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Moment à deux à la Nouvelle-Orléans

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Le soutien de Capucine lui faisait un bien fou et le poussait sur la bonne voie. C’était important pour lui de savoir qu’elle ne le jugeait pas et qu’au contraire, elle était là pour l’aider, pour lui tenir la main. L’épreuve était d’autant moins compliquée pour lui. « Merci… pour ton soutien mais pour ta discrétion. Je ne suis pas certain de vouloir que tes parents découvrent mes problèmes. Je n’en suis pas fier » soupire-t-il en prenant sa main dans la sienne pour la porter à ses lèvres. Il se sentait beaucoup plus serein quant à ce voyage cet été dans la mesure où il n’aurait pas à affronter à nouveau le jugement de quelqu’un. Il était adulte, il avait fauté mais il n’était pas un lépreux non plus. Qui n’avait jamais connu un instant de faiblesse dans sa vie ?! Il en payait déjà le prix avec ses problèmes de vue, il n’avait pas envie d’être lynché constamment songea-t-il avec amertume. Un sentiment néfaste qu’il laissa s’échapper de son esprit très vite grâce à la présence réconfortante de sa petite-amie. « Promis, je n’oublierai pas ! » dit-il car non seulement, il ne voulait pas se priver de son chat mais il ne voulait pas gâcher leur séjour.

« Je n’en doute pas. Je pense que j’irai me renseigner à l’agence qui m’a recruté pour la première pub mais il faut que je trouve une solution pour mon problème de vue. Je me vois pas supporter la lumière des projecteurs durant des heures et des heures » dit-il avec une petite grimace. Qui avait dit que sa vie était simple ?! « Je ne pense pas qu’il ira jusque-là. Je dois simplement faire signer un acte de présence à mon médecin. Je dois voir avec lui pour cette histoire de salaire. Je ne peux pas étudier à Harvard et multiplier les petits jobs à côté en plus de mon travail au centre équestre. Je ne pourrais pas tout faire » répondit-il. « J’aimerai qu’il ponctionne une certaine partie de mon salaire et non la totalité… » ajoute-t-il. Son oncle n’était pas fermé à la discussion mais pas certain qu’il accepte ceci alors qu’il n’arrêtait pas de poser des vacances pour voyager. « Je veux essayer de m’en sortir seul. Tu fais déjà tellement pour moi Capucine » termine-t-il par dire en déposant un baiser sur la tempe de sa petite-amie. « Je vais m’en sortir, c’est juste compliqué d’avoir des arguments sur mes problèmes financiers alors que je n’arrête pas de poser des congés sans solde au centre équestre pour voyager » plaisante-t-il. En parlant de voyager, ils en étaient rapidement arrivés à parler de leurs vacances d’été. Il lui tardait de pouvoir découvrir de nouveaux endroits avec elle. « Je ne suis pas difficile, tant que c’est dans l’eau, je suis on ne peut plus partant » rigole-t-il. D’ailleurs, il avait bien envie de visiter ce centre aquatique en Jamaïque. « Tu crois qu’on aura le temps de tout faire ? Parce qu’avec ce programme, on va plus savoir où donner de la tête » poursuivit-il sur un ton amusé alors qu’ils continuaient de déguster leur apéritif.




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« C'est du passé Isaiha... N'y pense plus d'accord ? » L'étudiante n'avait pas envie que le Lowell se tourmente un peu plus avec cette histoire. C'était derrière lui et il tentait de se reconstruire. Alors, autant ne plus en parler. Et même si elle savait que ses parents n'émettraient aucun jugement, par protection, son père se trouverait méfiant face à Isaiha. Et Capucine n'avait aucun envie que son père et son petit ami soient en froid. Si sa mère avait énormément apprécié Jorah, son père avait eu assez de mal à lui confier sa fille. Sûrement parce qu'il n'avait pas été aussi bien élevé et adorable que Isaiha.

