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le sauveur crétin de la forêt (denys)

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le sauveur crétin de la forêt
casey buchanan & denys zacharias
Assise sur la chaise, je sens mon estomac se tourner et se retourner une nouvelle fois. J'aurais vraiment pas du boire autant parce que là, je me sens pas. Pas du boire autant ou boire plus pour ne me rappeler de rien. Pour ne pas sentir les odeurs nauséabondes de mes voisines de cellules. Comment j'ai fais pour me retrouver en dégrisement sérieusement ? Ah oui, je sais, j'ai vomis sur les chaussures d'un officier de police. Forcément, ça ne lui a pas plus et il m'a embarqué. Les yeux rivés sur l'horloge en face de moi, je déglutis. Quatre heures du matin. Si j'appelle Isaiha, il va me tuer. " Je veux mon coup de fil " Lâchais-je en me redressant difficilement, me dirigeant vers les barreaux que j'agrippe des deux mains pour être sûre de ne pas faire de malheur ou m'écrouler en plein milieu. Ça serait bien mon style ça. " Je sais qui je vais appeler pour me sortir d'ici ! " Mon crétin de la forêt. Je sors les bras par les barreaux et pose mon front sur ces derniers. C'est frais, ça fait du bien. On me sort de la cellule rapidement et je me retrouve face au téléphone, numéro griffonné sur un papier par un agent. Ça sonne et dès que j'entends la tonalité qui m'indique qu'il a décroché, je souffle. " Denys, c'est Casey, je suis dans la merde " Et c'est rien de le dire...

@Denys Zacharias
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 J’avais eu une journée chargée. Déjà, y’avait les révélations d’Ash qui me trottaient dans la tête, qui me poussaient à analyser chacun de mes faits et gestes à la coloc, comme si essayer d’oublier mon ex n’était pas une mission suffisante, maintenant il fallait que je m’applique à ne pas entretenir les potentiels sentiments de ma coloc et amie envers moi… Bref, trop compliqué pour ma petite tête. C’était surement pour ça qu’après les cours, quand je m’étais rendu au taf comme tous les soirs, je m’étais blessé en bossant sur le moteur d’un vieux 4x4. « Bordel, ça saigne bien en plus… » Tétanos, amputation, et me voilà déjà en train de m’imaginer jouant de la guitare avec mes pieds… Bref, journée chargée donc, et qui dit journée chargée dit joint mérité. J’avais finalement fini par m’endormir, non sans avoir harcelé ma Bambi adorée, et envoyé un petit message à Priape quand même, pour lui demander si il avait déjà eu des cas d’amputation pour coupure mal soignée au doigts… Sommeil écourté par un bruit soudain… « Quelle heure il est ? » ronchonnai-je d’une voix endormie, les cheveux en vrac, la marque d’oreiller sur la joue. J’attrapai mon téléphone qui sonnait toujours. 4h. Encore mon frangin qui avait du oublier le décalage horaire entre nos deux villes. Le numéro n’était pas australien néanmoins, mais j’étais trop dans les vapes pour me faire cette réflexion. Alors chonchon, je décrochais pour grommeler dans le combiné, les yeux encore à moitié fermés : « Il est quatre heures du mat’ ici Priape. » Sauf que je n’eus pas le temps de ronchonner davantage, une voix féminine me coupait : Casey. C’était Casey au bout du fil et elle m’annonçait qu’elle était dans la merde. « Si c’est pour faire un saut dans une piscine à balle rappelle moi demain… » lançai-je avec humour avant de me redresser dans mon lit, frottant mes paupières et reprenant un peu mon sérieux : « Ok, raconte qu’est-ce qui se passe ? »
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casey buchanan & denys zacharias
« Il est quatre heures du mat’ ici Priape. » Qu'est-ce qu'il dit lui ? Priape ? Je suis pas Priape moi. Et je sais bien qu'il est quatre heures du matin. Merci Einstein quoi. Mais en même temps, je le réveille en pleine nuit, comme ça... J'ai personne à appeler et je suis sûre que je serais tombée sur le répondeur d'Isaiha si j'avais eu les couilles, ou plutôt les ovaires, de l'appeler. Sauf que je les ai pas. Il va me tuer. « Si c’est pour faire un saut dans une piscine à balle rappelle moi demain… » Je lève les yeux au ciel et grimace fortement. Ça fait mal de lever les yeux au ciel quand on est ivre. J'ai l'impression que mes globes occulaires ont fait trois fois le tour, c'est pour dire. " J'étais en soirée et j'ai bu et fumé et... " Mon estomac se retourne une nouvelle fois. Je vais finir par gerber sur le combiné à cette allure. " J'ai gerbé sur les godasses d'un flic et je suis en cellule de dégrisement là " Soufflais-je doucement en fermant les yeux. " Je suis dans le mal le plus total au monde Denys... " Grognais-je en chouinant légèrement, ma voix se mettant à trembler doucement. " Tu peux venir me chercher ? " Demandais-je doucement. Je sais même pas si j'ai le droit de sortir mais bon, je me dis que si on vient me chercher, j'ai décuvé, ça devrait le faire non ? Puis ça leur libèrera une place pour quelqu'un de pire que moi.
