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plaisir coupable (biki)

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Pensait-elle vraiment que tu allais préciser ta pensée ? Tu ne le faisais que rarement, elle l'avait bien compris pourtant elle semblait garder un espoir à chaque fois. Ne pourrais-tu donc pas honorer ce besoin de la demoiselle au moins une fois ? Pas vraiment. Tu n'en étais pas capable parce que choisir tes mots te seraient trop difficile. Mais elle, elle avait fini assez rapidement par développer un décodeur te concernant. Elle te reprenait avec ce qu'elle en comprenait, et elle le visait le mile à chaque fois, parfois mieux que toi. Tu ne pouvais pas reconnaître que tu étais jaloux, parce que oui tu l'étais. Savoir qu'elle partira demain et qu'en prime elle était si épanouie avec un autre, ça te rongeait. Tu as évité son regard un instant, juste le temps qu'il a fallu pour qu'elle te tombe dans les bras. Surpris, tu as froncé les sourcils. C'est malin, tu as sal.. Sali ta jolie robe ? Oui c'est ce que tu allais dire juste avant qu'elle ne lâche une petite bombe. Quoi ? Attends, tu es sure qu'on parle du même type ? Et voilà, tu te sentais... comment dit-on déjà ? Ridicule. C'était rare que tu ressentes ça mais là tu étais en plein dedans. Merde ! Tu as grimacé légèrement en regardant vers le lieu de l'altercation avant de regarder Bambi à nouveau. Je pensais que, enfin tu vois. Oui le dire ne ferait que rendre les choses plus difficiles.

@Bambi C. Corleonesi
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A vrai dire, sur le moment, Bambi n'avait pas vraiment attendu de réponse. Elle savait très bien que Ciarán n'était pas à l'aise avec les questions et puis sa jalousie, juste sur l'instant, était évidente. L'italienne n'avait pas besoin d'en savoir plus même si quelques mots lui auraient évidemment fait plaisir. Quelque part, être jaloux, c'était ne pas s'en foutre. Si le jeune homme ne s'en foutait pas totalement, le fait qu'il ait rompu n'avait pas un sens débordant mais ça, c'était une bien autre histoire... cela n'empêcha pas la demoiselle de lui sauter au cou et de salir sa jolie robe, chose qu'elle ne remarqua que grâce à Ciarán d'ailleurs. Elle pencha un regard avant de grimacer. Bon on est deux trempés et sucrés maintenant ! haussa-t-elle les épaules car il y avait pire et qu'ils trouveraient peut être de quoi se changer, qui sait. Le plus important, c'était qu'enfin le jeune homme comprenne que Bambi ne s'apprêtait pas à s'envoler pour la Sicile avec le premier venu, non. Mais bien en compagnie de son frère aîné... Tu pensais que j'étais du genre à tomber dans les bras du premier venu... tu m'as peut être jetée mais j'ai encore ma fierté hein ! fit elle valoir en esquissant une petite moue. Il fut un temps où elle se serait consolée, mais pas cette fois ci. J'étais mal après la dernière fois. Fabio était en ville, il m'a proposé de me ramener à Palerme. Et... je sais même pas pourquoi je te rassure. J'suis maso comme nana... rit elle doucement. Quelqu'un que tu as jeté t'as déjà demandé un baiser d'adieu ? Elle s'était rapprochée, toujours ce fameux regard "dangereux" planté dans les yeux délicieux de Ciarán. Sa dernière folie, peut être...

@Ciarán S. Halstead
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C'était ballot mais elle avait l'air de le prendre assez bien. C'était la force de Bambi. Elle positivait souvent, et s'amusait de ton haut qui avait tâché sa jolie robe. Si tu ne t'étais pas du tout senti ridicule après avoir pris un verre de mojito dans la tronche, là en comprenant que ce mec était le frère de Bambi, tu ne savais plus trop où te mettre. L'avis de son frère t'importait peu, mais face à Bambi tu te sentais presque gêné. Non pas d'avoir cogné son frère, mais te t'être fait grillé sur une jalousie ressentie et finalement complètement infondé. Je ne t'ai pas jetée. Ce terme était bien trop connoté pour toi. Jeter une nana tu savais ce que ça voulait dire et tu l'avais certainement déjà fait, mais Bambi tu ne l'avais pas jetée. Tu avais fuit mais tu ne l'avais pas jetée. En attendant la voir rire t'était plaisant, mais ça te consumait de l'intérieur aussi. L'idée que ça puisse être la dernière fois te bouffait de l'intérieur. Je ne t'ai pas jetée. As-tu répété de nouveau. Et non on ne t'avait jamais demandé un baiser d'adieu comme celui-ci. Un baiser après une nuit caliente, sans prévoir de se revoir, peut-être, mais tu savais bien que ça n'avait pas du tout la même signification que ce à quoi t'invitait la belle italienne. A ce moment-là tu aurais pu lui reprocher ce regard dangereux, lui reprocher son départ, lui reprocher d'avoir bousculé tes habitudes et tes envies, lui reprocher de créer un manque en toi. Mais tu n'as rien dit. Ta main épousa sa mâchoire, et ton pouce caressa ses lèvres. A croire que tu voulais faire durer ce moment.

