Invité
est en ligne
Invité
You are not alone
— Amare & Agathe
— Amare & Agathe
Évidemment que j'savais que la Mather House n'était pas une confrérie de drogué à la base, ta gueule Amare. C'est juste qu'aujourd'hui, je le trouvais trop bizarre, trop distant, c'tait pas sympa pour moi. Par contre, moi j'étais une droguée c'était un secret pour personne. Étiquetée droguée de la famille royale, c'était pas nouveau ça. Amare faisait déjà son chieur en se croyant super intelligent, bravo connard. « Sache que si j'tombe, tu tombes avec moi p'tit merdeux. Dis-moi qui ne c'est jamais drogué chez les Mathers? » Hmm? Moi j'étais exclue de la question, inutile de me rajouter alors que je l'assumais. Et puis merde Amare, parle moi steplais. Je cherchais des réponses à mes questions dans ses yeux, qu'est-ce qu'il me cachait? Il avait décidé d'arrêter de consommer et il l'assumait pas? Pt'être que c'était pas ça non plus mais, depuis quand on était pu honnête l'un envers l'autre? On s'cachait des trucs maintenant? J'voyais un peu flou en le regardant, putain que j'étais bien. Il pouvait pas comprendre à quel point j'me sentais bien en ce moment. Au bout d'un moment, il finissait par m'avouer le tout. J'avais dû mal à le croire. Même que je venais de lui dire que c'était pas drôle si c'était une blague, j'avais dû mal à assimiler cette révélation. Je restais là, stupéfaite. Je savais pas quoi dire, bordel Agathe ouvre ta putain de bouche et dis quelque chose! « Tu me dis ça aloooors que j'suis défoncéee? C'que t'es con! » Pourquoi il me faisait ça alors que j'étais pas dans l'état d'avaler ça? Il restait là, écrasant mon corps comme s'il ne voulait pas que je bouge. Qu'est-ce qu'il foutait, tout simplement? Il me regardait maintenant avec un de ces regards que jamais je n'avais connu. Je lâchais un faible rire en l'écoutant parler. Ouais un putain de cancéreux. « Va t'faire foutre Amare et fume, t'sais pas si ça sera la dernière. » Je jouais sur les mots, il l'avait bien cherché. Il passait sa main sur mon ventre, en bas des miennes et je frissonnais lorsqu'il la remonta tranquillement. « J'vais finir mon joint tu veux. » Dis-je en posant mes mains sur son torse histoire de le repousser et j'tentais de me rouler sur le côté.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si elle tombe, il tombe. Le contraire est-il vrai ? « Donc si je tombe, tu tombes ? » lui dit-il en la regardant droit dans les yeux. Il sait bien qu’ils sont proches. Trop proches. Trop destructeurs. Leur relation est toxique, cancérigène même. Elle le rend malade avec ses yeux bleus et sa chevelure d’or. Il voit dans son regard un océan de drogue et de défonce, un paradis sur Terre et un enfer dans le ciel. Elle le rend fou et l’apaise en même temps. Ce n’est pas comme avec Cassie qui est son petit rayon de soleil. Là, elle est la fille du feu, celle qui ne la ferme jamais, celle qui ose tout et ne s’excuse pas pour merder en beauté lorsqu’elle le fait. Il aime ça. Sa sauvagerie, sa liberté acquise. Elle est libre de faire ce qu’elle veut, de merder comme de réussir. « Heu, les malades et les meufs en cloque. » Genre, Alaska avec son gosse en route. Franchement, réfléchi un peu Agathe. Réfléchi et arrête de faire chier merde. Il en avait marre de se justifier et finit par prendre le dessus sur elle, littéralement. Elle le tente, le provoque. Son regard le trouble, son souffle de drogué l’asphyxie. Il a tellement envie de tirer sur ce petit bâton de paradis qu’il finit par vouloir tout avouer pour se sentir moins coupable de le faire. Et c’est ce qu’il fait. Il avoue. Son cancer, sa maladie, sa faiblesse. « Genre, j’en ai quelque chose à foutre que tu sois défoncée. » cria-t-il en retour. Il n’en avait rien à branler qu’elle est le cerveau en coton. Amare voulu se distraire et commença a fait un tracé avec ses doigts sur le torse de la jeune femme. Il n’a qu’une seule manière de ne pas penser à son