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Sos cherche nounou pour chaton.

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Le deal paraissait être un bon compromis pour l’un et l’autre. « D’accord on fait comme ça mais je te préviens, tu as du travail avec moi car je ne suis vraiment pas très doué dans la coordination de mes jambes » la prévint-il non sans plaisanter. En réalité, Isaiha était très doué avec ses mains pour sculpter, jouer d’un instrument de musique ou simplement bricoler mais le reste de son corps, était plus dur à bouger. « Et tu travailles dans quoi maintenant ? » lui demanda-t-il curieux avant qu’elle ne se mette à jouer sur la corde sensible. Cela faisait plaisir à entendre même si une petite voix lui soufflait que ce n’était pas bien de promettre quelque chose dont il n’en connaissait toujours pas l’issu. « Cela ne doit pas être évident de partager ton enfant… Si tu veux, quand tu seras seule, je viendrai te tenir compagnie autour d’un bon diner et d’un bon film » proposa-t-il. Cela ne lui ferait pas de mal de fréquenter de nouvelles personnes et Sally était vraiment adorable. « Qu’est-ce qui t’a détourné de l’église ? » l’interrogea-t-il curieux avant de grimacer en sentant la petite morsure du café chaud sur sa peau à travers le tissu de son haut. « Merci… j’ai mis mes autres T-shirt dans la valise déjà » soupira-t-il en se relevant pour ôter son haut et le lui tendre. « J’abuse vraiment de ta gentillesse avec ma maladresse »


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"J'aime le défi sa tombe bien et je ne suis pas trop pour la facilité." C'est vrai que je n'aimais pas que la tâche soit trop facile et j'étais sûre que je ne serais pas non plus un cadeau, je n'avais jamais toucher un instrument de ma vie du coup je n'étais pas sûre d'être très douée même si j'ai toujours été très studieuse. "Je suis secrétaire médical mais la danse me manque beaucoup et toi??" Il avait le même ressenti que moi, il se sentait seule et il y a de ça quelques temps j'avais pensé à quitter le pays, je ne pouvais tout simplement pas parce que le père de Zoé était d'ici voilà ce qui m'avait retenu mais vu les rencontres que je faisais au final je n'étais pas mécontente de rester. "C'est gentil, je prend note, et tu me bordera aussi??" Je me mis à rire parce que je n'avais plus l'âge d'être border mais bon après tout cela ne faisait pas de mal d'en rire. "Honnêtement, les garçons." Je préférais être honnête, à partir du moment où j'ai eu des relations je ne me sentais plus à ma place là bas mais je croyais toujours en dieu au fond. Quand il me dit ceci et qu'il retirait son haut je restais figer sur son torse, j'avais bien vu les courbes de son torse par dessus mais je m'attendais pas à ça, quand je redressais la tête et que j'aperçus qu'il avait bien vu que j'avais fait plus que regarder je me pinçais les lèvres. "Désolé je pensais pas que tu étais aussi bien foutu..." Là je m'enterrais plus qu'autre chose et en plus je disais ça à un mec croyant, il allait surement s'enfuir d'ici plus vite qu'autre chose j'attrapais son t-shirt en reprenant. "Enfin tu comprend... je vais m'occuper de ton t-shirt c'est préférable." Là tout de suite je me sentais minable, je me rendis dans la cuisine pour passer son t-shirt sous l'eau et frotter la tâcher en levant les yeux en l'air, je m'étais tellement ridiculiser.
