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(hot) AUSTIN ▼ and you can see my heart beating.

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Je souriais en caressant son corps tout doucement, alors que mon regard se perdait dans le sien, sentant ses mains venir se poser sur mon érection. La situation ne me paraissait pas étrange contrairement à ce que l’on pourrait penser. J’attrapais délicatement ses deux mains pour venir entrelacer mes doigts aux siens et venir les déposer à chaque extrémité de sa tête, sur son coussin bad gamme de l’hôpital. Elle semblait me faire confiance et c’était tout ce qui m’importait. Caressant délicatement les paumes de ses mains, je venais m’introduire elle dans un soupir d’aise. Je me rapprochais alors doucement d’elle pour venir l’à prendre contre moi afin de commencer de longs vas et vients en elle. Mine de rien en y pensant cela faisait longtemps que je n’avais pas couché avec quelqu’un.
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Une fois en elle, je me sentais entièrement rassurée comme si j'étais vraiment à ma place. Je l'a voyais petit à petit se détendre sous mes doigts, ce qui me fit légèrement sourire et surtout plaisir. J'avais dû mal à imaginer que d'autres garçons que moi ai pu passer par dessus MA Madisson que je connais depuis son plus jeune âge -oui ça me mettait en rogne- mais je ne pouvais pas l'a couver indéfiniment et je l'avais très bien compris le jour où j'ai appri l'histoire avec Konrad que, malgré les apparences, je ne digère toujours pas ayant vécu ça comme une réelle trahison venant des deux. Un véritable coup de couteau dans le dos. Comme quoi, la petite rose est loin d'être toute blanche. C'est fou au tas de choses que l'on peut penser lorsqu'on couche avec quelqu'un. Est-ce que l'on peut dire qu'on fait l'amour ? Se serait osé et vraiment intime pour le coup. On ne baise pas non plus puisque j'ai bien trop de respect à son égare, alors disons qu'on partage juste un excellent moment intimité ensemble. Voilà le terme exact. Je continuais mes vas et viens en elle qui se faisaient de plus en plus rapide, mon bassin claquait contre le sien dans un mélange de gémissement intense. Il n'y a aucun doute, cela m'avait quand même manqué.
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Je n'en revenais toujours pas de ce que nous étions en train de faire en ce moment même. Etait-ce bien ? Etait-ce mal ? Quelles allaient être les conséquences de cette partie de jambe en l'air ? Je penses que dans tous les cas, nous en avions tous les deux besoins afin de se rassurer, de se dire que nous sommes bel et bien vivant. Une part de moi avait peur qu'elle se fasse de faux espoirs, mais une autre part de moi me disait que de toute façon, elle n'en avait plus rien à faire tant elle avait de prétendant. Il fallait que j'arrête de m'accrocher à cette histoire qui mène nulle part et agir comme un meilleur ami le ferait. Comme au bon vieux temps. Bon, cette résolution je l'appliquerais d'ici quelques minutes, car l'a, ce n'était vraiment pas la meilleure des manières d'être qu'un simple ami, car les amis ne couchent pas ensemble. Enfin, je crois. Je continuais sur la même cadence en essayant de me vider la tête. Je voyais bien qu'elle aimait ça, ne voyant même presque plus aucune douleur sur son beau visage. Ça faisait un bien fou de l'a voir apaisée. Mon cœur battait de plus en plus vite, mon souffle de plus en plus irrégulier et mes mouvements s'enclenchaient presque automatiquement. Jamais je ne m'étais senti aussi libre avec elle, la réalité fut plus brutale lorsque j'éjaculais en elle. Certes ça faisait un bien fou, c'était un moment qui nous appartenait, mais il fallait que ça signe la fin de cette relation tordue et presque malsaine au final. Je me retirais alors doucement d'elle ayant l'impression qu'une drôle d'ambiance avait fait place dans cette chambre déjà bien froide. Que dire après tout ?
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Le malaise qu'il y avait dans cette pièce après l'avoir fait était tout nouveau. Même après sa première ce n'était pas aussi...bizarre. Il faut croire que grandir nous réussis pas. Je déteste vieillir et devoir affronter la dure réalité, ce que les gens appellent la vie d'adulte. Franchement, plus tard à mes enfants je leur dire de ne pas grandir, car c'est un vrai traquenard ce truc. Je laissais Madisson faire le premier pas vers pour tenter un quelconque geste envers moi afin que cette situation ne dure pas trop longtemps et je lui en remerciais. J'esquivais un fin sourire alors que je venais l'a prendre doucement dans mes bras pour ne pas lui faire mal. « Je serais toujours là pour toi, même à l'autre bout du monde tu le sais ? Malgré toute notre histoire ensemble ça ne change rien au fait que tu sois ma Madisson, tu fais parti de ma vie, t'es comme mon sang et si quelqu'un venait à te faire du mal je serais prêt à aller en prison pour défendre ton honneur » J'avais pris son visage entre mes mains pour lui faire une véritable déclaration d'amimour si je puis dire. « Mais je veux que tu puisse te confier à moi, que t'arrête d'avoir peur, je suis ton meilleur ami avant tout et j'ai l'impression que tu me cache pleins de trucs et j'ai horreur de ça, car je te vois t'éloigner de moi et j'ai peur que dans quelques années on ne se parle même plus tu vois, alors que moi j'ai envie qu'on rigole de nos conneries quand on sera vieux, qu'on fasse des courses de fauteuils roulants et des batailles de cannes, qu'on foute la merde à la cantine des maisons de retraites » disais-je en rigolant, alors que je continuais à caresser ses joues.
