Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility I put a spell on you (Denys) - Page 2
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I put a spell on you (Denys)

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Dire que Denys ne me faisait aucun effet serait mentir, mais les faits étaient là, on avait passé deux mois intenses et formidables, lui comme moi avions aimé être dans les bras de l’autre, mais on ne se connaissait pas. Il ne connaissait même pas mon nom de famille et il ne m’avait jamais appelé par mon prénom entier non plus. Si ce qu’il m’avait dit était vrai, s’il était vraiment tombé amoureux, s’il m’aimait … c’est un fantasme, une idée qu’il aimait, pas moi. Je ne suis pas de ceux qu’on aime, mais plutôt de ceux dont on souhaite la chute. Il me confia que si jamais il avait connu mon nom de famille, j’aurais entendu parler de lui bien avant … il m’aurait cherché donc, il tenait à moi au point d’avoir voulu me retrouver. Dans ma tête il n’y avait que deux explications à ça, ou à l’époque je l’avais marqué ou … Denys était complètement fou et à vrai dire les deux explications m’allaient. La première parce que si c’était le cas je pouvais avoir une emprise sur lui et la seconde parce que … et bien parce que ça rendrait les choses beaucoup plus amusantes. Je lui proposai donc un jeu, pour apprendre à nous connaitre mais surtout pour pimenter un peu cette soirée et c’était à lui de commencer. Il revint donc à mon nom, l’une des toutes premières choses qu’il aurait pu me demander si jamais on ne c’était pas contenter de juste vivre le moment. Il commença par me dire, prenant mes chaussures, que je n’avais pas un nom quelconque et en effet, je ne faisais pas partie d’une famille quelconque … enfin j’étais tout, sauf quelconque. Je souris avant de le regarde « mmmh oui, tu es sur la bonne voie » sans pour autant lui donner d’indice. Il s’avança alors, prenant le risque de me dire que j’avais un nom à particule et mon sourire, presque triomphant savourait déjà sa défaite et le fait que j’allais pouvoir m’amuser en lui donnant un défis. « Bien que cela ne me dérangerait pas d’avoir un « de » devant mon nom … je vais devoir chercher un défis à te donner ». Mes yeux se posèrent sur mes chaussures qu’il avait en main, puis sur lui et un sourire terriblement amusé vint orner mon visage « Si tu me montrais comment tu t’en sors avec des escarpins ? » et intérieurement je ne savais pas comment je faisais pour ne pas rire « et avec le sourire Denys, tu as quand même la chance de pouvoir marcher dans une paire d’escarpins à 500$ ». Le fixant attendant qu’il s’exécute, je répondis tout de même à sa question « Mon nom est Gabrielle Lloyd Ferguson …» J’ai toujours cette petite pointe de fierté quand on me demande mon nom, c’est tout ce que j’ai, c’est mon héritage, une grande partie de mon identité et surtout le garant de ma classe sociale. « Mais ce n’est pas un nom quelconque … Lloyd comme la banque d’investissement anglaise et Ferguson comme l’un des juges fédéraux américains ». Suite à ces mots je fis un geste vague vers lui, comme pour lui signifier qu’il était temps qu’il exécute son défi.
