Enjoy the holiday + Summer

ENJOY THE HOLIDAY.
Jimmy et Paris se donnaient vraiment à fond pour faire vivre toutes sortes d'aventures aux membres de la Dunster House. Ils nous avaient d'ailleurs organisé une petite activité pour Summer et moi. J'étais bien contente d'être tombée sur elle alors que c'était simplement le hasard. Quoi qu'il en soit, j'avais fait la promesse à Paris d'aider sa copine, ou plutôt sa femme, a bien s'intégrer chez les jaunes. Je comptais bien la tenir.
Du coup, nous voilà, toutes les deux assises face à l'autre alors qu'on attend un petit déjeuner qui nous sera servis avec une histoire racontée par le père Noël lui-même. On commençait avec le petit-déjeuner et l'histoire pour ensuite aller remettre des cadeaux à une association pour enfant. J'allais aussi sûrement en profiter pour aller faire un tour sur la patinoire puisque nous y avions également accès. "Impossible de ne pas être dans l'esprit des fêtes avec eux." dis-je à Summer en parlant de Paris et Jimmy. Il y avait eu la décoration du sapin à la Dunster House et maintenant ça. Je ne m'en plaindrais pas. J'adorais Noël. C'était sans doute la fête que j'aimais le plus. Bien plus que l'halloween. Surtout après l'aventure qu'on avait eu dans ce manoir hanté.
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Les invitations surprise sde la Dunster ? Je sens que je vais finir par m’y habituer tellement ça me plait ! Un petit déjeuner au couleur de Noël avec un compte raconté par le Père Noël en prime ?! Franchement, j’avais l’impression de retomber en enfance. ! Et le fait de partager tout cela avec Kacy, que j’avais appris à connaitre à la soirée Halloween et avec laquelle j’avais bien accrochée, ne rendait l’expérience que plus agréable. Gros Bonus pour moi donc !! Toute souriante et ravie d’être là, je patientais avec Kacy l’arrivée de nos petits déjeuner « C’est clair qu’ils ne lésinent pas du tout pour nous offrir une vraie magie de Noël » déclarais-je en réponse à la remarque de la brune. « Au fait ? T’en es où de ta course aux cadeaux ? T’es dans les temps ? » Demandais-je par curiosité. Pour ma part, je savais qu’il y avait encore deux trois choses que je n’avais pas fini d’acheter ou d’emballer, et plus les jours passaient plus je sentais la pression de ne pas tout finir à temps grandir en moi !

@P. Kacy Florès

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ENJOY THE HOLIDAY.
Avec la musique de Noël qui jouait en arrière plan, je ne pouvais que je me sentir heureuse. J'aimais la musique des fêtes. J'aimais les lumières, les décorations, les réunions de familles et d'amis, le cadeaux. Bref, j'aimais tout ce qui touchait aux temps des fêtes. La seule chose qui pourrait m'enlever mon bonheur en ce moment serait de penser au fait que ma mère ne sera pas là, encore une fois, pour fêter avec moi. Mais je refusais d'y penser. Pas cette année. Cette année, je voulais vraiment en profiter. En commençant par un bon petit déjeuner avec Summer et un petit conte de Noël raconté par le père Noël lui-même. "J'ai presque rien de fait encore. C'est pas croyable. Je suis tellement plus d'avance que ça normalement. Mais c'est difficile de trouver du temps pour aller faire mes achats avec le stage." Mon stage en médecine tait plutôt exigeant. Autant au niveau des heures à l'hôpital que des travaux à faire à la maison. Je n'avais plus beaucoup de temps libre et celui que j'avais, je préférais le passer avec mes amies plutôt que de faire les boutiques seule. "Toi, ça avance?" Normalement, en tant que Dunster, on était plutôt bien organisé. Est-ce que j'étais la seule à être en retard comme ça?
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Ecouter Kacy m’expliquer qu’avec son stage en médecine, elle avait du mal à trouver du temps pour elle, et donc pour les achats, cela me rappelait l’année dernière « Comme je te comprends ! Et je compatis d’ailleurs. » Déclarais-je honnêtement. « En fait, avant de me lancer dans l’enseignement, j’étais en 5ème année de médecine. Option Pédiatrique. Et du coup, j’ai fait mon année en tant qu’interne. A cette époque, j’étais moi aussi en galère de temps ! J’avais l’impression de courir partout ! » Et au final, j’étais comme Kacy : les seuls moments de calme, je me les réservais pour moi, pour me reposer. Quelqu’un venait enfin de nous servir nos déjeuners préalablement choisis sur le menu de Noël ! Pour ma part, j’avais opté pour des pancakes, mon déjeuner favoris, je ne manquais pas de faire à la maison d’ailleurs. Kacy me retournait à ce moment-là ma question, et je riais légèrement ? « Moi ? Je suis encore un peu en galère pour certains cadeaux. En premier lieu, celui de Paris... » En fait, je savais déjà ce que je voulais lui offrir, mais je pense que je m’y suis prise un peu tard et j’ai un peu peur de ne pas l’avoir dans les temps « ça me stresse un peu je l’avoue…Tu fais quoi pour les fêtes ? Tu restes dans le coin ? Tu pars ? »