Faisant une moue un peu contrariée, Capucine se contenta d'un hochement de tête. La pub défilait à nouveau dans son esprit et elle se sentait un peu angoissée et pleine de rage. Et s'il en venait à tomber amoureux de ce genre de travail et qu'il finissait par trouver une demoiselle mieux qu'elle ? Parce que ça existait. Même si le jeune homme lui avait tenu un magnifique discours sur le fait qu'elle était la plus belle à ses yeux, Capucine n'en restait pas moins peu confiante quant à sa capacité de pleinement satisfaire son chéri. Parfois, elle se disait qu'un peu plus de seins et de fesses ne lui ferait vraiment pas de mal. « Mais dis lui... Il faut aussi que tu puisses subvenir à tes besoins, au moins les vitaux non ? Enfin, tu sais que plus vite tu l'auras remboursé et plus vite tu en seras débarrassé. Laisse moi t'aider en attendant... » Soupirant doucement, Capucine finit par se laisser aller contre son Lowell, souriant. Elle le savait brave et courageux mais elle voulait tout de même alléger ses problèmes autant qu'elle le pourrait. Sa fierté l'empêchait d'accepter l'aide totale de sa petite amie et Capucine ne pouvait pas le forcer, bien qu'elle aimerait. « On trouvera le temps de faire tout ce qu'on a envie de faire va !! On va établir un beau programme ! Et puis en deux semaines à la villa je pense qu'on aura du temps oui ! » Capucine termina de manger le laissant terminer ce qu'il restait avant que le serveur ne s'empresse de débarrasser leur table. Capucine poussa un léger soupir d'aise, reposant sa tête contre l'épaule du Lowell. Elle était fatiguée. Fatiguée de devoir travailler sans relâche parce qu'elle avait choisi médecine. La demoiselle se perdit dans ses pensées, se disant qu'avant lui, elle ne dormait pratiquement pas. Depuis qu'ils étaient ensembles, ses nuits étaient bien plus paisibles, du moins quand il était là. Capucine se sentait pousser des ailes et se retenait de précipiter les choses. Mais elle savait qu'il fallait qu'elle prenne son temps pour ne rien gâcher. Pourtant, elle aurait donné n'importe quoi pour qu'ils puissent avoir des moments plus à eux. Les études, l'addiction de Isaiha, le fait qu'elle n'était pas américaine et partait souvent à Londres, Capucine se demandait quel avenir ils auraient. Et plus tard, comment elle pourrait le séparer de ses terres alors qu'elle n'arrivait pas à s'enraciner aux USA. La demoiselle fixait un point invisible plus loin, ne remarquant même pas que le serveur avait apporté les plats.
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« Tu as raison, j’ai beaucoup mieux à penser pour le moment » répondit-il et il suffisait de voir son sourire amoureux pour comprendre de quoi ou plutôt de qui, il s’agissait. Depuis Amanda, Isaiha s’était promis de se fermer à l’amour de peur de souffrir une nouvelle fois, de ne pas se sentir prêt à s’engager une seconde fois. Le cœur brisé, il avait juré qu’on ne l’y reprendrait plus, qu’une vie d’ermite lui suffirait pleinement mais Capucine avait tout balayé sur son passage. De temps en temps, il s’interrogeait sur l’origine de ses sentiments : avait-il succombé à son charme dès le départ sans même s’en rendre compte, persuadé qu’elle ne pourrait jamais le trouver intéressant au point de mettre Jorah de côté ? Auprès d’elle, il avait non seulement trouvé une amie mais également une alliée. Elle était toujours là pour lui faire découvrir de nouvelles choses, pour se moquer gentiment de ses lacunes. Il aimait la manière dont elle tournait parfois en dérision ses faiblesses comme si, elle se fichait réellement qu’il vienne d’un autre monde que le sien. Auprès d’elle, il se sentait pleinement en confiance au point que son cœur avait succombé à la beauté de ses yeux. Avec son addiction aux jeux, il avait chuté et pourtant, elle continuait de le regarder de la même façon, cherchant avant tout à l’aider et non à le juger. C’est bien pour cela qu’il avait accepté son aide car elle n’était pas là en train de lui dire : tu as fait une connerie, je vais devoir te prendre par la main car tu en es incapable. Non, elle restait cette présence apaisante et aimante qui semblait lui dire : on affrontera cette difficulté ensemble, main dans la main. « Tu m’aides bien plus que tu ne le crois mon cœur » souffla-t-il en la serrant un peu plus, son bras autour de sa taille. Il n’avait jamais été très à l’aise dans les marques d’affection en public mais sa petite-amie lui donnait envie d’être affectueux avec elle en toute occasion. « A notre retour du Spring Break, j’irais lui parler » promit-il car il avait besoin d’argent pour vivre et ne voulait pas dépendre exclusivement d’elle. Question de fierté.

