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Kyla, tu change une lettre ça fait Kylo

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Kyla, tu change une lettre ça fait Kylo
"Je ne pense pas. L'un est arrivé cette année de ce qu'il m'a dit." Précisais-je doucement. C'est ce que j'avais comprit, mais peut-être qu'il avait déjà été là avant, qu'il avait simplement raté son année ou alors qu'il recommençait depuis le début après une trop longue absence dans le circuit scolaire ? Je n'en sais rien. Je la regarde donc après avoir affirmé cela. "Pourquoi tu as quitté la Lowell ? Tu ne t'y plaisais pas ?" Une question simple, qui peut révéler des explications plus compliqué. Je cherche à en savoir un peu plus sur elle, par curiosité, mais surtout par besoin, parce que je le sais, je le sens, elle peut m'être utile contre Cole. Son ex, cette fille qu'il a supposément aimé. Du coup, il pourrait mal voir le fait que j'en sois proche et j'avoue que cela peut être drôle, le pousser à une jalousie infondée, le faire passer pour le mauvais de l'histoire juste parce que je sympathise avec son ex. Je souris alors et ris un peu à ses propos. "Parce que même si tu enregistrais maintenant, ça ne servirait à rien. Je t'ai juste expliquer comment réaliser un bon plan, je ne t'ai pas donner un plan que je mets pourrait mettre en place contre quelqu'un par exemple." Ouais, je n'allais pas lui dire que ma cible pour l'heure, après Alexander et Sage, en premier lieux, c'est son ex, ça ne le ferait pas et elle allait sûrement ne pas comprendre ou tout faire foiré si je venais à me confier sur cela... D'ailleurs, le sujet change vite, parce que mon regard se pose sur la toile, et en particulier sur le dessin que je viens de faire. Je me recule, m'asseyant sur une chaise et laissant prendre place à la jeune femme pas trop loin de moi, alors qu'elle cherche à me rassurer, que je lui explique vaguement. "Non." Non, on est pas ensemble, non, on ne s'aime pas, c'est tout le contraire. "On peut pas se blairer. On avait trop bu, et..." Et c'est arrivé, la nuit ensemble, le bébé, tout ça. Le bordel. Je me penches en avant, me prenant la tête entre les mains, ayant repoussé un peu la sienne pour pouvoir me mettre dans cette position. "Elle... Elle a fait le test tout à l'heure... C'est positif..." Je m'agrippe un peu à mes cheveux, tirant légèrement dessus alors que je cherche à me calmer, à me contenir... Je tourne un peu la tête, pour la regarder, pour lui montrer se regard implorant. "Aide moi." Une supplique. "Aide moi à oublier." Oublier que je vais être père parce qu'elle veut garder l'enfant, que j'ai foutu ma vie en l'air avec une coucherie... Je la supplie, m’effrite devant elle. Le mec qu'elle a pu voir plein d'assurance est maintenant loin très loin... Il a fuit à tout de jambe pour laisser à la place ce mec ravager par cette nouvelle... Non, je ne suis pas bipolaire... je peux juste être très expressif quand j'arrête de jouer au con...

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"Pourquoi tu as quitté la Lowell ? Tu ne t'y plaisais pas ?" Je le regarde et fais une petite moue. Je m'y plaisais, jusqu'à ma descente en enfer et là, je me suis rendue compte que la Lowell House ce n'était pas pour moi, que ma passion me consumait et tout ce qui va avec. Et je voulais vivre, à cette époque, je voulais vivre une putain de vie et clairement pas crever à petit feu au moindre soucis. " Mon ex m'a quitté et puis... J'en avais assez des bancs de l'université, je voulais changer de vie et c'est comme ça que je suis devenue pompier assez rapidement " Lâchais-je avec un léger sourire. " Près de vingt ans de danse, ça aide pour ce genre de vocations... Je payais pas de mine au début à l'académie puis ma souplesse et ma force ont su être mes principaux atouts " Soufflais-je en repensant à tout ça. Je ne suis pas restée longtemps rattachée à une caserne parce que j'ai du partir en Europe pour me couvrir mais bon, c'était sympa quand même et je crois que c'est ça qui me fait choisir le F.B.I. pour ce coup : être encadrée, aider des gens, sauver des vies... J'ai tellement hâte d'être assignée à un service et de montrer mes preuves. Même si là, je leur montre plus que je suis une tête de mule qui se bat à la première occasion. Et s'il me voyait là, ils se diraient que je ne suis pas toujours très discrète. Quoi que... "Parce que même si tu enregistrais maintenant, ça ne servirait à rien. Je t'ai juste expliquer comment réaliser un bon plan, je ne t'ai pas donner un plan que je mets pourrait mettre en place contre quelqu'un par exemple." Je le regarde et souris légèrement. " C'est vrai... Allez Darwin, je veux des informations qui valent le détour, histoire que ce micro qui se trouve entre mes seins ne me démange pas pour rien " Menteuse, menteuse, menteuse. Je voulais juste voir jusqu'où il était capable d'aller sans compter que je venais de le refroidir totalement pour le chauffer un peu maintenant. Chaud, froid, chaud, froid. On ne sait jamais sur quel pied danser avec moi. Mais bon, quand il regarde sa toile et se fige, c'est comme si un grand bonhomme de neige venait de souffler sa glace un peu partout. C'est pas très grave, quand il fait froid, il faut toujours trouver un moyen de se réchauffer non ? Je m'assois près de lui, l'écoute, tente d'être présente pour lui même si je ne sais clairement pas quoi faire ni quoi dire. C'est tellement étrange... Je ne le connais pas et pourtant, je reste près de lui. "On peut pas se blairer. On avait trop bu, et..." Je grimace légèrement. Ouai, je vois, du 'angry sex' quoi... C'est un concept. Un concept que j'appliquerais bien avec Cole tiens. Et voilà qu'il était de retour dans mes pensées. Faut dire que bébé, soucis et 'on se déteste', ça faisait pas bon mélange quoi. " Et là, la Religion ne lui a pas dit "ohoh ma cocotte, faudrait peut être arrêter d'être bête ?" " Lâchais-je simplement. Pas pour provoquer le jeune homme ou la femme avec qui il a fait ça mais c'est bien beau de dire qu'on ne peut pas se faire avorter à cause de la Religion alors qu'on a baffoué des tas de dogmes pour y arriver, à cette grossesse. "Elle... Elle a fait le test tout à l'heure... C'est positif..." Je le regarde se replier sur lui même et je me redresse un peu, lui laissant de l'espace. Je doute que lui dire que les faux positif ça existe et que l'hôpital peut avoir fait une erreur soit l'idée du siècle. Ça lui donnerait trop d'espoir pour pas grand chose, qui sait. "Aide moi." Je le regarde, son regard beaucoup moins dur que tout à l'heure. J'ai l'impression d'assister à la chute d'un pan de glace sur une montagne gelée et ça me fait quelque chose. "Aide moi à oublier." Je déplace ma chaise plus proche de lui et prends ses mains dans les miennes. " Je suis pas magicienne " Soufflais-je à voix basse en m'approchant de lui. " T'avais l'air serein en peignant... " Murmurais-je alors que mes doigts glissent sur ses mains. " On peut détruire cette toile, on peut partir avec et la brûler " Mon regard ne quitte pas le sien et je m'y perds. Il m'hypnotise. " On peut aussi se casser d'ici et monter sur la plus haute colline de Boston pour hurler au monde tout ce qu'on a sur le coeur, pour balancer dans le vide nos plus grosses craintes. Et finir par s'arracher. Parce que toi comme moi, on a besoin d'oublier " Soupirais-je alors que mon corps se rapproche de plus en plus du sien, comme un aimant attiré à la porte du frigo.
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How many nights,I've laid in bed exited over you
Je la regarde, complètement surpris par ses mots. "Pompier ?" réellement ? j'ai un peu du mal à voir ce bout de femme braver les flammes pour sauver des vies... Je sais que c'est assez macho de ma part, mais je sais pas, pour moi, c'est forcément les hommes dans ce métier là, même si maintenant la femme commence à travailler dans plus de secteurs, mais j'ai encore du mal à voir une femme dans une tenue de pompier. Bon, ok, j'avoue je kiffe mon calendrier avec ces filles en presque tenue d'Eve qui joue avec une lance d'incendie, c'est sexy, c'est beau, mais une vrai fille, avec la tenue des pompiers, c'est pas bandant du tout... D'ailleurs, est-ce que par hasard, dans le couple, ça n'aurait pas plutôt été elle l'homme avec Cole ? Je la fixe, probablement bizarrement à cause de ses propos.