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Summer m'appris qu'elle avait entamé des études en médecine avant de changer de domaine. "Pour de vrai? Je savais pas que tu avais été en médecine. Qu'est-ce qui t'a fait changé d'avis? Il devait bien y avoir quelque chose qui l'avait poussé à changer de cursus. Je ne connaissais pas Summer mais j'étais plutôt certaine que ce n'était pas la charge de travail qui lui avait fait peur. Elle était trop studieuse pour ça. Notre déjeuner arriva finalement. Alors que Summer avait des pancakes, moi, j'avais pris un bol de yogourt avec des fruits et du granola. Ça avait l'air délicieux. "As-tu une petite idée de ce que tu veux lui acheter? En plus, je suis certaine que tu lui offrirais un crayon et il serait content. Il t'aime tellement! Ça se voit tout de suite." Juste à les voir ensemble, on pouvait comprendre que leur relation était vraie. "Normalement, je retourne chez mon père mais il part en vacances dans le sud avec ma belle-mère. J'ai pas trop envie de tenir la chandelle entre eux. Je vais sûrement rester ici, en profiter pour me reposer un peu. Reprendre des forces." Ce n'était pas super excitant comme temps des fêtes mais je ne m'en plaignais pas. Je n'avais jamais eu l'habitude de fêter en grand avec ma mère non plus.
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La réaction de Kacy concernant mes années de médecine me faisait doucement sourire : « oui oui, pour de vrais ! 5 années. En fait, il n’y a que depuis septembre que j’ai changé de cursus. » Je réfléchissais à la question sur le changement d’avis qui m’avait poussé à tout arrêté, et finalement optait pour lui faire part des deux choses qui m’avait influencé : « En fait, j’ai avant tout fait médecine pour faire plaisir à mes parents qui souhaitait que leurs enfants fasse de grandes études et de belles carrière. Ma première sœur fait du droit, mon frère fait de l’économie et de la gestion d’entreprise pour reprendre les rênes de la société de notre père plus tard…et il ne reste plus que ma plus petite sœur, qui se cherche encore un peu. Du coup, je ne devais pas jouer les vilains petits canards et j’ai cédé. Le problème, c’est que je ne suis sans doute pas assez solide émotionnellement parlant : je n’ai pas arrêté de me remettre en question, et comme j’étais au contact d’enfant, en plus du service obligatoire aux urgences, le moindre grand malade ou grièvement blessé m’attristait de trop » Et ce n’est jamais bon dans ce métier. Il faut savoir se distancer de ses patients, ce que je ne sais pas faire.

On s’orientait bien vite sur les idées de cadeaux de noël tout en mangeant notre déjeuner et j’avouais à Kacy le cadeau que je comptais faire à Paris « Oui oui, en fait il s’agit d’une tradition dans la famille, ce cadeau. Le problème c’est qu’il faut le personnalisé…et c’est là ou je ne m’y suis pas prise à temps » Offrir une gravure sur une montre dont le modèle et la marque devait être choisi en collaboration avec son père, qui habite lui-même à New-york ça demande de l’organisation. Ce que je n’ai pas fait !! « C’est bien que tu puisse profiter un peu de ta famille !!! Pour ma part, je vais rester dans le coin cette année. Surtout que maintenant, avec Paris, on a notre propre petite famille alors, c’est notre tout premier noël sous ce schéma-là » déclarais-je avec des étoiles dans les yeux et une fierté non dissimulé.

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ENJOY THE HOLIDAY.
J'étais vraiment surprise par le fait que Summer ait suivi le cursus de médecine. Pendant cinq ans en plus. Elle m'expliqua les raisons qui l'avait poussé à renoncer à ce métier et se diriger vers un différent. Sa famille avait été d'une grande influence dans son premier choix. Ça ne devait pas être facile d'avoir autant de pression des siens. J'avais de la pression pour mes notes et tout mais c'est moi qui me mettais de la pression. Je voulais que mon père soit fier de moi. On ne se connaissait que depuis quelques années et je ne voulais pas qu'il regrette son choix de m'avoir pris sous son toit ou encore de payer mes études. "C'est vrai que c'est pas facile tout les jours. J'en reviens pas le nombre de personne qui souffre à tout les jours. Je trouve ça difficile parfois mais je me dis qu'au moins, je peux les aider un peu." J'avais vu tellement de souffrance d'où je venais que je me disais que je ne pouvais pas voir pire. Des clochards qui vivent dans les rues, demandent sans cesse de l'aide pour avoir ne serait-ce qu'un petit bout de pain pour se nourrir ou encore une vêtement, aussi délavé soit-il, pour se réchauffer. Les gens de Boston étaient pour la plupart un peu plus chanceux que ça. "Qu'est-ce qui t'a poussé à épouser Paris au juste? Je veux dire, comment tu as su que c'était le bon?" J'étais pas très chanceuse de ce côté-là. En fait, j'en étais plutôt au point mort de ce côté-là.
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PAR AVANCE DÉSOLÉE POUR LA LONGUEUR !!!!! c'était dur de résumer alors je me suis dite que tant qu'à faire, autant que j'explique tout au mieux !