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« Je travaille comme palefrenier dans un centre équestre mais j’étudie la botanique et la théologie à Harvard depuis cette année » lui répondit-il. Deux études diamétralement opposées mais il avait ressenti le besoin d’étudier à fond ces deux domaines. Les plantes car il avait toujours été un passionné de botanique et la théologie car la religion tenait une place importante dans sa vie. C’était notamment grâce à un prêtre fabuleux qu’il avait réussi à faire le deuil de l’enfant qu’Amanda avait attendu avant qu’elle ne fasse une fausse couche. Un événement qui avait séparé le couple et qui peut-être avait joué sur sa décision finale malgré qu’ils avaient réussi à se retrouver le temps d’un week-end. « Tu n’es pas trop grande pour que je te borde en te lisant des histoires ? » la taquina-t-il en entrant dans son jeu. « C’est dommage que tu aies détourné ton cœur de l’église mais je ne te juge pas. Je tenais à te le faire savoir » tint-il à lui dire car il était important pour lui qu’elle ne s’imagine pas qu’il était ce genre de personne qui, parce qu’il croyait en Dieu tentait de convertir tout le monde. Non, Isaiha respectait toutes les idées. Son café lui, le respectait beaucoup moins car il se retrouva bien vite avec une tâche sur son T-shirt. « Oh.. hum.. merci » lâcha-t-il gêné en rougissant faiblement. C’était la première femme en dehors d’Amanda qui le trouvait agréable à regarder. Un peu gênant mais pas désagréable. Sally, elle, semblait s’en vouloir. « Sally tout va bien ? Tu sais, tu n’as pas à te sentir gênée. Tu es une très belle femme toi aussi et voilà… je crois que je m’enfonce tout seul » soupira-t-il.


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"Palefrenier?? Sa consiste en quoi je en connais pas. Et je vois donc tu es étudiant depuis peu." J'avais eu l'impression qu'il était loin des études mais apparemment non et je trouvais cela bien qu'il est prit ces études en main et qu'il n'abandonne pas s'il était tant passionné par ce qu'il étudiait. C'était la première fois que je ne savais pas en quoi consistait un métier mais bon en même temps je n'ai jamais été dans un centre équestre, à part peut être petite avec ma mère mais sa remonte à longtemps et peut être que je devrais y aller cette fois ci mais avec Zoé. "Non il n'y a pas d'âge pour ça et puis si tu veut que je passe une bonne nuit c'est la bonne solution." Je lui souris amusé avant qu'on parle de l'église, c'est vrai que j'avais préféré m'en détourner et puis par manque de temps aussi mais bon peut être qu'un jour j'y retournerais, une chose de sûr je voulais baptiser Zoé. Par la suite il tâchait son t-shirt et moi je m'étais mise dans une merde pas possible en m'enfonçant auprès d'un mec aussi génial que lui. Je frottais son t-shirt une fis dans la cuisine en essayant de trouver les mots pour m'excuser auprès de lui et quand il arrivait je rinçais justement son t-shirt avant de me tourner et le regarder. "Non mais je suis désolé je n'aurais pas dû dire ça, tu venais de me confier que tu étais croyant et pratiquant et moi je joue l'allumeuse en te reluquant et en te disant que tu es bien foutu, j'aurais pas dû." J'avais entendu ces mots mais je pensais qu'il disait ceci pour que je me sente moins gênée, je déposais son t-shirt sur le radiateur pour qu'il sèche plus vite et je me tournais vers lui, il était toujours torse nu donc pas facile de parler à un homme presque nu devant soit. "Mais c'est vrai que tu es très attirant surtout dans cette tenue." Je grimaçais mais là au moins je l'avais mieux formuler.
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« En fait je m’occupe des chevaux en l’absence de leur propriétaire. Je m’assure qu’ils vont bien, que leur box soit propre. Je suis comment dire… un peu un majordome pour cheval » plaisanta-t-il mais c’était la vision la plus « glamour » de sa profession. Isaiha adorait les chevaux, il pourrait passer son temps à monter histoire de se balader. « Oui, je suis en première année » ajouta-t-il au sujet de ses études. Cela pouvait prêter à confusion avec son âge car il était bien plus vieux que les autres étudiants suivant ses cours mais débarquant tout juste dans le monde moderne, il n’avait pas pu commencer par autre chose que la première année. « Cela ressemble à du chantage sentimental madame Mendoza » la taquina-t-il de bon cœur avant de poursuivre leur discussion au sujet de l’église. Le café apporta une distraction mais aussi une gêne dans leur dynamique et Isaiha ne savait pas comment rattraper sa maladresse. « Tu n’as pas joué les allumeuses et je te rassure, ce n’est pas parce que je suis croyant que je vais m’offusquer d’un compliment. Pour être tout à fait honnête, je n’étais pas certain de savoir si en dehors d’Amanda, une femme pouvait me trouver attrayant » avoua-t-il. Isaiha n’était vraiment pas habitué à tout cela. « J’ai l’impression d’être un idiot dans cette tenue. Si j’étais moins maladroit aussi » soupira-t-il en croisant les bras contre son torse, ne sachant pas comment se tenir.