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Cette situation aurait pu nous paraître totalement anodine. Ce n'était pas la première fois que l'on couchait ensemble sans être en couple et la plupart du temps.. La suite était soit un retour chez lui ou alors une dispute ou juste faire comme si de rien n'était. Sauf que là.. Nous avions couché ensemble pour se rassurer et c'était bel et bien la dernière fois que nous le faisions. Pas besoin de se le dire, c'était logique. Nous ne pouvions pas continuer ainsi sans s'auto-détruire mutuellement. Je l'aime, il m'aime mais ce n'était pas le bon instant dans nos vies. Je commençais à me faire à l'idée que nous n'étions pas fait pour être en couple et même si cela faisait toujours aussi mal, je devais l'accepter. Son sourire me réconfortait alors que je me laissais aller dans ses bras en me décontractant instantanément. Je n'avais dit que trois mots, mais je savais qu'il n'était pas trop du genre discours donc j'avais fait bref et rapide. Néanmoins, je fus surprise de l'entendre parler autant et d'ouvrir son cœur. C'était vraiment étonnant mais je l'écoutais sans le couper. Je le savais. Tout ce qu'il me disait, je le savais déjà car il l'avait toujours plus ou moins sous-entendu. L'entendre de vive voix me faisait chaud au cœur. Mon visage entre ses mains, nos regards ne se quittaient pas et toute la sincérité qui se trouvait dans son regard me coupait le souffle. Il était bien plus qu'un ami, un confident, un meilleur ami ou un (ex) petit ami. Il avait une place que personne ne pourrait jamais prendre. Jamais. La seconde partie me faisait un peu plus de mal. Je savais ce qui allait se passer dès qu'il repartirait, qu'il franchiserait cette porte pour être loin de moi physiquement. Qu'allait-il se passer ? Exactement la même chose que lorsque je l'avais laissé à l'hôpital, le Spring Break dernier. Un plongeon pour atterrir au plus bas. Lui avait trouvé son refuge dans la drogue, ce ne serait pas mon cas mais ça allait être violent. Parce qu'il fallait que j'oublie mes peines de cœur, que j'efface de ma mémoire le fait de m'être prise une balle réelle et que je trouve le moyen de faire le vide dans ma tête.  « Tu resteras toujours mon Austin » souriais-je avec douceur sans le quitter un seul instant du regard. « Je serais aussi toujours là pour toi donc.. Évite d'aller en prison, ce n'est pas trop mon truc d'être enfermer avec des gens étranges dans ton genre » le taquinais-je pour essayer d'amener la suite le plus subtilement et le plus posément possible. « Je.. Tu sais, après être parti de l'hôpital au Spring Break, ça n'a pas été facile pour toi.. » chuchotais-je, ne voulant pas qu'il se replonge trop dans ce souvenir si noir. « Je vais sûrement avoir un passage à vide, mais.. Je n'oublierais jamais que tu es là » mentionnais-je pour qu'il ne l'oublie pas. « Si pendant cette période, on ne se voit pas et qu'une autre personne m'aide, ne t'en veux pas, d'accord ? Je reviendrais en forme très vite » espérais-je pour ne pas qu'il s'inquiète trop. Si seulement je savais ce qu'il m'attendait.. « T'es tellement chiant qu'on sera forcément dans la même maison de retraite à se faire chier tous les deux, tu sais » pouffais-je pour que l'atmosphère soit plus détendue. Souriant tendrement, je venais déposer mes lèvres contre les siennes une dernier fois. C'était dur et compliqué de se dire que c'était fini, terminé pour de bon, mais c'était mieux pour nous deux. J'avais mis du temps à l'accepter mais c'était chose faite et le temps fera le reste.
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J'esquivais un petit sourire à sa réponse. Ça me rassurais qu'elle connaisse qu'un seul Austin. Je continuais de l'écouter parler et même si cela serait dur, je devais me faire une raison que parfois il y a certaines choses qui est préférable de partager avec d'autres personnes et je me dis que ce n'est peut-être pas plus mal, après tout dépend de la personne qui elle décide de partager ses dites choses. Néanmoins, je continuais de sourire tandis que je commençais à enfiler mon bas puis mon t-shirt, remettant mes cheveux comme je le pouvais. « J'espère bien » Je rigolais alors que je m'approchais d'elle pour lui déposer un bisou au coin des lèvres. « Aller, repose toi, je repasserais » Je souriais une dernière fois avant de quitter la pièce et de fermer la porte derrière moi. Je n'avais plus à porter ce sourire qui n'tait pas si vrai que ça, mais au moins je l'avais rassurée en quelque sorte.


(tu peux répondre une dernière fois en le clôturant :tighthug: )
END
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