Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(jaley) La famille s'agrandit. - Page 4
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(jaley) La famille s'agrandit.

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On peut donner bien des choses à ceux que l'on aime. Des paroles, un repos, du plaisir. Tu m'as donné le plus précieux de tout : le manque. Il m'était impossible de me passer de toi, même quand je te voyais, tu me manquais encore.

L'AMOUR.


Le voir ainsi mal à l'aise à cause de mes agissements, c'était divin. Parce que je savais pertinemment qu'il essayait tant bien que mal de cacher son excitation suite à mes gestes. Et de le savoir, c'était simplement jouissif, même si j'avais bien du mal à me retenir de l'attraper et de l'emmener dans un coin pour le 'violer'. Enfin, il va chercher ma glace, et quand il fait son petit manège, je serre les cuisses et plisse les yeux. Il fait trop chaud d'un coup. C'est violent. Qu'est-ce qu'il peut être excitant putain de merde. Il faut que je me calme, je commence déjà à bander, parce que son geste m'a excité, mais qu'en plus, je l'imagine me faire des choses loin d'être catholiques. C'est dingue parce que rien qu'un geste, un regard chez lui et on passe d'un jeu à une véritable torture. Et je crois qu'il le sait et qu'il en joue d'ailleurs. Mais c'est tant mieux, parce que j'aime ça, comment il m'excite. Quand il revient avec ma glace et la sienne, il vient s'asseoir devant moi. Je fronce les sourcils en premier lieu puis souris en soupirant lentement. « Oui mon amour. Tu as bien fait. J'aime.. » De mes pieds, je rapproche sa chaise avec un peu de mal, et puis je lève mon pieds pour le poser au niveau de son entrejambe que je presse légèrement, un regard et un sourire pervers au visage. « ..allonger mes jambes. » En me mordant la lèvre, je prends une cuillère de glace que je porte à ma bouche. Et d'un air tout à fait innocent - et alors que je le tripote de mon pied - je lèche la glace le plus lentement du monde, en laissant la texture caresser mes lèvres. Je ferme les yeux et gémis dans un large soupir, comme il l'a fait un peu plus tôt, avec un visage exprimant l'extase. « Mh.. C'est trop bon bébé.. » Dis-je alors le plus sensuellement du monde.

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"D'abord, il y'a deux lèvres qui s'effleurent et qui se cherchent. Puis deux souffles qui se mêlent dans le froid. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre."

Jaley & Héros




Ce n’était pas terminé. Non, cela serait bien évidemment trop simple. Lorsque je revins à ma place et que je lui tends ça glace. Je remarquais que quelque chose avait changé. Son regard était plus insistant, plus noir et on pouvait observer ces traits s’étirés. Je me méfiais. Mais je gardais en tête qu’il était ainsi, ce petit emmerdeur. Néanmoins, quand je senti son pied se bloquer contre mon entrejambe je ne manquais pas de m’étouffer. Posant ma main devant ma bouche alors que je fronçais les sourcils. Bordel de merde. Un faible soupire vint traverser la barrière de ma bouche, j’inclinais mon visage en arrière tout détournant mon regard sur les alentours. J’espérais que personne ne soit en train de nous regarder, parce qu’on est dans un lieu très public. Ma main vint se poser sur sa cheville que je pinçais entre mes doigts. « Tu verras. Tu verras au cinéma. » Je m’étais dit que je n’allais pas lui offrir ce qu’il désir ici, il y a beaucoup trop de monde et j’ai bien quelques idées pour le cinéma. Histoire de le faire baver et qu’il me quémande comme j’aime tant qu’il le fasse. Je me détends quand son pied quitte cet endroit, alors que je continu de manger la glace jusqu’à la terminer. Nous avions bien mangé. Je me redresse, ajustant mes habits pour qu’on ne puisse pas voir l’effet qu’Harley faisait sur moi. Et je l’incitais à quitter l’établissement. Pour qu’ensuite dès que nos corps se sont retrouvés dehors. Je plaque le corps de mon époux contre le premier mur. Mes lèvres sur les siennes, mes mains partantes sur son fessier que je maintiens vulgairement entre mes doigts. Je fais cogner mon entrejambe contre sa cuisse en mordillant sa lèvre inférieure. « T’es infernal. Tu le sais ça ? » Puis, je le quitte. D’un sourire large sur les coins des lèvres. Ouais, le provoquer était un immense plaisir dont je ne veux pas dissimuler. Les mains dans les poches, je commence une marche en direction du cinéma qui n’est pas très loin. Et fort heureusement pour nous d’ailleurs. « Aller on se dépêche ! » Je passe un bras sur ces épaules. Le tirant contre moi.


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On peut donner bien des choses à ceux que l'on aime. Des paroles, un repos, du plaisir. Tu m'as donné le plus précieux de tout : le manque. Il m'était impossible de me passer de toi, même quand je te voyais, tu me manquais encore.

L'AMOUR.


Que j'aimais l'emmerder. C'était mon passe-temps préféré. Ca l'est toujours d'ailleurs. Et j'aime davantage ça quand je vois sa réaction à mon pied sur son entrejambe. Et à sa menace, j'en souris en coin, de façon perverse. Oh qu'est-ce que j'aime quand il me menace. J'ai tellement envie de lui sauter dessus ensuite, pour qu'il me donne un avant-goût de ce qui m'attend. Pourtant, il me pince la cheville et je laisse son entrejambe tranquille. Je termine ma glace tranquillement, je ne le quitte pas du regard. Évidemment, j'essaie d'avoir son attention comme je le peux, en mangeant ma glace d'un air pervers, toujours cet air pervers. Je voulais l'exciter comme lui m'excite, je voulais lui faire comprendre que je n'allais pas m'arrêter là. Et je savais parfaitement que lui n'allait pas non plus s'arrêter là. C'était impossible. Alors qu'on termine nos glaces, j'ai eu le temps de faire baisser la chaleur de mon corps. Et ainsi de faire baisser ma trique. Alors je n'ai pas trop de mal à me relever, même si je suis quand même assez frustré. J'aurais largement aimé qu'il me prenne en ces lieux, mais il me garde pour le cinéma. Alors que je fourre une main dans ma poche pour attraper mes clopes, il me coince contre un mur et palpe mon cul allègrement, je ne peux retenir un gémissement contre ses lèvres sentant son érection contre ma cuisse. Mes mains partent dans son dos que je griffe sous son haut. « Et toi t'es putain d'excitant, tu le sais ? » Et alors que j'allais l'embrasser avec toute la fougue du monde, il se tire. Il se TIRE. D'accord bébé, t'as gagné. J'allume ma clope d'un air contrit, puis je le suis, passant un bras autour de lui, plaçant ma main sur son cul, sans gêne. « T'es un p'tit con. Je bande par ta faute. »

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