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plaisir coupable (biki)

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Sur ce coup-là, tu avais l'impression que son argument ne faisait pas sens. Elle avait réponse à tout, et cette réponse ne te convenait pas du tout. Je veux pas jouer avec toi, et encore moins te faire perdre ton temps. Que tu sois ou non capable d'encaisser, je m'en fous pas mal. Tu étais persuadé dans tes à priori que tout serait plus compliqué si vous vous attachiez bien plus encore, et que quelque chose tournait mal. Qu'elle soit capable d'encaisser tu n'en savais rien, mais tu partais du principe qu'elle n'avait pas subir ça : la déception, l'incompréhension, tes sauts d'humeur, tout ce que tu étais vraiment. Elle se refusait à l'idée de t'en foutre une. Autant dire que tu en avais reçu pour bien moins que ça mais Bambi avait bien trop de classe, certainement. Justement j'ai jamais rien faker avec toi Bambi, il est là mon problème ! Oui c'était un problème pour toi. Ta zone de confort tu y tenais. Tu n'aimais pas tenir aux gens. C'était une faiblesse, alors tenir à une femme, c'était bien pire encore.

@Bambi C. Corleonesi
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Bambi détourna un instant le regard de Ciarán car leurs avis divergeaient et c'était normal. Vu que depuis le départ ils n'étaient pas d'accord le fait qu'ils s'opposent coulait de source. L'espace d'un instant, l'italienne se concentra sur sa main douloureuse, celle là même qui avait frappé l'intérieur de l'ascenseur et qui était rouge. Elle ouvrit et ferma ses doigts pour essayer de les détendre. Ce n'est qu'après qu'elle retourna son regard vers le jeune homme, en soupirant. Tu n'as pas faké et crois moi j'en doute pas mais ça change rien tu m'as quand même jetée... par sms en prime reprit elle sans vraiment lui faire de reproches c'était ça le pire. Peut être que maintenant elle voulait juste oublier, se plonger dans le travail jusqu'à ce que la semaine finisse et repartir en Italie, même si cela ne faisait strictement à Ciarán apparemment vu qu'il n'avait pas réagi. J'veux pas être ton problème. Je l'ai jamais voulu. J'aurais juste voulu que tu aimes autant le risque que moi... Bambi se laissa glisser contre la paroi de l'ascenseur, s'asseyant finalement contre le sol en ramenant ses genoux contre elle. S'il fallait se taire pendant qu'ils s'affairaient à les délivrer alors tant pis.

@Ciarán S. Halstead
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Tu ne pouvais pas te justifier sur tout, et peut-être que tu n'assumais pas tout aussi. C'était la première fois pour toi que c'était aussi difficile de te maintenir sur tes positions en assumant tes erreurs, même les pires. Il ne fallait pas avoir à son actifs des dizaines d'histoires d'amour pour savoir que les textos ne permettaient pas de dire certainement choses à une fille. Mais tu en avais souffert par texto, que dire d'un face à face. Non parce qu'au fond, le cœur du problème était là. Tu avais aussi peur de souffrir. Peur de la faire souffrir, et peur de souffrir. J'aurais du te le dire en face.. Oui tu avais le mérite pourri de le reconnaître lâchement maintenant, et il n'y avait pas de quoi se vanter. ... je le pense Bambi, c'est pas une bonne idée. Tu le sentais le couteau se remuer transformant une égratignure en plaie ? Tu n'arrivais même pas à la regarder. Tu ne voulais pas voir la déception ou le dégoût dans son regard. Preuve qu'elle t'importait. Tu l'as regardé se glisser contre la paroi de l'ascenseur comme se résiliant à tes certitudes. Tu as fait un léger non de la tête avant d'ajouter. Pas ce genre de risques.. tous mais pas celui-ci. Avec n'importe qui mais surtout avec elle, tu le savais. Tu avais presque oublié de rappeler le secrétariat tant ce moment était prenant. Ta décision est prise alors ? Tu t'en vas vraiment ? Bien sur que tu ne voulais pas qu'elle parte. Tu en étais désolé, et tu ne le voulais pas. Mais jusqu'à quel point allais-tu imposer que les choses soient faites à ta manière hun ?

@Bambi C. Corleonesi
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J'avoue que j'aurais préféré. Mais c'était fait maintenant et il n'y avait plus rien à rajouter n'est ce pas ? Bambi c'était bien trop avancée en les imaginant en couple, heureux ensemble. Ils étaient pourtant si complémentaires, à croire que Ciarán soit resté aveugle à cette donnée pendant tous leurs moments ensembles. Je pourrais m'énerver en disant que tu choisis pour nous et que je n'ai plus qu'à fermer ma gueule ça ne servira à rien. Si tu arrives à vivre avec cette certitude tu as de la chance. L'italienne mettrait du temps à s'en remettre. Beaucoup de temps. À la lueur des sentiments qui naissaient dans son petit coeur et qui se retrouvaient piétinés à l'heure actuelle. Le jeune homme avait l'air de croire que c'était pour le mieux, mais elle n'était pas d'accord, surtout qu'il ne lui disait pas pourquoi. Dis moi pourquoi alors ? Qu'est ce qui te rends su affirmatif du fait qu'on sera malheureux si on continue ? Si tu crois que tu me feras du mal... je pourrais te dire des choses qui ne te feraient pas changer d'avis mais qui te feront comprendre que du mal tu ne peux pas m'en faire. Tu me faisais du bien au contraire. Enfin ça c'était avant ! La question de Ciarán lui fit relever la tête, d'un air sérieux et attristé en même temps. Je vais prendre mon billet d'avion après mon prochain cours. Peut être que finalement me suis plantée, ma vie est pas ici. Pourquoi, ça t'intéresse ?