@Bambi C. Corleonesi
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Il ne l'avait pas jetée. Difficile de qualifier le sms envoyé par le jeune homme en effet, et Bambi admettait sans peine être un peu excessive dans ses termes. Elle haussa les épaules à la première réponse de Ciarán, n'en menant pas large intérieurement. Le problème c'est qu'elle n'arrivait pas à avancer car ils n'avaient rien été et tout été en même temps. Un maelström de sentiments et un chouïa d'impertinence quant aux convenances sentimentales. Tout ce qui leur convenait finalement... Tu ne m'as pas jetée. C'était trop fort comme terme... mais t'as pas voulu de moi. En revanche, la vérité ne pouvait pas être plus tranchante, plus incisive. L'italienne eut pourtant la folie de lui demander un baiser d'adieu, une dernière marque qui lui prouverait que tout ceci n'avait pas été qu'un vaste rêve. Qu'il n'avait pas fuit jusqu'au bout et qu'elle pourrait au moins emporter cette petite pensée. Cette pensée qui faisait battre son coeur. Quelque part t'as jeté ce que j'aurais tant voulu t'offrir... reprit-elle en fébrilement, alors que la main du jeune homme épousait sa joue, et son pouce caressait ses lèvres. Bambi était en plein doute. L'envie de lui demander mille choses brûlait ses lèvres mais elle se retint. Non... pas comme ça. J'aurais pas dû te le demander c'était... C'était nul de ma part ! Désespéré mais nul. J'peux pas te faire ça. Tu disais que c'était pas une bonne idée...

@Ciarán S. Halstead
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Elle nuançait ses propos, et même si c'était mieux ça ne te convenait pas assez mais tu as simplement fait un non de la tête. Le problème n'était pas elle mais bien ce qu'elle pourrait t'offrir. Tu en avais peur, et pire tu craignais de tout foutre en l'air parce que tu étais doué pour ça. La preuve que tu as cogné son frère. Mais encore une fois elle trouvait les bons mots, elle te comprenait toi qui ne t'exprimait pas assez sur tes sentiments et ressentis. Elle, elle lisait entre les lignes. Tu avais refusé de céder à ce qu'elle voulait t'offrir, c'était bien ça. C'était parfaitement ça. Retiens juste que j'ai jamais été faux avec toi. As-tu demandé, voir ordonné. Tu n'as jamais rien faker, tu le lui avais déjà dit, mais tu savais bien qu'entre ce que vous aviez partagé et ce que tu lui refusais il n'y avait presque aucune logique mais tu n'étais pas stable comme la majorité du monde. Tu caressais ces lèvres comme si ce contact suffisait à recréer cette bulle autour de vous et sans prévenir Bambi l'éclata. Tu prenais comme un rejet soudain, un rejet soudain et mérité. Oui.. t'as raison.Alors tu as retiré ta main à la fin de sa réplique pour glisser tes deux mains dans les poches de ton pantalon avant de lui dire. Je, je ferais peut-être mieux d'y aller.. Malaise, oui. Il fallait reconnaître que ce soir, bien plus encore qu'après l'ascenseur, tu avais mal au cœur.

@Bambi C. Corleonesi
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Je sais que tu n'as pas été faux je n'en n'ai jamais douté... mais tu ne m'expliqueras jamais pourquoi tu m'as envoyé ce message et je crois que c'est ça qui me tue le plus. Il n'y avait pas réellement de reproche dans le fond de la voix de Bambi. Elle comprenait que c'était son caractère, sa manière de faire, qu'il s'était sûrement construit ainsi. Mais cela lui faisait du mal, à elle, qui ne demandait au contraire qu'à lui ouvrir son coeur. L'envie ne suffisait pas, hélas, la preuve. Alors qu'elle voulait lui éviter de faire quelque chose qu'il ne voulait pas faire ce soir, l'italienne avait certainement tout gâché. Elle retint Ciarán par la main, une main tremblante, quasi suppliante. Je n'ai pas voulu gâcher ta soirée et puis tu vas prendre froid... reste s'il te plait. Moi je vais partir. Délicatement, elle entremêla leurs doigts pour mieux se placer devant lui, sans lâcher sa main une seconde. Reste. Tu es venu à la soirée et tu t'y amusais sans moi alors je vais rentrer et tu vas reprendre ton éclate, d'accord ?

@Ciarán S. Halstead
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Tu comprenais sa frustration mais comment expliquer sans trop en dire, sans être maladroit, sans se mettre à nu sur ses craintes. Tu avais bien trop de barrières mais à l'évidence tu avais eu peur surtout. Et là il fallait reconnaître que parler de tout ça n'avait presque plus d'intérêt parce qu'elle partait. Pourtant tu aurais aimé la rassurer mais c'était difficile. T'as rien gâché du tout, je suis plus d'humeur. Main dans la sienne, tu t'étonnais encore de son côté avenante et tactile avec toi malgré toutes les complications entre vous. Tu n'as as relâché sa main pour autant mais tu était déterminé à rentrer. Tu ne t'étais pas amusé au fond, tu ignorais même pourquoi tu étais là.

@Bambi C. Corleonesi
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La phrase de Ciarán sonna le glas de son départ. Pour le jeune homme, c'était juste quitter une soirée, mais pour Bambi, c'était une ville, un pays, un quotidien qu'elle avait tenté de construire. Elle laissa encore quelques instants sa main dans celle de son interlocuteur puis finit par l'enlever avec un sourire triste. Il avait le chic pour lancer des répliques cinglantes là où elle essayait d'arrondir les angles. Peut être n'était il plus utile de les arrondir, ces angles, surtout s'il n'était plus d'humeur comme il le disait si bien. Un petit soupir et elle le dépassa, d'abord sans un mot, avant de se retourner, incapable d'être raide comme la justice et de partir en étant froide. Pas avec lui, et c'était peut être un peu sa malédiction. Prends soin de toi alors... Quelques mots murmurés et elle quittait l'établissement la première après avoir récupéré ses affaires. Si Fabio ne dormait pas, il serait probablement moralisateur...

@Ciarán S. Halstead
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