En tous les cas, les deux amoureux ne manquaient pas de projets pour cet été, à la plus grande satisfaction du Lowell qui souhaitait vivre mille et une aventures auprès de cette femme. « Tant que je peux avoir des moments rien qu’avec toi, cela m’ira complétement » osa-t-il dire et il ne fallait pas être très intelligent pour comprendre le sous-entendu. « Hey.. un penny pour tes pensées » murmure-t-il à son oreille quelques minutes plus tard alors qu’il la prenait en flagrant délit de perdition dans ses pensées. « Tu as l’air fatiguée » s’inquiéta-t-il légèrement en déposant un baiser sur sa tempe. Il était à cent lieues de savoir de quoi elle pensait, de ses inquiétudes quant à leur avenir. Pour l’heure, il avait simplement envie de la ramener avec lui, dans ce restaurant. Le repas se passa néanmoins sans aucune anicroche et le couple se retrouva à marcher dans un parc non loin de là, main dans la main pour profiter de cette ville dans la quiétude de la nuit. On pouvait entendre quelques airs de jazz, des gens rire ou simplement parler. « J’aime bien cette ville » dit-il alors qu’ils s’installaient sur un banc ou plutôt qu’Isaiha s’asseyait sur un banc pour mieux attirer sa petite-amie sur ses genoux pour lui accorder un tendre câlin.



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Capucine n'imaginait pas laisser tomber Isaiha alors qu'il en avait le plus besoin. Elle se disait que si elle n'était pas capable de l'épauler maintenant, leur relation ne mènerait à rien. Isaiha n'était pas du tout le genre de garçon feignant, cherchant à compter sur les autres. Même s'il savait qu'il avait besoin d'aide, il se débrouillerait par lui même pour se relever. Mais il savait aussi ranger sa fierté et faire profil bas, acceptant l'aide des autres. Capucine était fière de l'homme qu'il était. Malgré qu'il ne connaissait pas son monde et qu'il tentait de s'y intégrer, Isaiha savait rester fidèle à ses principes et être intègre à lui même. Son petit cœur battait fort dans sa poitrine chaque fois qu'il la complimentait, chaque fois qu'il la regardait. Capucine était souvent prise d'une envie irrésistible de lui dire qu'elle l'aimait mais elle avait peur de le faire fuir ou de le perdre complètement. Un léger soupir de contrariété franchis ses lèvres avant qu'elle ne se mette à sourire tendrement. Cet homme était la perfection incarnée.

