You can fly • Denys

You can fly
— Denys

Il fallait que je trouve une façon pour empêcher d’éveiller ce mal être que cette inconnue avait laissée sur son passage. J’avais même l’impression qu’elle l’avait peut-être fait sans remord laissant d’ailleurs un Denys insécure de ne pas avoir de nouvelles ou de chemin pour joindre sa fée. Pourtant si on se fie aux comptes de fée Peter Pan et Clochette sont inséparables sauf si Wendy se pointait le nez. Voilà ma plus grand crainte face à cet homme qui m’envoutait un peu trop facilement. Les secrets n’avaient plus lieu sauf si nous voulions avoir encore plus peur et de ne pas avoir la certitude de se voir à nouveau. Parce que le simple fait d’aller à la même université ce n’est pas suffisant, trop de gens peuplent cet endroit. Même si je pourrais retrouver son aura plus lumineuse que les autres à travers ne me donner pas un défi aussi grand, j’ai peur d’échouer. Je m’apprêtais à rentrer dans cet univers marin à ses cotées en laissant ma peur sur la berge pour ne pas gâcher ce moment. Même si en fait j’étais fébrile d’aller au large. «Je te laisse choisir le scénario qui te convient le mieux.. » Tu pourrais me faire aimer n’importe quel endroit j’en ai bien l’impression. Je suis maintenant en apprentissage alors qu’au début de l’été j’étais pétrifié à l’idée simple de me baigner. Si je pouvais m’agripper à lui et qu’il ne me lâche pas je saurai en confiance. Fait attention Denys, car je repose une confiance assez grande maintenant que l’eau nous recouvre complètement. Mon corps contre lui nos lèvres se retrouvaient après une apnée trop longue loin d’une et l’autre. Chacun de nos baisers étaient remplie de passion et si fiévreux que nos corps réagissaient rapidement. Il soufflait contre mes lèvres que j’aie un peu trop de vêtements à son gout pour un bain de minuit, ses mains ne tardaient pas à venir me retirer mon soutien-gorge d’une façon habile. Le contact fut encore plus électrisant lorsque ma poitrine rentrait en contact avec son torse. Nos températures étaient en choc avec celle de l’eau beaucoup plus froide. «Je suis obligé de te dire la même chose… » Mes doigts descendent doucement plus bas pour attraper son boxer et le faire glisser lentement, parce que lui dans son cas il n’aurait plus rien pour le séparer alors que moi il me reste un seul vêtement. Une injustice qui sera rapidement réajustée. «Ne me lâche surtout pas… » Mes jambes se resserraient contre lui en retrouvant ses lè.