(jaley) La famille s'agrandit.

We are family.

Can we work it out? Can we be a family? I promise I'll be better, Mommy I'll do anything. Can we work it out? Can we be a family? I promise I'll be better, Daddy please don't leave.

"D'abord, il y'a deux lèvres qui s'effleurent et qui se cherchent. Puis deux souffles qui se mêlent dans le froid. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre."

Jaley & Héros

Je fronçais les sourcils quand il vint à ajouter ce qu’il allait payer en plus. Je n’aime pas qu’on paye des choses pour moi. Honnêtement c’est quelque chose que je ne supporte pas. Pourtant, venant d’Harley c’est loin de me déranger. Je plonge mon regard dans le sien quand il m’avoue qu’il aimerait bien me prendre en modèle. Je reste toujours étonné du fait qu’il me dessine très souvent. Je ne pense pas être le plus beau modèle c’est pourquoi je hausse les épaules en mordant à pleine bouche mon hamburger avant de répondre la bouche à moitié pleine. « D’accord, pas de soucis pour le modèle. Tu feras quoi ? C’est quoi comme projet ? » Je le scrute du coin des yeux, avant de voir la sauce sur le coin de sa bouche pulpeuse. Je me permets d’avancer mon visage pour plaquer celles-ci pardessus et lécher avec gourmandise la sauce qui débordait. J’en souriais comme un con en laissant un faible rire transpercer mes cordes vocales. Puis, je me recule. En baissant mon regard sur la jambe qui pend sur l’une des miennes. J’aimais bien, quand il s’approchait de cette manière. Qu’il faisait en sorte que nous aillions toujours un contact. Même le plus petit me suffisait. Ma main libre, et non tâchée se glissait sous la table pour venir caresser la longueur de sa jambe. En jetant quelques coups d’œil afin de nous assurer que personne n’était en train de regarder en notre direction. Bien qu’on ne fasse pas quelque chose de très grave. Mais disons que le mieux est de rester sous ces gardes. « Tu veux goûter le mien ? » Je lui tends avec plaisir mon hamburger alors que j’en profite pour venir lui piquer quelques frittes en faisant mine de n’avoir rien fait, tout en haussant à nouveau les épaules, amusé.

©S a n i e

We are family.

Can we work it out? Can we be a family? I promise I'll be better, Mommy I'll do anything. Can we work it out? Can we be a family? I promise I'll be better, Daddy please don't leave.

"D'abord, il y'a deux lèvres qui s'effleurent et qui se cherchent. Puis deux souffles qui se mêlent dans le froid. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre."

Jaley & Héros

Je redresse un sourcil face à la proposition qu’il me fait. Me peindre ? Enfin, recouvrir mon corps de peinture ? J’étais loin de ne pas être d’accord. Surtout qu’Harley savait parfaitement de quoi il parlait. Et je ne douterai jamais de son talent à ce niveau. J’hoche activement la tête en signalant que j’étais tout à fait d’accord pour qu’il fasse ce qu’il désir de mon corps. C’était même un grand plaisir puisque d’habitude il me dessine en cachette. Quand il vint à bouder pour quelques frites volées. Je lève les yeux au ciel encore une fois en prenant plusieurs de mes frites pour venir les glisser sur la longueur de ces chaires avant qu’il parvienne à ouvrir la bouche. Profitant pour les infiltrer entre. Dans un ricanement, un rire mélodieux qui me vaux quelques petits regards discrets. Désormais je m’en foutais littéralement. J’étais tellement hypnotisé par la beauté de mon compagnon. De ces mines enfantines et de son attitude qui me laissais toujours un regard tendre. Je vins l’embrasser une nouvelle fois. Cette fois un peu plus précisément en animant mes chaires contre les siennes. Même si ce n’était pas son propre goût. Cela ne me dérangeait pas. D’ailleurs, je reculais faiblement en plantant mon regard au plus profond du sien. « Mmh… Tu as le goût d’hamburger. Aller, cesse de bouder ou je dois te donner…La fessée. » Je dis le dernier mot dans un faible murmure. Pour pas que les autres entendent et qu’on pense que je suis un cinglé sorti d’un hôpital psychiatrique. Je juge autour de nous, avant de me remettre à manger mon menu. D’une seule main, tandis que l’autre glisser toujours le long de sa cuisse en plantant quelques fois mes griffures. Toujours sous cette mine de celui qui n’a strictement rien fait.