cancer, le sexe. Partout, tout le temps, avec toutes les femmes qui passaient. Il lâche un faible rire à sa réponse. Non, ça ne sera pas la dernière et il veut pouvoir reprendre cette petite habitude qu’il avait, avant. Il continua à la toucher, à la caresser. Il sentit les frissons qu’il lui provoquait. Il sentit son ventre se contracter sous lui. « Tu finis rien du tout. Passe moi ça. » qu’il dit en prenant la fin du joint entre ses doigts. Regardant le joint avec un oeil torve, il finit par le porter à sa bouche. Retenant misérablement sa respiration, il finit par prendre une grande inspiration et avala la fumée douce. Il resta ainsi, les yeux fermés, appréciant les pauvres neurones de son cerveau être submergé par la marijuana. Relâchant ses poumons défectueux, il expira la fumée. « Contente ? Maintenant, laisse moi jouer. » qu’il dit en remontant le t-shirt fin de la jeune femme sous ses seins.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
You are not alone
— Amare & Agathe
— Amare & Agathe
Fallait toujours qu'il reprenne mot pour mot ce que je disais, pour ensuite reformuler une question. Il me regardait droit dans les yeux, il le savait très bien que j'ferais tout pour lui. On avait pt'être une relation destructrice tout en étant fusionnelle, mais je crois qu'il n'y avait rien que je ne pouvais pas faire pour lui, C'était comme ça. Amare c'était.. pas n'importe qui en quelque sorte. Entre les insultes, cette haine, cette amitié qu'on avait, il savait qu'il pouvait toujours compter sur moi. « Tu l'sais ça. » Dis-je alors que mes prunelles croisaient les siennes. Bien sûr qu'il le savait, pourquoi il me posait la question? Ça ne lui suffisait pas? Il pouvait merder s'il voulait mais, j'étais et je serais toujours là pour lui, quoiqu'il advienne. Il me répondait que les malades et les meufs en cloque ne se droguaient pas. Là aussi, j'savais bien. Je m'en foutais d'eux, c'tait des cas différents. J'aimais poser des questions pour le provoquer et chaque fois, il arrivait à me sortir des phrases totalement ridicules. Je l'avais suffisamment poussée à bout pour qu'il me confie ce secret entourant sa maladie. J'voulais pas qu'il meurt, j'avais peur. Il était au stade un mais même, j'avais peur pour lui, peur que ce putain de cancer m'enlève Amare. « T'aurais pu attendre que j'le sois pas. » Voilà qu'on s'mettait à crier comme des cons. Putain Agathe, t'es toujours défoncée, arrête de contourner le problème. Il lâchait un petit rire. Ça répondait à ma question, il savait que j'avais raison. Il mourrait d'envie là, je le savais. Sa main, ses doigts continuaient de me caresser le ventre et je savais qu'il n'essayait pas d'en profiter parce que j'étais stone. C'tait pas lui ça. Il ne me laissait pas indifférente, j'tentais pas de l'engueuler, simplement de le repousser parce que la tentation elle était là. Finalement, sous mes mots, il cédait. Amare venait prendre le joint entre ses doigts, m'empêchant ainsi de me rouler sur le ventre, me bloquant. Il le portait à sa bouche, je le regardais faire. Putain enfin. Ça se voyait sur son visage que ça lui faisait du bien. Il expirait la fumée et je la recevais dans le visage. Le parfum de la marijuana, ça c'était quelque chose d'agréable. Moi contente? Bah carrément ouais. « Tu vois quand tu veux.. » Soufflais-je. Il déposait le joint sur la table et il revenait à la charge. Il remontait mon t-shirt, j'savais ce qu'il voulait. Je venais l'aider à remonter mon haut, alors que mes yeux parcouraient son visage, ses lèvres. Putain ses lèvres, j'voulais les goûter. « Joue. »