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"Je ne connaissais pas le nom de ce métier, je me coucherais moins bête ce soir et sa doit être cool, j'adore les chevaux." Maintenant qu'il m'expliquait ce que c'était je comprenais mieux, je connaissais ce métier mais pas le nom et au final je trouvais cela super parce qu'adorant les animaux j'aurais pu me voir là dedans. Il était donc en première année, je ne l'aurais pas vu du tout étudiant et encore moins en première année mais bon je connaissais pas grand chose de lui pour le moment. "Tu viens de débuter alors.." La discussion était tellement facile qu'on passait par plusieurs sujets de discussion et que je me permis même de plaisanter avec lui sur un chantage affectif. "Bien sûr Monsieur Buchanan mais je suis une femme après tout ce n'est pas étonnant." Les hommes ce plaignaient toujours de nous alors bon bien sûr qu'on était chiante et capricieuse. Une fois dans la cuisine je commençais à m'expliquer et m'excuser et il me rassurait un peu mais je me sentais toujours idiote au fond. "Oui je sais mais j'aurais préféré le formuler autrement que comme ça et éviter de te manger des yeux. T'es un beau garçon ce ne sera pas la première fois crois moi." Je le regardais dans les yeux quand il me dit qu'il se trouvait idiot, je m'approchais de lui en lui répondant. "T'es tout sauf idiot, c'est de ma faute, promis à partir de maintenant je te regarderais que dans les yeux."
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« Oui c’est génial ! Si tu veux, je pourrais t’amener monter un après-midi » lui propose-t-il, bien décidé à sauter sur toutes les occasions pour passer du temps en compagnie de la jolie brune. Sally était vraiment agréable à côtoyer donc pourquoi se priver ? « Oui voilà. En fait, je suis bien plus vieux que les autres étudiants de première année. Par moment, je me sens un peu isolé mais c’est vraiment passionnant » s’enthousiasma-t-il avant de rigoler face à sa réplique suivante. Ce petit jeu l’amusait beaucoup. « Soit, je vous lirai une histoire, je vous borderai et je vous ferai un baiser sur le front comme toute petite fille est en droit d’attendre avant qu’elle ne plonge dans un sommeil profond » continua-t-il le petit jeu en prenant un ton un peu cérémonieux comme s’il était un majordome. Un homme maladroit surtout ! Sa maladresse avait d’ailleurs entaché l’ambiance légère avec de la gêne. « Ne t’inquiète pas tout va bien Sally » dit-il alors qu’elle s’approchait de lui. Pour le coup, il ne savait plus trop où se mettre et décroisa les bras par automatisme. « Arrête, ce n’est pas de ta faute. Si tu te retrouvais à moitié nue devant moi, je suis certain que j’aurais du mal à te regarder dans les yeux » lâcha-t-il bêtement avant de se rendre compte de la portée de ses mots. « Euh je veux dire… tu es une très belle femme et je ferais bien de me taire »


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"Ouais je veux bien, sa nous fait beaucoup de projet, tu aura même pas le temps de quitter le pays tu vois." Je lui souris en le regardant dans les yeux avec ce petit sourire, j'étais vraiment ravie qu'on puisse organiser toutes ces choses, lui qui devait partir d'ici avec sa meilleure amie je me demandais quand est ce qu'on allait trouver ce moment pour faire toutes ces choses. "Et alors, bien plus mature aussi." Je lui fis un petit sourire avant de plaisanter avec lui et cela faisait du bien de rire un peu, ma fille dormait et jusqu'à qu'il arrive je me sentais atrocement seule. "J'aurais peut être aussi besoin de serrer un nounours contre moi, tu pourra être ce nounours??" Autant en abuser, je lui fis ce petit sourire innocent puis tout était devenu assez gênant quand j'avais dérapé avec mes mots, mais je n'étais pas du genre timide le seul truc c'est qu'il m'avait avouer être croyant pratiquant et je ne savais pas si c'était mal venu de lui avoir dit ceci. Je l'écoutais me rassurer et aussi me complimenter et lui aussi cela le mettait mal à l'aise, je ne l'accueillais pas non plus avec une tenue des plus couvertes, à ses mots je souris quand il me dit qu'il devrait ce taire. "Ou pas.." Je m'étais approché de lui et j'osais déposer mes lèvres contre les sienne,s je voulais peut être casser cette gêne qu'il y avait entre nous mais je m'attendais à me faire repousser et surement même le mettre encore plus mal à l'aise mais je préférais tenter quelque chose.