@Ciarán S. Halstead
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Elle avait parfaitement raison. Choisir pour vous, c'était exactement ce que tu faisais. D'ailleurs tu ne le faisais même pas qu'elle te prouve que tu as tort. Mais tu le faisais parce que tu étais persuadé de dire vrai, et que tu étais sacrément borné en plus d'avoir la trouille. Alors oui tu vivais avec cette certitude, pour ne pas à vivre avec un manque, ou avec une haine de part à ton égard. Les deux te faisaient peur : ressentir le manque d'elle si tu allais plus loin, et la haine qu'elle pourrait développer pour toi si tu la décevais. D'ailleurs tu commençais à te sentir confiné. L'enfermement, votre conversation, le trop plein de questionnements, le débat... tout ça, te stressait un peu, beaucoup. Tu me faisais du bien aussi, peut-être beaucoup trop même. Tu le reconnaissais clairement et tu te consolais en te disant qu'au moins elle saurait ça même si pour toi ce détail compliquait beaucoup les choses entre vous. Tu ne voulais pas finir accro, attaché bien plus que tu ne l'étais. Je fais pas dans tout ça. Je finirai par te décevoir, je suis doué pour ça ! Je l'ai déjà assez fait. Égoïstement tu mettais en avant les arguments censés conforter Bambi et tu n'énonçais en rien le fait que tu avais simplement la trouille de te laisser aller à une histoire d'amour saine. Quand elle te demanda si tu étais intéressé par le fait qu'elle parte, tu le prenais comme un pic, comme un reproche. Pas très à ton aise tu t'es nerveusement gratté la nuque avant de reconnaître humblement. Je ne savais même pas que tu étais.. sicilienne. Regret ? Peut-être mais si vraiment tu la laissais partir, tu pourrais te noyer dans ces regrets que tu ne semblais pas encore entrevoir. Tu ne voulais pas qu'elle parte mais cette volonté n'était pas légitimie.

@Bambi C. Corleonesi
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Bambi esquissa un maigre sourire en se relevant légèrement, ayant peut être besoin de se planter devant lui afin de voir ses expressions. Le simple fait qu'il ait avoué qu'elle lui avait fait du bien lui en faisait aussi, car au moins, elle n'avait pas l'impression d'avoir tout raté. Merci de m'avoir dit ça... reprit elle d'une voix plus douce, alors que sa main venait s'échouer contre la joue de Ciarán. Un goût de dernière fois. Au moins elle aurait eu cette chance, et même si elle ne partirait pas sans grande tristesse, elle partirait sans colère et ce n'était pas négligeable. L'italienne pencha néanmoins la tête sur le côté, essayant de dédramatiser la situation alors que son coeur était au supplice dans ce petit espace confiné. Si ça se trouve je t'aurais déçu en premier, qui peut savoir ? T'as dû en avoir des copines pour me sortir un truc pareil ! Mais j'ai pu le droit d'être jalouse, je sais... Léger pincement de lèvres alors qu'elle retirait sa main même si Bambi ne s'écartait pas. Pour le moment elle n'avait pas de raison. Je suis née à Palerme... c'était sûrement destiné que je reparte là bas comme quoi.

@Ciarán S. Halstead
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Elle te remerciait mais tu le pensais. Cela dit son effet sur toi était peut-être beau mais il était aussi très dangereux. Tu le savais, elle te faisais du bien et si tu perdais ça à ton insu, tu en finiras fou. Tu n'étais jamais modéré quand il s'agissait souffrir et de développer de la rancune. Alors pour ne pas être déçu, tu ne t'attaches pas même si tu étais déjà attaché à Bambi. Sa main à ta joue te faisant autant de bien que de mal à cet instant. Elle était douce et follement bienveillante. Tu as déposé ta main sur la sienne alors qu'elle épousait ta joue de celle-ci. Ton intention avait été de la retirer mais obnubilé par son regard tu y renonças. Justement mieux vaut prévenir que guérir. Oui tu ne voulais pas souffrir, vraiment pas. Tu ne voulais pas être faible. Elle a retiré sa main te parlant de tes copines et tu as précisé. Peut-être mais c'est jamais comme ça d'habitude. C'est toujours plus simple. Qu'elles restent ou qu'elles s'en aillent, c'est toujours gérable, ça m'est même parfois parfaitement égal. Toi, c'est différent et je ne sais pas faire différemment. L'authenticité, dans toute relation ça t'étais difficile mais avec une fille pour qui tu pourrais ressentir des choses, c'était carrément flippant pour toi. Tu étais très superficiel dans ton rapport aux autres, il fallait le reconnaître. Tu apprenais donc qu'elle avait vu le jour à Palerme et pour la première fois l'idée te traversait l'esprit et si elle se racontait pour toi ? L'idée te plaisait, mais tu te l'interdisais.

