Let's enjoy ourselves and have fun (TG quincy)

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Ta journée tu l'avais passé à faire du tourisme et armée de ton appareil photo pour immortaliser la splendeur des paysages de Jamaïque. A la différence de la plupart des étudiants d'Harvard, tu n'étais pas venue au Spring Break pour te saouler tous les soirs, non juste prendre du bon temps et une bonne dose de soleil également. Ton passé de mather il est loin désormais, c'est une partie de ta vie que tu préfères oublier car elle ne t'a rien apporté de bon. Une fois revenue de ton escapade, tu avais pris le soin de te changer, revêtant une robe légère couleur framboise, puis arranger ton maquillage. Tu laissais tes cheveux volés au vent plutôt que de les étouffer avec une immense coiffure. De toute manière cette soirée quincy aurait lieu en toute simplicité, reflet de vos valeurs communes. Pas d'extravagances, juste la joie de se retrouver dans une franche camaraderie.Au bord de la plage, tu ôtais tes sandales, pour fouler le sable chaud pieds nus. Tu déposes tes affaires autour du feu de camp. Aucunes craintes de se faire voler. En voyant la chevelure sombre de Rose, ton sourire se fait plus large. Tu as l'habitude de supporter cette folle H24, quasiment tous les jours de l'année. Les joies de la colocation ! Mais pour ce Spring Break, tu lui as fait faux bond, en partageant tes nuits avec Xaver, évidemment. Tu t'empares de deux bières pour ensuite aller embêter la fameuse quincy." Je savais bien que sans moi tu serais perdue ! Allez tu peux le dire que je te manque ces derniers jours. " Lui tendant la bouteille telle une offrande de paix, avant qu'une tornade blonde vous rejoint.Hazel et son éternelle répartie." J'espère que maman nous laisse faire le mur ce soir ! " Votre présidente annonce le début de l'activité. Tu es arrivée pile à l'heure. Le fameux action/vérité. Le dernier auquel tu as participé remonte à tes tout débuts à Harvard, tu étais encore Cabot, c'est pour dire !

@Feryel Oswald @Rose D. Cahill @Hazel N. Pennington

M’enfin, c’était sûrement pas le détail le plus important au monde mais quoi qu’il en soit, je m’en souvenais ce qui en soit prouvait que je faisais attention à ce qu’elle pouvait me raconter. Du coup, clairement, je pouvais récolter un bon point pour ça. En attendant, les Quincys étaient toujours aussi.. Sympa ? Parce que j’avais le droit à un sourire resplendissant de la part d’une nana que je ne connaissais pas (Anja) et malgré ma légère surprise, je lui rendais tout de même histoire de ne pas passer pour la plus grande garce de tous les temps. « Pas autant que toi » que je soufflais à la présidente haussant les épaules d’un air innocent. Clairement, ça pouvait largement donner l’impression que j’essayais de la charmer et.. Peut-être que c’était ce que je faisais en fin de compte. D’un sourire, je m’écartais légèrement pour récupérer un soda alors qu’elle s’attaquait à faire une annonce public qui me laissait sceptique. Un action vérité ? Arquant un sourcil j’attendais la suite pas spécialement à l’aise dans ce genre de jeu mais.. J’me devais de faire des efforts et tant qu’on ne me cherchait pas trop, je pouvais être en mesure de jouer au moins un peu. De toute manière, ce n'était pas à moi de commencer et puisque je ne connaissais quasi personne, y avait de forte chance pour que je ne sois pas solliciter pour le jeu ce qui au fond m'arrangeait.

@Feryel Oswald @Anja Eldjarn

tu étais très heureux de rencontrer anja et les autres. or, ton téléphone porta se mis à vibrer dans ta poche ce qui attira toute ton attention. tu ne voulus pas paraître impoli, mais voyant sur l'écran qu'il s'agissait de ton père, tu préféras aller répondre en t’éclipsant discrètement. la conversation dura que quelques minutes, mais déjà ça te faisait chaud au coeur que ton père prenne la peine de t'appeler durant ton spring break. il te manquant. l'écurie te manquait... mais il fallait faire ce genre de sacrifice pour se faire 'apprécier' de tes autres camarades. à harvard, c'était pareil qu'au colorado. tu avais une certaine réputation à préserver et tu étais prêt à tout faire pour cela. oui, ça faisait peut-être prétentieux de ta part, mais c'est juste que tu avais tellement travailler fort pour être là où tu en es aujourd'hui. ton père te rappelait toujours qu'il ne fallait pas oublier d'où on vient et où l'on s'en va pour être pleinement heureux dans la vie. ça fait clicher, mais tu te rattaches à cela pour continuer d'avancer. après t'être écarter du lieu de rencontre pour ne pas déranger, tu revins très vite vers eux, cherchant @Melchior Sachs du regard. une fois trouvé, tu revins vers lui. « hey mec. excuse-moi. c'était mon père. j'ai manqué quoi ? » demandas-tu en jetant un petit coup d'oeil autour. rien ne semblait vraiment avoir changé...

