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Excursion en amoureux

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Le Spring Break était synonyme de farniente pour Paris Maconahey. Aucun Dunster à gérer étant donné que chacun faisait sa vie dans son coin, pas d’enfant, pas de chienne à sortir : bref que du bonheur. Il pouvait profiter pleinement de Summer, de la plage en espérant que cette année, aucune mauvaise surprise ne les attende au retour. Cela faisait une quinzaine de jours que le couple avait préparé leurs petites vacances en amoureux, compulsant des brochures et des sites internet pour découvrir les meilleurs plans possibles. C’est ainsi qu’ils avaient eu dans l’idée de profiter d’une journée à Half Moon Beach, une plage privée à laquelle on y accédait en catamaran. Paris affichait un sourire satisfait en voyant l’embarcation s’éloigner au loin. Ils étaient tranquilles malgré la présence d’une quinzaine de touristes. La plage était suffisamment grande pour tout le monde surtout qu’en venant, le couple avait aperçu un petit coin isolé. « Je pense qu’on devrait passer la végétation sur notre droite et on tombera sur l’espèce de petite crique qu’on a vu depuis le bateau » dit-il en prenant sa main dans la sienne. Habillé d’un T-shirt blanc et bermuda de plage, il était l’image même de la décontraction -bah quoi ? un sac de fille, ça servait à contenir tout ce dont un homme a besoin sans avoir à le porter ! Au bout de quelques minutes de marche, les deux amoureux eurent le loisir de jouir de leur coin discret. « Le soleil, la plage et la mer turquoise… Que demander de mieux ? » s’enthousiasma-t-il comme un gosse en ôtant son T-shirt. « On va se baigner un peu ? »

@C. Summer Maconahey



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Paré d’un chapeau estival à large bord, d’une partie de lunette sur le nez, d’un débardeur blanc et d’un sarong autour de la taille – dissimulant un maillot de bain deux pièces – je réajustais mon sac cabas de plage sur mon épaule et tout en suivant Paris qui me tenait l’autre main. On avait sur une plage privée avec le sable chaud sous les pieds, tandis que le Président Dunster m’indiquait la destination « J’espère que depuis, personne n’a eu la même envie ou idée que nous !! » déclarais-je tout en observant l’horizon « On a vraiment bien fait de choisir cette plage n’empêche. Tu as vu ce décor ? C’est trop beau !! » Je nous voyais déjà en mode farniente, bronzage et baignade, quand soudain, je ressentais le besoin de vérifier une dernière fois dans mon sac la présence de la crème solaire !
Finalement on arrivait sur les lieux. Désert ! Alléluia. Je ne perdais pas de temps pour poser mon sac à terre, et en sortir nos serviettes de plage, ainsi que la crème solaire, et le thermos avec ces deux, qui comptait un simple cocktail maison pour nous rafraichir quand on en aurait envie. Paris, lui observait la mer en ôtant son t-shirt, et je m’arrêtais quelques secondes dans ce que je faisais pour le regarder faire, souriant à l’allure qu’il dégageait. « Hey, deux minutes papillon, tu veux ?! J’ai plus de truc que toi sur le dos, et a cas où tu ne l’as pas remarqué, on a nos affaire à déballer » lui déclarais-je avant de me baisser à nouveau pour sortir ce qu’il nous fallait. Je me redressais pour venir déployer l’une de nos serviettes dans l’air.

@Paris A. Maconahey



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La plage qui s’offrait à eux était magnifique, il n’y avait pas d’autres termes pour décrire ce décor. Il était on ne peut plus heureux d’être ici, espérant tout de même qu’aucun ouragan, tremblement de terre ou Godzilla ne vienne gâcher la fête. Il voulait profiter de sa femme et de leurs vacances pour faire le plein de souvenirs mais aussi d’énergie car comme tout le monde, ils étaient crevés de tout gérer. « Je pense pas, ils étaient tous plus occupés à regarder dans l’eau qu’à regarder la plage » dit-il en haussant les épaules. Ce petit coin était pour eux surtout qu’il fallait le mériter en prenant conscience de l’épaisse végétation qui leur barrait la route. En bon mari, Paris était passé devant pour ouvrir le passage à Summer.