©S a n i e

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Can we work it out? Can we be a family? I promise I'll be better, Mommy I'll do anything. Can we work it out? Can we be a family? I promise I'll be better, Daddy please don't leave.

"D'abord, il y'a deux lèvres qui s'effleurent et qui se cherchent. Puis deux souffles qui se mêlent dans le froid. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre."

Jaley & Héros

Lui, provocateur ? Je crois bien que c’est un des meilleurs pour ça. Et cette idée me fait davantage sourire et même rire. En secouant la tête de gauche à droite je m’occupe des derniers bouts que j’ai de mon hamburger. La bouche pleine, j’écoutais attentivement ce qu’il avait à me dire alors que j’arquais un sourcil. « T’es un vrai petit emmerdeur. » Et il le savait. Il le sait ça, que c’est un vrai petit chercheur et qu’il n’hésite pas à se venger dès que je fais un truc. Je laisse néanmoins un rire s’évaporer. Alors que ma main qui glissait le long de sa cuisse se braque au milieu pour descendre vers l’intérieur. Dans une mine angélique. « Tu crois vraiment que tu vas t’en sortir gagnant ? » Je suis limite sérieux. Je sais que j’ai l’avantage sur lui. Même s’il connaît mes points faibles je suis persuadé pouvoir le faire craquer bien avant moi. Soit, je reprends une posture correcte. En mangeant les dernières frites et le dernier bout de mon hamburger. Buvant une longue gorgée en regardant le profil d’Harley. Je ne savais pas ce que je pourrais faire sans lui. C’est impossible à imaginer. Alors, je me retrouve comme un con en train de le regarder longuement, silencieux. Avec un sourire des plus stupide collé sur les coins de ma bouche. Mais c’est ainsi. Je l’aime tellement qu’il ne pourrait pas voir à quel point ce sentiment est fort et grand. Et ces gens ici présents, ne pourraient ne seraient que comprendre la folie que j’éprouvais pour ce jeune homme. Je secoue la tête, en m’adossant contre le banc. J’avais bien mangé, et je regarder mon amant en lui questionnant du regard s’il avait ou non encore faim. Puisqu’il m’avait parlé de glace à l’appartement.

©S a n i e

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"D'abord, il y'a deux lèvres qui s'effleurent et qui se cherchent. Puis deux souffles qui se mêlent dans le froid. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre."

Jaley & Héros

Je savais qu’Harley était quelqu’un qui aimait taquiner. Et évidemment sa victime la plus précieuse n’était rien d’autre que moi. Evidemment c’est loin de me déplaire sauf qu’en ce moment, je regardais droit devant moi en scrutant les panneaux qui indiquaient les desserts. Peut-être que je vais en prendre un avant d’aller au cinéma, histoire de pas crever de faim après deux heures de films. Cependant ce n’était pas le même désir que mon tendre amour. Je sentis sa main se faufiler sur ma cuisse et machinalement j’abaisse ma vision sur cette dernière en gagnant ensuite ton visage aux traits innocents. Surtout qu’il était loin, mais très loin de l’être soyons honnêtes. Je lève les yeux au ciel d’une manière plus exagérée que je ne l’aurai voulu. Et là, sa phalange empoigne mon entrejambe. Je manque de m’étouffer en laissant apparaître un faible gémissement que je parviens à étouffer tout en plaquant le dos de ma main contre ma bouche. Je suis sidéré. Il s’en fout littéralement des alentours et c’est… Tant mieux. J’ondule des hanches, presque vulgairement en laissant gonfler mon sexe sous les tissus. J’ai envie moi aussi, de le provoquer de lui faire savoir à quel point je le quémande. Et qu’importe les gens autour de nous. Ma main se place sur la sienne pour la serrer davantage en la faisant glisser sur mes bourses. Avant d’entendre ces paroles qui font chaud. J’ai chaud putain de merde. Je bouscule mon visage en arrière tout en rejetant quelques jurons que je peine à canaliser. Je racle ma gorge, en secouant nerveusement mon visage de gauche à droite en l’incitant à retirant sa main de son emplacement. Je sens mon cœur battre violemment contre ma cage thoracique mais je réussi tant bien que mal à lui faire face. Je plante mes yeux dans les siens et je m’approche de son visage en plaçant mes deux mains sur chacune de ces joues. L’embrassant en pleine bouche jusqu’à faire pénétrer ma muqueuse dans sa cavité buccale. Puis, je me recule. Un sourire pervers trônait les coins de mes lippes. « Que le jeu commence. »

©S a n i e

On peut donner bien des choses à ceux que l'on aime. Des paroles, un repos, du plaisir. Tu m'as donné le plus précieux de tout : le manque. Il m'était impossible de me passer de toi, même quand je te voyais, tu me manquais encore.