J’hochais vivement la tête tout en croquant dans une bouchée de pancakes que me tendais ma fourchette depuis quelques secondes : Oh oui de la souffrance, il y en avait à tous les couloirs dans les hôpitaux, et je ne parle même pas su service des urgences. Combien de fois étais-je revenue à la maison pour pleurer dans les bras de Paris parce qu’un patient que j’avais appris à connaitre était mort de ses blessures ou de sa maladie ? Franchement, j’avais fini par arrêter de compter. Et chaque jour après cela, je me confortais dans l’idée que je ne voulais pas de cette vie, que je n’avais pas les épaules suffisamment large pour supporter tout cela. « T’as raison, il faut voir sous un angle positif. Pour ma part, je pense n’avoir jamais réussi à le voir de la sorte pour la simple et bonne raison qu’au départ, ce n’est pas moi qui avais choisi ce métier ou ce cursus ! J’aurais sans doute été plus positive si j’avais été motivée…enfin sans doute. »

Venait finalement la question de ma relation avec Paris alors qu’on discutait des cadeaux de Noël. Pourquoi lui et pas un autre. A cette question, je souriais en riant légèrement avant de poser mes couverts sur mon assiette. Je me nettoyais machinalement les mains avec ma serviette alors qu’elles n’avaient même pas été salis par quoique ce soit. Je me servais plutôt de ça pour prendre le temps de la réflexion. Oh, au fond de moi je savais pourquoi Paris et pas un autre. Mais disons que je cherchais plutôt les mots pour que mon explication soit la plus explicite possible. « Comment dire euh…Pour résumer : j’ai choisi Paris parce qu’il s’est montré honnête avec moi. » C’est plus que résumé ça ! J’allais devoir être un peu plus précise. C’est alors que je croisais les mains juste devant mon assiette et me penchait un peu, prête à faire une confidence : « En fait. Quand j’ai rencontré Paris, c’était justement à l’hôpital » bon en vrai, j’avais fait sa connaissance bien plus tôt, mais étant donné que ce fait n’avait été découvert que des mois plus tard, je préférais omettre ce passage. « Il venait pour une consultation pour Ashlynn et l’une de ses sœurs…et c’était somme tout très professionnel. Mais déjà là, il m’avait marqué. Comme tapé dans l’œil. Sauf que j’étais avec un homme à cet époque-là » Un homme qui, sous prétexte qu’il était malade, m’écartait de sa vie pour le moindre prétexte, prenait bon de m’appeler seulement quand l’envie lui en prenait, et je ne parle même pas des soirées que l’on passait ensemble. Finalement, j’avais dû me résigner et admettre que je n’avais plus rien à faire avec lui, que je m’époumonais pour rien. « J’ai revu Paris au marché de Noel l'année dernière et…c’est là que j’ai su. Quand je dis qu’il a été honnête, c’est parce qu’à l’époque, Paris était réputé pour sortir avec une femme chaque soir, pour n’entretenir aucune relation sérieuse, et ne coucher qu’une seule fois avec la même femme » Exceptée Sienna, son ancienne bizutrice… « Et au lieu de me faire croire le contraire, de me dire qu’il pouvait être le prince charmant, qu’il était fait pour me rendre heureuse ou autres, il a préféré jouer la carte de la sincérité et me dire que les choses qu’on disait de lui était vrais. Quitte à passer pour un goujat, un coureur de jupon, il a quand même souhaité me dire la vérité. Et mieux encore, il m’a avoué avoir le béguin pour moi, mais qu’il savait qu’il n’était pas le mec de mes rêves »…je souriais en me rappelant ce souvenir « En réalité, il avait tort. Il venait de me prouver qu’il était celui que j’attendais, celui qui ne me mentirait jamais, celui qui ne chercherait pas à jouer un rôle, à être celui qu’il n’était pas… » Sauf que ce jour-là, lui et moi on s’était promis amitié ; lui n’acceptant pas de me considérer comme une énième conquête et moi souhaitant laisser des chances à mon petit-ami du moment. « On est sorti finalement ensemble que le jour où j’ai quitté mon ex petit-ami. Il a voulu une chance et…nous voilà mariés » J’inspirais profondément avant de m’intéresser à Kacy et à ses amours « Mais toi dis-moi ?! Est-ce que ton petit cœur bat pour quelqu’un en particulier ? Je me rends compte que depuis que je suis à la Dunster, je te croise beaucoup et on a souvent la possibilité de se parler mais…on a jamais évoquer le sujet de tes amours ? Tu as quelqu’un en ce moment ? » demandais-je assez curieuse d’en savoir plus sur Kacy que j’appréciais déjà beaucoup ! Paris avait eu raison de me pousser vers cette femme ! Elle était tout à fait le genre de fille avec qui le feeling était plus qu’évident, et l’entente facile !