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 Je décrochai mon téléphone instinctivement, déboussolé, certain qu’il s’agissait de mon aîné vu l’heure tardive, ou matinale, dépend de quel côté de l’horloge on se plaçait. Bref, c’était une voix féminine qui me répondait. Casey, en galère nocturne apparemment. Je tentai la taquinerie avant de me redresser un peu dans mon lit, frottant mes yeux et l’incitant à m’en dire plus. Elle était en soirée, jusque là normal. Elle avait bu, fumé. Jusque là normal. Enfin avant l’été et après notre toute première rencontre je n’aurais jamais mis le mot normal après Casey, boire et fumer dans la même phrase mais il y avait eu du changement depuis. La demoiselle avait rejoint la mather et la philosophie festive à l’excès qui collait à notre confrérie. Je ne voyais donc d’abord pas en quoi elle avait un problème jusqu’à ce qu’elle ajoute la chute de son histoire : un dégueuli sur chaussures de flic. « Aïe… » grimaçai-je à l’autre bout du fil en l’écoutant ensuite me confier qu’elle était désormais en cellule de dégrisement. Elle voulait que j’aille la chercher… « Mais… Tu crois qu’ils vont te laisser sortir ? » J’étais peut être un habitué des abus, mais jusqu’à présent je m’en étais toujours sorti pour éviter ce genre d’ennuis. J’ignorais donc complètement comment cela se passait. J’étais quand même sorti du lit, téléphone collé contre la joue, attrapant un pantalon de ma main libre et commençant à m’habiller. « Si il demande une caution, je t’annonce que j’ai que 10 dollars sur moi… Et guère plus sur mon compte en banque. » On était en fin de mois, je n’avais pas encore eu ma paie. « Envoie moi l’adresse, j’arrive. » Je ne savais pas si j’allais pouvoir faire grand chose pour elle, plaider sa cause, filer mon billet de 10 au flic, faire les yeux doux si c’était une fliquette. Bref, j’allais tenter un truc puisque dans tous les cas : je ne pouvais pas laisser l’une des mes amies dans la mouise. Et Casey, quoi qu’on en dise, quelque soit notre relation parfois tumultueuse, je la comptais parmi mes amis.

HJ : faut que je change le gif Julie, mais comment ça se fait que tu changes toujours de tête pour Casey ? T'es pire que Jendy avec Lou/Octavia là, vous voulez essayer de me troubler c'est ça ?
