DIMITRI ⚡️ Please, don't go home. Stay with me tonight.

J'aurais pu flipper. J'aurais pu aussi changer de tenue et éviter ce qui allait se passer maintenant mais non. Je n'avais plus envie de me cacher. Je n'avais plus envie non plus de faire semblant. Dimitri était un homme séduisant et il me plaisait réellement. Il avait tout ce que j'aurais pu rêver chez un homme. La douceur, l'attention, ce côté protecteur... je ne le quittais plus des yeux maintenant. Tandis qu'il parlait de ses parents, je ressentais son immense peine. Plutôt que de le blesser avec des mots inappropriés, je préférais lui donner un geste tendre en guise de réponse. Au moins, je savais que comme cela, il comprenait ce que je ressentais à l'évocation de ces paroles et il savait qu'il pourrait compter sur moi à n'importe quel moment. C'était le plus important pour moi. Je parlais ensuite de mon travail puis la conversation dériva vers son métier à lui et là.. je ne pus m'empêcher de ressentir une certaine jalousie envers ces femmes. Je lui avouais et il me disait que cela pourrait s'arranger. Un sourire léger traversait alors mon visage tandis que je lui murmurais « j'aurais le droit à des shows privés alors ? » tandis que je ne pouvais m'empêcher de me mordiller la lèvre en y repensant. J'étais tentée. Très tentée même et ça depuis le début. C'est pourquoi lorsqu'il m'attrapait pour me mettre à califourchon au dessus de lui, je me laissais faire, montrant un regard qui se voulait avide. Je craquais alors, l'embrassant doucement afin de goûter enfin à ses lèvres. Je sentis une vague de satisfaction et d'envie m'envahir alors qu'il approfondissait notre échange, laissant sa langue venir caresser la mienne. À bout de souffle, je le voyais poser son front contre le mien avant de caresser mes lèvres du bout de ses doigts alors qu'il m'avouait que ça faisait longtemps qu'il attendait ça. Tremblante, je lui murmurais « pardonne moi de t'avoir fait attendre autant » tandis que je l'entendais me dire que ce baiser avait été délicieux. Souriant doucement, je lui répondais alors « j'ai adoré ce baiser.. » dans un souffle alors que je sentais ses mains sur le noeud de mon peignoir. D'abord légèrement hésitante, je vins l'aider à défaire le noeud, faisant glisser de moi-même mon peignoir le long de mon corps alors qu'il révélait ma lingerie fine aux yeux de Dimitri. Me mordillant doucement la lèvre inférieure, j'en profitais pour venir déboutonner les premiers boutons de sa chemise, sentant toujours son souffle brûlant contre mes lèvres...

j'avais toujours été très possessive avec mes relations que ce soit amicales ou plus intimes. Je n'aimais pas partager et j'avais peur de l'abandon. C'est pourquoi je ne sortais pas souvent et je ne fréquentais pas beaucoup d'hommes. Ils me faisaient peur. J'avais peur qu'ils partent et que je me retrouve seule à nouveau. Le traumatisme de la perte de mes parents était encore bien présent et cela expliquait aussi le fait que j'avais mis du temps à craquer. Ma question n'était pas anodine non plus. Certes il s'y attendait mais au delà de ça, je cherchais surtout à savoir s'il allait m'abandonner après cette nuit ou s'il reviendrait. J'avais ma réponse et je me sentais moins tendue à présent. Il me rassurait tout le temps et j'en avais réellement besoin. Je lui répondis donc « j'y penserais pour la prochaine fois.. » d'un ton doux alors que je me retrouvais à califourchon sur lui, ses yeux me dévorant tandis qu'il m'embrassait avec passion. Tremblante d'envie, je lui rendais ce baiser avec une passion que je ne me connaissais plus. Je commençais à perdre lentement la raison tandis que je m'excusais de l'avoir fait attendre aussi longtemps. Il me pardonnait avec cet air qui le caractérisait tellement tandis qu'il essayait de dénouer mon peignoir avec des gestes maladroits. Je l'aidais alors, faisant glisser mon peignoir le long de mon corps avant de me dévoiler presque entièrement à lui. J'étais stressée, j'avais peur de ne plus lui plaire ou qu'il fasse marche arrière. Cela faisait tellement longtemps que je ne m'étais pas donnée à un homme que j'avais peur de tout. Peur de le décevoir, peur de ne pas être à la hauteur, peur qu'il m'abandonne.. pourtant, il laissait ses mains glisser le long de mon corps, venant embrasser le haut de ma poitrine tout en me disant que j'avais un corps sublime. Sentant un poids quitter mes épaules, je rougissais plus que de raison, lui répondant d'un « merci ... » presque trop faible. C'est alors que sa main glissait dans mes cheveux tandis qu'il m'embrassait à nouveau. C'était tellement excitant, tellement doux que je lui rendais passionnément son baiser, commençant à déboutonner sa chemise avec soin. Lorsqu'il la retira, je restais face à lui, tremblant toujours d'envie tandis qu'il se mordillait la lèvre d'une manière vraiment sexy. Puis, il me demandait où était ma chambre et je le sentis me soulever, enroulant doucement mes jambes autour de son bassin. Je lui répondis alors « c'est la porte de droite.. » dans un souffle alors que mon rythme cardiaque devenait littéralement fou. Dimitri marchait jusqu'à ma chambre tandis que je me collais toujours sensuellement contre lui, lui demandant alors « dimitri.. j'ai envie que tu m'embrasse, encore.. » d'un ton doux tandis que je sentis les draps glisser contre mon dos, mon regard brillant d'une envie nouvelle alors que j'étais enfin prête à lui donner ce qu'il voulait.. et c'était ce dont j'avais le plus envie au monde actuellement...

