Kyla, tu change une lettre ça fait Kylo

J'ai ce besoin de faire le vide, d'oublier la sentence qui est tombé aujourd'hui... Parce que oui, pour moi, apprendre qu'elle est enceinte, c'est une putain de sentence. Elle va me pourrir la vie pour les vingts prochaines années, parce qu'elle ne sait pas quoi faire et si elle ne se décide pas vite, il sera trop tard... Elle est quoi ? Déjà enceinte de deux-trois semaines un truc du genre ? je sais pas quel jour on a couché ensemble exactement... C'est pas quelque chose que je marque aux calendrier... Genre le premier j'ai couché avec elle, le trois avec cette fille là... Le mec qui fait ça, c'est un vrai bâtard. Bon, je sais que je peux m'y rapprocher, mais c'est parce que je le veux, pas parce que je le suis réellement. Je refuse de m'attacher à une nouvelle fille. Je soupire alors, m'arrêtant devant ce bar que je ne connais pas, j'ai juste calé sur le mot bar et je crois que c'est ce qu'il me faut là... retirant mon casque, je descends de ma moto et me dirige rapidement vers l'intérieur de celui-ci, posant mon casque sur le bar une fois à l'intérieur, je prends place sur un tabouret juste à côté et commande immédiatement un whisky, ignorant l'odeur de peinture qui flotte dans l'air...

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Assise au bar, je regarde droit devant moi. Le barman me sourit depuis cinq minutes et je pense qu’il croit que je le drague vu son regard. Manque de bol crétin, je suis juste au fond du trou et j’ai pas envie de discuter. ’ Un autre verre s’il vous plait ‘ Lâchais-je en tendant mon verre sans sourire, rien. J’étais mal, complètement mal et je crois que je n’aurais pas du venir ici. Pourquoi est-ce que je suis venue dans ce quartier sérieusement ? Parce que j’avais envie de le voir ? Bien, très bien. Mais c’était la pire idée au monde. J’ai honte de moi, ouai, carrément. Je soupire, croise mes bras sur le bar et pose mon crâne sur mes bras. Je soupire fortement et ferme les yeux quelques secondes. Je suis dans un bar ‘artistique’, ça pourrait clairement être une petite thérapie pour tout ce que je traverse mais non, je me refuse à prendre un pinceau et à filer vers les toiles vierges. Ce n’est d’ailleurs que lorsqu’un jeune homme se place à côté de moi que je relève la visage, par respect dira-t-on. Je lui souris légèrement et attrape mon verre de whisky pure, que je bois d’une gorgée avant de poser le verre sur le bar, le coeur lourd. J’ai besoin de me défoncer ce soir mais il ne faut pas, absolument pas. Je regarde le jeune homme et lui adresse la parole. " Des soucis ? " Il a le visage fermé, il a l’air d’être en pleine réflexion, c’est pas rien quoi. Puis bon, avec les cours que je suis à Quantico, je tente de mettre la théorie en pratique. " Parait que la peinture est une super thérapie quand on a pas forcément envie de discuter " Soufflais-je avec un sourire, lui tendant ma main droite. " Kyla Carmichael-Jobs " Lançais-je en ne me doutant pas une seule seconde que j’avais un Eliot devant moi. Sinon, concrètement, je serais partie en courant.

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Je viens de prendre place au bar, sur un tabouret, à peine mon verre commandé qu'une fille m'adresse déjà la parole. Sauf que je la reconnais assez rapidement, c'est la copine de Cole, j'ai eu le loisir des le voir accrochés au bras l'un de l'autre il n'y a pas si longtemps que ça encore. Je réponds à son léger sourire en attrapant mon verre et en boit rapidement une gorgée. Je repose ensuite mon verre, continuant de regarder la jeune femme alors qu'elle commence à me donner des conseils. "Pourquoi ne pas t'y mettre alors ? parce que je suis pas le seul a avoir des soucis semble-t-il." Parce qu'il me suffit d'être un peu observateur pour voir que si elle est là, toute seule c'est parce qu'elle a quelque chose à oublier ou alors que quelqu'un lui a posé un lapin. Cole peut-être ? A cause d'Hippolyte ? Ça m'étonnerait même pas, mon double féminin serait bien le genre à faire ça. Elle se présente alors, me donnant son prénom et son nom complet. Je saisis alors sa main et lui réponds. "Elis Darwin Kamprad, mais tout le monde m'appelle Darwin." Je souris, espérant qu'elle allait pas avoir la brillante idée de faire comme cette idiote de Charline et commencé à m'appeler Elis. Si c'est le cas, je risque clairement de couper court à la conversation, parce que je préfère clairement ce surnom que je me suis attribué, puis il passe tellement facilement pour un second prénom que les gens pensent pas forcément que c'est juste un surnom sortit de nulle part ou presque. Parce qu'au final, Darwin, ça a une putain de signification, la théorie de l'évolution, ceux qui s'adaptent le mieux survivent, la loi du plus fort en quelque sorte. Et notre monde est régit pas ces lois.