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« Tu risques surtout de ne plus me supporter au bout du compte » souligna-t-il en souriant. Cela faisait du bien de refaire des projets, de se dire que ses soirées en solitaire n’en serait plus. Isaiha tournait le plus souvent comme un lion en cage dans son appartement en l’absence de sa sœur jumelle. Alors, se dire qu’il n’avait qu’à traverser la rue pour retrouver la compagnie de Sally, c’était comme s’il respirait à nouveau. « Tu es exigeante en affaires d’après ce que je vois » rigole-t-il. « Une histoire, un bisou sur le front et un petit câlin… c’est dur de t’endormir » la taquina-t-il. Cette légèreté céda peu à peu sa place à la gêne. Il faut dire que se retrouver à moitié nu devant une autre femme qu’Amanda n’était pas évident pour lui mais hors de question que de laisser Sally s’en sentir coupable. Elle n’avait rien fait de mal, au contraire, elle avait cherché à lui rendre service en nettoyant aussitôt la tâche de son T-Shirt. Le Lowell eut quand même un peu de mal à respirer en la voyant se rapprocher mais ce n’était rien en comparaison du moment où ses lèvres se posèrent sur les siennes. Qu’était-il censé faire ? La repousser ? Il se sentait si seul et si misérable depuis sa rupture que le réconfort qu’elle lui apportait même inconsciemment lui faisait du bien. Ses mains vinrent se poser sur les hanches de la jolie Mexicaine pour la rapprocher alors que ses lèvres cherchaient davantage les siennes pour approfondir ce baiser. « Je… je sais pas ce qui m’a pris » bafouilla-t-il alors que cet échange prenait fin. Il n’arrivait pas à regretter ses lèvres… il avait même cruellement envie de les embrasser à nouveau mais Isaiha était perdu. Etait-ce mal ?


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"Tu sera peut être celui qui aura du mal à supporter ma présence." Je n'étais pas un cadeau et il allait s'en rendre compte, j'étais autant un coeur brisé que lui, je ne venais pas de sortir d'une belle histoire, je n'avais même pas eu le droit de l'avoir alors bon je n'étais pas tout les jours joyeuse et puis j'étais une maman avec pleins de contraintes. "Très dur en affaire en fait." Je lâchais un petit rire avant de reprendre. "Et encore il faut que j'arrive à m'endormir simplement avec ça." J'allais lui faire peu le pauvre, j'espérais qu'il comprenait que je le taquinais parce que bon il allait plus jamais revenir si je continuais dans cette lancer. La gêne était installé et je voulais qu'elle s'en aille, ce que j'allais faire serait surement pire mais bizarrement j"en avais eu envie, j'avais des principes et le fait qu'il me dise qu'il était croyant, qu'il venait de sortir d'une histoire difficile aurait dû me stopper mais même pas. Je déposais mes lèvres sur les siennes et je fus surprise qu'il attrapait mes cuisses pour me coller contre lui et prolonger ce baiser, ce baiser qu'il écourtait en s'excusant, j'étais celle qui avait commencé, je déposais alors mon doigt contre ses lèvres pour qu'il ce taise. Je souris en déposant mon regard contre le sien et je laissais ma main caresser le long de son torse pour remonter à sa nuque avant d'amener son visage à moi et l'embrasser de nouveau mais plus sensuellement cette fois ci.
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