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 J’aimais ce jeu qu’elle venait de lancer… Ca ressemblait un peu au genre de choses qu’on aurait pu faire l’an passé. Enfin cela dit, s’envoyer en l’air dans un ascenseur bloqué en cours de marche, ça aussi, on aurait été capables de le faire l’été dernier. Mais là, elle avait cette lueur joueuse dans les yeux, ce petit sourire au coin des lèvres, je la sentais moins sur la défensive, je voulais la voir moins sur la défensive. Une petite voix au creux de ma tête m’hurlait que j’avais eu ce même sentiment, celui de retrouver la fille que j’aimais, dans cet ascenseur l’autre fois, et que ça n’avait été qu’une illusion, qu’une déception plus grande quand je m’étais retrouvé ensuite face à un mur après l’aveu de ce que je ressentais. Oui, une voix interne me criait de me méfier, mais je faisais le sourd, souriant, charmé par ce petit défi qu’elle me lançait, parlant, me lançant sur son nom de famille, encouragé par son –tu es sur la bonne voie-, j’énonçai même l’hypothèse de la particule potentielle que j’imaginais bien devant son patronyme. Aïe. A son sourire triomphant, je sus aussitôt que je m’étais peut être un peu emballé. « T’es pas sérieuse là ? » m’exclamai-je en entendant le gage qu’elle venait d’annoncer. Devant ma tête sidérée, et toujours sans se marrer, elle annonça le prix des souliers que je lui avais pris des mains et mon regard presque choqué se posa alors sur la paire de chaussures, comme si d’un coup je prenais conscience des lingots que j’avais en main.  « Ok.. Allons y pour le défilé alors… » Si Gabrielle y arrivait, elle, je devrais réussir à m’en sortir. Je posais mes fesses dans le sable, délaçant à regret mes confortables tennis pour venir essayer ensuite de rentrer dans ses escarpins qui, pour le coup, me parurent minuscules. « T’es au courant que je fais du 43 ? » Maintenant elle le savait. J’espère que ses précieuses godasses allaient survivre à ça. Je tassai mes orteils dans ces dernières en grimaçant alors qu’elle déclinait finalement son identité complète. Son prénom, dont j’avais deviné que Gab en était le diminutif, et les deux noms qui le suivaient, des noms loin d’être quelconques puisqu’elle m’en décrivit les nobles origines. « J’avais pas complètement tord quand même, je gagne rien pour avoir eu presque raison ? » rigolai-je, toujours posé sur le sable. Finalement, mes deux paluches coincées dans les engins de torture de la demoiselle, j’allais devoir me remettre debout et l’exercice promettait d’être périlleux. Si pour me relever, ça alla à peu près, c’est titubant ensuite que j’avançais, le sol instable formé du sable de la plage n’aidait en rien. Écartant les bras comme un équilibriste sur un fil, espérant ainsi maintenir un meilleur équilibre, je fis encore quelques pas, sourire crispé avant de prendre un peu trop mes aises : « T’as vu ça un vrai top mod… » Je n’avais pas fini ma phrase qu’un crack sonore résonna, l’un des talons aiguilles ayant cédé sous mon poids. Ma cheville vrilla et je me retrouvais à nouveau les fesses dans le sable… Mon regard voyagea aussitôt avec une lueur de panique sur l’escarpin cassé, et je m’excusai d’une voix un peu affolée : « Je suis désolé Gab… » Je saisis le morceau de talon essayant en vain de le raccrocher à la chaussure, lâchant alors, un peu consterné : « J’ai pas 500 dollars pour t’en racheter… » Un tube de super glue à la rigueur…
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Denys avait perdu, est ce que cela voulait dire que j’avais gagné … peut être pas, mais je pouvais au moins m’amuser en lui donnant un défis. C’est en lui montrant mes escarpins hors de prix … enfin certainement pour lui, que je le gageais de les enfiler et de me faire un petit défiler, rien que pour moi. Il céda … évidemment qu’il céda, c’était lui et c’était moi.  Je le suivis des yeux alors qu’il s’installait dans le sable, délassant ses chaussures avant d’enfiler mes précieuses chaussures. Je devais avouer que la tâche n’était pas aisée pour lui, mon petit 38 faisant office d’outil de torture pour ses pieds. C’est en le regardant se débattre avec mes escarpins que je lui confiais enfin mon nom complet, sans cacher une certaine fierté pour tout ce que mes parents m’avaient laissé. Je fis un léger non de la tête, taquine, alors qu’il tentait de négocier « Non, non monsieur avoir à moitié raison, ne vous empêche pas d’avoir à moitié tort et ne vous fera certainement pas esquiver le petit défiler ».  Petit sourire moqueur au coin des lèvres, je reculai de quelques pas en le voyant se lever, jouant l’équilibriste et je en voyant sa démarche peu assurée, je savais que l’issu ne pouvait être que catastrophique.  Dans un excès de confiance, il fit quelques pas supplémentaire et alors qu’il était sur le point de se vanter, j’entendis le talon d’une des chaussures se briser et avant même que j’eus le temps de réagir, Denys se retrouva sur le sol. Cinq cent dollars foutu à la poubelle, ça m’aurait presqu’irrité si jamais j’en avais quelque chose à faire de ses chaussures. Cependant, en voyant l’air paniqué de Denys et sa tentative de recoller le talon à la chaussure, sans succès, je m’efforçai de ne pas exploser rire -ce qui me demandait un effort surhumain- pour faire quelque chose d’encore mieux et de plus amusant. J’allais m’amuser un peu. Je le regardais fixement et mon regard se posa sur la chaussure avant de changer. Je pris une mine triste, le regard peiné et d’une voix incertaine et un peu tremblotante je lui soufflai « Mais … c’était un cadeau » … sous entendant que cette paire de chaussures dont je n’avais rien à faire, avait une valeur sentimentale. Non mais je vous jure, j’aurais dû faire des études de cinémas. Je me laissai tomber sur le sol, repliant mes genoux et cachant mon visage dans mes mains, feignant du mieux que je pouvais ma tristesse. Je restai comme ça, continuant ma mascarade, en attendant que sa panique soit complète, avant d’esquisser un sourire puis un rire, que je n’avais que trop longtemps retenu.