La jeune femme finit par se perdre dans ses pensées, soudainement réveillée par un léger murmure à son oreille. Un petit rire amusé s'échappa de ses lèvres avant qu'elle ne soupire doucement, se collant un peu plus contre lui en s'étirant. « Je le suis un peu... Ne t'en fais pas, ça ira mieux après avoir fait un gros dodo dans tes bras ! » Le repas passa alors, dans le calme. Après avoir payé, Capucine se retrouva dans un parc avec Isaiha, sa main dans celle du Lowell. Elle aimait se genre de promenade. Ça faisait tellement longtemps qu'elle n'avait pas pris du bon temps comme ça. Elle marchait le nez levé, fixant les étoiles en écoutant les musiques autour d'eux. Cette ville était animée, c'était certain. Mais Capucine trouvait l'air bien trop humide. Isaiha la tira doucement vers un banc et Capucine dut accélérer le pas pour ne pas lâcher sa main. Elle aimait tellement lambiner. Le Lowell s'installa sur le banc et avant qu'elle ne puisse poser ses fesses à côté de lui, elle se retrouva assise sur ses cuisses. D'un sourire, elle glissa un bras autour des épaules de son amoureux. « J'aime bien aussi. Ça fait très fin 19ème et début 20ème. » Capucine regarda autour d'eux. « Si j'avais vécu ici au 18ème ou 19ème siècle, j'aurais été une sorcière ! J'aurais pu t’envoûter et tu serais devenu mon esclave sexuel ! » Le taquina t-elle en tirant la langue. Puis, elle se laisser tomber contre lui, posant ses lèvres sur les siennes pour l'embrasser avec tendresse. Sa main caressait doucement sa nuque tandis que sa main libre vint se poser sur la joue du Lowell. Ses lèvres, la chaleur de sa peau. Le Lowell l'emportait toujours au dessus des nuages, dans les étoiles. La où rien ne pourrait les atteindre.
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Isaiha ne pouvait pas s’empêcher de vouloir prendre soin d’elle et cela ne datait pas d’hier. Il se souvenait de chaque instant où il avait souhaité la prendre dans ses bras afin d’éloigner ses cauchemars ou ses problèmes. Etant en couple, il n’avait pas vraiment réussi à céder à ces élans protecteurs, de peur de dépasser le cadre fixé par leur amitié. Il faut dire qu’il n’avait jamais été très proche de la gente féminine en dehors de sa mère ou de ses sœurs. Isaiha n’était pas habitué à cela et il s’était longuement interrogé sur ce qui était acceptable ou non en amitié. Imaginez donc son soulagement quand Capucine avait initié un rapprochement physique à Londres, lui ôtant toutes ses interrogations : si elle le faisait, c’est qu’il en avait le droit ?! Cela avait été aussi simple que cela. A présent en couple avec la demoiselle, il pouvait laisser libre cours à sa tendresse, son amour également. « Tu travailles beaucoup trop que ce soit dans tes études ou avec toutes les gardes de nuit que tu fais à la morgue » dit-il en la laissant se blottir un peu plus contre lui. « Tu veux que je te nourrisse ? » la taquina-t-il bien gentiment, leurs plats ayant été servis. Le diner se passa à merveille, chacun profitant de la présence de l’autre au point que naturellement, ils en viennent à se balader comme un couple lambda dans un petit parc non loin du restaurant. Isaiha profitait pleinement de cet instant, appréciant le simple fait de marcher main dans la main avec Capucine.

Avisant un banc non loin d’eux, il l’attira vers ce dernier pour mieux la recevoir sur ses genoux. « Oui, j’avoue que pour un musicien, c’est l’endroit rêvé avec toute cette ambiance, ces clubs. Cela me donne envie de faire un bœuf avec tous ceux que je croiserai » s’amusa-t-il à répondre pour mieux lui sourire, amusé de sa répartie. « Tu sais que les paysans brûlaient les sorcières ou simplement ceux qu’ils suspectaient de l’être ? » répondit-il alors qu’elle se penchait vers lui pour l’embrasser. Ses lèvres s’entrouvrirent pour approfondir le baiser, laissant l’amour et la tendresse s’exprimer à travers lui tandis que sa main remontait le long de son dos pour se perdre sur sa nuque et dans ses cheveux comme pour l’empêcher de se détacher de lui. « Je t’aurais caché de tous ces hommes et femmes ma sorcière quitte à devenir ton esclave sexuel. Tu n’aurais même pas eu besoin d’avoir recours à un envoutement… il m’aurait simplement suffit de plonger mon regard dans le tiens pour être sous le charme » dit-il avec un léger sourire avant de l’embrasser à nouveau en la serrant dans ses bras.