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Je le regarde et souris légèrement. " Parce qu'il parait que la thérapie à deux, ça fonctionne encore mieux " Lâchais-je simplement, sans prendre en compte le fait qu'il venait de pointer de manière simple et claire que j'allais mal. Fuck. J'ai pas envie de parler de ça, j'ai pas envie de parler de moi. Non, aujourd'hui je change de côté du divan et j'écoute les soucis d'un autre. Et pas n'importe quel autre. Un Kamprad, rien que ça. J'ai vu l'effectif de la EH quand je devais y entrer et j'ai fais mes petites recherches aussi. J'étais prête à tout pour entrer dans leurs putains de rangs, avant de changer d'avis telle une enfant de douze ans. Enfin non, j'ai eu la réaction d'une femme amoureuse et ça ne m'a pas bien réussi, visiblement. " Et bien, tes parents ont placé tous leurs espoirs sur toi " Soufflais-je avec un sourire. Darwin, c'est pas rien comme prénom et je reste persuadée que les prénoms choisis par nos géniteurs n'y sont pas pour rien. Après tout, mon prénom veut juste dire "couronne" et c'est pas rien ça, quand on y pense. Je plonge mes lèvres dans mon nouveau verre de whisky et soupire fortement. " Tiens. Et si on allait tous les deux en thérapie, Darwin ? " Demandais-je avec un sourire. Parce que je crois que ça nous fera du bien à tous les deux. Peut être même plus à lui qu'à moi. Parce qu'un coeur brisé et le flou artistique - pas si artistique - dans lequel je me trouve ne s'estompera pas comme ça, en un claquement de doigt.

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Je regarde la jeune femme et esquisse un léger sourire quand elle me réplique que ça marche mieux à deux. "Alors testons ?" Parce que de toute façon, je n'ai rien à perdre, que ça soit à boire ou à peindre, il faut que je m'occupe d'une façon ou d'une autre et me concentrer avec un pinceau en main, ça peut me permettre de me focaliser sur autre chose que sur le bébé qu'elle attend non ? Sauf que voilà, au lieu de nous éloigner du bar, on y reste et on continue de parler, s'échangeant quelque politesse tel que nos identités, pour avoir plus facile de parler, même si je sais déjà qui elle est... Après tout, elle fréquente un membre clef de la confrérie que j'essaye de rejoindre. "Je suis l'aîné, c'est probablement pour ça." Dis-je tout simplement, parce qu'on sait toujours que c'est l'aîné qui doit être le meilleur, celui qui doit reprendre la suite, le second, il doit rester inférieur à son frère, parce qu'il ne doit pas être mieux que lui, il ne doit pas placer son frère dans une position délicate. C'est pas juste pour le petit frère, qui se retrouve à devoir être moins bon que son aîné, qui doit rester l'éternel second en permanence, juste parce qu'il n'a pas eu la chance de naître premier... J'aurais jamais supporté cette place moi, être second, derrière en permanence, mais l'éducation doit jouer aussi, dans le sens où dès son plus jeune âge, il aurait été habitué à cela non ? Je sais pas si mon frère subit cela. Je ne pense pas, pour ça nos parents ont toujours été cool, sinon, ils n'auraient pas accepté qu'il saute un an, que Felix, malgré qu'il soit un an plus jeune se retrouve dans la même classe. Je me lève assez rapidement quand elle se porte volontaire à jouer à la thérapie à la peinture. "Allez, c'est partit." Après tout, je suis en art plastique en mineur, alors c'est pas de la peinture qui va me faire peur, même pas quelque tâche, de toute façon j'ai l'argent pour le pressing ou simplement pour m'acheter de nouveaux vêtements si jamais ceux-ci sont trop sale. J'attrape cependant mon verre de Whisky pour ne pas le laisser là, je paye pas pour rien non plus.