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 Mon regard voyagea du sien aux chaussures, puis de nouveau des chaussures à ses yeux amusés, alors qu’elle venait d’énoncer la sentence. Mon air incrédule l’amusa, mais le défilé sur les échasses qui lui servaient de godasses, ça ne m’enchantait guère. D’autant plus que je l’avais vu, elle même, galérer plus qu’il ne fallait pendant la course poursuite quelques instants auparavant.  Le marchandage ne semblait avoir aucun effet sur la brunette qui n’en démordait pas : elle le voulait son défilé. Eclipsant le fait que ma virilité allait en prendre un coup, me répétant d’ailleurs que de toute façon, l’intérêt de la jeune femme à mon égard était déjà au raz des pâquerettes de toute façon, je finis par m’exécuter. M’installant dans le sable, me glissant dans ses engins de torture pour finalement me remettre debout, perché, marchant/titubant avec plus ou moins d’aisance, jusqu’à la chute finale dans un craquement sonore inquiétant. Bye bye les beaux escarpins à cinq cents bouliches. Bonjour Denys consterné, se confondant en excuse. J’essayais en vain de raccrocher le talon à la semelle, puis relevai le regard vers la demoiselle, dont la mine triste me fendit le cœur. Un cadeau. Bordel c’était bien ma veine… Alors si c’était ce soir que je comptais reconquérir un peu la belle, c’était bien joué. Entre le défilé qui n’avait surement rien de très masculin et ma maladresse qui lui avait coûté un bien qui lui était cher, j’avais fait fort. « Je… J’essayerais de t’en retrouver… » essayai-je de me rattraper, tant bien que mal, cherchant mentalement comment réunir l’argent pour pouvoir lui offrir des chaussures identiques. « Peut être aux soldes hein par contre… » 500 balles quoi, c’était ce que j’allais me faire en un mois au garage, j’pouvais quand même pas dépenser ça pour une paire de grolles ? Pourtant, dans ma panique, devant l’expression de son visage, merveilleuse actrice qu’elle faisait, j’étais sincèrement en train de l’envisager. Je me redressai, commençant à m’avancer vers elle dans l’idée de la consoler un peu quand un sourire la trahit, avant que son rire ne résonne, me stoppant alors dans mon geste. Ma main relâcha le soulier cassé qui retomba dans le sable alors que je réalisais combien elle se moquait de moi : « Mademoiselle Lloyd Ferguson seriez vous en train de vous foutre de ma tronche ? » demandai-je sur un petit ton piqué, répétant bien son nom de famille complet pour lui signifier ainsi que je l’avais bien entendu et enregistré, que désormais en possession de cette info je comptais en faire un bon usage. « Je vais te donner une bonne raison de rire moi, tu vas voir… » menaçai-je en fondant sur elle pour la faire tomber dans le sable, vengeance à ma façon, mes mains courant sur ses côtes pour la chatouiller.