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« Aïe… » Tu l'as dis Henri. Aïe. Gros aïe ouai. Mon estomac aïe encore rien qu'à l'idée de gerber sur les chaussures de quelqu'un. Rien qu'à l'idée de vomir tout court en fait. « Mais… Tu crois qu’ils vont te laisser sortir ? » Je ferme les yeux et masse mes tempes à l'aide de ma main libre. " Oui oui ils vont me laisser sortir... Ça leur fera une place libre en plus " Soufflais-je naturellement. C'est bien ça le but d'une cellule de dégrisement non ? Laisser la personne décuver et quand elle a retrouvé ses esprits, on la fout dehors pour le prochain pochetron qui débarque. Non ? Je sais pas, dans les séries que je regarde c'est comme ça et vu que ma connaissance du monde américain se limite aux séries presque... « Si il demande une caution, je t’annonce que j’ai que 10 dollars sur moi… Et guère plus sur mon compte en banque. » J'ouvre les yeux et regarde partout autour de moi. Une caution ? On va avoir besoin d'une caution ? Ça va pas être possible là quand même. " Tu crois que y en a besoin ? " Lui demandais-je sérieusement. J'ai rien fait de mal bon sang. Puis bon, le type a passé un coup de karsher dessus et plus rien. Ça va, y a pas mort d'hommes quoi... " T'envoyer l'adresse ? T'es sérieux mec ? Je t'appelle avec le combiné de la police ! J'suis à la 72è, cherche sur google " Lançais-je le plus simplement possible. Personnellement, j'ai accès à aucun engin électronique donc bon, je vais pas pouvoir l'aider... Sans compter que mon sens de l'orientation et moi, on fait douze. Je pourrais presque lui dire où je suis en me souvenant du chemin en voiture mais... en fait non, tout était flou. " Merci " Soufflais-je avant de raccrocher le combiné filaire sur son socle. Et voilà que je me retrouve en cellule à nouveau, avec une terrible envie de faire pipi et nul part où le faire à part ce chiotte rouillé au milieu de la pièce... Horreur malheur. Je n'avais plus qu'à l'attendre et prier que 10 dollars suffisent. Voire même qu'il n'ait pas besoin de débourser un centime pour me sortir de là.

hj ; le sauveur crétin de la forêt (denys) 1881463262 j'me suis comparée à Jendy cette aprem avec tous mes changements... L'avatar c'est comme les mecs, on change jusqu'à trouver le bon le sauveur crétin de la forêt (denys) 166564858
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 J’étais en train de me rhabiller, combiné à l’oreille, écoutant le ton assuré de mon interlocutrice : il allait la laisser sortir. J’avais pas de précédent avec la justice alors je ne savais pas vraiment comment ça se passait, voilà pourquoi j’évoquais un peu naïvement la caution. Je réussis à filer le doute à mon amie, qui s’affola d’un coup de la nécessité de réunir l’argent. « Je ferais un chèque en blanc, t’inquiètes pas. » soufflai-je à la jeune femme avant d’ajouter, d’une voix inquiète soudain : « Attends, on est pas sur écoute là ? » Parce que sinon, c’était mort ils allaient refuser mon chèque. Casey semblait d’humeur massacrante, parce que quand je réclamai l’adresse elle me ramena un peu sur terre sèchement, du grand Casey quoi. « Et oh, grogne pas, il est quatre heure du mat’ j’suis pas un habitué des commissariat moi. » Je ripostais même l’hypothèse que je n’allais pas venir si elle me parlait mal, parce que Casey commence à me connaître… Grand nounours que j’étais dans le fond, j’aurais traversé les états unis pour aller l’aider. C’était tout moi ça. A vrai dire, même les gens qui me détestaient, j’arrivais pas à les haïr en retour, même quand j’aurais mieux fait… Bref, elle raccrocha et je tapais sur mon smartphone les quelques indications de la demoiselle. Je saisis mon trousseau de clé, ma veste et direction le rez de chaussée. Je montais dans le vieux tacot qui me servait de voiture et je suivais les indications du portable. Arrivé au commissariat, je déclinai mon identité, les raisons de ma venue et tout le tralala et les agents me firent patienter dans une pièce, m’annonçant qu’ils m’amenaient miss Buchanan. Amen, ils ne m’avaient pas pris d’argent. Ils s’étaient contentés de me faire souffler dans un éthylotest, et par chance, ce soir, trop tracassé que j’étais par les histoires avec Ash, je n’avais pas pu un verre. Sobriété vérifiée, ils devaient surement estimer que j’étais apte à ramener la jeune femme…