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Testons. Oui, voilà, testons. Si j'étais dans mon humeur normale, j'aurais bien été capable de lui dire que, de toute façon, à deux c'est toujours mieux mais je n'ai pas la tête à ce genre de blagues, loin de là même. Je serais plutôt du genre à pleurer sur mon sort, à pleurer toutes les larmes de mon corps et à me répéter que ma vie c'est vraiment de la merde. En partant, il a tout pris avec lui, comme un ouragan qui ravale une ville. Et ces villes ne s'en remettent jamais vraiment. Et je crois que je suis une de ces villes détruites pour x ou y raisons, je ne m'en remettrais jamais réellement. On ne se remet jamais de ce genre de choses, je crois. Enfin, il faut que j'arrête de penser à tout ça avant de devenir folle ou pire, de pleurer comme un bébé. Parce que ça serait bien ma manière de réagir ça : me mettre à chialer comme une merde pour aucune raison. Assise, je lui souris légèrement. " Je comprends alors.. " Soufflais-je avec un sourire. Je comprends très bien parce que c'est moi la première maintenant que Savannah est morte et ce n'est pas toujours facile. À vrai dire, ça n'a jamais été facile. Elle était la première, l'enfant prodige et moi j'étais l'artiste, celle qu'on poussait à enchaîner les compétitions et tout ce qui va avec. Mais je ne regrette rien. Encore moins maintenant que ma vie a changé du tout au tout. J'arrive pas à croire que mes parents m'ont menti si longtemps. Je ferme les yeux quelques secondes et lui proposé de profiter de ce lieu bien comme il faut. Je termine mon verre et saute en bas de mon tabouret, juchée sur mes talons hauts. C'est trop rapide après trois whiskys bus un peu trop rapidement. Je souffle et demande un coca cola light avant de filer vers les toiles. " Je n'ai plus touché à une toile depuis mon départ de la lowell house " Confiais-je rapidement avant de poser mon verre sur la table près de nous et de regarder les couleurs. Je prends du bleu, du noir et du blanc. Et même si ma manucure est toute fraîche, je pose les doigts dans la peinture et créée plusieurs teintes de bleu. Le bleu, l'espoir, l'horizon. Le Bleu Roi Eliot. Et j'écrase mon doigt au milieu de la toile, soupirant fortement. " Je ne fais rien de conventionnel, parait-il " Lâchais-je au blond en collant mon poing dans les teintes de bleues avant de le poser rageusement sur la toile. J'avais envie de le boxer comme j'avais boxé ces pétasses à Quantico...

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Quand elle se lève, son verre de coca cola light en main, je la suis, la laissant choisir une toile libre pour me mettre un peu derrière elle et la regarder faire, je sais pas si je vais réellement me mettre à peindre ce soir, parce que je sais pas du tout ce que je pourrais dessiné, j'ai pas réellement la tête à me dire, je vais dessiner ça ou ça. Je lui souris alors. "Pourquoi t'as quitté les Lowell ?" Question simple, suivant ce qu'elle vient de me dire, c'est un bon moyen pour faire la conversation, pour tenter d'oublier mes propres problèmes en me concentrant sur elle, sur ce qu'elle peut me dire. Je pourrais peut-être même tenter de la draguer un peu ? Ouais, après tout, je sais qu'elle est en couple avec Cole, alors ça peut être drôle. Après tout, je peux bien le pourrir un peu vu comment il nuit à la vie de mon cousin. Je lui souris et m'approche un peu plus d'elle, mon verre de Whisky déposé sur la table proche de nous. "C'est toujours agréable ce qui sort du lot. Le non conventionnel est souvent..." Je cherche un peu mes mots en la regardant, la détaillant un peu malgré moi. Cole n'a pas de si mauvais goût en fille, du moins, si je la juge elle et pas les autres prétendantes qu'il peut bien avoir. "très captivant." Lachais-je alors avec un petit sourire aux lèvres avant de remarquer qu'elle semble vouloir boxer sa toile en vue de comment elle étale la peinture dessus. "Je sais pas à qui tu penses là... mais je voudrais pas être à la place de la toile." Lui commentais-je doucement en posant ma main sur son poignet pour calmer un peu ses coups. "Tu vas la déchirer." Murmurais-je alors que je suis dans son dos, je l'entraîne alors, doucement pour qu'elle fasse des mouvements plus doux avec sa main. Mon visage à côté de son oreille.

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Je souris légèrement en entendant Darwin dire que le non conventionnel a quelque chose de très captivant. Normal. Surtout que pour ces gens là, tout ce qui ne suit pas les règles qu'ils connaissent est perturbant, attirant. Ils haïssent les mathers pour leur non respect des règles - et pas que - mais au final, ça les excite tous à moitié. Je ne bouge pas, préférant continuer de m'attaquer à cette toile blanche qui ne l'est plus tant que ça. J'y déverse ma rage, ma colère, cette peur que j'ai de ne plus jamais le retrouver. Et je frappe sur tout ce que je déteste de lui : son appartenance à la Eliot House, cette rancune qu'il a envers un être humain qui ne devrait pas avoir son attention. Il a vécu plus de vingt ans sans, pourquoi ne pas continuer ? Sa main sur mon poignet, je tourne le visage et le regarde. " T'es sur ? Je serais peut être plus douce si c'était toi, la toile " Soufflais-je, arrogante comme jamais. Ou alors je le boxerais pour de vrai, j'imaginerais Cole à sa place et je lui foutrais tous les coups que je rêve d'assigner à mon ex petit ami. Si c'était un Mather à la place de Darwin, j'aurais envie de le frapper parce que c'est à cause des valeurs qu'il porte que je suis là à l'heure actuelle. Je regarde ma toile et quand je le sens presque collé à moi, je me sens mal à l'aise. Mais je ne dis rien. " C'est mon chef d'oeuvre que t'essayes de réparer là ? " Soufflais-je en glissant légèrement mes doigts sur la toile avec plus de sensibilité, de sensualité presque. " Tu fais quoi là Darwin ? T'essayes de prouver que l'ex de ton VP est une pétasse qui se laisse draguer par un Eliot ? T'essayes de prouver que c'est ça, qui m'intéressait chez lui ? Son rang et son fric ? " Demandais-je en tournant le visage vers lui, nos lèvres vraiment très proches l'une de l'autre.