nos corps se rapprochaient, il m'embrassait pour la première fois et je me sentais devenir si fébrile entre ses bras que cela m'enlevait tous mes doutes. Il était doux, tendre... comment je pourrais à nouveau lui résister ? Honnêtement ? J'en perdais mon bon sens. C'est pourquoi lorsqu'il commençait à caresser mon corps, je ne disais rien. Je me sentais bien entre ses bras et j'avais l'impression de le connaître depuis toujours. Je voulais enfin laisser libre court à mes envies et je voulais aussi le sentir plus proche de moi encore. J'avais besoin de tendresse, besoin d'attention et en ce moment, il n'y avait que lui qui s'occupait aussi bien de moi. Il n'y avait que lui qui réussissait à me mettre totalement en confiance et j'adorais ça. J'aimais tellement ça que j'en venais même à l'aider à me déshabiller. Presque nue sous ses yeux de braise, je me mordillais la lèvre en pensant que je n'allais peut-être plus lui plaire mais une nouvelle fois, il me rassurait en me disant que j'avais un corps sublime et que je ne devais pas en douter. Ses baisers et ses caresses finissèrent d'abaisser mes dernières barrières. D'un ton frèle, je lui répondis alors « personne m'avait jamais dit ça, avant. C'est pour ça, je.. » alors que je baissais le regard pour éviter le sien, continuant de déboutonner sa chemise en douceur. Et je ne fus pas déçue. Il avait un corps de rêve, musclé au possible. Visiblement, il aimait autant le sport que moi et ça me plaisait vraiment. Il se levait, me tenant fermement entre ses bras alors que je nouais mes jambes autour de sa taille, le laissant me guider jusqu'à mon lit tandis que je venais lui réclamer un nouveau baiser. Il ne se fit pas prier, m'embrassant à nouveau passionnément tandis qu'il m'allongeait sur le lit, prenant place au dessus de moi avec une douceur que j'appréciais tout particulièrement. Je sentais ses lèvres glisser le long de mon cou puis sur ma poitrine, ce qui me tirait des soupirs brûlants tandis qu'il caressait ma cuisse tout en revenant vers moi, déposant ses lèvres contre les miennes, son front se collant au mien alors qu'il me demandait de lui dire que j'en avais envie. Mon coeur s'embrasait alors lentement, battant à tout rompre tandis que je lui murmurais un « j'ai envie que tu me fasses l'amour.. » prononcé sur un ton presque fébrile et désordonné tellement mon désir de ne faire qu'un avec lui devenait si oppressant. Jamais je n'avais ressenti ça, pour personne et aujourd'hui, j'avais l'impression de perdre la raison sous ses caresses expertes...