne pouvait pas comprendre ce qu'il ressentait mais elle voulait lui être d'une grande aide, l'encourager à dire si ça n'allait pas. Elle se fichait de se priver de certaines choses si Isaiha ne se sentait pas de les faire. Elle voulait juste qu'il soit heureux avec elle, et rien de plus. « Si tu veux, je pourrais en parler à Papa. Si ça se trouve, il connaît quelqu'un qui a déjà réussi à soigner ça... Tu veux ? » Et son père serait sûrement ravi de se pencher sur la question. Chez les Vickers, on aimait les défis médicaux.
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Isaiha hocha la tête pour lui faire comprendre qu’elle avait parfaitement saisi le concept du rumspringa. « Cela dépend des adolescents. Certains ont besoin de plus de temps pour réfléchir. Pour ma part, il n’a pas duré une semaine avant que je ne demande mon baptême. Je n’avais pas une très bonne image du monde moderne ou de ses occupants. Je prenais ce rite de passage plus pour une corvée qu’autre chose. A la base, je ne voulais même pas le faire tant j’étais certain de ce que je voulais mais mes parents m’y ont poussé ainsi que Casey. Elle ne voulait pas le faire seule alors je l’ai plus accompagné qu’autre chose » répondit-il avec un légère grimace. Isaiha était toujours passé pour un amish à la limite de l’intégrisme tant il ne voulait aucun rapport avec les Englishs mais rares étaient les personnes à en connaitre la raison. Les seules étaient son père et le pasteur qui avait réaccueillit sa confession à l’époque. Aujourd’hui, de l’eau avait coulé sous les ponts et il avait fait de belles rencontres qu’elles soient masculines ou féminines. Par deux fois il était même tombé amoureux bien que ce qui le liait à Capucine ne souffrait d’aucune comparaison. Il avait l’impression qu’ils se complétaient à merveille, que l’un et l’autre se tirait vers le haut. Il l’aimait autant qu’il aimait leur relation, leur complicité. Auprès d’elle, il se sentait si vivant qu’il n’avait plus besoin de regarder derrière lui. Sa vie amish lui paraissait lointaine et ce constat ne l’effrayait plus ni l’attristait. Il avait évolué comme une chenille se transforme en papillon. « Elle était désespérée à ce point ? » s’amusa-t-il à demander tandis que ses papilles se régalaient de son hamburger au poulet. « Non pas trop. J’ai toujours eu les yeux sensibles à la lumière donc l’été, j’étais bien souvent obligé d’en porter pour me protéger du soleil. Le plus gênant c’est de les porter dans des lieux fermés ou à l’appartement. Je ne veux pas priver Casey de la lumière du soleil » répondit-il en prenant une frite qu’il porta à sa bouche. « Je crois que le plus dur à supporter, c’est l’absence de couleur » avoua-t-il en haussant les épaules. « Je m’y fais à force » nuança-t-il ses propos pour ne pas trop l’inquiéter. Isaiha s’habituait peu à peu à son handicap même s’il donnerait tout pour ne plus avoir à le faire. « J’aimerai beaucoup » accepta-t-il sa proposition avec un sourire. Un sourire qui se teinta d’amusement quand il prit conscience qu’elle avait de la sauce au coin des lèvres. « Attends..bouge pas » dit-il avant de l’essuyer du bout des doigts et de le porter à ses lèvres. « Tu avais un peu de sauce »