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Depuis qu'elle avait décidé d'aller à Harvard, à quatorze ans, Capucine avait travaillé comme une folle. La dernière année de lycée avait été la pire. Elle n'avait pas le quotient intellectuel d'Einstein ou d'un surdoué. Alors les études avaient vraiment été rudes pour elle. Avoir rencontré Jorah l'avait un peu soulagé et lui avait sorti la tête de ses livres. Mais après sa mort, elle s'y était replongé comme si sa vie en dépendait, alliant l'hôpital à son expérience théorique. Isaiha pointait le fait qu'elle travaillait trop et c'était bien vrai mais elle ne pouvait pas se permettre de foirer la moindre année. Et même si elle avait moins de théories à apprendre et passait le plus clair de son temps à la morgue, Capucine n'en oubliait pas son mémoire. La fin de ses études approchait doucement et Capucine se sentait un peu soulagée que tout se termine un jour. Un sourire amusé se dessina sur son visage avant qu'elle ne lui tire la langue. Elle l'aurait laissé volontiers la nourrir mais elle n'avait pas envie non plus qu'il mange froid.

La Dunster était assise sur les genoux de son amoureux, lui caressant la nuque avec tendresse. Elle aimait le voir si heureux, si détendu. Ça lui faisait de bien. Et puis, de nuit, il n'avait pas ses lunettes de soleil alors elle pouvait aisément contempler son regard, l'admirer comme s'il était l'une des merveilles du monde. Il avait des yeux magnifiques et Capucine n'avait plus le droit de les voir quand elle le voulait. Alors, les instants rares où elle le pouvait, elle ne s'en privait pas. L’œil brillant d'amour pour le Lowell, la Dunster se mit à sourire tendrement. « Tu sais jouer de la guitare ? J'aimerais bien apprendre à en jouer ! Je sais jouer du piano. J'ai appris quand j'étais petite ! » Et elle ne jouait pas vraiment bien mais elle se débrouillait. Enfin, elle n'allait pas se produire devant un public non plus et c'était tant mieux. « Je les aurais tous envoûtés pour qu'ils deviennent mes domestiques ! » S'amusa t-elle avant de lui donner un tendre baiser. Un baiser que le Lowell approfondit à sa guise, rapidement suivit par la brune. Dieu ce qu'elle aimait l'embrasser, sentir sa main sur sa peau, dans ses cheveux. Souriant doucement, la demoiselle lui mordillait la lèvre inférieure avant de rire contre ses lèvres. « Ah oui ? » Elle ouvrit grand les yeux en le regardant. « Succombe alors !! » Se mit elle à rire avant de reprendre le baiser avec fougue. La Dunster se pressa un peu plus contre lui, glissant ses deux mains sur sa nuque puis remontant doucement dans ses cheveux. Elle décolla doucement ses lèvres des siennes mais posa son front contre le sien, l'admirant avec tendresse. « Je suis tellement heureuse de t'avoir dans ma vie Isaiha... Je me sens bien quand tu es prêt de moi, quand tu me tiens dans tes bras. Je ne pouvais pas rêver mieux pour moi... Tu es un homme formidable. Ne change jamais. Tout ce que tu es fait que je tiens à toi. Énormément... Plus que tu ne le penses... » Souffla t-elle doucement avant de laisser glisser son visage dans son cou, se reposant sur son épaule. Elle en profita pour déposer de petits baisers tendre sur sa peau, la mordillant par moment.
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« Oh non je ne suis pas très doué avec une guitare entre les mains » rigole-t-il se souvenant de sa première tentative infructueuse. « Je préfère largement l’harmonica et le saxophone, c’est bien plus mon affaire » répondit-il. Isaiha aimait les instruments à vent. Il se rappelait encore de la première fois où il était tombé, au détour d’une randonnée sur une vieille besace. Des campeurs avaient du l’oublier ou la perdre, il n’avait jamais su étant donné qu’à cet âge-là, il n’avait vraiment pas envie de se mêler aux English ; Quoiqu’il en soit, dans cette besace, il avait trouvé un vieil ouvrage de musique ainsi qu’un harmonica. Cette rencontre avait scellé son âme d’artiste et depuis, il avait appris sans relâche, dans le plus grand secret étant donné que la musique était interdite en dehors des chants cantiques. « Il n’y a rien de plus beau que de jouer de la musique. Je crois que je pourrais passer des heures à le faire » dit-il rêveur tant c’était quelque chose qu’il aimait faire. Oh, il ne se voyait pas en faire une carrière ! Isaiha était très clair sur sa vie : il finirait dans une ferme ou dans une herboristerie. C’était ce qu’il aimait par-dessus tout.