L'AMOUR.

Ce que j'aimais ces petits jeux de séduction entre nous. C'était comme si on se chauffait les premières fois, avec l'intensité de l'extérieur. Parce qu'évidemment, au tout début, nous n'attendions pas d'être rentré pour se sauter dessus. Et là, je pense, non, je sais que ça ne sera pas bien différent de ces fois-là. En tout cas, vu ses réactions à mes gestes, je sais que de mon côté ça ne sera jamais le cas. Ses jurons, ses soupirs, et son expression m'excitent énormément, si bien que je dois serrer les cuisses pour ne pas craquer et lui sauter dessus tout de suite. Alors, quand il retire ma main de son entrejambe déjà bien enflé, mes mains viennent s'accrocher à ses épaules, où j'y plante mes griffes. Un soupir s'échappe de mes lèvres tandis qu'il m'embrasse avec ferveur et son sourire me fait frissonner. Le jeu commence et je laisse mes mains glisser le long de son torse, ma langue s'amusant à lécher ses lèvres salées. Puis je me remets correctement, laissant mes doigts longer l'intérieur de sa cuisse avant d'attraper ma boisson. « J'ai très envie d'une glace.. Tu veux bien m'en commander une, s'il te plaît ?.. » Dis-je alors sur un ton sensuel, le regardant du coin de l'oeil tout en léchant ma paille pour l'attraper et boire. Je sais que je ne tiendrais pas deux minutes s'il se met à me draguer, à me chauffer. Je sais parfaitement bien que je serais le premier à craquer, mais autant essayer dans ce cas-là, de le faire craquer lui aussi. Je passe ma langue sur mes lèvres en le regardant de face, cette fois-ci, et ma cuisse revient sur la sienne, je laisse mon mollet caresser le sien, mon pied emprisonnant sa seconde jambe.

"D'abord, il y'a deux lèvres qui s'effleurent et qui se cherchent. Puis deux souffles qui se mêlent dans le froid. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre."

Jaley & Héros

Bordel, que son petit jeu pouvait m’exciter. J’essayais tant bien que mal de garder ma position et de ne pas faire de pas qu’il risquerait de prendre comme acquis. Non, je voulais faire mon petit emmerdeur puisqu’il n’est pas prêt de se calmer. Disons que… Vu mon état, ma respiration saccadée et mon rythme déchaînée. Je ne pouvais pas paraître plus calme. Au risque de paraître pour un débile aux yeux de tous. De mes pupilles dilatées, je le scrute attentivement quand sa muqueuse dévale avec une lenteur exagérée sa paille. Ça me procure un tel désir que je me surprends à détourner le regard, et ma main se logeant sur ma nuque afin d’y laisser quelques vagues traces de stresse. Il me rend fou, et il en joue. Je claque ma main contre l’intérieur de sa cuisse avant de me redresser du banc où j’étais installé. « Je vais aller te chercher la glace, mon amour. » Je me tourne vers lui, pour qu’il soit le seul à pouvoir me regarder. M’observer passer ma langue sur mes lèvres gonflées, mais aussi mes dents qui s’acharnent bêtement sur mon inférieur en émettant un léger gémissement que je fais mimer dans un long soupire. Il sait, qu’il ne me laisse pas indifférent, et je sais que moi aussi, j’ai un pouvoir certain sur sa personne. Je me déplace jusqu’à la queue où j’attends patiemment mon tour, avant que cela ne soit le cas. Je détourne mon regard sur les arrivants, et surtout les personnes qui nous entouraient. Ouais, je suis un petit con qui peut pas s’empêcher de voir si quelqu’un vient à draguer ouvertement mon conjoint, et je crois sincèrement que je n’hésiterai pas à égorger le premier qui vint à faire cela. Ce ne fut, heureusement pas le cas. Et en revenant avec les commandes. Lui, une glace qu’il voulait et moi aussi. Je repose le tout sur la table, et cette fois. Je viens m’asseoir devant lui. Un sourire satisfait gagnant le coin gauche de ma bouche. « Tu m’en veux pas ? Tu aimes bien allonger tes jambes. J’ai crus bien faire. »

©S a n i e