A peine arrivé dans leur petit coin de paradis, Paris avait ôté son T-shirt, prêt à faire trempette. Un vrai gosse que Summer ne tarda pas à rappeler à l’ordre. « Si tu avais été moins vêtue, le capitaine du catamaran n’aurait jamais réussi à nous mener à bon port » la taquina-t-il en prenant sa serviette pour l’étendre sur le sable chaud, se fichant bien qu’elle était à moitié repliée sur l’un des coins. « Tu peux me passer la crème solaire babe ? » lui demande-t-il avant qu’elle ne la lui tende et qu’il s’en badigeonne. Avec sa peau, il avait plus de chance de cramer que de bronzer mais peu importe ! « Je vais avoir besoin de tes mains pour m’en mettre sur le dos » dit-il avec un petit sourire. « N’empêche… putain qu’on va être bien ici ! J’ai repéré un petit bar qui vend des plateaux de fruits de mer et des cocktails aux touristes. Ça pourrait être sympa pour le déjeuner ? »



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Paris avait finalement compris qu’il ne servait à rien de courir dans l’eau, l’important étant de partir à point. Il revenait donc vers moi pour poser sur T-shirt sur le sable et venir déployer sa serviette, avec un telle hâte que je secouais la tête d’exaspération sans perdre mon sourire, et venait m’agenouiller sur ma serviette pour venir replacer – telle une maniaque – le coin de la serviette de Paris qui était négligé. Je pouffais de rire concernant sa remarque sur le capitaine avant de lui rappeler qu’il avait tort : « Arrête, à mon avis quoiqu’il arrive, j’aurais fait pâle figure si la brune qui était à côté de moi avait ELLE, décider d’abandonner ces fringues ! » . Paris souhaitait que je lui passe la crème solaire, et à cela je feintait un soupir de soulagement ! « AAAhhh enfin un peu de raison de ta part ! » lui déclarais-je tout en lui tendant la crème « T’étais prêt à foncer tête baissé dans l’eau avant, et ce soir, je t’aurais entendu geindre parce que tu aurais fini aussi rouge qu’une écrevisse ! » Bien que fort comme un bûcheron d’apparence, la peau de Paris elle, était tout aussi fragile qu’un pétale de rose, alors quand il me demandait de lui venir en aide pour lui passer la crème dans le dos, je ne me fis pas prier, lâchant tout ce que je faisais et me caler derrière lui. Je scrutais son dos, en l’écoutant me parler, faisant couler une noisette de crème dans la paume de ma main, avant de sourire d’un air malicieux et de lui dire, concernant le déjeuner « Ça pourrait être sympa, oui ! Bien que pour le moment le seul fruit de mer que j’ai envie de manger… » Amorçais-je tout en me penchant au-dessus de l’épaule de Paris « il est là… » gloussais-je enfin, avant de venir mordiller gentiment son épaule et de terminer par un baiser avant de m’attarder à lui mettre la crème « Ça va être froid !! »lançais-je comme un avertissement alors que je plaquais mes mains imbibés de crème sur le dos de Paris, m’amusant de sa crispation quand le contact du froid sur sa peau chaude faisait réagir le Dunster.



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La patience n’était franchement pas le fort de Paris Maconahey surtout pas quand il s’agissait d’aller se baigner. Une mer turquoise, le sable chaud, un soleil à vous réchauffer le cœur : bordel, ils attendaient quoi pour en profiter ?! Le Dunster en aurait presque trépignait sur place tant il avait envie de foncer dans l’eau en compagnie de sa femme mais non, elle s’agenouillait sur sa serviette pour remettre convenablement la sienne. « Bébé.. » râla-t-il bien qu’il avait conscience que se baigner sans crème solaire sur la peau, c’était envoyé une invitation au soleil pour cramer comme il se doit (vive la peau de roux). « Hey, c’est pas ma faute si la mer m’appelle… putain noooon pourquoi j’ai dit ça » râla-t-il en voulant se taper la tête contre un rocher. Depuis qu’ils étaient allés voir le dernier Disney ensemble, Paris avait cette foutue chanson dans la tête. « Tu aurais surtout vu un mec incapable de se coller à sa déesse car trop cramé ouais… Tu vois, je sais être raisonnable quand ma vie sexuelle en dépend » rigole-t-il comme un crétin en lui offrant son dos pour qu’elle puisse lui étaler la substance blanchâtre. Un petit rire secoua ses épaules. « Je sais pas trop comment je dois le prendre… je suis pas gaulé comme une crevette pourtant » rétorqua-t-il en tournant la tête pour lui jeter un petit regard amusé. A peine l’avait-elle mise en garde qu’il frissonnait en sentant ses mains sur son dos. « Allez, dépêche… et pour ton information, la brune était surfaite ! Des faux seins, un cul trop parfait pour être honnête… Bref rien d’intéressant à se mettre sous la main. Par contre, il y avait une blonde à tendance rouquine sur le bateau… si je n’étais pas marié, je l’épousais sur le champ » la taquina-t-il car évidemment, il parlait d’elle.