Un sourire amusé étira ses lèvres alors qu’ils parlaient de sorcellerie. « Toi, apprécier que des gens te disent oui tout le temps ? Tu t’ennuierais vite avec des esclaves » la taquine-t-il de bon cœur même si, lui-même était devenu esclave de son cœur. Ce n’était pas quelque chose qu’il regrettait car Capucine le rendait réellement heureux. Un seul regard lui suffisait pour se sentir bien, à sa place. Or, pour lui, cela valait tous les trésors du monde. « J’ai déjà succombé il me semble » rigole-t-il avant qu’elle ne reprenne ses lèvres dans un fougueux baiser qui le laissa à la fois comblé et profondément troublé. Sa déclaration fit pétiller ses yeux de joie et d’amour. Son cœur en était même parti à battre la chamade sous l’émotion. « Tu me fais penser aux paroles d’une chanson que j’ai entendu il y a peu et qu’un ami lowell m’a traduite » murmura-t-il alors que ses doigts se glissaient sous son haut pour venir caresser la peau douce et chaude de son dos ; son autre main, elle, venant reposer sur sa cuisse. « Marche avec moi dans chaque vie, promets-moi que tu reviendras toujours vers moi. On est une âme même si on est deux corps : soit toujours à moi, ne dis jamais au revoir. Tu es mon aube et tu es mon crépuscule. Tu es la souffrance et tu es la consolation. Il n’y a qu’une seule chose à laquelle je prie dans mon esprit : sois toujours à moi, ne dis jamais au revoir » chantonna-t-il tout bas, les paroles trouvant écho dans son cœur.



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« Oh, de l'harmonica ! Maintenant que je sais ça, tu vas être obligé de jouer pour moi !! » Capucine n'était pas du tout musicienne mais elle appréciait énormément la musique. Elle aimait l'écouter, allongée sur son lit en rêvant à une autre vie. Pas qu'elle n'aimait pas la sienne, au contraire. Mais elle aimait sincèrement s'imaginer une autre Capucine. Une nationalité, une autre ville, une autre époque, un autre univers. Tout la faisait rêver. Les jeux vidéos lui permettaient de se plonger dans ses univers qu'elle ne connaissait pas. « Dommage que tu ne sache pas jouer de la guitare, je pourrais facilement te battre à Guitar Hero comme ça ! » Elle le taquinait même si c'était totalement vrai. Elle pourrait facilement le battre à ce jeu. « Et si tu es bon danseur, on pourra jouer à Just Dance ! J'adorerais te voir tout transpirant ! » Et c'était vrai ! Cette simple vision de son corps muscle et transpirant la rendait toute émoustillée.