Je sais que j'aurais pu aussi réagir à ce qu'elle m'a dit d'autre, le fait d'abandonner ses études à cause d'une relation, d'un ex. J'ai pas abandonné, j'ai juste fuit, changé de fac pour ma part, pour fuir Eilenn. Mais non, j'ai juste tiqué sur le pompier, peut-être parce que je ne veux pas parler de cette fille que je ne peux même pas réellement qualifié d'ex, parce qu'on a eu qu'une histoire ensemble il y a un peu moins de dix ans, qu'elle, elle m'a oublié, qu'elle est fiancée... Je me crispe un peu en repensant ainsi à elle. Les exs, c'est jamais rien de bon. "Tu ne danses plus ?" Une autre question, pour fuir mes pensées, pour la faire parler encore. Parce que je dois bien admettre que j'apprécie quand même sa vie.

Je souris un peu en entendant ses propos sur le micro, mon regard se baissant sur sa poitrine. "S'il te dérange tant que cela, je peux m'arranger pour te le retirer." Je m'approche alors d'elle, un peu plus, ma main effleurant doucement son décolleté, mon index glissant doucement sous le bord de sa blouse sans trop s'aventurer. J'avoue que je la provoque un peu, mais je ne vais pas plus loin, pas pour le moment pas ici... Parce qu'elle attire mon attention sur la peinture que j'ai fait en parlant de mes talents... Et là, c'est clairement la chute aux enfers pour moi. On parle de l'enfant, de Khalilah, même si je ne dis pas son prénom. Elle fait une remarque, qui me fait tiquer. "Je lui ai dis." Précisais-je alors. J'ai été dur avec elle, elle a un peu pleurer, elle doit encore plus me détester qu'avant... Même si à la fin, j'ai calmé le jeu...

Assis sur cette chaise, la tête entre mes mains, je me retrouve à la supplier du regard, à lui demander de l'aide, pour oublier et elle se rapproche de moi, dangereusement. Je la laisse prendre mes mains, me redressant un peu alors que je la regarde, que je me perds dans son regard alors qu'elle me propose des solutions, qu'elle m'invite à partir d'ici pour brûler cette toile maudite, pour hurler, évacuer tout cela, parce que je ne veux plus peindre. Je ne toucherais plus un pinceau ce soir... Je baisse alors le regard sur nos mains, liés. "Un piano..." Murmurais-je alors. Parce que c'est toujours la musique, le piano qui m'a permit de m'en sortir, d'évacuer et cet instrument, je n'en ai plus joué depuis un an réellement, enfin, si... Je continue de faire mes exercices dans le vide, m'introduisant parfois en salle de musique pour en jouer... Parce que c'est sa mon art à moi, le piano, que je joue depuis tout petit que j'ai pratiqué avec passion, par le moyen que je communique le mieux en quelque sorte... Le professeur de Théâtre, Peter, il s'en est rendu compte en m'entendant joué une fois... Il a su percevoir mon talent et je me suis foutu de sa gueule comme un con, parce que je refuse de passer encore pour un gars sentimental, un mec capable d'aimer, parce que de toute façon, personne respecte les sentiments de personnes. On se marche tous l'un sur l'autre, c'est celui qui blessera le plus l'autre, la loi du plus fort.

