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(hot) AUSTIN ▼ and you can see my heart beating.

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Trois jours. Trois journées que je me reposais tranquillement, que je donnais d'un sommeil de plomb et même si parfois je papillonnais légèrement des yeux, je ne voyais rien. Comme si j'avais perdu la vue. J'entendais beaucoup de choses, je tentais de reconnaître des voix mais.. Tout était flou dans mon esprit. Je suppose qu'Andrew était là et.. Je ne reconnaissais pas ces voix féminines qui piaillaient bien trop souvent autour de moi. J'étais si bien dans ce sommeil que je n'avais pas envie d'en sortir. C'était confortable et apaisant. Plus à se soucier de mes études, de ma famille, de mes amies et encore moins de mes amour. Je pouvais juste être en paix et ça me plaisait peut-être un peu trop. Des « bips » résonnaient dans la pièce et je fus contrainte d'ouvrir les yeux. Faiblement, je décollais mes lourdes paupières, le souffle léger alors que j'avais l'impression de ne pas être seule. Où.. étais-je ? Gigotant un peu dans mon.. lit ? Je m'arrêtais bien vite en ressentant une vive douleur à mon flanc. « Aïe » grimaçais-je en tentant de bouger les doigts. Impossible. Wow, c'était quoi ce bordel. J'ouvrais un peu plus les yeux, paniquant quelque peu avant de tomber dans des putains de yeux émeraudes qui me firent sursauter. Wtf. « Qui.. » Pouce. J'allais lui demander qui il était, c'est ça ? J'étais totalement perdue. C'est.. Austin. Oui. Non. Enfin, si, merde.. Quand avait-il coupé ses cheveux ? Ma respiration s'accélérait alors que mes larmes menaçaient déjà au coin de mes yeux. Les murs blancs, lui.. C'était quoi ce bordel ?!
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Je m’apprêtais tranquillement à passer un entretien d’embauche non loin d’Harvard comme je m’étais promis. J’avais rendez vous dans l’après-midi, mais c’était sans compter le message d’un numéro inconnu -parce qu’autant dire que je n’ajoute pas tous mes ennemis dans mon répertoires sinon ils seraient remplis depuis bien longtemps- j’avais relu au moins dix fois le message en essayant d’y déceler un message caché ou une blague, mais j’avais fini par embarquer dans mon Range Rover sans me poser plus de question enfreignant le code de la route à plusieurs reprises. Autant dire que lorsque ce genre de moment vous arrive, plus rien ne compte. Déboulant dans l’hôpital, tout le monde avait dû remarquer ma présence, car tout le monde avait arrêter ce qu’il était en train de faire. “Je suis venu voir Madisson L. Galloway” Je roulais des yeux lorsqu’on la fameuse question fatidique sorti de la bouche de l’infirmière. “Vous êtes de la famille” Je soupirais “Je suis son frère” C’était la première chose qui m’était venu à l’esprit. A peine eut-elle fini de parler, je fonçais en direction de chambre et ça me faisait un mal de chien de l’à voir ainsi. Moi qui m’étais juré depuis tout petit de l’à protéger de ce monde sans sens, voilà qu’elle était allongé là, branchée à toutes ses machines et à cause de qui ? Encore de cet foir. Je me jurais de le buter si nos chemins venaient à se croiser. Je m’étais emparé de sa main, attendant sagement qu’elle se réveille. J’avais dû rester là pendant des heures, demandant gentiment aux infirmières de m’apporter des cafés, car je refusais tout simplement de bouger de ma chaise en fait. C’est au bout de quatre heures que ses paupières tremblaient et enfin, je pouvais voir ses prunelles qui étaient restées cachée pendant si longtemps. “Hey, vas-y doucement” Lui conseillais-je pour ne pas qu’elle se fasse encore plus mal. “Comment tu te sens bichette ?” Je caressais doucement ses cheveux en souriant. Si j’avais pleuré tout en sachant qu’elle était pourtant hors de danger ? Bien sûr, car j’avais failli la perdre et c’était la seule chose dont j’avais réellement peur, perdre les gens que j’aimais. Bien entendu, cela restera un secret. Mes yeux avaient eu le temps de dégonfler et le café me maintenait éveillé. “Et après c’est moi le loire ?” Blaguais-je pour essayer de la faire rire, mais aussi parce que j’étais soulagé.