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il le sait maintenant. Amare n’a jamais eut autant d’amis que depuis son entrée à Harvard. Il aime sa solitude, il aime son confort personnel. Être seul ne le dérange nullement car c’est ainsi qu’il a toujours vécu. Il n’aime pas être entouré de beaucoup de personne. Le fait d’être seul l’apaise. Les seules personnes qu’il accepte autours de lui sont Romy et Sabian. Le reste, il a tendance à les oublier. Mais maintenant, il y a Ashleigh, Oswald, Cassie, Lola, Agathe. Et cette dernière, elle le rend fou. Elle le passionne et le détruit. Une relation trop dangereuse, trop étrange, trop destructrice, mais tellement bonne, tellement vivifiante. Ensemble, ils sont un duo, un assemblage de pièce cassées qui vont bien ensemble mais où il y a encore des trous. Ils se battent, se crient dessus, mais s’aiment. A leur manière. Leur façon étrange et compliquée. Il la regarde droit dans les yeux, cherchant à douter, mais ne pouvant pas. L’avantage avec la défonce, le mensonge était trop difficile à formuler. Mentir en étant défoncé, c’est presque impossible car rien n’est filtré. Tout sort d’un coup et c’est incontrôlable. C’est une vérité à l’état pure qui sort donc de la bouche de la blonde. « Attendre que tu ne sois pas défoncée, c’est comme attendre le messie bordel. » qu’il répondit en criant aussi à son tours. Toujours sur elle, il l’emprisonnait de son corps, mettant son poids sur ses genoux afin de ne pas lui faire mal, mais la bloquant pour qu’elle ne bouge pas. Il riait légèrement, amusé par la situation. Le sarcasme puait dans la pièce, lui qui la bloque, lui qui gueule alors qu’il va mourir et elle qui lui demande de ne pas lui dire ça alors qu’elle est complètement à l’ouest. Et là, ça dérape. Parce qu’entre eux, rien n’est normal, rien n’est parfait. Tout est cabossé comme leur tête. Caressant son ventre du bout des doigts, il lui répond distraitement, pas vraiment concentré sur la conversation. Il veut se retirer de la tête sa révélation, il veut pouvoir penser à autre chose. Il sentit bien le corps de la jeune femme se contracter sous ses doigts, son corps. Ils n’avaient jamais passé le cap, mais ce n’était pas faute de le vouloir. Commençant à craquer, il prit le joint sur la table basse et prit une taffe. Une taffe qu’il apprécia et dégusta comme un bon verre de vin. Il la regarda droit dans les yeux, la voyant apprécier ce qu’elle regardait d’en bas. Les lèvres pleines du jeune homme autours du joint, la fumée qui s’échappait de sa bouche. Il lui rendit la pareille et souffla en plein dans son visage. « La ferme. » dit-il en remontant son t-shirt sur son ventre. Elle comprit le message et se redressa un peu pour qu’il puisse enlever son haut complètement, la laissant buste nu devant ses yeux brillants. Il prit une autre taffe, puis une autre, et s’approcha des lèvres de la jeune femme, soufflant la fumée entre ses lèvres entrouvertes. « On joue. » Il plaqua ses lèvres contre les siennes, goûtant pour la première fois à Agathe.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
You are not alone
— Amare & Agathe
— Amare & Agathe
J'pouvais mentir sur bien des choses. La plupart du temps c'était pour protéger mes potes, je mentais quelque fois à mon sujet. Prenons exemple sur les atrocités que je faisais vivre à mon corps en l'abîmant. C'était pas bien, pt'être dangereux, mais j'aimais jouer avec le feu. Cette sensation de me mutiler me procurait du bien, c'était pathétique direz-vous mais putain ça me rassurait. Ça me soulageait, je me défoulais comme ça, je faisais ressortir mes sentiments. J'me mutilais pas à tous les jours, il y avait des éléments déclencheurs derrière tout ça. La pression que mes frères me mettaient, cette pression de la part de mes parents, ma propre famille. Abélard m'avait saoulé tout à l'heure avec son monologue sur la famille. Au départ, je voulais diminuer cette douleur que j'avais au plus profond de mon âme. Finalement, j'avais décidée de me tourner vers la drogue et de me ramener ici, dans l'unique but de faire chier Amare. Il m'énervait ce mec, je le détestais mais, je l'aimais. J'aimais pas parler de moi ou de mes sentiments, s'il savait à quel point j'étais carrément et littéralement bien avec lui à