Je me lève alors, libérant une de mes mains de sa prise pour la tirer, l'entraîner avec moi vers le bar, récupérer mon casque que j'ai laissé là comme un con, heureusement qu'on peut faire confiance aux artistes pour ne pas être des voleurs. Je la force à me suivre, sans lui laisser le temps de protester et une fois dehors, je la regarde et pose mon casque sur sa tête. "On va fuir ensemble. Oublier." Je ne sais pas si c'est un bon plan, sûrement pas, vu que ça implique de conduire sans casque pour ma part, mais je sais où aller, je sais les risques que je prends, mais j'en ai besoin, elle aussi peut-être. je sais pas. Elle doit oublier, mais l'endroit où je veux aller, je suis pas sûr que ça lui plaise tant que cela.
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"Pompier ?" Je le regarde et souris légèrement. Et ouai, j'étais pompier il fut un temps. À vrai dire, c'était il y a pile un an mais les choses ont bien changé depuis. J'ai vécu des tas de trucs horribles qui m'ont rendu complètement folles et ... voilà. Maintenant je change de fonctions mais sur le même schéma : adieu les bancs de l'université et tous ces têtes de cons qui ne pensent qu'à jouer dans leur bac à sable et à se le faire bouffer, ce sable. C'est comme ça. Je suis jeune mais j'ai beaucoup d'ambitions. Et je veux être utile pour autrui, je veux aider les autres comme j'aurais aimé qu'on m'aide. Il n'y a eu personne avec moi quand Léo a piraté mon ordinateur et s'est servi de quelques photos dénudées pour me faire chanter et délirer complètement. Enfin, je ne veux pas penser à ça, à cette période désastreuse de ma vie, cette période qui vient de me faire perdre mon petit ami. "Tu ne danses plus ?" Je souris. " Oui je danse toujours. J'ai du arrêter parce que je me suis blessée au genou mais j'ai retrouvé toutes mes capacités et sensations donc... J'ai une compétition demain avec un ami d'ailleurs " Lançais-je fièrement avec un large sourire. J'allais enfin remonter sur les planches et me déchaîner comme il le faut. Ça va faire tellement de bien et... j'en ai besoin ! Cette compétition tombe juste à point nommé et même si on est pas les plus qualifiés, on va tout déchirer avec Paris ! Une victoire que l'on va mériter et je refuse que ce soit différent. Et dire que je l'ai rencontré dans un club de striptease le petit... Je me souviens encore du show qu'il a fait et piouf... Il m'avait donné sacrément chaud le petit ! "S'il te dérange tant que cela, je peux m'arranger pour te le retirer." Je le regarde et souris. Paris m'avait donné chaud, presqu'autant que Darwin alors qu'il me défie du regard et que son index glisse sur ma peau. Bordel, ça devient sacrément dangereux là quand même... On est dans un lieu public et je refuse de tomber de cette manière. C'est hors de questions, clairement. Alors autant parler d'autre chose, de quitter ce regard hypnotique, ces fines lèvres qui m'appellent encore et encore mais que je résiste. Je ne veux pas. En fait, j'ai surtout peur que ce soit cet assurance, cette arrogance qui m'attirent vers lui comme j'ai été attirée par ce crétin de Wildingham. Et quand je le vois vulnérable, brisé, je ne peux m'empêcher de rester près de lui. C'est étrange cette sensation. J'ai le bide qui fait des loopings parce qu'il est détruit, en quelque sorte, et qu'il n'y a rien de plus beau qu'un chantier en construction. C'est le moment de sortir la tête hors de l'eau et de se reconstruire. Avec cet enfant parce qu'il n'a pas l'air d'avoir le choix. J'aimerais être magicienne et, d'un coup de baguette, tout réparer, tout faire pour qu'il aille mieux, pour qu'il se sente mieux parce que je n'aime pas les gens aller mal mais je ne fais pas de miracle, sinon ça se saurait. "Un piano..." Je le regarde et fronce les sourcils. Il va jouer encore longtemps sa comédie de "je ne suis pas un artiste" alors qu'il pue le talent et la sensibilité artistique à plein nez ? Je me garde de lui dire, ne voulant pas le brusquer ni le faire partir parce que j'aime bien sa présence, en quelque sorte. Il a raison, j'oublie avec lui et il n'a ni besoin de me coller sa langue dans sa bouche ni ses mains sur mon corps pour le faire. C'est hypnotique, perturbant et quand il se lève et me tire vers lui, avec lui, je le suis sans rechigner. La peur de l'inconnu ? Si peu pour moi. C'est plutôt excitant, l'inconnu... Il pose son casque sur ma tête, je relève la visière et le regarde, aussi curieuse que paniquée. Il pourrait être un malade mental et m'emmener pour que je me fasse découper là. L'inconnu est excitant mais là, c'est inconscient. Mon sac à main pendu sur mon épaule, je l'écoute "On va fuir ensemble. Oublier." Ok. Je suis pour. Absolument pour et je saute dedans à pieds joints même si c'est probablement du suicide. " Et on va où ? " Demandais-je naïvement comme s'il allait me répondre. " Tu comptes conduire sans casque avec le temps qu'il fait Darwin ? T'es suicidaire ? " Demandais-je alors. Mais y avait pas forcément le choix je crois. Il n'avait surement pas de deuxième casque sur lui comme Alexander à l'époque. À croire que l'Eliot m'intriguait autant qu'il faisait remonter tous mes vieux souvenirs. " Crève pas s'il te plait. Je voudrais pas annoncer à ton cousin que t'es mort pour me protéger " Soufflais-je alors que je le laisse grimper sur sa bécane et que je me glisse derrière lui, au plus près, les bras s'agrippant autour de sa taille. " Allez, cassons nous d'ici " Soufflais-je en le regardant avant de baisser la visière et de me coller encore plus à lui. On croirait pas comme ça, mais on ne fait qu'un, collé l'un à l'autre de la sorte.
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Kyla, tu change une lettre ça fait Kylo
Je souris un peu quand elle me parle de son concours du lendemain. "Je te souhaite bonne chance alors !" Même si je ne sais pas comment elle danse, ni qui est son partenaire. Je ne sais pas son style de danse non plus d'ailleurs. beaucoup de choses que j'ignore, mais ce n'est pas cela qui m'empêche de lui souhaiter la victoire quand même, de lui dire bonne chance. C'est un mot gentil, attentionné, comme je peux en avoir de temps en temps et puis, ce n'est sûrement pas pour lui déplaire. Puis, je connais bien ce milieu là, la compétition artistique, même si moi c'est concernant la musique et non pas la danse, même si les deux sont souvent affilier, un bon musicien peut créé une bonne musique pour une bon danseur... Les deux peuvent s'allier pour faire quelque chose de magnifique... Mais je n'ai jamais jouer de la musique pour un ou une danseuse, c'était pour mes parents, mes professeurs, les concours et aussi pour moi-même.