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Je riais de bon cœur en voyant Parsi s’engueuler tout seul après avoir dit que la mer l’appelait. Je n’avais pas encore vraiment capté pourquoi mais sa réaction était assez marrante « Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu te punis pour avoir manqué de patience ? » Lui demandais, avant de l’entendre me dire qu’il aurait surtout chouiner parce que son coup de soleil lui aurait empêché un corps à corps avec moi. « Oh tu crois vraiment que tu aurais pu prendre un coup de soleil sous ton bermuda ? » lui demandais-je innocemment avant de lui expliquer pourquoi : « Nan, parce que tu sais, j’aurais très bien pu jouer à « à dada sur mon Dunster » en me mettant au défi d’un « sans les mains » pour ne pas toucher tes coups de soleils, hein ? » Une manière pour moi de le taquiner un peu en lui faisant comprendre que dans tous les cas, je ne me serais pas vu me priver d’une nuit avec lui alors que de mon côté je me serais montrée raisonnable en finissant toute bronzé ! Je lui mordillais l’épaule en le comparant à un fruit de mer que j’avais envie de dévorer et alors qu’il riait en s’offusquant de ne pas ressembler à une crevette, je plaisantais à nouveau en lui rétorquant « Nan, je te vois plus comme un crabe…mais un crabe surdimensionné tu vois ? Oh et avec une 3eme grosse pince que je me ferais une joie de manger ! ». Je ne tardais pas à la badigeonner de crème par la suite, faisant abstraction comme que je le pouvais de son impatience de gamin « Hey je fais ce que je peux…arrête de t’agiter déjà, ce sera plus simple pour moi » lui fis-je avant de l’entendre argumenter sur la brune présente avec nous dans le bateau « Ah parce que tu as regardé quand même alors ?! » l’embêtais-je avant de claquer mes mains sur son dos, signe que j’avais terminé et qu’il pouvait partir « La blonde rouquine te permet de te lever, matelos ! Va, la mer t’appelle » lui chantais-je en me relevant moi-même pour enlever mon chapeau, mes lunettes, et regarder l’océan avec une main en casquette sur le front.



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« Non c’est pas ça… C’est juste que ça me fait penser à la chanson de Vaiana ! C’est pire que la reine des neiges, elle tourne en boucle dans ma tête. Tiens, la dernière fois, je me suis mis à fredonner ça, la tête au-dessus d’un générateur » grommela-t-il. Cela n’avait pas arrangé ses affaires avec son camarade de promo qui continuait de le poursuivre de ses avances depuis le désastreux épisodes des soldes avec Priape. De temps en temps, Paris se retenait de lui coller une droite car il avait tout essayé pour le convaincre qu’il n’était pas gay. Summer lui arracha un sourire amusé. « Bébé, comme si tu pouvais réussir à tenir sans me toucher, sans te blottir contre moi» la taquine-t-il en lui pinçant le bout de son nez entre son pouce et son index. « T’es bien trop accro à mon corps pour te priver de le toucher » ajoute-t-il avec un petit clin d’œil, lui tournant à nouveau le dos dont elle mordilla l’épaule. « Bordel, y a pourtant pas de moquette dans notre chambre ! Tu as fumé quoi avant de venir ? » rigole-t-il en secouant la tête de droite à gauche. « Toi, tu me fais une insolation » poursuivit-il, amusé. Oui, il n’avait pas pu s’empêcher de regarder la brune. Ce n’est pas parce qu’il était en couple qu’il n’avait pas le droit de regarder le menu après tout ?! Et puis, autant être honnête, junior ne se levait pas pour toutes les Danettes de la planète songea-t-il avec une pointe de satisfaction. Il aimait l’idée d’être un Summersexuel convaincu. « Attends, tu viens pas avec moi dans l’eau ?? Je peux badigeonner ton corps de crème solaire si tu veux » lui propose-t-il tout en tirant sur le bas de son débardeur avec un sourire malicieux.


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Je comprenais mieux pourquoi Paris se martelais le crâne avec sa paume, maintenant « Mon pauv’ chou attaqué par un Disney ! Je compatis, ça doit être vraiment dur d’être virile dans ce genre de situation » m’amusais-je à lui répondre alors que lui me voyait déjà comme une folle qui avait fumé la moquette parce que je m’imaginais jouer impunément avec son corps telle une cavalière à cheval, ou encore parce que je le comparais à un crabe mutant. Je plissais le nez quand il lâcha ce dernier de ses doigts, et penchant la tête d’un côté comme de l’autre, je riais en avouant sans aucun mal « Ouais, bon c’est vrai : tu marques un point !! » Je ne pouvais pas me passer de le toucher. De la même manière que je ne pouvais pas m’empêcher de faire des câlins à mes amis, j’avais d’autant plus de mal à ne pas me montrer tactile avec Paris ! C’est peut-être pour ça finalement, que je n’avais pas perdu de temps pour badigeonner le corps de mon homme de crème solaire !! Son coup de soleil serait sinon ma fatalité autant que la sienne !

