(jaley) La famille s'agrandit.

Dim 27 Nov 2016 - 19:34

We are family.

Jaley

Une heure. Je n'avais qu'une heure pour aller chercher le cadeau de James. Je sortais à peine des cours, et il me restait une heure pour aller à la maison, prendre ce que j'ai acheté pour son cadeau, et aller le chercher. Dans une heure, James sortira de cours, et je l'attendrais devant l'université pour qu'il soit surpris. Alors je me grouillais de rentrer à la maison, je prenais Lucky pour aller avec moi, ça lui fera une sortie et puis on pourra rentrer à pieds en famille comme ça. Je fourre la nouvelle laisse et le collier dans mon sac à dos, et puis je ressors pour aller rapidement vers l'animalerie. « Bonjour ! Je viens chercher le chiot ! » Dis-je à l'accueil. Je leur dis mon nom, leur donne l'argent, et ils me ramènent le petit chiot. Lucky lui saute presque dessus et le lèche de partout, et moi, je ris comme un con de voir qu'il l'aime déjà bien. Ils s'amusent ensemble pendant que l'accueil me donne les dernières recommandations, et puis je mets la laisse au petit nouveau avant de partir en direction de l'université.

Sur le chemin, je passe au starbucks pour prendre un chocolat ainsi qu'un café pour mon fiancé, puis je me remets en route. J'envoie rapidement un SMS à mon amoureux pour lui dire que je l'attends, puis je fume une cigarette en attendant devant Harvard. Il reste encore cinq minutes de cours, et assis sur un banc, j'essaie d'apprivoiser le petit berger allemand. « Tu verras, ton nouveau maître sera gentil. Et maintenant t'as un grand frère pour te protéger. » Je souris, attendri. Et lorsque les élèves se mettent à sortir, je me relève, café en main, les laisses dans l'autre, tandis que je laisse courir Lucky vers son deuxième maître qui s'approche de nous. « Coucou mon lapin. » Je l'encercle de mes bras, l'embrasse tendrement avec un large sourire, puis lui tends son café et la laisse du chiot qui essaie de rattraper Lucky. « Tiens mon coeur. » Dis-je d'un air angélique.

#iwhae

Spoiler:

@James Anderson

(Invité)

Lun 28 Nov 2016 - 3:56

"D'abord, il y'a deux lèvres qui s'effleurent et qui se cherchent. Puis deux souffles qui se mêlent dans le froid. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre."

Jaley & Héros

J’avais déjà hâte d’être loin des cours. Honnêtement là, j’ai juste envie de me casser et de retrouver Harley. D’ailleurs, ça faisait quelques heures que je n’avais pas eu des nouvelles. D’habitude on s’envoi des sms durant les cours où on profite pendant les petites pauses. Mais là, ça faisait déjà deux bonnes heures. Je commençais à m’inquiéter mais dans un dernier regard porté en direction de mon téléphone je voyais son message en abordant un faible sourire. Il allait m’attendre, et sans doute nous irons rentrés ensemble. Je n’ai pas pris la voiture aujourd’hui peut-être parce que j’avais envie de marcher et prendre mon temps pour une fois. Lorsque le cours fut terminé je repris mes affaires et mon sac que je posais sur mes épaules. D’un élan, je bousculais quelques personnes sans prendre le temps de m’excuser ou même de donner un semblant de regard. Je m’en contre-fous des gens, quand ils voient des personnes pressées peu se déplacent. Alors bon, je ne vais pas m’excuser pour eux. Je sors du bâtiment rapidement en cherchant du regard Harley. Voyant Lucky qui accourait vers moi je me place à genoux pour l’accueillir comme il se doit. Caressant son crâne, ainsi que son ventre pour finalement relever mon regard vers l’homme que j’aime. Descendant jusqu’à ce chien qu’il tenait. Putain. J’écarquillais des yeux, je pris Lucky avec moi en me dirigeant vers mon bel amour en lui entourant la taille pour nouer nos chaires ensemble. « Salut, toi. » Dis-je en mordant volontairement sa chaire inférieure. Je lui tendais la laisse de Lucky pour venir me placer une nouvelle fois à genoux en prenant le petit chiot dans mes mains. Je le regardais le plus tendrement possible en venant embrasser le sommet de son crâne. Avec étonnement les deux chiens s’entendaient bien, même si c’est un peu normal puisque ce dernier est encore petit et ne réalise pas vraiment les choses. « Putain, merci ! » Je me relève en prenant le chiot dans mes bras. Posant ma bouche contre celle d’Harley en fermant les paupières de façon à venir infiltrer ma muqueuse dans sa bouche alors que les gestes du chiot me firent reculer. « Il va s’appeler Héros. » Mon sourire était grand, témoignant la joie que j’avais en cet instant.