« Eh bien, s'ils me font des massages, me font à manger, me laisse dormir jusqu'à midi ! Je crois que je pourrais bien supporter d'avoir des domestiques ! Et puis tu es là pour me remettre à ma place ! » La Dunster lui tira la langue pour lui montrer qu'elle se moquait de lui. Il savait parfaitement qu'elle n'avait pas besoin d'esclaves mais juste de lui. Il n'était pas son esclave mais il prenait soin d'elle tout en conservant son caractère. Capucine s'amusait énormément quand il entrait dans son petit jeu, appréciant de voir son petit caractère. Elle ne l'aimerait pas autrement cet homme là. Et après un sulfureux baiser, elle ne se gêna pas pour lui dire ses sentiments. Elle crevait d'envie de lui dire qu'elle l'aimait mais c'était bien trop tôt. Sentir ses doigts s'insinuer sous son haut et glisser doucement sur sa peau la fit frissonner légèrement. Elle mordillait sa propre lèvre en écoutant le Lowell, déposant parfois de tendres baisers sur la peau de son cou. Rien ne pouvait être plus beau que ce moment magique sous les étoiles. Capucine voulait arrêter le temps, rester là pour toujours, dans les bras puissants de son Lowell. Son corps blottit contre le corps chaud de l'Amish, bercée par sa respiration paisible. Capucine sourit doucement, attendrie et conquise. « C'est beau... J'aime beaucoup... » La demoiselle se redressa doucement pour venir se mettre à califourchon sur lui, bien face à lui. Elle attrapa doucement son visage entre ses mains et déposa un tendre baiser sur ses lèvres, caressant l'une de ses joues de son pouce. « Avec toi, le temps passe bien trop vite... J'aimerais qu'il se fige pour que je puisse profiter de toi... Encore et encore... » Doucement, la brune glissa sa main sous le haut du Lowell pour caresser son flanc du bout des doigts, frottant son nez contre le sien. « Tu m'as réparée tu sais... » Souffla t-elle sincèrement. C'était vrai. Isaiha avait soigneusement réparé son petit cœur meurtri pour en faire un cœur tout neuf.
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« Si tu es sage, je t’en jouerai en rentrant » répondit-il car il avait toujours son harmonica sur lui. C’était son objet fétiche sans lequel, il ne pouvait se déplacer. Certains diraient que son instrument était comme une canne blanche pour un aveugle. Pour Isaiha, c’était plus profond, c’était le prolongement de son âme. Il ne changerait d’instrument pour rien au monde. La musique avait toujours eu un effet apaisant pour lui, c’était à la fois son moyen d’expression favoris mais également son jardin secret. Il aurait aimé pouvoir jouer pour sa mère malade seulement, il ne pouvait le faire sans devoir aussitôt s’en excuser auprès du pasteur de la communauté. Or, depuis qu’il était lowell, Isaiha n’avait plus envie de cacher son âme d’artiste qu’elle se déploie dans la musique, dans la sculpture ou dans le dessin. « J’ai aucune idée de ce jeu mais ça a l’air amusant… par contre, j’ai de l’entrainement pour Just Dance » rigole-t-il étant donné que Summer appréciait ce jeu. « Mais quelque chose me dit que nous n’irions pas au bout de notre partie » la taquina-t-il car il avait bien saisi la petite lueur d’excitation dans le regard de sa belle. Remarquez, la voir se trémousser sur de la musique pouvait être un spectacle très excitant songea-t-il non sans humour.

Un léger rire secoua ses épaules aux dires de Capucine. « Compte sur moi » rétorqua-t-il avant de faire mine de lui attraper sa langue. « Jeune fille, je vais finir par vous donner une punition à force de te voir me tirer la langue » s’amusa-t-il à dire avant que l’instant se transforme en quelque chose de plus intime, de plus délicat. Ils s’aimaient, cela ne laissait guère de place au doute mais l’un comme l’autre se trouvait dans l’incapacité de prononcer les « je t’aime ». Isaiha lui, avait besoin de temps pour oser prononcer ces petits mots mais son cœur les chantonnait dès que Capucine se trouvait dans les parages. « A ton image » murmura-t-il alors qu’elle changeait de position pour venir s’installer à califourchon sur ses cuisses et prendre son visage entre ses mains. « Nous avons toute notre vie pour profiter l’un de l’autre et je compte bien faire en sorte qu’elle soit la plus longue possible car j’ai besoin de toi pour être heureux » avoua-t-il en frissonnant sous la caresse de ses doigts à moins que ce soit sous le bonheur d’entendre ces quelques mots. « Vraiment ? Tu le penses vraiment ? » demanda-t-il le cœur au bord des lèvres. « Tu es si importante à mes yeux Capucine. Je ne pensais pas pouvoir connaitre un tel bonheur à nouveau et il dépasse toutes mes espérances… Je ferais tout pour te rendre heureuse mon cœur. C’est là ma seule ambition dans la vie » dit-il avant de l’embrasser avec tendresse et passion mélangées.