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Mon corps tout entier semblait avoir du mal à se remettre en route. Où étais-je ? Que se passait-il ? Mon esprit avait du mal à se reconnecter avec la réalité et je ne comprenais pas ce que je faisais dans ce lit qui ne ressemblait pas à celui que j'avais à la Cabot House, dans mon appartement ou chez mes parents. Mes souvenirs s'embrouillaient alors que j'ouvrais délicatement les yeux pour tomber sur ces prunelles émeraudes que je connaissais si bien. Un court instant, je ne le reconnus même pas. Il.. Ses cheveux, le fait qu'il soit là.. ça me semblait totalement irréel et je me rappelais très vite comme une gifle que nous n'étions qu'amis. Mon cœur se serrait et entre la panique et ce souvenir, c'était assez compliqué pour moi de rester calme. Le fait de bouger me faisait mal au flanc et je ne savais plus pourquoi j'avais mal. Tout était si flou que j'en avais des vertiges. J'entendais mon mouton à moitié et j'étais encore trop sonnée pour me rendre compte de tout. Ah. Si. Le contact de ses doigts dans mes cheveux, ça.. Ce geste eut le bonheur de me calmer directement. Un contact si banal mais si réconfortant et rassurant. Nos regards ne se lâchaient plus et je me rappelais sans cesse de ne pas oublier de respirer. Son petit humour m'arrachait un léger sourire alors que j'étais encore totalement désorientée. « J'ai pas dormi tant que ça » râlais-je, la voix rauque. Wow, on dirait que j'ai fait trop la fête vu la voix que je me payais. « On est quel jour ? » demandais-je, un peu à l'ouest. « Et.. Tu as coupé tes cheveux quand ? » le questionnais-je, surprise de les voir si court tout à coup. « Je.. J'suis où ? » Le pauvre, je l'assaillais de questions mais.. Je devais avouer que j'étais pommée et.. « Stop » dis-je d'un coup en tournant la tête autour de moi. « Je.. suis à l'hôpital ? » fis-je, en devenant très pâle. Qu'est-ce que c'était que ce bordel ? Je ne savais plus quoi penser et je ne me sentais pas dans mon assiette. Mais vraiment pas.
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Elle me faisait de la peine, elle était tellement dans les vapes, mais ça l’a rendait tellement adorable comme si elle venait de sortir d’une anesthésie. Enfin, c’était un peu le cas pour le coup. “On est le trente septembre” Je vérifiais tout de même mon téléphone portable pour être sûr de ne pas m’être trompé de date, car je n’ai jamais vraiment la notion du temps. Je ne pouvais pas m’empêcher de rire même si la situation ne s’y prêtait pas, mais c’est la manière dont elle avait de redécouvrir la vie qui était juste adorable. “T’aime bien ?” Demandais-je à propos de mes cheveux. J’avais eu envie d’un peu de changement pour cette nouvelle rentrée des classes, alors quoi de mieux que de couper enfin mes petites boucles et de surprendre tout le monde ? Depuis le temps qu’on me demande quand est-ce que je les coupais, le moment était enfin venu, mais c’était entièrement parce que JE le voulais. “Ouais à cause d’Andrew, tu t’es pris une balle, mais tu es hors de danger maintenant” Je tentais de l’à rassurer directement, car je sais très bien qu’elle a tendance à s’inquiéter très vite. Je vivais très bien le fait de tout mettre sur le dos d’Andrew, car encore une fois si elle se serait tenue loin de ce gars, elle ne serait pas dans un lit d’hôpital à l’heure qu’il est. Si ça me mettait furax ? Bien évidemment ! Mais ce n’était ni le lieu, ni le moment pour lui faire une leçon de morale ou remettre sur le tapis le sujet Andrew et leur histoire d’amour. J’attendrais qu’elle aille mieux et surtout, qu’elle sorte d’ici. “Comment tu te sens ?” Ma main caressait toujours ses cheveux pour garder un minimum de contact avec elle, alors je souriais pour éviter que l’ambiance soit au point mort.