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« Oh, je vois. C'est presque obligatoire alors... Je trouve ça un peu étrange que vos parents laissent faire ce genre de choses en connaissant le risque de la finalité. Je veux dire... hum... de perdre ses enfants pour le monde moderne. Dans un sens, c'est rassurant de voir qu'ils ne sont pas totalement fermés mais, en même temps... Je crois que je n'aimerais pas que mes enfants ne puissent plus jamais revenir me voir parce qu'ils ont choisi une vie différente de la mienne... » Capucine avait parfois un peu de mal avec les règles ou traditions amish mais c'était sûrement parce que ce n'était pas son monde. Lorsqu'elle avait décidé d'aller à Harvard, ses parents en avaient été plus qu'enchantés, même très fiers de voir leur unique enfant suivre leurs traces. Et même si la distance pouvait être pesante pour Capucine comme pour ses parents, ils avaient toujours moyens de se parler par téléphone ou par skype. Capucine ne comptait plus le nombre de facetime qu'elle avait fait avec eux parce qu'ils lui manquaient ou qu'elle avait besoin d'un conseil maternel. En vérité, Capucine était beaucoup trop proche de ses parents pour les rayer de sa vie. Et même s'ils n'ont pas fait un enfant pour le garder près d'eux toute leur vie, Capucine savait qu'elle pouvait compter sur eux n'importe quand, n'importe où. Après tout, après la mort de Jorah, son père était venu en renfort, appelé par Paris en urgence pour faire déménager la demoiselle. « Ah ! Tu n'imagines pas le temps qu'elle a passé à trouver de nouvelles recettes pour que je puisse manger correctement. Et elle déteste le tofu, elle l'a en horreur ! S'il en reste après que je sois repartie de la maison, tu peux être sûr qu'elle le jette !! » Rit-elle franchement. Il était vrai que sa mère n'avait compris ce soudainement revirement de situation mais elle avait laissé faire Capucine dans l'espoir qu'elle se lasse. Et ce jour merveilleux était en train d'arriver et sa mère allait s'en réjouir en l'apprenant. « Ah... À la maison ça ne me dérange pas si c'est lumière tamisée ! D'ailleurs, avant de partir j'ai acheté des ampoules spéciales qu'il faudrait que tu m'installes. Elles diffusent un lumière plus douce, je pense que ça ira pour tes yeux ! » Capucine voulait qu'il soit bien, qu'il soit à l'aise quand il était chez elle. Elle lui aurait volontiers décrit les couleurs de ce qui les entourait s'il le lui demandait. Isaiha tendit la main vers Capucine pour lui essuyer le coin des lèvres, s'amusant de son geste. « Ah, je mange comme un cochon !! » La jeune femme soupira doucement et se leva pour jeter leur plateau, terminant sa boisson. Elle se tapota doucement le ventre. « Bon... Avec tout ce que j'ai dans le ventre, on va devoir faire un truc calme parce que sinon je risque de tout rendre !! » Rit-elle doucement en prenant la main de son chéri.
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« Ce sont les risques malheureusement mais il est très rare que les enfants ne reviennent pas dans la communauté » dit-il en se souvenant de son choix de quitter cette dernière pour rejoindre ses sœurs et tentait de les ramener au bercail. Un choix qui s’était avéré définitif malgré toutes ses promesses de ne pas abandonner sa famille. Isaiha s’en voulait d’avoir donné de faux espoirs, de manquer de redorer l’honneur de sa famille en épousant Anna mais quand il plongeait son regard dans celui de Capucine, il ne pouvait douter plus. Son bonheur était auprès d’elle et s’il devait sacrifier ses parents, il le ferait sans hésiter parce qu’il l’aimait et qu’il savait que dans le fond, ces derniers souhaitaient qu’il vive en paix. A chaque chose, son prix. Un bonheur comme le siens ne pouvait pas être offert sans compensation mais il assumait complétement et il comptait bien aller au bout de ses pensées à leur retour du Spring Break. « Tu as beaucoup de chance d’avoir une mère comme la tienne » dit-il avec un petit sourire en coin. « Malgré qu’elle n’aime pas ton mode de vie, elle s’adapte à toi pour te faire plaisir » ajoute-t-il avec un profond respect pour Mme Vickers. Dans le fond, elle lui faisait penser à sa propre mère. Ce voyage dans les terres amish le rendait