Une fois la pommade passé, je me redressais pour tenir debout sur le sable, en scrutant l’horizon tandis que Paris s’étonnait de ne pas me voir le rejoindre à l’eau. Pour le coup, je jouais les fausse indécises : celle qui ne savait pas si elle avait envie ou pas envie. Mais tout en feintant mon hésitation à coup de « hmmmm, je ne sais pas…eeeuuuhhhmmm…laisse-moi réfléchir… » je dénouais mon sarong de ma taille avec lenteur et laissais Paris tirer sur le bas de mon débardeur que je voyais déjà finir à terre dans peu de temps…Enfin…à moins que la patience de Paris ne lui fasse encore défaut ! « Si ça se trouve, elle est trop froide… » feintais-je encore alors que je déployais avec une lenteur d’escargot le premier pans du sarong qui dévoilait mes jambes.



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« Mais c’est qu’elle se fout de ma gueule en prime » lâcha un Paris en mode « j’ai envie de noyer ma femme en direct live pour vous mes amis ». « Toi, fais gaffe à tes petites fesses bébé car j’ai bien envie de les fesser » rigole-t-il car il aimait quand elle se foutait de lui. En fait, il aimait leur complicité, le fait qu’ils avaient beau être en couple, marié, il persistait ce petit jeu entre eux, cette volonté de chambrer l’autre, de le séduire également. Voilà peut-être la clé de leur succès : cette amitié derrière l’amour. Paris était tombé amoureux d’elle avant de devenir son ami. Il avait développé cette « amitié » au fil de cette année écoulée. Summer était non seulement sa femme et sa maitresse passionnée mais également sa première amie et il adorait cela. « J’ai toujours raison bébé, rappelle-toi, le génie de nous deux, c’est moi » la taquina-t-il de bon cœur tandis qu’elle lui passait de la crème dans le dos, leur évitant à tous les deux une énorme frustration au passage.

« Sérieusement… » dit-il en la regardant l’air de dire : tu te fous de ma gueule ?! « Tu sais que je vais finir par te soulever dans mes bras et te mettre à l’eau qu’importe que tu portes ou non tes fringues ? » lui demanda-t-il pour être certain qu’ils étaient sur la même longueur d’ondes. « Allez bébé… dépêche » trépigna-t-il comme un gosse tout en lâchant son débardeur pour marcher à reculons vers la plage. « Je pourrais tomber amoureux d’une sirène en ton absence… tu es certaine de vouloir prendre ce risque ? »lui demanda-t-il cette fois-ci avec un sourire séducteur.



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Je riais comme une gamine derrière le dos de Paris alors qu’il s’offusquait de mes moqueries par rapport au Disney et ses petites chansons fredonnées au boulot ! Et finalement, je soufflais faussement à sa menace en lui déclarant « Mais quand est-ce que tu vas comprendre mon cœur, que ça ne sert à rien de me menacer avec une fessée ?! C’est pas une PU-NI-TION » insistais-je en riant toujours avant de secouer la tête et de faire de grand cercle avec mes mains sur la peau de Paris pour faire pénétrer la crème. De la même manière par contre, c’était à moi d’admettre que c’était idiot de ma part de m’imaginer être capable de ne pas toucher Paris, surtout pour un moment câlin. Alors forcément, dès la seconde où j’avais admis mon erreur, monsieur jouait le coq !

Pas étonnant qu’après cela, j’avais eu envie de jouer avec sa patience et de lui faire croire que la trempette dans cette mer bleue ne me disait rien. C’est vrai qu’en jouant de la sorte, je risquais de finir à la flotte sans même avoir le temps d’ôter mes fringues. Mais…C’était un risque à prendre. Je prétextais donc que l’eau était froide, mais en même temps, retirais lentement mes affaires, jusqu’à me retrouver en bas de maillot de bain et en débardeur. J’allais prendre le même temps pour retirer ce dernier, mais quand finalement Paris se mit à parler d’une possible sirène dont il aurait pu tomber amoureux, je choisissais ce moment pour me jeter à l’eau (littéralement) : c’est simple, j’affichais un sourire en coin, un air malicieux, et restait deux secondes sans bouger à regarder Paris avant de lui dire « C’est un risque, tu crois ? » et je ne lui laissais pas le temps de me répondre que d’une fraction de seconde, j’attrapais le bas de mon débardeur tout en piquant un sprint et hurlais « Pas si c’est moi qui la rencontre avant toi ! » le débardeur avait passé ma tête pour être finalement jeté en l’air en plein milieu de la plage alors que je fonçais comme une dingue vers les premières vagues.



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