l'heure actuelle. J'avais enfui cette idée de me faire du mal dans un coin de ma tête, j'oubliais mes soucis alors qu'Amare, était dans un pire état que moi. Le cancer. Ce fils de pute qui le faisait souffrir. Pourquoi lui? Alors ouais, j'pouvais mentir si j'en avais envie mais j'étais complètement défoncée. Puis, j'mentais jamais à Amare moi. Je lui révélais ses vérités et même si ça ne lui plaisait pas, j'en avais rien à foutre. « T'as qu'à me prévenir une journée à l'avance, surtouuut pour ça merde! » Répliquai-je froidement en lui hurlant dessus. C'tait quoi son problème aussi, de me dire ça alors que j'étais pas en état d'entendre ça? Qu'il aille se faire foutre ce connard. Il continuait de garder cette même position sur mes genoux. J'avais le dessus sur lui psychologiquement mais lui, il avait le dessus physiquement. C'était beau tout ça j'vous jure. J'étais dans les vapes, il le savait bien. Il me retournait mon regard, je me réjouissais de l'emprise que j'pouvais avoir sur lui c'est dingue. Amare me rendait la pareille en soufflant la fumée dans mon visage, comme je lui avais fait il y a quelques minutes. « Tu sais que j'ai raison ducon. ». Je me redressais et ensemble, on s'aidait à me retirer mon haut. Je me retrouvais les seins nus devant Amare. Mes battements de coeur étaient plus forts. Il reprenait une autre taffe et il se penchait vers moi, en approchant son visage du mien. J'avais mes lèvres entrouvertes et ses lèvres se rapprochèrent des miennes. Il venait souffler la fumer entre mes lèvres. Bordel Amare. Il venait plaquer ses lèvres contres les miennes aussitôt. Je venais poser mes mains sur son visage, tout en prolongeant ce baiser. Ce tout premier baiser quoi.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Attendre qu’elle ne soit pas défoncée ? Attendre ? Il n’avait même pas prévu de lui dire, elle est arrivée comme une bombe, comme d’habitude. Elle avait chamboulé son existence, débarqué comme si on l’avait catapulté de l’autre côté du monde. Alors franchement, la prévenir d’être sobre, de ne pas être défoncée, n’était pas du tout dans l’esprit du métisse. Il ne voulait même pas lui dire au départ, il voulait jouer, la regarder céder. Mais quelque chose dans les yeux de la jeune femme le rendait fou, l’ensorcelait. Ce n’était pas comme avec Lola qui l’enchantait par sa voix et ses grands yeux marrons, innocents comme elle. Non. Agathe n’a rien d’innocent. Elle est sauvage, dangereuse, une fille comme on en fait plus. Ils se hurlaient dessus, criant, emplissant la pièce de leur voix. L’accent d’Amare ressortait encore plus. Sa mère, ayant vécu toute sa vie en Angleterre avant de débarquer à Los Angeles, avait un accent anglais très développé dont il a hérité. Souvent, on lui demande s’il n’est pas anglais à cause de ça. Mais son identité est tout autre, elle est différente. Inspirant la fumée tant convoitée, la laissant descendre dans ses poumons pour finalement ressortir entre ses lèvres, il se calme un peu plus. Si calme qu’il franchirait le pas avec Agathe à l’instant même. Car aussi proches qu’ils soient, il n’avait jamais rien fait ensemble. Deux jeunes gens qui ne font que se gueuler dessus pour se prouver leur attachement. Deux personnes qui se détruisent petit à petit, l’une intentionnellement, l’autre sans le vouloir. « T’as raison de rien du tout pétasse. » Il retira son haut avec son aide, la laissant à demi nue devant les yeux avides du jeune homme. Prenant une autre taffe, il la souffla entre les lèvres de la jeune femmes avant de plaquer les siennes. Posant ses mains sur son visage, elle le rapprocha un peu plus. Il la réallongea, passa ses mains dans les cheveux blonds de la jeune femme. Une coordination étroite, une synchronisation. Se retirant un peu, il retira son propre t-shirt, voulant sentir le corps de la jeune femme sur lui. Son corps contre le sien. Leur langue dansait l’une avec l’autre, leur corps au contact