HJ :  le sauveur crétin de la forêt (denys) 1881463262 allez t'es belle comme ça, je la connaissais pas cette actrice
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Quand il me parle de caution et des dix petits dollars qu'il a, je me dis que j'aurais peut être du appeler un autre ami pour me sortir de là, au cas où. Mais qui est-ce que je vais bien pouvoir appeler sérieusement ? J'ai pas de potes riches moi, loin de là même en fait pour tout dire. Ou alors, je ne connais pas le contenu de leur compte en banque. On ne va pas se voiler la face, demander "et sinon t'as combien sur ton compte" n'est pas le genre de choses qu'on demande lorsque l'on connait quelqu'un. « Je ferais un chèque en blanc, t’inquiètes pas. » Je souris légèrement. Cool. Mais c'est quoi un chèque en blanc ? « Attends, on est pas sur écoute là ? » Mais il m'en pose des questions celui-ci... " J'en sais rien... Je pense que si. Mais bon, y aura un montant sur le chèque, il sera pas blanc et je te rembourserais dès demain à la première heure " Soufflais-je comme pour le rassurer, il n'allait pas payer pour moi, ça va pas la tête. J'avais un peu d'argent de côté grâce à mes vidéos et aux quelques partenariats que je faisais. Il fallait que j'en fasse un peu plus, que je retrouve un rythme parce que sinon, ça allait être difficile d'avoir un projet de fin d'année et de payer la bouffe à la fin de l'année. Surtout avec cette possible dépense imprévue. Il me râle dessus et je m'offusque. " Parce que je suis une habituée, moi peut être ? " Lâchais-je ronchon comme jamais. Non, je suis pas une habituée. C'est la première fois que ça arrive. Et si j'avais pas rendu mon burger sur les godasses du grassouillet qui déguste son donus, je serais pas là. De retour en cellule, les yeux rivés sur les toilettes, je battais de la jambe pour me retenir. Il va venir me sauver. Et c'était le cas. au bout d'un petit moment, j'entendais un " Buchanan, on y va ". Fallait pas me le dire deux fois. Je courais presque vers la sortie. Large sourire sur le visage, j'embrassais la joue de Denys avant de me tourner vers l'agent. " Et mes affaires ? " Si moi j'avais filé, lui prenait tout son temps. Un formulaire à signer et j'avais mes affaires. Je plaquais tout contre le torse de Denys. " Tu m'excuses mais faut que je fasse pipi " Soufflais-je en courant hors du commissariat pour trouver un coin tranquille près d'un arbre, baisser mon pantalon et me libérer. " Oh putain ça fait du bien ! " Grognais-je, encore bien trop ivre pour me rendre compte que n'importe qui pouvait voir mon petit cul.

hj ; le sauveur crétin de la forêt (denys) 166564858 normal le sauveur crétin de la forêt (denys) 3850463188 elle a fait qu'une série et la série en question a commencé vendredi le sauveur crétin de la forêt (denys) 3850463188 Julie, dénicheuse de talents le sauveur crétin de la forêt (denys) 4205929361 le sauveur crétin de la forêt (denys) 2511619667
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Je ne compris pas trop sa réplique, enfin si je saisis qu’elle ne connaissait pas l’expression. Du grand Casey. Comme quand je lui avais raconté ma visite de Katmandou. « Un chèque en blanc c’est pas une question de couleur, c’est une expression pour dire que tu fais un chèque sans provisions, tu écris une somme sur le chéquier que tu n’as pas réellement sur ton compte en banque… » Et généralement c’était comme ça que les ennuis commençaient. Si on était sur écoute j’allais être en interdit bancaire dès demain… En attendant, je voulais l’adresse de commissariat et ma demande me valut les ronchonnements d’une Casey exaspérée. Je grognai en retour et répliquai être novice en la matière. « Ca m’étonnerait pas, je t’ai vu dans la piscine à balle. Y’a une délinquante cachée en toi Casey. » me moquai-je, même si encore en cellule à l’heure actuelle, la brune n’avait probablement pas envie de m’entendre blaguer ainsi. Il valait mieux que je raccroche et que je m’active. Un quart d’heure plus tard, j’étais dans une petite pièce, patientant que les agents m’amènent mon amie, lorsqu’elle arriva, plus de ronchonnement mais un sourire chaleureux et un bisou aux effluves d’alcool. « Ca sent la mather… » la taquinai-je alors qu’elle faisait volte face vers les flics pour réclamer ses affaires. Elle signa un papier et zou directement la sortie. Même pas deux pas de faits dehors qu’elle m’abandonnait avec