©S a n i e

(Invité)

Mer 30 Nov 2016 - 22:42

We are family.

Jaley

L'idée d'agrandir notre petite famille me plaisait énormément. Il faut dire que James est l'unique personne avec laquelle j'ai cette envie de fonder une petite famille à nous, de garder notre bulle fermée, de créer un sentiment de sécurité tel qu'il m'arrive parfois de penser que je serais invincible tant que je serais logé dans la chaleur de ses étreintes. Je voudrais tant qu'il sache combien je tiens à lui, combien je l'aime. D'un amour fou, torride, sincère. Et profond. D'un amour pur, inconditionnel, que nous entretenions avec une tendresse folle. Je le sais, j'en suis sûr et certain depuis un bout de temps déjà : cet homme est mien, il est fait pour moi, comme je suis fait pour lui. Même si parfois je doute de moi-même, je sais qu'il est heureux, parce qu'il me le montre à chaque fois que ses lèvres s'étirent sur son visage, à chaque fois que ses yeux pétillent de bonheur. A l'attendre assis là, le coeur battant comme jamais, je le vois arriver et directement, je me relève pour lui offrir son cadeau après lui avoir dit bonjour. Sa petite morsure ne passe pas outre, mes joues rosissent légèrement à ce geste qui n'est rien mais qui me rassure tellement. Un large sourire sur les lippes, je le regarde s'abaisser près de notre nouveau compagnon et un rire m'échappe lorsqu'il me remercie. « Je t'en prie mon lapin. Je me suis dit que tu l'accueillerais comme un roi, et puis je n'avais pas envie d'attendre Noël pour te l'offrir dans une petite boîte.. » Et puis, c'est cruel d'offrir un chien dans une boîte. Même si ce n'est que pour quelques instants. Mon bras passe autour de ses épaules et je lui rends son baiser avec la tendresse la plus profonde. Et mon regard examine ensuite ses yeux briller d'une lueur heureuse. Ma main passe dans mes cheveux et je caresse Héros. « Bienvenue dans la famille, Héros. » Continuant mes caresses, je remonte les yeux vers le visage de mon tendre amour, l'observant d'un regard transi d'amour. A cet instant, je suis comblé d'un bonheur immense, mon coeur enveloppé de cette chaleur que je commence à connaître parfaitement, et qui me hurle de vive voix combien je suis heureux.

#iwhae

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"D'abord, il y'a deux lèvres qui s'effleurent et qui se cherchent. Puis deux souffles qui se mêlent dans le froid. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre."

Jaley & Héros

C’était un cadeau fantastique. Il me touchait tout particulièrement puisque depuis quelques temps je voulais un chien. Une petite compagnie pour Lucky et surtout une petite boule qui plus tard deviendrait réellement une protection pour moi et Harley. Je sais que c’est stupide, mais en soit ce genre de chien est fait pour être entraîné à la brigade. Mais, j’avais su faire assez de recherche pour comprendre qu’il pouvait être un chien domestiqué. Qu’il pouvait tout de même convenir pour un appartement. Tant qu’il peut courir c’est le principal. Je regarde Harley, de mes yeux pétillants de bonheur. J’approche ma bouche contre la sienne en bousculant la barrière de sa bouche pour infiltrer ma langue et laisser nos muscles humides se rejoindre. Je mordillais son inférieur, alors que les deux chiens nous tournaient autour. « Tu me fais tellement plaisir. » Je m’abaisse une nouvelle fois en prenant la boule de poils dans mes mains. Il est si fragile. Si petit. C’est dingue de croire que dans quelques moins il fera certainement ma taille. Je pouffe de rire quand il vint à me lécher le coin de la joue, et Lucky qui observe cette scène en frottant son museau sur ma jambe. Comme pour quémander une certaine tendresse. Évidemment, je jonglais entre les deux animaux. « Ils s’entendent déjà bien. » J’étais agréable surpris de voir Lucky ne pas être jaloux. Même au contraire, on pouvait voir que l’animal prenait un plaisir à aller vers Héros. C’était un soulagement de pouvoir me dire qu’à tout moment on pouvait se permettre de les laisser seuls dans l’appartement sans se soucier des événements. « On rentre ? » J’avais peut-être une envie, mais le mieux pour le moment et de simplement rentrer pour parler. Et surtout que je puisse montrer à quel point je le remercie de ce cadeau.

©S a n i e

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We are family.