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Ma main sur son poignet, j'essaie de l'inciter à faire des gestes plus doux, moins violent avec la toile, j'ai pas trop réagit à ses propos d'avant, sur le fait qu'elle serait plus douce si j'étais là toile, lui proposer d'être peint, c'est pas trop mon trip, même si j'avoue que le bodypainting ça rend pas mal souvent, mais non merci, je m'aime bien sans peinture. Puis, si jamais elle décide au contraire d'être violente comme avec la toile, je risquerais d'être bleu, mais pas à cause de la peinture. Je tiens pas trop à devenir un schtroumpfs. Enfin soit, je lui parles doucement, à l'oreille et je rigole un peu. "J'essaie de t'empêcher de le tuer en faisant un trou dans la toile surtout." Même s'il fallait y aller quand même pour réussir à le déchiré, mais bon, c'est pas infaisable non plus... Je ne m'attends pas à ce qu'elle tourne la tête et nos lèvres qui sont maintenant qu'à quelque centimètre alors qu'elle me répond, m'attaque à cause de Cole. Je la dévisage un instant, fronçant les sourcils. "Je savais même pas que c'était fini entre vous. Cole la dernière fois que je l'ai vu, je l'ai collé à un placard et presque étrangler alors ça sera bien ma dernière idée que de lui rendre ce service." Lui rétorquais-je en toute franchise. "Ensuite que tu sois avec lui pour son nom, son fric ou parce qu'il est bon au lit, j'en ai rien à faire." Un haussement d'épaule et je lui adresse un léger sourire et effleure ses lèvres des miennes, pour un baiser un peu trop chaste. "Je veux, je prends, c'est tout. Que tu sois encore avec lui ou pas. Que tu ai peur pour ta réputation ou pas. J'en ai rien à faire." Ouais, oublier de cette façon mes emmerdes, en m'en créant des autres, ça peut être pas mal. Ainsi, je vais oublier Khalilah et le bébé pendant un moment.

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Je crois que je le déteste en fait. Je crois que même s'il avait été le plus séduisant et le plus gentil des hommes, je le détesterais. Pourquoi ? Parce qu'il est Eliot, parce qu'il représente cet homme idéalisé que je déteste, que je vomis à chaque fois que je le vois, se pavanant sur l'université comme un paon qui fait la roue. Et pourtant, y a un truc qui m'attire chez Darwin. Ce côté froid, sûre de lui, maniaque du contrôle dans l'âme. Il n'y a qu'un dingue du contrôle pour se placer derrière moi et m'empêcher de faire ce que je veux alors qu'il sait que je suis une 'artiste'. " Ça serait pas conventionnel, ça serait... captivant " Lâchais-je pour reprendre ses mots. Ouai, captivant, rien que ça. Et c'est lui, qui me captive à ce moment même. Je suis comme hypnotisée et ça me rend complètement folle. Mes yeux dans les siens, je lui crache ma haine et il me répond le plus simplement du monde. Il n'est pas là pour rendre service à Cole ? Il a essayé de l'étrangler contre un placard ?! Je le déteste encore plus pour avoir fait du mal à l'homme que j'aime. Ou du moins, avoir essayé de lui en faire. Ses lèvres frôlent les miennes et je ne bouge toujours pas. " Tu me veux, donc ? " Lâchais-je, le regard toujours collé sur lui. " Et bien prends moi " Soufflais-je, le défiant du regard, la main en suspens au dessus du vide. " Et je peux savoir pourquoi t'as voulu le défoncer ? " Demandais-je, captivée par son regard, curieuse comme jamais. Il va bien, il n'a pas d'ecchymoses alors c'est qu'il n'a pas été jusqu'au bout. " Les Eliot ne se battent pas, c'est ça ? " Gentleman de mon cul oui. Usez de vos poings les gars.

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