Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityKALISTOW - come up to meet you, tell you i'm sorry - Page 4
Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 Go à 29,99€
29.99 €
Voir le deal


KALISTOW - come up to meet you, tell you i'm sorry

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
T'étais tiraillée entre ton envie de partir en courant, ouais parce que ta tête te disait d'te barrer loin de lui, et l'envie de ne plus jamais le quitter. C'était le combat du coeur et de la raison, et même si tu t'acharnais à tuer cette voix qui te suppliait de le laisser-là dans ce pars, tu pouvais l'entendre raisonner. C'était de là que coulait ta peur, mais fallait bien voir que cette fois-ci, ton coeur était bien plus fort. Pour une fois, tu te laissais envahir de tous les sentiments, de toutes les émotions. Ton sang voyait de l'adrénaline circuler, et peut-être que pour certaines personnes, c'était ridicule de libérer tout ce neurotransmetteur dans ton corps pour un garçon. Sauf qu'Harlow, c'était pas n'importe qui, et ce que vous vivez, ce n'était pas n'importe quoi. Tu l'regardais, les mains toujours accrochées à lui, incapable de le lâcher. Tu l'sentais répondre à ton baiser, puis s'éloigner. T'avais un haut le coeur, peut-être parce que t'étais effrayée de le voir se casser. Et si lui, lui comprenait que ce n'était pas quelque chose de bien. Si lui prenait conscience de ce saut en hauteur que vous vous apprêtiez à réaliser, sans corde, sans attache, sans rien. Juste vous, ensemble, dans le vide, l'inconnu. Oui parce que votre histoire, c'était pas la répétition de votre passé d'adolescents. C'était bien plus intense encore, plus prenant, plus tordant. Tu l'regardais, et tu souriais légèrement à sa remarque. Harlow semblait d'autant plus perdu que toi, peut-être parce que t'étais pas très clair dans tes paroles. Toi tu l'savais déjà ce que tu voulais, c'était lui. Lui et ses cheveux un peu trop longs, lui et son sourire enfantin, lui et ses blessures de skate. Lui et ses caresses, lui et ses discussions parfois délurées. Lui, lui tout entier. Tu laissais ton pouce caresser sa joue, tu l'regardais de tes yeux trop attendris. Tu l'regardais parce que toi aussi, t'avais besoin de réaliser. T'étais pas la plus douée avec les mots lorsqu'il s'agissait de déballer ses sentiments. Tu bougeais ta tête de gauche à droite, démonstration négative de ses suppositions. Cette fois-ci, c'était différent. Cette fois-ci, tu savais ce que tu voulais, ce que tu ressentais, à quelques détails près. Tu sentais ses mains sur les tiennes, et tu te collais encore plus contre lui. "Tout est différent, cette fois-ci". Tu l'regardais, et ton corps te brûlait. C'était autant libérateur qu'emprisonnant tous les sentiments qui te traversaient. "Ça ne sera pas qu'un matin dans une chambre d'hôtel, ça sera nous et ça, qu'importe l'endroit". T'avais du mal à l'voir, t'avais les yeux un peu brumeux de ce que tu lui racontais. C'était comme si t'avais du mal à y croire, mais c'était la réalité que tu voulais. T'étais un peu paumée, et la fatigue étant que trop présente, tout n'était pas clair. Mais cette fois-ci tu ne voulais pas fuir bien que ta tête te le demandait. C'était fini de se laisser guider par la peur, c'était terminé. Et cette fois-ci, tout pouvait commencer.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Come up to meet you, tell you i'm sorry
Kalista & Harlow
J'me sens comme la vedette d'un film romantique, tout est flou autour et j'jure que j'ai rien fumé avant d'la voir, ou presque. Manquerait juste qu'un orchestre d'rue sorte de derrière d'un buisson et se mette à jouer comme dans un Disney et là on atteint l'cliché des retrouvailles les plus passionnées de l'année. J'serai à la place d'un d'ces passants j'manquerai de mourir de rire. On est là au milieu du passage à s'noyer dans le regard de l'autre, un chiot essoufflé au bout d'une laisse et la peau à peine séchée des larmes qui coulaient encore y'a quelques minutes. J'ai les genoux qui flanchent un peu, comme si j'avais dix ans et que j'devais faire un discours devant l'école entière et que j'avais oublié mon texte. Faut que j'arrête autrement j'fais faire un malaise, j'ai rien à réciter là, j'peux juste me contenter d'être à l'écoute de Kali pour avoir mes réponses. Ça fait combien d'temps quand je les attends ? J'compte depuis le début ou juste depuis nos retrouvailles ? On s'en fou, ça fait bien trop longtemps tout simplement. « Comme avant ? » J'suis niais, les yeux brillants d'espoir suite à cette déclaration, j'me sens comme Neil Armstrong quand il a posé l'pied sur la lune. J'pourrai courir n'importe où en sauter dans les bras de n'importe quelle personne passant à ma portée, danser alors que j'sais pas faire, juste parce que maintenant Kali est à moi. Plus correctement on va dire "avec moi" pour pas s'attirer la foudre des défenseurs des droits d'la femme, mais t'vois l'idée. J'prenais ses mains dans les miennes en les ramenant devant moi et d'la tirer un peu plus, à continuer comme ça on va finir en mode Tetris. « Tu partiras plus hein ? » J'lui demande sûrement beaucoup, mais deux fois elle m'a glissé sous l'nez pour un autre gars et j'connais bien le dicton "jamais deux sans trois", sauf qu'le troisième j'lui explose la tête à la façon Negan. J'crois que j'tremble, j'sais pas comment contenir cette joie, ce soulagement et fêter l'poids qui s'envole de mes épaules là, c'mieux que toutes les fois où j'ai été défoncé. J'ai envie d'crier à tout l'monde que plus personne peut tenter de s'approprier Kalista Petrova, qu'elle a retrouvé son gars fou et toxico, qu'elle aime bien malgré son allure d'chien galeux. C'pas un conte de fée notre histoire, j'suis pas un prince charmant ou quoi, mais c'est une romance des temps modernes. J'suis comme une cocotte minute, prêt à exploser à chaque seconde et j'peux pas me retenir d'subitement embrasser Kali sur chaque bout de peau à ma portée histoire d'les marquer à ma façon, son front tout comme ses joues et même son nez, cette Russe tout droit sortie d'un catalogue d'mode c'est la mienne à nouveau et tant pis si ça donne envie d'vomir à des gamins qui passent à côté, j'dois faire sortir cette affection trop longtemps frustrée.
electric bird.
(Invité)