Can we work it out? Can we be a family? I promise I'll be better, Mommy I'll do anything. Can we work it out? Can we be a family? I promise I'll be better, Daddy please don't leave.

Le voir aussi souriant me faisait plaisir. J'avais chaud au coeur de le savoir aussi heureux, et j'aime bien m'imaginer que cette joie vient à cent pourcent de mon cadeau. C'est simple.. Le rendre heureux me rend tout simplement heureux. C'est tout simple, tout con, mais c'est comme ça au final. Je l'aime bien plus qu'il ne peut l'imaginer. Alors j'affiche des traits sereins et parfaitement heureux. Ma main part sur sa nuque et je lui rends le baiser en laissant danser ma langue avec la sienne. Je soupire contre sa bouche, de bonheur, de bien-être, je pourrais l'embrasser des heures durant sans jamais me lasser. Mon corps se colle contre le sien et ma seconde main part dans son dos pour le coller un peu plus contre moi. Je souris à ces petites morsures qui me rendent littéralement dingue, je suis dingue de lui. Un long frisson parcourt mon dos et je le lâche en étirant mes lèvres d'un sourire bien plus que radieux. « Tant que tu aimes, ça me fait plaisir aussi. » Je le regarde attraper Héros qui le lèche, tout content, s'agitant dans ses bras. Et je soupire de bonheur en m'imaginant les balades à quatre qu'on pourra faire. Lucky a l'air heureux aussi, je m'abaisse pour le caresser également, lui faire des câlins. Au final, je suis très content que Lucky l'accepte aussi bien. On dirait qu'ils son frères, et c'est presque choquant de voir que Lucky aime déjà Héros. Il le protège même. « Ouais, c'est dingue.. Quand Lucky a été vers lui directement à l'animalerie, j'ai su que c'était celui-là qu'il fallait. » Je souris et me redresse pour prendre la main de mon fiancé, entrelacer nos doigts ensemble et serrer sa paume contre la mienne. La laisse de Lucky dans ma seconde main, je hoche la tête en souriant toujours, venant lui voler un petit baiser du bout des lèvres, avant qu'on ne se mette à marcher, tout en regardant les deux chiens. « Tu es libre cet après midi ? Tu n'as rien à faire, hein ? » Je demande, on ne sait jamais s'il a quelque chose de prévu autre qu'un cours, même si je sais que sa journée s'arrête maintenant à ce niveau là.

#iwhae

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"D'abord, il y'a deux lèvres qui s'effleurent et qui se cherchent. Puis deux souffles qui se mêlent dans le froid. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre."

Jaley & Héros

Il ne pouvait imaginer à quel point il me faisait plaisir en m’offrir un tel cadeau. Je ne pouvais décrocher mon regard de ces traits doux et enfantin. J’avais envie de le prendre fort dans mes bras pour lui avouer à quel point je suis dépendant de sa personne. Qu’à la seule pensée de le voir partir pourrait littéralement me briser. Et que jamais, jamais ne je le laisserai s’enfuir, partir. Ca peut paraître psychopathe dans l’ensemble. Mais, c’est la vérité. Je ne peux être comblé que par cet homme. Il sait tout de moi, quand mes moments sont durs, quand je suis à bout presque à exploser. Il sait comment me rendre mieux, comment me faire comprendre que ce n’est qu’une passe. Il me fait comprendre que je suis une bonne personne, et pas une mauvaise comme les personnes pourraient le penser. Je serre sa main dans la mienne, et je regarde autour de nous alors que j’entends la question d’Harley. Je tournais ma vision vers son profil en arquant un sourcil. Il a prévu quelque chose ? Je souris à moitié en haussant les épaules de manière à faire semblant. Comme si j’étais en train de penser à mon programme de cette après-midi. Puis, je lâche un faible rire en passant un bras pardessus les épaules de mon tendre amour en plaquant un baiser sur le sommet de sa tempe. « Je suis libre. Tu sais j’ai un programme tellement chargé que tu vois quoi… » Je levais les yeux au ciel, avant de regarder nos deux chiens qui étaient limite collés l’un contre l’autre. C’était assez bizarre de voir Lucky si proche d’un autre chien en sachant qu’il était tout de même un chien assez jaloux et qu’il me le montrait assez bien. « Par contre, si tu veux aller quelque part je vais me doucher avant et me changer. D’accord ? » Je n’aimais pas sortir sans être douché. Je regarde une nouvelle fois le profil d’Harley, alors que j’approche ma bouche de son oreille en m’amusant avec son lobe. Je m’en foutais, clairement des regards des gens. On ne fait rien de mal, après tout ce sont juste des petits baisers. Je le mordille tendrement, avant de me reculer et de regarder notre bâtiment. Je n’avais jamais aimé les appartements auparavant, et quand je pense que j’habite tout en haut et surtout que c’est l’endroit parfait pour moi et Harley.