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Totalement perdue, j'avais du mal à reconnecter avec la réalité. L'entendre me dire la date me fit blêmir d'un coup. Attendez.. ça faisait.. quoi ? Je tentais de ne pas paniquer, mais ça commençait à être vraiment compliqué. On avait beau parler d'autre chose, ce n'était pas si simple. « Je.. mon dernier souvenir date d'il y a trois jours » murmurais-je, déstabilisée. Parler de ses cheveux étaient une douce alternative pour ne pas penser à tout ce tourment dans lequel je me trouvais. « J'adore, ça te rend plus mature » souriais-je légèrement en venant toucher le bout de ses cheveux. Ça le rendait encore plus beau, mais cette pensée disparut rapidement à la suite de ses paroles. Andrew ? Que faisait-il dans cette histoire ? Je commençais à avoir peur. « Je me suis prise une balle.. d'un pistolet.. à cause d'Andrew ? » demandais-je, prudemment. « Il.. m'a tiré dessus ? » le questionnais-je, confuse au plus haut point. Je ne cessais de le regarder, pour ne pas craquer et partir en crise d'angoisse ou d'exploser en sanglot. « J'sais pas trop » dis-je honnêtement, bien que ses doigts dans mes cheveux arrivaient à me calmer. C'était entrain de monter en moi et soit, il assisterait à mon pétage de câble, soit il sortirait juste à temps. Mais là.. Je ne savais plus quoi penser ni quoi faire. Je ne savais même pas toute cette histoire où Andrew se trouvait apparemment dedans..
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J’avais imaginé mieux comme début pour la nouvelle année. Elle avait déjà passée une année de merde la fois passé, faut croire que les dieux ne l’ont pas épargnés. Je continuais de caresser délicatement ses cheveux en étant soulagé intérieurement qu’elle soit encore en vie en face de moi. Je pourrais sauter de joie, mais je savais me contenir, comme je savais paraître neutre et insensible. Je pouvais être acteur en fait. Je continuais de sourire afin qu’on n’habille pas notre costume d’Halloween avant même si avec tous ses câbles autour d’elle, rien n’était moins sûr. Parler de ma nouvelle coiffure plutôt que des événements étaient un moyen pour elle ne pas paniquer et réaliser ce qui s'était réellement passé. Je l’à laissais faire en riant. J’avais porté mes cheveux longs depuis bien longtemps, il était temps de changer. “Merci” riais-je. “Nan, il ne t’as pas tiré dessus !” m’empressais-je de rétorquer. “Mais c’était sa soirée, il avait qu’a faire attention de qui vient et qui sort” Il était riche bordel et il était incapable de sécuriser le lieu ? C’était vraiment du foutage de gueule pour le coup.
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Rien n'avait de sens. J'avais l'impression de m'être réveillée et que dix années sont passés. Je ne comprenais pas grand-chose à la situation et même si je faisais en sorte de rester focalisé sur ses cheveux plus courts – qu'est-ce qu'il est beau comme ça – ce n'était pas suffisant. J'avais beau faire, je ne savais pas ce qu'il s'était passé et pourquoi j'étais là. Alors quand Austin me dit que c'était à cause d'Andrew que j'étais là et que je me suis prise une balle d'une arme.. J'avais peur de comprendre. Après tout, il était parti durant un moment et je ne savais pas.. Peut-être qu'il avait pété les plombs et qu'il m'avait tiré dessus. Mon cœur s'affolait à cette idée. Si c'était le cas, je.. non, ça ne pouvait pas le cas. Mon meilleur ami/ex venait de me rassurer sur ce point-là et heureusement. Je craignais que la crise d'angoisse ne vienne un peu trop vite. « D'accord » murmurais-je. Je suppose qu'il faudrait que je le vois mais j'appréhendais vraiment. Déjà que son retour avait été compliqué à digérer mais en plus, il y avait eu cet incident et je sentais bien que l'homme qui se trouvait en face de moi avait envie de lui faire payer. M'apaisant avec la douceur qu'il utilisait pour me caresser les cheveux, j'hésitais un peu à ma demande. « Tu.. tu peux me faire un câlin ? » demandais-je en rougissant légèrement. « Juste que j'ai l'impression de ne pas être dans la réalité et.. » J'avais du mal à tout analyser, réfléchir, comprendre et j'avais juste besoin d'une pointe de tendresse et de pouvoir fermer un instant les yeux sans avoir peur que des images ou des flashs me fassent peur. Je n'avais pas oublié ce que nous étions l'un pour l'autre mais.. Il était le seul qui pourrait me calmer totalement avec un petit geste délicat.