Je la provoque alors et elle ne réagit pas, ou plutôt, si, elle se fige, je ne sais dés lors pas si elle apprécie ou non ce qu'il se passe là, cette tension, cette attirance pal-pape entre nous, ce jeu qui est venu tout naturellement, bien qu'assez aidé par de la provocation de la part des deux partis... mais on se cherche, on veut oublier, fuir nos problèmes tout les deux, c'est peut-être pour cela que ce soir, on se comprend, on est sur la même longueur d'onde en quelque sorte... On cherche à offrir à l'autre ce que l'on veut nous-même. Oublier. Fuir cette désastreuse réalité. Elle sa rupture, moi cet enfant indésiré. On se comprend, au moins un peu, même si les soucis sont différent. Opposé même. L'un c'est la destruction d'un couple, d'une histoire et l'autre... tend à pousser vers cela, mais je ne veux pas, je ne peux pas... Je me refuse à aimer à nouveau, à me laisser aller dans les bras d'une fille encore sérieusement. Je ne peux pas aimer. Alors me mettre en couple avec une fille, pour vivre avec elle, à cause d'un enfant... C'est pas de l'amour, je le sais, mais je ne veux pas m'entraver comme ça...

Je me brise alors, quand je vois ce que j'ai peins, qu'elle y voit la même chose... Je m'effondre dans tout les sens du termes, sur la chaise, mais psychologiquement aussi... Puis, je fuis, pour de vrai, l'embarquant dans ma course pour fuir cette peinture, cet endroit, pour fuir et trouver ce que je veux, c'est à dire ce piano. J'ai déjà mon idée en tête. Alors on sort, le vent, fort se fait déjà sentir. Je lui mets mon casque sur la tête, sans lui laisser le temps de réagir, de protester. Je l'oblige à me suivre encore. Sauf si elle désire fuir en courant avec mon casque sur la tête, ce qui serait assez drôle dans un sens, mais là, je ne me sens pas de courir après quelqu'un maintenant... "On va commettre un crime." Lançais-je alors. Parce que je pense qu'on va devoir entrer par effraction, pour aller où je veux, pour avoir droit à ce que je veux à cette heure... Parce que je n'en ai pas dans ma chambre à la Lowell, que je ne sais pas où je pourrais trouver ça ailleurs que là.

Je la regarde alors, surpris par sa question et hausse les épaules. "Je préfère que ça soit toi avec le casque." Lançais-je simplement. "Et disons que je me vois mal te faire courir derrière la moto, si réellement tu désires que je le porte." Précisais-je alors, tout simplement. Parce que moi sans casque, certes ça me dérange un peu, mais ça me pose moins de problème qu'elle sans protection. "Puis, ça sera pas la première fois." Lui précisais-je alors simplement pour tenter de la rassurer un peu. Bien qu'avec un vent pareil, c'est clair que ça sera la première fois. Une sorte de baptême de l'air là non ? Putain, je dis de la merde encore pour tenter de pas être trop optimiste non plus. Faut que je sois prudent. Montant donc sur ma moto, la laissant prendre place ensuite, j'attends qu'elle se colle à moi pour démarrer.