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« Je suis toujours sage ! » Bougonna t-elle faussement. Elle allait adorer l'entendre jouer. Capucine savait d'avance qu'elle pourrait passer ses journées à l'écouter jouer si ça lui permettait de pouvoir l'admirer librement. Elle adorait déjà se réveiller à ses côtés, avant lui, le regarder dormir paisiblement. L'étudiante avait envie de vivre des aventures folles avec le Lowell tout comme elle voulait des moments paisibles comme celui là. Dans ce parc, assise sur ses cuisses à le câliner, blottie dans ses bras, Capucine n'avait envie de rien de plus tant le temps semblait parfaitement clément pour elle désormais. Un sourire se dessina sur son visage alors qu'il répondait à sa bêtise. C'est ça qu'elle aimait chez lui. Il était vrai et il entrait dans son jeu sans se forcer. Capucine se sentait elle même à ses côtés. Elle sentait que rien ne pourrait lui arriver et que leur relation allait perdurer durant des années. Elle espérait secrètement arriver à devenir une femme aussi solide que sa mère. Supporter le même homme sans jamais cesser de l'aimer était, selon Capucine, digne d'une grande force mentale. Elle savait que ses parents avaient eu une mauvaise passe, quelques temps après sa naissance. Le stress de ne pas être un bon parent et un bon mari ou une bonne épouse. L'angoisse de ne plus assurer dans son travail. Être parents pour la première n'est jamais simple, surtout quand il s'agit du premier enfant.

La jeune femme déposa un baiser sur les lèvres de son amant amusée par son envie de la punir pour qu'elle cesse de tirer la langue. Le moment se transforma en quelque chose de plus romantique et plus profond. Capucine parlait librement de ses sentiments pour le Lowell sans trop en dire. Elle ne voulait pas qu'il lui échappe en lui avouant trop de choses. Sa réponse n'en fut que plus chaleureuse. Le jeune homme se servait d'une chanson pour lui parler et c'était adorable aux yeux de la brune. Elle ne pouvait rêver mieux. À califourchon sur lui, la Dunster s'abandonnait à des caresses un peu plus rapprochées, plus intimes. Doucement, elle se colla un peu plus contre lui, se mordant la lèvre. Sentir le corps de Isaiha contre le sien la rendait toujours toute chose mais, dans cette position, dans ce parc la nuit, dans une ville qu'ils ne connaissaient, Capucine se sentait transportée et elle voulait se laisser aller. « Ne change jamais... Promet moi de ne jamais être autrement que toi... » Souffla t-elle le souffle court alors qu'elle avait rompu le baiser. Capucine reposa ses lèvres contre celles du Lowell, embrasant leurs lèvres d'une passion dévorante. Sa main qui se baladait sous le haut de son amoureux glissa doucement entre ses jambes, le caressant à travers le tissu. Elle se fichait qu'ils soient dans un lieu public. C'était la nuit et personne n'était autour d'eux pour les observer. Capucine détacha doucement ses lèvres de celles du Lowell, restant pourtant assez proche de son visage, le souffle court. « Tu me rends folle Isaiha... Personne ne m'a jamais rendu comme ça... Pas même Jorah... » Ça lui avait échappé. Pas qu'elle n'avait pas aimé Jorah mais l'amour était venu avec le temps. Ça avait été très physique entre eux durant quelques semaines, une simple affaire de sexe qui aurait tôt fait de se dissiper. Mais finalement, ils étaient tombés amoureux l'un de l'autre. Avec Isaiha, c'était autre chose. Même s'il la rendait folle, Capucine pouvait se passer de ça. Elle avait surtout besoin de l'avoir contre elle, de le câliner, de l'entendre lui parler, d'être avec lui pour passer de bons moments, comme un couple. Sa présence suffisait et le sexe ne faisait que l'améliorer.
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