©S a n i e

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We are family.

Can we work it out? Can we be a family? I promise I'll be better, Mommy I'll do anything. Can we work it out? Can we be a family? I promise I'll be better, Daddy please don't leave.

Nous nous dirigeons vers notre chez nous, avec notre petite famille. Cette pensée me fait sourire, ce sourire qui ne peut plus me quitter d'une semelle, celui qui indique que je suis heureux, parfaitement épanoui avec James. Je sais bien que peu de gens pourraient me comprendre. Comprendre ce que je ressens. Parce qu'il est très difficile de me comprendre, je suis assez complexe, comme personne. Même sans James, enfin, sans James, c'est encore pire. Mais lui, il arrive à me comprendre et à me remonter comme je le remonte à chaque fois. Enfin, comme j'essaie de le faire, je n'ai jamais donné le meilleur de moi-même ainsi, enfin, je donnais toujours ce que je pouvais, mais là, je sais que je pourrais lui décrocher la lune s'il me la demandait. C'était aussi simple que ça : son bonheur m'importe plus que le mien, il passe avant moi, avant tous les autres. Parce qu'il est extraordinaire. J'attends sa réponse à ma question, il agit d'une façon qui me fait froncer les sourcils, et je fais la moue en regardant devant moi de nouveau. Puis je l'entends rire et me répondre, je secoue la tête en laissant un sourire s'emparer de mes lèvres, et lui tapote l'épaule pour le réprimander. « Ouais, monsieur le ministre a un emploi du temps chargé ! Je sais. » Je ris avec lui et puis je regarde son visage heureux, souriant. Ses traits détendus. Ca me fait beaucoup de bien de le voir ainsi. « Oui, d'accord. Tu voudras que je vienne te frotter le dos ? » Je lui lance un regard qui veut tout dire accompagné du sourire qui va avec, et puis je me mets à rire. Et je frissonne et ferme les yeux en sentant ses actes, ses toutes petites morsures qui m'excitent.. Le lobe étant un endroit beaucoup plus que sensible chez moi. Comme le cou, en fait. « Tu veux que je bande, mh ? » Je murmure pour que lui seul entende. J'aime bien le provoquer par moments, même si c'est vrai, qu'il m'excite. Enfin, même en un regard il pourrait m'exciter. Lucky tire sur la laisse quand il voit le bâtiment et je suis obligé de la tirer pour qu'il se calme un peu. « Oui, on est arrivés Lucky. » J'ouvre la porte avec le badge, je la tiens pour laisser James passer avec sa petite boule de poil, entrant à sa suite. Je me rapproche de lui, et dans l'ascenseur, je passe une main dans son dos.. Que je descends jusqu'à ses fesses pour le pincer en me mordant la lèvre, pour m'éviter de rire.

#iwhae

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"D'abord, il y'a deux lèvres qui s'effleurent et qui se cherchent. Puis deux souffles qui se mêlent dans le froid. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre."

Jaley & Héros

Je regarde du coin de l’œil Harley, alors que je ne peux m’empêcher de ricaner face à sa mine. J’aime bien l’emmerder, enfin c’est plus une façon de le taquiner qu’autre chose sans paraître lourd ou autre. En arrivant chez-nous, je dépose mon sac à dos près de la porte en baillant légèrement. Je n’étais pas fatigué. Mais c’était toujours un soulagement de rentrer de cours et de reposer toutes nos affaires et être libre. Je retirais ma veste, et mes chaussures qui furent bien vite suivit par mon pull. Je me déplaçais jusqu’au corps d’Harley que j’entourais. Fourrant mon visage dans le creux de sa nuque en humant délicatement son parfum enivrant. « Je vais me doucher. Je prends quelques minutes. » Je lui offris un léger baiser, déposé sur le sommet de son front. Avant de m’avancer vers la salle de bain où je pénétrais la douche pour me doucher tranquillement.

Je venais de penser qu’il ne m’avait rien dit, enfin qu’il allait proposer quelque chose sans doute et qu’il ne l’a pas fait. Je sors rapidement de la douche après quelques bonnes minutes. Une serviette autour de ma taille, les cheveux en bataille et quelques gouttes d’eaux dégoulinants sur mon anatomie. Je traversais le couloir pour rentrer dans notre chambre. Disposant quelques vêtements sur le lit. Le regard suivant la boule de poils qui visitait l’ensemble de l’appartement. Accompagné par Lucky qui sautait un peu partout. « Tu veux aller où bébé ? » Je me séchais, m’habillant à la seconde suivante. Ne pouvant m’empêcher de prendre Héros dans mes bras et de le câliner longuement. Tout en jonglant avec Lucky qui lui aussi quémandait une certaine attention ce qui était évidemment bien normal. « Tu veux aller manger au restaurant ? » Je redressais mon faciès en entendant les pas de mon tendre amour.