Je ne fais pas d'excès, préférant jouer la prudence avec un temps pareil. C'est clairement préférable. Pour elle, comme pour moi. Il faut d'ailleurs un petit moment pour finalement arriver à destination. Le parking d'Harvard, le campus. Je suis pas dans la région depuis longtemps, alors je connais que les salle de musique pour avoir un piano, pour pouvoir jouer. Pour nous vider et à cette heure-ci, on risque juste de croiser un vigile. Pas d'élève, pas de prof. Bien que les confréries soient encore activent à cette heure, mais dans les couloirs des classes, il n'y a pas un chat. J'arrête alors la moto, coupant le contact pour nous entendre parler. "Entrée par effraction dans la salle de musique, ça te tente ? Sauf si tu connais une autre salle ou il y a un piano ici." Comme peut-être une salle de danse classique peut-être, comme elle pourra aussi se vider, danser, bouger. On aura plus de place, pour ce que l'on veut, pour notre art ou tout autre chose... Je tourne un peu la tête, attendant quand même qu'elle descende de la moto.
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"Je te souhaite bonne chance alors !" Je souris légèrement. Et si, au lieu de me souhaiter bonne chance, il venait dans les gradins lever des pancartes à mon nom ? C'est complètement con mais bon, ça me ferait plaisir, je dois bien l'avouer. Ça fait toujours du bien d'avoir des gens de son côté, des gens qui te supportent et te donnent le peu de motivation qu'il te manque pour faire brûler le plancher. Parce que c'est ça. Je compte bien faire brûler le plancher demain en dansant comme si ma vie en dépendait. Ça fait plus d'un an que j'attends ce moment, ce moment précis où je pourrais enfin redanser comme je le veux, comme je l'entends. C'était difficile avec mon genou, super difficile de trouver un partenaire en qui j'ai confiance aussi et avec Paris, j'ai trouvé ma perle rare. Ma perle rare en danse parce que lui et moi, c'est pas franchement beau à voir tous les jours. " Je viendrais te tenir au courant du résultat " Lâchais-je simplement avec un sourire sur les lèvres. " Enfin non, je viendrais te dire qu'on a gagné le premier prix " Parce que ça sera forcément ça. On va gagner, on va tout défoncer et on va rapporter cette coupe à la maison. C'est limite si je n'ai pas déjà fait de place sur l'étagère dans ma chambre. En fait si, j'ai fais de la place, de la place pour cette ancienne vie qui me manque tellement, pour cette compétition qui va me redonner envie de me battre pour ce que je veux, pour ce que j'aime. Parce que la vie, c'est ça. C'est une putain de bataille constante pour avoir ce qu'on veut et il faut bouffer avant d'être bouffée et quand on en peut plus, comme c'est le cas à l'heure actuelle pour Darwin et moi, faut se défoncer, à sa manière. Pas de drogue, pas d'alcool pouvant nous faire faire n'importe quoi. Faut vivre, en fait, pour tout dire. "On va commettre un crime." Lâche-t-il le plus normalement du monde quand on est dehors. Un crime ? Quoi ? On va tuer quelqu'un, à visage découvert ? Enfin, parlons pour lui. Moi, je suis cachée par ce casque qu'il a placé sur ma tête y a quelques minutes. " T'es au courant que tu dis ça à une juriste " Lançais-je avec un sourire. Non, il doit clairement pas être au courant qu'il est face à une étudiante en droit et future agent du F.B.I. Mais ce n'est pas grave. Au pire, je lui mettrais tout sur le dos, je jouerais les victimes et je suis sûre que ça fonctionnerait à la perfection. "Je préfère que ça soit toi avec le casque. Et disons que je me vois mal te faire courir derrière la moto, si réellement tu désires que je le porte." Je le regarde et ris légèrement. " Et puis... J'ai pas pour habitude de courir après les garçons " Ni après les filles, femmes et hommes. Rien, jamais. J'ai assez donné et ça finit toujours mal de toute façon, que ce soit une course réelle ou non d'ailleurs. " Et courir avec ça... Non merci " Soufflais-je en posant ma jambe sur la sienne, assise derrière lui, le collant encore plus. Je le regarde, mords légèrement ma lèvre inférieure et regarde mon jeans. " Eh, tu me dois le pressing " Riais-je en voyant la peinture qu'il y a laissé tout à l'heure sur ma cuisse gauche. Pas bien Darwin, vraiment pas bien. Va falloir que tu me l'enlèves ce jeans pour me payer le pressing. Je le nargue encore avant d'enlever cette jambe qui le gêne et de bien me coller à lui. S'il veut finir comme un légume dans un lit, c'est son problème et pas le mien. Mais j'aimerais bien qu'il évite de claquer quand même, ce serait sympathique. Accrochée à son torse comme à une bouée de sauvetage, je suis bien moins crispée que lors de mon premier tour en moto en janvier dernier. Tout a changé maintenant. Je suis plus confiante et ça fait tellement de bien. Je ferme les yeux et profite de ce petit voyage. À un tel point que lorsque la moto s'arrête et que ses pieds se posent sur le sol, je mets quelques secondes à comprendre où l'on est. "Entrée par effraction dans la salle de musique, ça te tente ? Sauf si tu connais une autre salle ou il y a un piano ici." Je descends de sa moto, ôte le casque que je lui tends et secoue légèrement la visage pour que mes cheveux reprennent vie. Je réfléchis et souris. " Si... Je sais où il y en a un " Soufflais-je en ouvrant mon sac à main et sortant rapidement mon porte feuille. Faites que j'ai gardé le pass, faites que j'ai gardé le pass, faites que ! Yes, il est là. Je sors la carte magnétique de mon porte feuille et la glisse entre deux doigts. " Ça, c'est notre sésame pour entrer dans la salle de danse classique " Lâchais-je simplement avec un sourire. " Je l'ai piqué à un Lowell y a une petite semaine pour pouvoir m'entraîner avec mon partenaire " Soufflais-je en haussant les épaules comme si tout était normal. Oui, je pique un peu dans les affaires des autres mais c'est pas bien grave ! " Par contre ça risque difficile d'entrer dans le bâtiment en lui même... " Soufflais-je en attrapant sa main pour le guider jusqu'aux portes du bâtiment dédiés aux arts. On était quand même plutôt proche, pas trop à marcher, tout va bien. " Tu ne sais pas crocheter une serrure avec une pince à cheveux par hasard ? " Demandais-je en éclatant de rire. Un groupe d'étudiants passe près de nous pendant que je regarde la serrure et je tire Darwin près de moi, l'embrassant presque passionnément pour ne pas paraître trop suspect non plus. Les bruits s'éloignent et je me déplace. " Autant éviter de se faire griller avant d'entrer non ? " Demandais-je simplement, les lèvres légèrement entrouvertes, rosies par ce baiser. Mais qu'est-ce que j'étais entrain de foutre sérieusement ?!
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Kyla, tu change une lettre ça fait Kylo
Je souris un peu quand elle me dit qu'elle viendra me le dire en personne. "Faut qu'on se donne rendez-vous quelque part demain soir alors." Je lui souris un peu, parce qu'avec cette règle à la EH, elle allait pas pouvoir entrée et de ce que j'ai pu comprendre, elle n'est dans aucune confrérie. Son appartement peut-être ? Ouais non, ça le fait pas trop, ici alors peut-être ? Ouais, ça reste la meilleure des possibilités et la plus simple. Un peu comme la chanson, on s'était donné rendez vous dans dix ans, sauf que là, ça sera plutôt on s'était donné rendez vous demain. Bref, faut que j'arrête de faire des remakes des chansons françaises que je connais, parce que je pense pas que la demoiselle ai le même registre musical que moi. Bien que si elle fait de la danse, il doit être aussi varié que le mien... Bien que peut-être elle ne maîtrise pas autant de langue que moi. Enfin, j'en sais rien, elle est peut-être aussi polyglotte, elle a peut-être autant voyagé que moi. J'en sais rien et dans un sens, ça pourrait être cool de le savoir, mais en même temps, ça n'apporterait rien de plus pour le moment.

Une fois dehors, je lui lance cette réplique et souris un peu à sa réplique. "Cela ne fait que rendre la chose plus amusante, tu ne trouves pas ?" Lui lançais-je doucement, en cherchant dans un sens à retrouver mon assurance, à ne plus être cette épave qu'elle a vu, qu'elle peut encore voir, ce mec détruit, ravagé par cet enfant qu'une autre fille porte. Une fille que je n'apprécie pas plus que ça, qui me pousse dans certains retranchements avec ces questions, sont désirs de savoir, cette proximité et en même temps cette distance. Khalilah est compliqué, complexe tout comme moi, et elle me fait peur, j'ai peur de ce que je pourrais faire, devenir à cause d'elle... Je ne veux plus craquer pour une fille, même si elle se montre aussi sincère que l’Égyptienne, ce n'est juste pas possible... Je la chasse de mes pensées, l'oubliant quand la brune dans mon dos me parle de sa jambe que je regarde posé sur moi. Je ris un peu, quand elle me parle du pressing, essayant de ne pas parler de son soucis à la jambe. On va éviter les sujets qui fâchent, qui nous font du mal. On veut fuir, oublier, c'est notre leitmotiv ce soir, alors fuyons les sujets qui nous mette mal. "Il faudra que tu me laisses en repartant alors." Murmurais-je doucement avant de mettre le contact et de démarrer, l'empêchant de refuser cela, même si ça implique qu'elle se promène ensuite en petite culotte jusque chez elle.