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J’avais encore du mal à réaliser que si cela c’était vraiment mal passée, plus jamais je n’aurais pu voir son joli visage et entendre sa jolie voix. Je n’aurais pas non plus eu l’occasion à nouveau de l’a prendre dans mes bras. C’est pour cette raison que je n’hésitais pas une seule seconde pour la serrer fortement contre moi, nichant ma tête dans son cou pour respirer l’odeur de cette dernière. A dire vrai ça sentait plus les médicaments qu’autre chose c’est bien pour cette raison que je détestais les hôpitaux. “Ce n’est pas un rêve malheureusement...mais tu finis bien l’année à la Madisson” riais-je dans son cou avant de me décoller pour pouvoir l’a regardé d’un air attendri. “Et puis cette tenue te vas plutôt bien tout de même” me moquais-je gentiment d’elle afin de détendre l’atmosphère et de ne pas penser à l’endroit où nous étions et surtout pourquoi nous étions là. Une chance pour elle et pour moi que j’étais du genre très optimiste avec toujours le petit mot pour rire et j’avais toujours eu une énorme facilité pour faire rire pour ancienne meilleure amie.
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Sincèrement, je n'aurais pas cru qu'il m'enlacerait si facilement. J'avais juste demandé et.. Il le faisait déjà. C'était irréel, mais j'étais soulagée qu'il n'est pas refusé. Je me serais sentie tellement idiote. Posant doucement mes mains dans son dos, je respirais son humeur si rassurante. Ok, je prenais ma « dose » d'odeur de mouton, mais c'était sûrement le seul parfum qui arrivait à me calmer directement. Ses mots me firent sourire alors qu'il se décollait de moi, faisant plonger mon regard dans le sien. « J'espère que les fêtes de fin d'année n'auront pas ma peau » pouffais-je doucement, en essayant de ne pas me faire trop mal. C'était de l'humour vraiment étrange mais.. Bon, en quelque sorte, ça voulait dire « on les passe ensemble ? au moins il n'y aura pas d'armes ou de risques de me faire tirer dessus par des mafieux ». Je ne pense pas qu'il comprendrait, mais bon.. La suite me fit lui tirer la langue. Quel moqueur, je vous jure ! « C'est parce que je suis nue en-dessous de cette chemise hideuse que tu dis ça » lui renvoyais-je, naturellement. Je supposais que maintenant.. On pouvait parler tranquillement comme ça sans que ça avait l'air de.. d'être.. « trop » entre nous. Je n'en étais pas totalement certaine, mais bon.. Je testais pour voir si ça passerait.
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Je rigolais même si le coeur n’y était pas. Franchement, rien que de penser qu’il pourrait lui arriver bien pire qu’une balle -même si c’était déjà pas mal- me rendait tout pâle. On avait beau avoir beaucoup de bas et une histoire compliquée, elle n’en restait pas moins celle qui aurait pu être ma soeur jumelle. On se complétait, on se comprenait et je savais que quoi qu’il advienne, même si nous venions de nous prendre la tête, elle serait là pour moi. Il y a des gens comme ça, qui font parti de noter avec lesquels on ne voit pas notre vie sans. Des personnes avec lesquels tu rigoles même s’ils sont actuellement dans un lit d’hôpital. “Hm...maintenant que tu le dis, tu me tentes là” riais-je en la taquinant. J’avais certes énormément changé depuis ce fameux tremblement de terre qui m’avait aidé à mûrir, mais je n’en restais pas moins Austin qui, je le crois, ne changera jamais vraiment. “Tu as le droit de sortir pour respirer l’air frais ou bien tu es puni entre ces quatre murs blancs ?” Ce n’est pas que je n’aimais pas la sensation des hôpitaux, mais on va dire que ce n’était pas mon fort et je pense que c’était le cas pour un peu prêt tout le monde.
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