de l’autre frissonnait. Amare aurait menti s’il disait qu’il n’avait jamais rêvé de ce moment là. Qu’il n’avait jamais fantasmé sur le corps de la jeune femme. Il passa ses mains sur la poitrine d’Agathe, passant sur ses seins pour ensuite essuyé ses bras. Il sentit une petite cicatrice, puis une autre et encore une autre. Ouvrant les yeux, il emprisonna les deux bras de la jeune femme et se recula d’un coup. Agathe retomba sur le lit d’un coup, et il examina les avant bras de la jeune femme avec un oeil torve. « Tu m’expliques ? » Clairement, ce ne sont pas des cicatrices involontaires. Les traits sont trop nets, trop droit, trop nombreux. Sur les deux bras, elle se retrouve avec des cicatrices rosées sur sa peau blanche.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
You are not alone
— Amare & Agathe
— Amare & Agathe
J'étais venue ici dans l'unique but de sortir Amare de la Mather House. Au final, cette action n'avait jamais eu lieu. Je me retrouvais allongée sur son lit, à l'ouest et complètement choquée de ce qu'il venait de me dire. J'me sentais impuissante, j'aurais voulue faire quelque chose, lui retirer ce putain de cancer pour qu'il reste avec moi pour toujours. J'avais la gorgée nouée, je secouais légèrement la tête pour oublier tout ça. Il finissait par se calmer, il inspirait la fumée et la gardait en dedans de lui, puis la fumée sortait entre ses lèvres. Ça le faisait chier quand je lui disais que j'avais raison. Il était orgueilleux ouais. « Mon cul salaud. » Dis-je sur un ton provoquant. Il voulait pas le dire, encore moins l'assumer, Du Amare tout craché hein. Voilà qu'il retirait mon haut et je l'aidais à m'en débarrasser. Putain. Je m'en foutais d'être à demi nue devant lui, ça ne me gênait pas. Même que, j'savais qu'il n'était pas indifférent en voyant ma poitrine. C'était bien la première fois qu'il me retirait un vêtement, il savait ce qu'il voulait et ce qu'il faisait. J'avais des palpitations lorsqu'il venait plaquer ses lèvres sur les miennes. Pour le première fois, je découvrais cette proximité avec lui. Je le rapprochais de moi, j'voulais pu le lâcher. Il venait me réallonger sur son lit, en passant une main dans mes cheveux. Il se retirait, se débarrassant de son t-shirt qu'il balançait ensuite vers le sol. Amare se penchait de nouveau vers moi, en m'embrassant de nouveau tout en collant son corps contre le mien. Mes mains étaient toujours sur son visage, nos langues se rencontrèrent rapidement. Je frissonnais au contact de sa langue qui touchait la mienne, nos souffles se croisaient, s'entremêlaient, son torse contre ma poitrine. On se calmait, j'le sentais un peu plus détendu que tout à l'heure et moi, j'étais en train de fondre, littéralement. Il passait une main sur ma poitrine, caressant mes seins avec cette douceur que j'connaissais pas. Ses mains descendaient le long de mes bras, je frissonnais sous ses caresses. Puis, il se retirait brusquement, mettant fin à ce délicieux baiser. Il emprisonnait mes bras, j'ouvrais les yeux. Il me dévisageait moi, mes bras, faisaient des allés-retours vers moi et sur eux. Je retombais sur le lit. Il examinait mes avant-bras avant de me poser cette question. La question, que j'fuyais depuis des années. « Y'a rien à expliquer, mêle-toi de ce qui t'regardes. » Rétorquai-je sur un ton glacial, en détournant mon regard ailleurs. J'voulais pas le regarder, je voulais pas le lui expliquer. C'était mon problème, pas le sien.