@Bambi C. Corleonesi
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Bambi avait bien senti qu'au départ du moins, la présence de la main de Ciarán contre la sienne avait surtout été dans le but de la retirer, mais elle fut soulagée qu'il n'en fasse rien. Pour une fois, une toute petite fois seulement, elle voulait encore profiter un peu de sa personne, de son regard, de la douceur de sa peau avant de décider qu'il était temps de partir. Il n'était plus temps de le faire changer d'avis, hélas. Il avait l'air tellement décidé... J'ai bien compris. Perso je m'étais promis de plus jamais m'attacher et ça m'a un peu pété à la gueule... Pas étonnant qu'après ce qu'elle avait vécu l'italienne n'ait plus eu envie de s'attacher. Tout s'apprend. T'étais pas tout seul et je t'aurais appris moi... on a bien vu qu'on était différents depuis le départ ! Je sais même pas pourquoi je continue à argumenter pour une cause perdue. Je dois être... laisse tomber. Faudrait sûrement rappeler le secrétariat en fait non ? J'voudrais... enfin commander mon billet et tout j'ai des tonnes de choses à faire après. Bambi ôta sa main un peu brusquement, sans forcément s'écarter mais tout de même. Puisque Ciarán ne voulait rien entendre... ce n'était pas la peine de l'obliger. Il ne voulait plus d'elle pas vrai ? Le reste n'était que des mots.

@Ciarán S. Halstead
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Tu prenais conscience que cette histoire vous était tombé dessus, tous les deux. Elle te confiait qu'elle aussi n'avait rien vu venir, et qu'en plus elle n'avait pas rien voulu de tout ça. Tu vois, finalement que le monde ne tourne pas autour de toi, Kiki ?! Et puis prendre conscience que tu n'étais peut-être pas seul à avoir des problèmes d'attaches ce n'était pas une mauvaise chose. Est-ce que tu allais mieux vivre tout ça ? Pas certain. D'ailleurs, elle finissait vite par se lasser et avait bien raison. Ses arguments selon lesquels elle pourrait t'apprendre te tournait dans la tête, et tu as fini par récupérer ton téléphone, pour rappeler le secrétariat. Tu t'es contenté de dire que vous étiez coincés dans l'ascenseur et tu le leur laissé le soin de gérer le reste. Ils ne devraient pas tarder à en croire le secrétariat. Tu avais plein d'autres choses à lui dire mais rien ne sortait. C'était juste affreux, et puis il fallait le reconnaître tu n'étais pas habitué à la voir comme ça et savoir que c'était de ta faute, ça te bouffait.

@Bambi C. Corleonesi
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Bambi avait connu une histoire dans sa vie. Une histoire dévastatrice, qui marquerait à jamais sa peau, son esprit et son coeur. Depuis, elle enchaînait sans l'ombre d'un regret les locations vingt quatre heures. Du moins avant de le rencontrer, lui. Ciarán avait tout chamboulé dans son esprit et dans sa vie sans même s'en rendre compte. Il bottait pourtant en touche après avoir juste mis un terme aux balbutiements de leur relation. Aussi se contenta-t-elle de hocher la tête à ses propos, une fois qu'il eut appelé le secrétariat. L'italienne était bien incapable de déguiser un mot jusqu'à leur libération par la maintenance technique. Et une fois sortie de l'habitacle en acier, elle se tourna une dernière fois vers lui, offrant comme dernière vision au jeune homme un sourire radieux. Prends soin de toi ! fit elle d'une voix douce, feignant d'aller au mieux dans le meilleur des mondes alors que son petit coeur criait au supplice. Ce n'est qu'ensuite qu'elle tourna les talons, achetant son billet comme prévu, et évitant soigneusement la route de Ciarán durant toute la semaine. Ce n'est que la veille de son départ, alors que Fabio, son frère aîné d'à peine trois ans, avait insisté lourdement pour l'accompagner, que leurs destins se mêlèrent à nouveau. Oh Bambi dansait avec son frangin, riait même aux éclats car heureuse après ne pas l'avoir vu pendant si longtemps... ce dernier osa même lui faire un câlin et plusieurs bisous partout sur son visage, aimant jouer avec la jalousie des étudiantes, avant de se rendre au bar pour y commander deux mojito. Un pour lui, un pour sa soeur, bousculant sans faire exprès un autre étudiant que l'italienne aurait tout de suite reconnu, Fabio pas du tout. Désolé mec... fit il d'un air absent.

@Ciarán S. Halstead
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