La route est galère, en moto, avec ce vent, mais on arrive sain et sauf à destination, heureusement dans un sens. Je m'arrête, retire mes clefs du contact et reste sur la moto pour la stabiliser en attendant qu'elle descende. Je ne lui pose même pas la question pour savoir si elle avait déjà fait de la moto avant, j'ai bien sentit dans ses réactions dans les virages que c'est quelque choses qu'elle connait les deux roues, parce que toute personne qui monte pour la première fois sur une moto à se maudit réflexe de se pencher dans l'autre sens dans les virages, de peur de tomber... Alors que c'est justement ça qui va déstabiliser et nous faire tomber. Je lui explique donc finalement mon plan et elle me répond, sachant où trouver un piano autre part que dans une des nombreuses salle de musique. Je la regarde alors fouiller dans son porte-feuille après, je ne sais quoi et elle fini par le sortir, me le montrant comme si c'était le saint graal. Je la fixe, cherchant à comprendre avant d'avoir finalement ses explications. Un pass. Je souris, au moins ça sera plus facile encore !

Je la laisse m'entraîner je ne sais où, la suivant sans broncher, parce que j'ai envie de jouer, j'arrive pas à me sortir cette idée de laisser mes doigts courir sur le piano même si je suis calmé, même si l'air frais et cette petite virée en moto m'a fait du bien. Le casque sous le bras, je marche derrière elle, attendant quand elle essaie d'ouvrir la porte, mais elle me surprend... Dans tout les sens du terme quand en entendant des bruits, elle se retourne et m'embrasse de cette façon. Il me faut un instant avant de réagir et de répondre au baiser pour que ça ai l'air vrai, sérieux. Mon casque toujours coincé à mon bras, il me gêne pour le coup... Par contre c'est tout naturellement que ma main libre se glisse à la taille de la jeune femme pour la retenir contre moi, la coller à moi en réalité.