©S a n i e

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We are family.

Can we work it out? Can we be a family? I promise I'll be better, Mommy I'll do anything. Can we work it out? Can we be a family? I promise I'll be better, Daddy please don't leave.

Une fois à la maison, je détache Lucky avant de me débarrasser de mon sac à dos, ma veste et mes chaussures. J'avais aussi bien besoin de me changer, même si je n'avais rien fait d'autre aujourd'hui que d'être en cours, je ne me sentais pas de sortir ainsi vêtu. En regardant James se déshabiller de la sorte, je secoue la tête d'un air désapprobateur. Mais je l'entoure finalement de mes bras et ferme les yeux pour savourer son étreinte. Je lui souris à ses mots et le retiens un moment pour lui voler un baiser du bout des lèvres, gourmand. J'étais toujours gourmand quand il s'agit de lui. Et puis, je reste immobile jusqu'à ce qu'il disparaisse de mon champ de vision, je vais alors faire un peu de rangement avant d'aller dans la chambre pour me changer. Je ne sais pas trop trop ce que je vais mettre, mais un truc un peu mieux que mon pull troué en tout cas.

Finalement j'opte pour un jean noir serré, un pull en laine gris souris. Avec un T-shirt en dessous bien entendu, il fait froid dehors. Mes bottes noires enfilées, je relève le regard sur James qui débarquait torse nu, dégoulinant d'eau chaude, et je dois me mordre la lèvre discrètement pour ne pas lui sauter dessus. Je pose mon coude sur mon genoux et ma tête sur ma main sans jamais le quitter du regard. Je suis toujours étonné de voir combien il est sexy et tout l'effet qu'il me fait. « Mh.. Là où les gouttes vont.. » Je penche la tête sur le côté jusqu'à ce qu'il s'habille, et je cligne des yeux pour reprendre mes esprits. « Oh. Oui allons manger au restaurant ! On pourrait aussi aller au cinéma ensuite ? Si ça te dit ! » Je souris en me redressant sur mes pieds, alors que Lucky, jaloux, vient me réclamer quelques caresses que je lui offre avec tendresse.

#iwhae

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"D'abord, il y'a deux lèvres qui s'effleurent et qui se cherchent. Puis deux souffles qui se mêlent dans le froid. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre."

Jaley & Héros

Je regarde du coin de l’œil Harley, alors que je ne peux m’empêcher de ricaner face à sa mine. J’aimJe vois le regard d’Harley sur moi. Et il ne manque pas d’ajouter quelques petits mots en rapport aux gouttes qui dévalaient ma colonne vertébrale. Ça me fait doucement rire. Je secoue la tête de gauche à droite en enfilant un jean noir serré au niveau des mollets ainsi que des chevilles. Et un pull aussi noir avec une marque derrière le dos. J’étais un grand fanatique de rap. Et je le mettais très bien en valeur. Je passais ma muqueuse entre mes lippes de manière provoquante. Alors que je terminais par enfiler mes baskets. Séchant mes cheveux à l’aide de la serviette. « D’accord. Tu veux voir quoi comme film ? On ne va pas regarder un film niais. » Je tiens à préciser que je n’ai rien contre les films niais. Mais bordel. Tu ne vas pas au cinéma pour regarder ce genre de film. De plus, je disais bien cela parce qu’Harley était un froussard de base. Qu’il ne veut pas regarder de films d’horreur. Et quand c’est trop gore on oublie aussi. Alors il restait souvent les films d’actions. Bien que j’ai toujours un penchant pour les films d’horreur. Je me tais, en m’approchant de la carrure de mon homme. Je le fais bousculer sur la longueur du lit en l’incitant à lâcher Lucky qui se mets immédiatement en colère en gueulant. Je me couche sur Harley, emprisonnant ces poignets de chaque côté de son visage pour venir lentement picorer ces chaires masculines. Infiltrant ma muqueuse entre celles-ci, en les laissant valser à leurs envies. Puis, je me recule. Faufilant ma bouche rougeâtre sur la zone de sa nuque où je me mets doucement à mordiller sa peau, claquer ma langue puis suçoter en marquant une forme arrondit qui montrait ma possessivité de toujours. J’en viens même à sourire comme un con.

©S a n i e

(Invité)

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