empressement pour un pipi urgent. « Casey ! » la sermonnai-je en captant le regard vicelard d’un clodo qu’elle n’avait pas du repérer et qui ne manquait rien de la scène. Enlevant rapidement ma veste, je la dépliais et la tendis pour faire paravent et empêcher un peu que miss Buchanan ne se fasse mater. « Regarde ailleurs tu veux ! » grognai-je sur le type alors, essayant pour ma part de ne pas laisser mes propres prunelles traîner en direction de mon amie. « C’est bon ? T’as fini ? On peut y aller ? » questionnai-je avant d’annoncer. « Je suis garé à 200mètres là bas, je crois que je vais te ramener chez moi… C’est plus prudent. » Elle était encore ivre, la preuve avec sa petite séance d’exhibitionnisme à l’instant. « Mais sois discrète, je ne veux pas que ma coloc me fasse encore une crise de jalousie. » Parce que si Ash pensait que je ramenais une conquête ou quoi, ça risquait d’être encore super tendu…
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« Un chèque en blanc c’est pas une question de couleur, c’est une expression pour dire que tu fais un chèque sans provisions, tu écris une somme sur le chéquier que tu n’as pas réellement sur ton compte en banque… » Je l'écoute et ouvre grand la bouche. " Ouaaaa... Trop cool ! " Soufflais-je vraiment stupéfaite par cette pratique. Je ne savais pas que les choses comme ça existait mais alors pas du tout. C'est qu'ils ont inventé des trucs vraiment classe ces petits américains. Mais bon, ça me rappelle vaguement les mensonges d'Isaiha et je souffle doucement. " Fais gaffe, c'est mal de mentir avec l'argent " Et j'étais que trop bien au courant de ça. Dois-je rappeler au grec qu'à cause de mensonges liés à l'argent, on m'a frappé ? " Tu vas voir la délinquante " Ronchonnais-je en raccrochant et retournant dans ma cellule. J'espérais que tout allait être rapide parce que j'avais vraiment envie d'un bon lit et d'un petit tour rapide aux toilettes. Et dès que je sors de la cellule et du commissariat, c'est pour faire pipi un peu plus loin. Si je monte dans la voiture de Denys, je suis capable d'uriner sur le siège et je pense qu'il me tuera sur place alors bon... " Ça va oui j'ai presque fini de faire pipi " Soufflais-je comme si on était entrain de me libérer. En fait, je me sens carrément libérée pour le coup. " Putain que ça fait du bien " Lâchais-je en remontant ma culotte et mon pantalon. " Coloc jalouse ? La blague, comme si j'avais envie de toi Zacharias " Lâchais-je simplement. " On lui dit que j'suis lesbienne et je l'embrasse pour lui montrer que j'vais pas te violer pendant mon sommeil s'tu veux " Lâchais-je sérieusement. " N'empêche que tu t'fourres toujours dans de drôles de situations toi "
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 Je sentis à son petit ton inquiet, à la façon dont elle me souffla son avertissement, que ça faisait remonter quelques mauvais souvenirs. Et moi même, je me rappelais le récit bref qu’elle m’avait servi pour expliquer son agression et les tuméfactions de son visage. J’avais envie de lui demander où ça en était tout ça, si son frère allait mieux tout ça, mais le moment n’était pas adéquat. On était au téléphone, elle avait surement des flics dans son dos pour la presser d’achever son appel, alors go ! Je me dépêchai de récupérer la petite délinquante. Il m’apparut rapidement qu’elle était encore un peu ivre, complètement désinhibée, se cachant à peine pour aller soulager sa vessie. Heureusement que j’étais là pour faire paravent avec ma veste et pour envoyer bouler les voyeurs… Casey me rejoignit ensuite, amusée par mes paroles. « On sait jamais, je préfère prévenir que de vous voir vous battre toutes les deux. » répliquai-je alors que mon amie affirmait que ma coloc n’aurait aucune raison d’être jalouse. « Touche pas ma coloc. » me marrai-je ensuite à la suggestion de la brune : embrasser Ash et lui dire qu’elle était lesbienne histoire qu’elle n’aille pas s’imaginer des trucs. « On entre, tu dors dans ma chambre, je squatte le canap dans le salon, comme ça, ça ne fera pas de vague. » expliquai-je alors en arrivant à ma voiture. J’ouvris la portière, pris place derrière le volant et avertis la demoiselle : « Si t’as envie de vomir tu me le dis et on s’arrête. Je ne veux pas que mes sièges finissent comme les godasses de ce flic. »
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