Elle se recule ensuite, prétextant une excuse pour m'avoir embrassé de la sorte et je souris un peu, l'empêchant de se retourner, je n'ai même pas répondu à la question qu'elle m'a posé avant de m'embrasser et là, je suis à mille lieux d'y pensé. Je la fais se reculer un peu, pour la coller contre cette maudite porte qui refuse de s'ouvrir et capture à nouveau ses lèvres pour un nouveau baiser, un ou j'ai pas l'air d'un con à cause de la surprise. Je l'embrasse, réellement, appréciant la douceur de ses lèvres. Je me colle à elle et après quelque instant, je me recule et souris doucement. "Il y avait encore des passants." Mentis-je. Par contre, je suis pas sur qu'on arrivera à ouvrir cette porte de cette façon...
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"Faut qu'on se donne rendez-vous quelque part demain soir alors." Je le regarde et réfléchis quelques secondes. Ouai, c'est moi qui lui ait proposé ça mais j'aurais peut être mieux fait de fermer ma gueule, ça serait mieux pour nous deux, je crois bien. Mais... Depuis quand je la ferme ? Depuis quand je me retiens de dire ce que je veux à qui j'en ai envie ? Si j'avais pu apprendre à ne pas faire de vagues parce qu'en couple, ce n'est plus du tout le cas. " Rendez-vous ici demain à 20h. Et j'attends que tu sois là avant moi pour nous acheter deux coupes de champagne " Soufflais-je avec un léger sourire, légèrement autoritaire comme je pouvais l'être. Qu'est-ce que j'aimais cet espèce de contrôle que j'avais, cette illusion parfaite que je me faisais à ce moment même. Je rêvais de retrouver ma vie, son contrôle et tout ce qui va avec. Et visiblement, c'était ce soir que ça commençait. En tout cas, il était de plus en plus mignon à mes yeux et, même si les blonds n'ont jamais été mon type d"hommes, il avait ce truc... Peut être la trace de peinture bleue sur le visage que je lui avais collé il y a un petit bout de temps et qu'il n'avait pas pris le temps d'ôter. Pas grave, il faudra qu'il file sous la douche plus tard et lorsqu'il enlèvera cette trace, il pensera à moi. Ahah. "Cela ne fait que rendre la chose plus amusante, tu ne trouves pas ?" J'hausse les épaules. " Tant qu'on ne finit pas au poste... " Parce que là, on pourrait pas mutuellement payer la caution de l'autre et je ne vais pas appeler Méline pour qu'elle me sorte de cellule, hors de question. Je tiens à ma vie quoi. "Il faudra que tu me laisses en repartant alors." J'ouvre la bouche et il met la moto en route. Hop, ciao, tu peux rien dire Kyla. Mais j'aurais pas refusé, j'aurais juste dit que ce jeans slim ne quittera mon cul que s'il me l'enlève. Pas grave, on aura bien le temps d'en reparler si c'est réellement ce qu'il va se passer, qu'il parte au pressing avec, qu'il me le rende comme neuf. Ça serait bien ça. Allez, salis mes fringues et va les faire laver parce que je déteste le faire. En même temps, je n'aime aucune tâche ménagère et je ne m'en suis jamais cachée. C'était tellement bon, cette colocation avec Cole, ces fourmis qui faisaient tout pour nous. Dix jours de bonheur. Bonheur écrasé en plein vol. Comme nous deux. Je me haïssais d'y repenser. Et dès que je pensais à Cole, je me rapprochais un peu plus de Darwin, comme si ça me permettait d'oublier que le corps que je serre n'est pas de celui que j'aime mais d'un autre, d'un autre homme tout aussi galant, imprévisible et... je ne sais pas. Il fallait que je me chasse tout ça de la tête. Et c'est chose faite avec cette virée en moto. Ça me fait du bien même si je dois avouer que j'ai froid, que mes pieds sont limites gelés et tout ce qui va avec. Mais c'est agréable, c'est comme si on volait, qu'on touchait plus la terre ferme et qu'on était enfin libre. Libre de ces obligations, de ces sentiments qui nous tombent dessus comme pas possible. Je souffle, souris, soupire et quand tout s'arrête, il me faut un petit temps pour réaliser, pour comprendre. Je descends et quand j'entends son plan, je suis contente d'avoir volé son pass à un Lowell. J'espère qu'il ne s'est pas encore rendu compte de la chose. Au pire, ce n'est pas très grave. Enfin je crois, ça risque juste de nous refuser l'accès à la salle de danse, à cette salle que j'ai tellement aimé, où j'ai tellement passé de temps. Mais pas pour y faire du classique. Non, ma préférence à moi c'est le contemporain. On se retrouve rapidement près de la porte et on dirait deux gosses, se dirigeant rapidement vers le Saint Graâl. Deux putain de gamins qui ne se lâchent pas la main. Pour tout dire, c'est moi qui lui tient la main, comme si j'avais peur qu'il réfléchisse et se casse. Je souris et quand j'entends du bruit et l'embrasse, je prends un certain plaisir à ce contact. Encore plus quand il se rapproche à nouveau de moi, me colle à la porte, que ses bras s'enroulent autour de moi et que les miens glissent dans sa nuque. Nos lèvres liées s'épousent parfaitement. C'est comme si elles étaient faites pour se rencontrer. Ouai, carrément. "Il y avait encore des passants." Je souris, le regard pétillant. Je me sens bien. Pour la première fois de la journée, de la semaine même, je me sens réellement bien. Et ça fait du bien, ça libère. " Menteur " Murmurais-je contre ses lèvres avant de me tourner et de m'énerver sur la porte. Delilah m'a appris à crocheter les serrures de la Mather House mais j'ai un doute. Je ferme les yeux et je nous revois, les jumelles qui s'occupent d'ouvrir des portes pour le fun. Et aussi pour récupérer ce qui m'appartenait. J'entends un bruit et la porte s'ouvre. " Après vous " Soufflais-je en mordillant légèrement ma lèvre inférieure. " Plus vite que ça, on pourrait nous voir " Lançais-je en lui lançant un large sourire. Et ce serait con de se faire niquer maintenant. Je ferme la porte derrière nous et je vois rapidement une lumière arriver. " La ronde ! " Lançais-je en m'abaissant rapidement pour ôter mes talons. Je perds plus de dix centimètres mais je m'en fiche. J'attrape la main de Darwin et le tire une nouvelle fois jusqu'à la salle de classique où on pénètre sans difficultés. Et dans un coin, je m'assois, le forçant à faire de même. J'éclate de rire et quand la lumière balaye les vitres, de dehors, je tente de me calmer, avec grande difficulté.
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Kyla, tu change une lettre ça fait Kylo
"Deux coupes de champagnes ? Seulement ?" Lui lançais-je doucement, souriant. J'ai assez de frics pour acheté plus que deux pauvres coupes de champagne, même si en même temps, ne pas trop profiter des choses plaisantes comme ça, ça peut aider à ne pas s'en lasser trop vite. Je continue cependant de lui sourire, mon regard rivé sur elle. Avant que les choses ne s'enchaîne, la prise de conscience du dessin que j'ai fait, ce qui nous à conduit dehors, où je la provoque un peu, amusé. "Je pense qu'on peut facilement corrompre un policier non ?" Ouais, je m'enfonce, mais j'ai de l'argent et je sais en jouer quand il faut, je suis sûr qu'un policier, il ne va pas cracher contre un peu d'argent pour arrondir sa fin de mois parce que le salaire qu'il touche et sa prime de risque n'est pas si élevé que ça, c'est pour ainsi dire, même pas mon argent de poche sur le mois... Allez l'argent de poche que j'ai en deux semaines peut-être ? Je la fixe. "Tu as peur de ne plus avoir un casier vierge ?" La questionnais-je alors sans même savoir si c'était le cas ou non. Je ne connais pas son passé, tout comme elle ne connait pas le mien au final, on est quand même deux inconnus, deux paumés qui cherchent à fuir ensembles des démons. Je la provoque une dernière fois avant de finalement démarrer en route pour le campus et une salle de musique.

Sauf que les plans changent une fois arrivée sur le parking de l'université, elle m'entraîne certes vers le bâtiment des arts, qui me semble bien plus lugubres qu'en journée. Il est pas accueillant pour un sou là. Je me perds à le contempler un peu, avant qu'elle ne vienne m'embrasser, à cause des étudiants qui passent. Je réponds à son baiser avec du regard avant de finalement l'embrasser à nouveau, par jeu, pour lui montrer que je peux réellement embrasser comme il faut quand je ne suis pas surpris et cela semble lui convenir, même plus encore, lui plaire. Comment je sais cela ? A ses mains dans mon coups, ses doigts me filant la chair de pouls, ils sont froid, mais j'apprécie cette froideur, cette douceur en même temps. Elle m'électrise et les soucis de cette journée semblent complétement envolé maintenant. Je souris contre elle, lui mentant clairement sur le faux passages d'un autre groupe d'étudiant, chose qu'elle capte et me le fait savoir. Je ris un peu, obtempérant pour la lâcher quand elle pivote dans mes bras pour faire à nouveau face à la porte et réussir à l'ouvrir. Je l'applaudis alors avant de franchir la porte quand elle m'indique de le faire.