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Lui sur elle, son corps sur le sien. Il savait que rien dans cette situation n’était normal. Rien dans leur relation ne l’était. Lorsque l’on rencontre une personne comme Agathe, on sait que son existence entière est remise en question car elle s’en fiche. Elle s’en fiche de tout. De faire mal, d’aimer, d’être aimée, d’être blessée. On a l’impression qu’elle est imperméable à tout, jusqu'à ce que l’on creuse un peu plus et que l’on voit qu’elle peut être blessée, aimée, et qu’elle peut aimer et blesser en retour. Le haut de la jeune femme voltigea à travers la pièce, et il repartit à l’assaut de ses lèvres, la laissant à sa merci complète. Il voulait profiter de son corps, de ce qu’elle avait à lui offrir. Il voulait sortir de sa tête ce putain de cancer qui le tuait à petit feu. Cinquante pour-cent de chance de survis et le voilà en train de fumer un joint et d’embrasser la droguée de service. Il enleva son propre haut, le laissant choir sur le sol. Sa peau chaude contre celle glacée de la jeune femme lui donnant un frisson, il caressa les hanches de la jeune femme, laissant sa peau glisser sous ses paumes. La peau lisse et froide, contrastant avec merveille avec la sienne, brune et chaude. Il jouait avec sa langue, la laissant glisser sur la sienne, pour prendre d’assaut ses lèvres. Amare aime ça. Il aime jouer. Il aime le sexe. Il aime la femme dans toute sa splendeur et sa destruction. Faisant remonter ses mains sur le corps de la jeune femme, il passa à sa poitrine qu’il adora de ses mains, tout en embrassant toujours la jeune femme passionnément. Il atteint alors les bras d’Agathe, sentant des petites cicatrices sous ses paumes, encore et encore. Il était tellement pris dans le moment, tellement intoxiquée par le souffle de la blonde, tellement accroché à son corps, tellement addict à une relation toxique qu’il ne percute pas de suite que les cicatrices sont trop régulière, droit, fine pour être accidentelle. Lorsque l’information atteint son cerveau, il s’arrête tout de suite. Se retirant brusquement, il prend les bras de la jeune femme et laisse son corps retomber sur le matelas. Il regarde la peau marquée d’Agathe avec attention et lui demande des explications. Elle évite. Quand il s’agit de lui, il faut tout dire, mais quand c’est elle, on la ferme. « Tu te fous de moi ou quoi ? Je t’ai avoué un putain de cancer, alors déballe. Maintenant. » Elle évite son regard. Honteuse. « Je ne vais pas te juger bordel Agathe. » Il est le dernier à pouvoir juger qui que ce soit. Il a lui même ses propres cicatrices, ces propres blessures, ses propres secrets. Si elle devait apprendre à mieux le connaître encore, elle aurait la chair de poule par rapport à son passé louche et étrange.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
You are not alone
— Amare & Agathe
— Amare & Agathe
C'était totalement du n'importe quoi entre Amare et moi. Complexe, indescriptible, anormal, c'était tout à fait nous ça. C'était pt'être égoïste mais ce mec, je le voulais que pour moi. J'refusais qu'une autre fille autre que moi ne s'approche de lui. À quelque part, j'avais peur qu'il finisse par m'laisser tomber, m'abandonner et ressentir ça ou penser ça, c'était pas top disons-le. Peut-être que j'commençais petit à petit à m'attacher à cet idiot et j'avais peur de ressentir ça. C'est pour ça que je l'entraînais avec moi dans cet enfer qu'on appelait la drogue. C'était mon échappatoire et j'enfonçais de plus en plus Amare dans ceci. Peu à peu, nos vêtements volaient à travers la pièce, nos lèvres plaquées l'une contre l'autre, nos langues se découvraient. J'sentais que mon corps se réchauffait grâce à Amare, il dégageait une de ces chaleurs ce mec putain. Ses mains continuaient de découvrir mon corps: ma poitrine, mes hanches, mon ventre, puis mes bras. Dès qu'il arrivait à cette hauteur, il se retirait brusquement, reculant en me dévisageant. Ses poings attrapaient mes bras, mon dos venait percuter le matelas. Il jetait des regards sur ceux-ci, attentivement avant de relever les yeux vers moi et il exigeait des explications. Putain non Amare, steplais. J'esquivais sa question en l'envoyant chier. C'tait une façon pour moi de me protéger, de me protéger de tous ces maux, cette douleur, cet enfer. J'aimais pas parler de moi et j'aimais pas qu'on se mêle de ma vie privée. Ça ne le