impatient non pas que son ancienne vie lui manquât mais ses parents oui. Un an qu’il n’avait pas vu le sourire de sa mère, le regard confiant de son père. Sa maison lui manquait également ainsi que son cheval. Ce retour aux sources ne serait qu’un aller retour mais cela lui suffirait. Il n’avait le droit à rien d’autre de tout de manière. « Tu es un amour, tu le sais ça ? » s’amuse-t-il à lui dire car Capucine faisait tous les efforts du monde pour prendre soin de lui. Il n’en tombait que plus amoureux pour le coup songea-t-il en lui enlevant le peu de sauce qu’elle avait au coin des lèvres. « J’allais dire comme une cochonne mais je ne sais pas pourquoi ça sonne aussi pervers dans ma tête » plaisante-t-il avant de secouer la tête. « On a qu’à se balader ou se poser près d’une piscine pour digérer. J’ai vu qu’il y a un coin pelouse dans une partie du parc » dit-il en sortant la brochure froissée qu’il déplia pour lui indiquer l’endroit. « Ici. C’est pas loin » ajoute-t-il en buvant un peu de son soda. Il n’était pas très boisson gazeuse pour être honnête si bien qu’il la termina rapidement pour la jeter dans la poubelle avant de partir avec elle, main dans la main.


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« En tout cas, moi, je suis très très contente que tu ais décidé de quitter ta communauté !! Au moins, maintenant j'ai un super petit ami et je ne l'échangerai pour rien au monde, jamais ! » Lança t-elle avec un très large sourire. C'est qu'elle y tenait à son Lowell. Jamais elle ne le laisserait lui filer entre les doigts, même si elle devait tout plaquer pour lui. Même s'il lui demandait de devenir Amish. Quoi que ça, elle n'était pas sûre de pouvoir accepter de tout plaquer de son monde pour lui. Enfin, elle savait qu'il ne lui demanderait jamais une telle chose. Il n'oserait pas la séparer de ses parents tout de même ? Non, Isaiha n'était pas comme ça. « Ah, Maman s'adapte oui mais elle râle beaucoup !! D'où tu crois que je tiens mon sale caractère !! » S'amusa t-elle en fronçant le nez. Il était vrai que si Capucine ressemblait physiquement à son père, elle avait le caractère bien trempé de sa mère. Et parfois, son père se demandait bien ce qu'il avait fait pour subir tout ça. Le pauvre devait parfois supporter deux furies à la maison. Enfin, plus qu'une seule puisque Capucine avait décidé de quitter le nid familial pour Harvard. La jeune femme sourit. « Oui, je le sais maintenant que tu me l'as dit !! » Puis, elle se mit à rire alors que Isaiha jouait les prudes avec des pensées perverses. « Mais j'aime ça quand tu es un pervers ! Je pense te l'avoir assez prouvé non ? » Il était vrai que Capucine était plus que satisfaite avec son Lowell. Pourtant, il ne semblait pas vouloir lâcher prise et restait toujours un peu coincé. Pas que ça dérange Capucine mais il était vrai qu'elle aimait quand il prenait les choses en main. Elle adorerait le voir en pervers dominant. Capucine observa la carte, hochant la tête à la proposition de Isaiha. Elle serra doucement sa main et le suivit vers le carré de verdure pour s'installer sur une serviette, s'allongeant. Elle sortit la crème solaire, retirant son t-shirt pour se passer de la crème sur le corps et éviter de finir écrevisse. « C'est vraiment sympa comme endroit hein ? On s'amuse bien... Quoi qu'il y a un peu trop d'enfants à mon goût. Même si je les aime bien, je trouve qu'ils sont trop bruyants quand ils sont en bande... Mais j'adore la petite Ashlynn, la fille de Paris !! » Capucine se mit à sourire, sortant son téléphone pour montrer des photos d'elle et Ashlynn. « J'aime bien la garder. J'aimerai bien la garder plus souvent d'ailleurs ! »
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