TG3 ► Incendie à la Eliot House

• Plus le temps passe et plus je me dis que je vais finir par péter un câble. Depuis ce mariage, je suis loin d'être quelqu'un de stable. A la limite d'être un extrémiste dans mes propos et dans ma façon de faire, j'étais devenue encore plus dangereux que j'avais pu l'être par le passé. Mon seul but était de me venger, de détruire tout ce qui m'avait fait du mal. Toute la haine que j'avais réussis à enfermer en moi était ressorti en beaucoup plus forte, beaucoup plus puissante, et désormais, toute personne ne faisant pas partie de la Eliot House pouvait crever la gueule ouverte devant moi, j'en avais rien à foutre. Alors, quand j'avais vu cette inconnue ici, j'avais juste eu envie de la laisser cramer, de la laisser pourrir parmi les flammes. Toutes personnes ne faisaient pas partie de la Eliot House avait interdiction de mettre les pieds ici. @N. Hippolyte Dunford sorti de je ne sais où, vêtu d'un peignoir, appuyant mes propos en levant la main. Un sourire se dessina sur mes lèvres lorsqu'elle leva la main. Toutes personnes étrangères à la Eliot pouvait crever ici, j'en avais rien à foutre. "Laissons les inconnus ici, ça fera du bien à la planète !" M'apprêtant à aller chercher le trousseau de clef qui pouvait ouvrir toutes les chambres, j'entendis la voix de @Kyla Carmichael-Jobs essayer de me faire la morale, prétextant que derrière la porte se trouvait la cousine d'Oksanna. "On t'a pas donné la parole la raté !" Lui avais-je répondu en m'approchant d'@Elis 'Darwin' Kamprad. "Va dans le bureau d'Oksanna, t'as le trousseau qui ouvre toutes les portes dans le deuxième tiroir de son bureau, et prends aussi la batte de baseball que j'y ai laissé, ça peu toujours servir, moi j'vais aider Hippo." La batte pouvait servir à assommer les intrus ou à défoncer des portes qui ne voudraient pas s'ouvrir, à lui de voir l'utilisation qu'il compte en faire. Après mes douces paroles, je chercha Hippo pour l'aider à sortir d'ici, j'avais entendu son cris, et ça voulait dire qu'elle était dans la merde. Alors, je marchais parmi les flammes à sa recherche. "Oh t'es où là ?!" Gueulais-je un peu partout, allez, montre toi... •

Cette putain de porte cède enfin ! Et elle s'ouvre sur... personne.Putain, on vient de perdre du temps pour rien ! Je rage, parce que c'est pas genre le même de traîner comme ça, mais je sais que si on avait rien fait que si Kalista se trouvait réellement dans ses chambres et qu'on serait pas aller voir, Kyla, moi et peut-être les autres se seraient sentit coupable. Ou pas. j'en sais rien. Je vois une soudaine pseudo-solidarité entre les bleus, par les gestes et paroles déjà prononcées et qui arrive. Misha me donne un ordre, j'acquiesce après avoir humidifier le reste de mon t-shirt sous le conseil de Kyla. Je laisse donc la student, pour courir vers le bureau d'Oksanna, mais avec toute cette fumée... J'arrive devant la porte. Fermée aussi. Putain ! Je me remets à donner des coups d'épaules pour qu'elle s'ouvre. Il faut ses clefs  !

@Kyla Carmichael-Jobs @Misha V. Ienchenski

hj : soyons fou o/

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'INCENDIE' :

Il faut sortir d'ici, il faut qu'on puisse survivre et tenter de sauver la Eliot House en espérant qu'on tombera pas sur des pompiers incompétents qui serait entrain de dormir au lieu de venir sauver la confrérie la plus importante de Harvard. J'étais tombé sur le sol mais je décidais de me relever pour mieux voir la scène devant moi malgré l'imposante fumée qui commençait à nous empêcher de bien voir. Sa tombait bien parce que je pouvais voir maintenant @N. Hippolyte Dunford : ''Désolé ma belle, c'était pas mon intention!''. Je tentais de me faufiler pour sortir quand même, je réussisais à trouver mon chemin pour aller dans l'escalier, toujours mon sac de survie sur le dos, j'aurais peut-être du penser à m'habiller avant de sortir. Des pantalons de jogging n'allait certainement pas aider à me garder au chaud. Je regardais aussi autour si il y avait des gens qui avait besoin d'aide et mon coeur s'arrêtait: je n'avais pas entendu @Willow S-Prada . Je gueulais aussitôt: ''WILLOW SANCHEZ-PRADA! WILL TU ES OÙ BORDEL?''. Je toussais comme un vieillard qui avait fumé sa 99ième clope de la journée. Elle oserait pas crever ici.

La porte cède et je manque de passer à travers le trou qui se trouve de l'autre côté de celle-ci... Je m'accroche au cadre de la porte en mode, je vais pas tomber ! J'en ai lâché mon linge humide. Je tousse un moment, me reprend pour m'éloigner du trou, me mettant à quatre patte pour essayé de voir la pièce et je réalise... Que je suis pas dans le bureau d'Oskanna mais dans une chambre encore... Je tape le sol, parce que je me suis planté. Merde ! Comment j'ai fait pour me perdre comme un con et pas trouver la bonne porte... Je me redresse, restant quand même penché en avant alors que mon nez, mes yeux et ma gorge me picotent. Je dois trouver ces putains de clefs ! Je pose ma main contre le mur, pour me guider, faisant attention où je marches, mais j'ai du mal à me repérer, je sais même plus où est le bureau de ma bizutrice maintenant.