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ENJOY THE HOLIDAY.
La médecine, ce n'était pas facile tout les jours. Et ce n'était pas fait pour tout le monde. Parfois, j'avais même des doutes sur le fait que c'était ma place. Par chance, Melchior était là pour me rassurer sur le sujet. Avoir eu une base en soins, j'aurais peut-être pu sauver ma mère. Non, je ne devais pas aller sur ce terrain-là, je ne devais pas y penser. Elle était déjà partie quand je l'ai trouvé. Je n'aurais rien pu faire de plus que la pleurer. "L'important, c'est quoi tu sois heureuse dans ce que tu fais. On va quand même travailler une bonne partie de notre vie." Pour ne pas dire pour le restant de nos jours.
Summer prit ensuite quelques secondes de réflexion avant de m'expliquer en long et en large comment elle avait rencontré Paris, comment ils s'étaient mis ensemble pour finalement finir marier à ce jour. Et heureux, évidemment. Leur bout de chemin n'avait pas sembler facile au début. "C'est tellement mignon comme histoire. T'as de la chance d'avoir trouvé celui avec qui tu veux passer ta vie. J'imagine que ça n'a pas dû être facile au départ, avec la confiance et tout ça."Paris avait eu l'honnêteté de lui parler de la façon dont il avait l'habitude de traiter les filles. Ça n'avait pas dû être facile au départ, pour Summer, d'avoir confiance. Elle me demanda ensuite comment se passaient mes amours. "Zone morte pour le moment." Je n'avais aucun gars en vue. Évidemment, il y en avait des mignons autour de moi mais une attirance n'était pas suffisante pour moi. "Il y a des beaux gars autour mais aucun qui m'intéresse vraiment de cette façon-là." dis-je avant de prendre une bouchée de mon déjeuner.
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Jeu 5 Jan 2017 - 16:36

Est-ce que j’étais heureuse de mon choix ? Franchement oui ! Bon okay, j’avais du à nouveau entamer une 5ème année pour faire plutôt que d’enchainer sur une 6ème mais…ça aurait pu être pire ! Et puis, je me sentais bien plus légère aujourd’hui : je n’avais plus cette boule au ventre en partant le matin, et je n’étais plus prise de cette peur de rentrer à la maison le soir après avoir vu un patient mourir. Ça c’était le pire : réussir à prendre de la distance…J’en étais incapable. « T’as bien, raison ! Et oui, je ne regrette rien ! J’adore ce que je fais. Et mon stage à l’école, là ?! C’est génial ! J’adore les gosses » déclarais-je, le sourire jusqu’aux oreilles.

Au bout d’un moment, on s’était mis à parler amour et sentiment, et forcément, je lui avais évoqué mon histoire avec Paris. Et je ne pouvais que confirmer ce que Kacy m’avançait « Oh, ça oui, j’ai de la chance. Je le sais bien ! Je me le dis chaque jour qui passe… » avant de préciser mon sentiment par rapport à la confiance que j’avais dû engager avec Paris à l’époque « hmmm…à vrai dire, ce n’était pas vraiment en lui que je n’avais pas confiance. Mais en moi : Je n’arrêtais pas de me dire que de toute façon, si un jour il décidait de tout arrêter entre lui et moi, ce serait de ma faute. Soit parce que je n’aurais pas été à la hauteur, soit parce que l’aurais trop étouffée » Je me rappelais encore la panique que j’avais ressenti quand j’avais su qu’il était resté ami avec l’une de ces conquêtes, qui plus est sa bizutrice à l’époque.

Et finalement, je souhaitais en savoir plus sur les amours de Kacy. Apparemment, c’était le calme plat. « Tu souhaites plutôt te concentrer sur tes études si je comprends bien ?! » ce n’était pas plus mal en soit. Cela évitait bien des responsabilités futiles. Et médecine prenait beaucoup de temps, je le savais d’expérience. « Mais faudrait pas non plus que tu te fermes à des opportunités hein ?! » lui rappelais-je en lui adressant un clin d’œil.

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