Sauf que une fois à l'intérieur, ça devient un autre challenge... La ronde, elle me le signale et je regarde le faisceau de lumière bouger, elle prend d'ailleurs ce moment pour retirer ses chaussures... Genre c'est le moment de se déshabiller ! Non, en vrai, je sais que c'est pour faire moins de bruit et aller plus vite ! Je la suis ensuite, parce qu'elle connait le chemin, pas moi. Je reste derrière elle, me faisant discret tout comme la brune le fait devant moi et je ferme discrètement la porte derrière moi, allant me caler à côté d'elle, sentant mon coeur battre à tout rompre dans ma poitrine à cause du stress occasionné par cette situation. Je rigole alors avec elle. On est con là, comme ça, mais en même temps, on s'éclate et c'est bien mieux que de hurler nos maux aux sommets d'une colline comme elle le proposait, mais froid aussi. On ne risque pas de chopper la crève là au moins. Je la regarde alors, ma main posé sur ma bouche pour me retenir de rire alors que le garde passe près des fenêtre. Une fois qu'on ne voit plus sa lumière, je retire ma main et ris encore un petit moment avant de me pencher vers elle. "On en était où ?" La questionnais-je alors soudainement sérieux avant de venir prendre ses lèvres. Mon casque abandonné à côté de moi, il ne va plus m'entraver, ainsi je peux la toucher comme je le veux, sans me priver. Une main se glissant dans son dos pour la décoller du mur, l'autre caressant doucement sa joue dans le baiser, que je veux plus long que les précédents, plus doux aussi, moins d'enjeu, on est que tout les deux, pas de spectateurs réels ou fictif, juste elle et moi, alors on peut faire ce que l'on veut... Et oui, elle a bien réussit à faire passer mon envie de jouer du piano. Pour le moment. Je me recule alors doucement, cherchant son regard, tout en continuant de frôler ses lèvres des miennes. "Là non ?" La questionnais-je quand même pour savoir si c'est cela qu'elle souhaite aussi.
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"Deux coupes de champagnes ? Seulement ?" Je le regarde et souris légèrement. On peut y passer la nuit et la bouteille entière s'il veut, c'est pas moi que ça gêne. " On commence doucement mon cher Darwin. Crescendo " Soufflais-je avec un sourire avant de se tourner vers autre chose, vers la peinture, vers la pénombre et le soleil qui a fini par laisser - définitivement - place à la lune. Une belle lune bien ronde mais bien cachée par les nuages. Merci le vent et le temps pourri de Boston ces derniers temps. "Je pense qu'on peut facilement corrompre un policier non ?" Je ris en lui montre mon corps du bout du doigt. " Avec ça, je corromps n'importe qui " Soufflais-je bien trop sûre de moi. Mais en même temps... Qui oserait me recaler, sérieusement ? J'ai tout ce qu'il faut où il faut et je sais user de mon charme et de la parole pour avoir ce que je veux. J'ai toujours ce que je veux et ça ne changera jamais, ça c'est clair et net. Encore moins maintenant que je suis déterminée à profiter de ma vie, à y aller doucement mais surement. "Tu as peur de ne plus avoir un casier vierge ?" Il me cherche et je crois définitivement qu'il va finir par me trouver. Joue pas trop avec Darwin parce que tu vas finir par te brûler. L'arroseur arrosé, ça serait bien ça, comme situation. " Et qui te dit qu'il est vierge, mon casier ? " Demandais-je simplement en le défiant du regard. Bon, ok, il est vierge - pas comme moi ahah - et j'espère qu'il le restera encore longtemps parce que je n'ai aucune envie de voir un truc s'afficher sur ce bout de papier qui me suivra toute ma vie. Surtout maintenant que je vais entrer au F.B.I. Ce serait le comble que ce soit mes futurs employeurs qui me sortent de la merde ou je ne sais trop quoi. Non, franchement, si on pouvait éviter quoi que ce soit de trop risqué et qui pourrait me mettre hors service, ça serait sympathique comme tout... Enfin, je pense quand même qu'il me laissera le choix jusqu'à la dernière minute, jusqu'à la dernière seconde même. Il ne manquerait plus que ça, qu'il me force et là je crois que... que je l'assomme ou lui crève un oeil avec mon talon haut, au choix. Le tour en moto, les baisers fiévreux échangés et voilà qu'on est devant le bâtiment des arts. Salle de musique, salles de danses, tout est là, à notre portée et on voit la Lowell House d'où on est, ce qui m'arrache un sourire. Une fois dedans c'est encore la course parce qu'il faut faire attention aux gardes qui font leur ronde et à tout ce qui va avec. Si un étudiant nous voit, on est fini. Et je ne pourrais pas me faire passer pour Delilah cette fois-ci, c'est mission impossible. Parce que ma chère jumelle est un peu à l'autre bout du globe et elle doit avoir un sacré bide d'ailleurs ! Il faudrait que je l'appelle un jour ou l'autre mais là, on a d'autres chats à fouette. Je pince mes lèvres, me mordant comme une idiote pour ne pas éclater de rire et nous faire voir. Il ne manquerait plus que ça... Je pose mes chaussures et mon regard se perd rapidement dans le sien. Un dernier éclat de rire et quand il demande "On en était où ?" j'hausse les épaules comme si je ne savais pas où on en était. Je crois qu'on en est nul part en fait et c'est peut être ça le pire dans l'histoire. On est deux gamins brisés qui tentent de prendre du temps, du bon temps l'un avec l'autre, comme si ça allait arranger quelque chose. Ses lèvres sur les miennes, un baiser moins pressé, moins arraché, sa main dans mon dos, l'autre sur ma joue et je me rapproche de lui, glissant une jambe de chaque côté du jeune homme pour me glisser encore plus près de lui, que ma poitrine touche son torse. Il se recule légèrement et je le regarde, souriante. "Là non ?" J'acquiesce et murmure, mes lèvres glissant sur les siennes à chaque mot. " On en était là mais on est pas là pour ça " Je souris et me redresse rapidement pour filer au milieu de la salle. Le parquet est froid sous mes pieds mais ça fait tellement de bien. J'ai l'impression d'être à la maison et c'est pas du luxe, vraiment. " Allez Darwin, viens me montrer ce que tu sais faire de tes dix doigts... " Soufflais-je en posant mes fesses sur le piano. Je le regarde et finis par m'allonger sur le piano noir plus que propre. Je me glisse dessus, remontant au maximum près des touches pour soulever le rabas. Mon tshirt est tiré comme pas possible et il a une vue magnifique sur ma poitrine. " Je peux pas faire mieux " Soufflais-je en appuyant sur des touches au hasard. Des fausses notes, bien entendus, c'est horrible pour l'oreille humaine mais je suis sûre que c'est comme ça que je vais l'attirer...
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