Tu étais venu voir un ami qui habitait à l'Eliot House. Tu venais juste de rentrer depuis quelques minutes dans sa chambre afin de partager un débat sur le match de base-ball qui est passé à la télévision la veille. Quand soudain, tu entends du raffut. Du bruit qui était anormalement gênant. Ouvrant la porte, tu vois le monde courir à toute vitesse vers la sortie. Tu avais compris pourquoi en sentant l'odeur qui était celui du feu. Ne perdant pas de temps, tu fais signe à ton pote de sortir. Faisant de même, tu commences à courir quand tu vois une fille blonde par terre recoquillée sur elle-même. @Ludmila-Gaïa Petrova Sous le coup de la panique, tu lui cries dessus pour qu'elle bouge avant de finir rôtie comme un poulet ou un roti Quelques minutes plus tard, tu vois une petite brunette qui semblait la connaître. @Kyla Carmichael-Jobs - Je vais essayer de m'occuper d'elle. Enlevant ta veste, tu mets cette dernière sur le devant du corps de la fille morte de peur. @Ludmila-Gaïa Petrova En voyant que rien ne semblait pouvoir la faire bouger, tu emploies alors la manière forte. C'est-à-dire que tu la prends alors la blondinette dans tes bras et commence à avancer en faisant attention là où tu marchais suivant alors la petite troupe.  

Je lève les yeux au ciel et... rien. J'ai pas de temps à perdre et si eux n'ont que ça à foutre que de me remballer alors qu'on va tous finir par brûler, soit. Je trouve rapidement @Ludmila-Gaïa Petrova et je tente de la faire se lever mais rien à faire. Elle ne bouge pas, elle me regarde avec ses grands yeux et j'ai presque l'impression qu'elle ne sait pas qui je suis. Paniquée, je tente de la tirer vers moi mais rien à faire. Et puis, un jeune homme débarque (@Gidéon-L C. Branković) et je le regarde droit dans les yeux. " Tu ne vas pas essayer de t'occuper d'elle, tu VAS t'occuper d'elle " Lâchais-je en embrassant le front de Ludmila. " Cette fille c'est comme ma soeur, s'il lui arrive quelque chose, t'en seras pleinement responsable " Soufflais-je avant de filer derrière lui pour suivre @Elis 'Darwin' Kamprad qui débarque quand il ouvre une porte. " Darwin ! " Manquerait plus qu'il tombe putain ! Je me rapproche rapidement et lui tend mon 'bloc fumé' parce qu'il commence à tousser. " Le bureau d'Oks est... " Je ne reconnais plus rien. Je tousse et tire mon pull sur mon nez. Je ferme les yeux et me vois débarquer il y a quelques semaines pour voir Victoria. " C'est la porte là ! " Soufflais-je en changeant de couloir, ma main dans celle de Darwin. Au pire, on crèvera ensemble. Allez, c'est cool ça.

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'INCENDIE' :

IN

Ces derniers jours, Théa n'était pas très en forme. Depuis qu'elle a rélevé son plus lourd secret à Abelard, elle ne sait plus comment se comporter avec elle. Elle a même envie de le fuir à certains moments. Pourtant, la veille elle avait décidé d'appeler le jeune homme pour qu'il la rejoigne dans sa chambre. Elle avait besoin de parler avec lui de certaines choses. Finalement, ils se sont endormis dans les bras de l'un et l'autre en étant encore habillés. La belle blonde dormait profondément, c'est compliqué pour la réveiller. La preuve en elle-même. Abelard avait beau secouer dans tous les sens la jeune femme, ce n'est pas pour autant qu'elle ouvre les yeux. Or, quand il vient à crier plus fort en me secouant davantage. Je commence à ouvrir les yeux petit à petit tout en sentant la fumée de l'incendie. C'est à ce moment-là, que Théa commence à réagir face à la situation. Elle se lève aussitôt pour sortir de la chambre mais, elle aperçoit que Abelard essaye d'appeler son frère Hades pour savoir où il se trouve. « Vas chercher ton frère, on se retrouvera plus tard. » Entre temps, Théa aperçoit le visage de son amie Kyla. Sans vraiment réagir à sa bêtise, elle se dirige directement vers Kyla en criant. « Kyla, restes pas ici je t'en prie. Sors immédiatement de cet endroit ! » Théa n'avait pas spécialement envie de retrouver son amie brûlée de la tête au pied dans ce lieu. La blondie avait complètement abandonnée Abelard de son côté. En même temps, il retrouverait rapidement ses amis pour sortir d'ici. Alors, que de son côté Théa avait besoin de Kyla. C'est elle sa véritable amie dans cette confrérie à l'heure actuelle. Et, elle ne partira pas sans qu'elle soit à l'abri de cet incendie.

@A. Hades De Belgique-S. @Abelard Z. de Belgique-S. @Kyla Carmichael-Jobs

C'était impossible que je sors d'ici sans savoir que @Willow S-Prada  était saine et sauve, je m'en voudrais toute ma vie si c'était le cas. Je rebroussais chemin même si tout le monde me dirait le contraire mais j'avais déjà perdu Willow une fois, je n'avais pas l'intention que cela me reproduise de nouveau. Je continuais de tousser , la fumée me brûlait les poumons. Je voyais ma maison que j'aimais tenté de survivre avec nous à l'intérieur. Je remontais à l'étage avec difficulté pour me rendre à la chambre de mon amour d'une vie, sauf que si je prenais en compte l'environnement, je pouvais être encore loin de sa chambre en espérant qu'elle soit pas à l'intérieur coincé, je me foutais si elle pouvait avoir un autre homme avec elle, j'avais besoin d'entendre sa voix, de savoir qu'elle allait survivre.