Il n'avait strictement rien foutu de la soirée, au sens propre du terme. L'alcool but commençait lentement à lui monter à la tête, vodka et autres. D'ailleurs, lui qui n'a pas froid aux yeux, lui qui n'a pas peur du ridicule, risque de ne pas avoir de mal à faire ce qui suivra, surtout saoul comme un bœuf. La plage se vide lentement, surtout qu'il est tard, mais les plus fêtards restent pour terminer l'alcool et bouffer le reste des en-cas. D'un geste las, pénible et surtout lent, Lancelot se changer vite-fait bien fait en dieu de l'amour. Qui est-ce ? Cupidon, bien-sûr. Il est très viril, habillé ainsi. Les grandes ailes blanches dans le dos, la belle auréole au dessus de la tête et, encore mieux ? Son arc décoré de cœurs, ses flèches en forme de cœur et même son slip en cœur. Il es torse-nu, avec un beau slip moulant son beau Excalibur. Vous savez, l'épée ? Son Excalibur à lui, est son arme fatale d'habitude, mais pour aujourd'hui, les flèches feront offices de filtre d'amour.

Il prit une flèche dans son carquois (en plastique bien sur) banda son arc et visa pour atteindre les fesses de Féryel.  Jouant le jeu à fond, il se para de son plus beaux sourire et avança vers elle, arc à la main, presque en sautillant.« Alors alors, jeunes gens, vous vous appréciez ? » dit-il en prenant une voix fluette. Son sourire s'élargit d'une oreille à l'autre et il eut du mal à rester en équilibre. « LE dieu de l'amour est devant vous mes amis ! Pas besoin d'être en Février, pour célébrer l'amour et la joie. Que diriez-vous, mes beaux petits. de vous faire un petit câlin ? Un bisous aussi, ce n'est pas de refus ! Nul endroit n'est plus beau, plus tranquille qu'une plage le soir. Soyez gentils, soyez bons et beaux ! L'amitié tout comme l'amour se démontre de milles et une façon. Saviez-vous qu'il suffit seulement d'un câlin par jour pour rendre quelqu'un heureux ? il prit une pause pour reprendre sa respiration, puis continua sur le même rythme. « Ne soyez pas timides ! Vous avez été touchés pas ma flèche de l'amour et tout le monde peut témoigner de votre pur bonheur ! Soyez amis, mes amis, dans tous les sens du terme. Allez ! Un câlin ! » ll brandit son arc, comme pour menacer de décocher une autre flèche en direction de la présidente ou de Agathe. Puis, laissant un sourire suffisant aux lèvres, il attend, les poings sur les hanches d'une manière un peu féminine.

(je devais le faire, sorryyyy )

@Feryel Oswald @Agathe Thomspers

sans trop comprendre pourquoi, lorsqu'Ezio te quitta, t'as eu une sorte d'absence. tu observais les personnes autour de toi mais c'était comme si tu n'étais pas capable de bouger, de parler. t'étais comme absorber par les personnes autour de toi sans pour autant pouvoir te démarquer, t'immiscer à eux. Et puis, d'un coup t'as eu une révélation. C'était peut-être con voire même puéril comme idée, mais pourquoi pas après tout ? Un action/vérité, c'était marrant et ça pouvait tout autant être délirant. Ça pouvait aussi souder la maison ? Du coup tu te lanças. Tu te levas alors d'un coup avant de faire quelques pas pour te diriger au milieu du groupe de personnes avant de dire d'une manière enjouée. Bon, c'est peut-être con mais je trouve ça un peu mort comme soirée, non ? Merde, tu fais quoi là ? Quelques secondes de silences. Oui, parce que d'un coup t'hésitais. Tu pourrais très bien courir et t'en allais très loin. Mais, merde t'étais là pour t'amuser après tout ! C'est peut-être un peu con comme jeu, mais ça vous dit pas un action/vérité ?

Clairement, la blonde n’était pas spécialement d’humeur à se lancer dans un jeu qu’elle qualifiait d’enfantin. Probablement parce que la Eliot House avait l’habitude eux aussi de s’y prêter et que très souvent, les choses ne se terminaient pas forcément bien. Alors Agathe, elle préférait largement être spectatrice plutôt que devoir prendre part à tout ça. Et puis au fond, si elle était ici, c’était simplement pour Feryel, personne d’autre. Et même si elle tentait de ne pas paraître désagréable aux yeux des autres, elle ne pouvait pas non plus trop forcer les choses. Disons que ce n’était pas dans ses habitudes de faire semblant. Loin de là même. Puis sans trop comprendre le pourquoi du comment, y avait un gars qui débarquait soudainement, vêtu d’un accoutrement pouvant être qualifié de risible et tirant une flèche droit dans le postérieur de la présidente. Agathe, elle arquait un sourcil se demandant à quoi était dû ce manège avant d’avoir le droit au discours le plus drôle de tous les temps. Un câlin, des bisous.. Bras croisés, elle observait le manège légèrement amusée avant de finalement percuter. « Qui ? Moi ? » Semblait-il. La flèche qui ne cessait de faire des aller-retour entre elle et Feryel le prouvait assez bien. Ouais mais.. Pourquoi ? Elles se connaissaient à peine au final et c’était franchement étrange de se donner en spectacle comme ça. « Si tu t’amuses à me tirer une flèche dans les fesses, je te la fait manger. » qu’elle avance d’un air presque menaçant avant de capituler. Après tout, un câlin, c’était pas grand-chose. Se tournant vers l’autre blonde, elle esquissait un sourire gênée avant de la prendre dans ses bras, humant son parfum par la même occasion. Puis tiens, ils voulaient du spectacle ? Ils allaient en avoir. Un fin sourire venait étirer ses lèvres alors qu’elle redressait la tête pour regarder la présidente droit dans les yeux. Aucune idée de comment son action serait interprétée mais à vrai dire, Agathe ne se souciait pas de grand-chose. Et doucement, elle posait ses lèvres sur celles légèrement rosée de la Quincy attendant une réaction de sa part.

@Lancelot P. Calixte @Feryel Oswald