regardait pas. Je posais mes yeux ailleurs, je fixais le mur, en silence. Il pétait un câble, il me reprochait de me foutre de sa gueule et il venait rajouter son putain de cancer dans cette histoire. J'me mordais la lèvre, j'voulais m'enfuir de là. Too late. Je pouvais pas, Amare ne m'aurait pas laissé partir comme ça, il aurait tenté d'me retenir. Il voulait que j'lui dise tout, que j'lui dévoile tout et sur-le-champ. Je ne pouvais tout simplement pas, j'évitais encore son regard. « Je t'ai dit que ça ne te concernait pas putain! Si t'es assez intelligent, tu devrais comprendre de quoi il s'agit. Si ce sont des explications que t'attends, bah c'est mooooort. » Finis-je par dire. Il poursuivait en disant qu'il n'allait pas me juger. C'est ça le truc. Le jugement. Je portais mes mains vers mon visage, en enfouissant celui-ci dans mes mains. Des larmes commençaient à rouler sur mes joues. « Laisse-moi.. »
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Lorsque l’on ne sait pas comment réagir, on suit notre impulsion du moment, notre envie, notre désir profond. En embrassant Agathe, c’est qu’il avait fait. Il ne voulait plus parler, il ne voulait plus penser, il voulait juste agir et ne rien faire d’autre. Son corps contre le sien, ses lèvres bougeant au même rythme que les siennes, il profitait de ce moment privilégié avec la destructrice, avec la dangereuse. Retirant son propre haut, laissant leur vêtement se balader sur le sol de la chambre du jeune homme, les deux bougeaient à l’unisson. Il allait parcourir son corps de ses mains, profitant de la douceur de sa peau, de la sensation de son corps contre le sien. Amare aime ça, et cela se sent à la réaction que son corps a. Il n’est pas un puceau, il n’est pas pudique. Il aime ça et le montre bien. La chaleur de son corps réchauffant celui froid de la blonde, leur peau frappant l’autre avec envie. Amare parcourait le torse, la poitrine, puis les bras d’Agathe. Il fit glisser ses mains sur sa peau et sentit les cicatrices. Prenant un moment pour réaliser la chose, il se releva d’un coup et emprisonna la jeune femme de sa poigne. Il n’en croyait pas ses yeux. Des cicatrices. Des scarifications. Elle se mutilait. La jeune et belle Agathe se mutilait et n’osait même pas la regarder dans les yeux en plus. Il venait de lui dire qu’il avait un putain de cancer et elle n’osait même pas lui dire pourquoi elle avait ses cicatrices sur son corps. Il poussa, la confronta. Il lui avait dit, à son tours maintenant. Elle l’envoya chier, littéralement, et évita encore une fois son regard. Il essaya de l’amadouer, de lui dire qu’il n’allait jamais la juger, mais elle se libéra de son emprise et cacha son visage de ses mains. Il entendit sa voix craquer. Il vit les larmes couler le long de ses joues. Non. La dernière chose qu’il voulait, c’était ça. Il ne sait pas gérer ça merde. Absolument pas. Sortant de sur elle, s’allongeant à ses côtés, il la regarda pendant quelques minutes, ne sachant pas réellement comment agir avec une personne qui pleure à côté de lui. Il sait qu’Agathe n’aurait pas pleurer devant n’importe qui alors il prend ce geste avec précaution. Prenant une des mains de la jeune femme dans la sienne, il étendit le membre sur le coussin. Déposant ses lèvres sur ses cicatrices, il les embrassa, une après une. Il ne voulait pas qu’elle se sente mal avec lui. Avec une douceur dont il ne pensait pas avoir, il remonta le long de son bras pour atteindre son cou. Déposant une pluie de baiser sur la peau de la jeune femme, il finit par atteindre ses lèvres. Aucuns mots, juste des gestes. Car les mots peuvent être des mensonges, mais les actes sont réels. Il entoura son visage de sa main et la fit monter sur lui avec l’autre. Elle le dominait à présent, ses longs cheveux blonds les cachant des autres.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)
Page 2 sur 4 • 1, 2, 3, 4
:: Corbeille :: Archives 2012-2019