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Comment résister en connaissant Denys ? Je l'avoue, je n'avais pas pu, je connaissais son côté bienveillant et généreux et je comptais bien l'utiliser pour m'amuser un peu. Ce n’était pas vraiment méchant, juste un peu taquin et joueur. Je pris une mine triste prétextant que la paire d’escarpins qu’il venait de casser était un cadeau … sans blague, si je devais me faire offrir quelque chose, ce ne serait certainement pas une simple paire de chaussures. Je me laissai tomber sur le sol en repliant mes genoux, prenant soin de cacher mon visage et de simuler la parfaite petite chose fragile pleine de tristesse. Si Denys avait marché ? Il avait couru plutôt, trop gentil, trop attentionné ce Denys et même si ça avait tendance à m’agacer, je pensais que je ne pouvais pas me détacher de lui aussi pour cette raison Il était tout ce que mon monde proscrivait, de là ou je venais, on n’avait pas le droit de se montrer trop gentil, sous peine d’être prit pour faible. J’ai aimé penser qu’il était celui qui pouvait me faire évader de tout ça, même si ce n’était que pendant quelques instants mais la vérité était qu’on ne pouvait échapper à mon monde sans perdre et je détestais perdre. Je jouais la comédie à la perfection et dans un élan de gentillesse il s’approcha de moi pour se mettre à mon niveau et me consoler. La tentation était trop grande et même en le retenant le plus que possible, mon rire finit par percer mes lèvres, le mélange de ses excuses, de son visage décomposer ou encore de sa panique ayant raison de ma volonté. Il s’arrêta net tandis que mon rire commençait à s’amplifier et il ne tarda pas à comprendre que je me moquais de lui. A sa question je répondis comme je pouvais entre mon rire « Je te jure que … que non, c’est comme ça que je gère mon stress ». Quelle connerie ! C’était tellement que con mon rire redoubla, je riais littéralement de ma propre connerie. Il s’approcha de moi, me disant qu’il allait me donner une bonne raison de rire avant de fondre sur moi et de me chatouiller. Le fourbe ! Il le savait que j’étais chatouilleuse. Allongée dans le sable je me défendais comme je pouvais, c’est-à-dire en ne faisant pas grand-chose à part gesticuler, le visage rouge à cause du rire et le souffle court. « Tricheur … tu sais bien …» et je riais de plus belle, incapable de me contrôler « Tu sais bien que c’est mon point faible ». La faute à nos nombreuses nuits passées ensemble et à nos soirées interminables.  Je me débattais, jusqu’à entourer sa taille de mes jambes pour tenter de le retourner juste avant de lui mordre le bras, ultime essais de ma part pour essayer de me dégager des chatouilles. Semblables à deux gamins jouant sur la plage, nous aurions très bien peu retourné un an en arrière.
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 Quand je m’étais approché d’elle, tout penaud, un peu paniqué, et surtout tellement désolé, cherchant mentalement une solution pour me rattraper de ma maladresse, c’est là qu’elle explosa de rire. Mon visage se décomposa quelques secondes, le temps de réalise qu’elle se moquait de moi, qu’elle n’avait jamais tant tenu à ses escarpins, qu’ils n’étaient probablement même pas un cadeau, même si sur le sujet du prix, bizarrement je me doutais qu’elle n’avait pas menti. C’était rien pour elle, 500 balles, d’où son rire amusé. Si l’espace d’un instant je me sentis quelque peu vexé, piqué au vif par son hilarité, par sa réponse au sujet de sa gestion du stress que je ne gobais pas un instant. Elle se fichait de moi, elle se fichait complètement de moi… Ma rancune fut de courte durée, trouvant dommage que sa plaisanterie fasse tourner notre « trêve » de la soirée en nouvelle guerre ouverte. Non, je n’allais pas lui en tenir rigueur, mais j’allais me venger d’une toute autre façon. Et fondant sur elle, c’est de mes mains chatouillant ses côtés que j’effectuais donc ma vengeance, douce vengeance à mon image, entre jeux de main et éclats de rire. Dans le sable, essayant de la bloquer de mon corps se plaquant contre le sien alors qu’elle se débattait, elle réussit à m’accuser de triche entre deux rires. Ses jambes s’enroulèrent autour de ma taille, je sentis ses dents tenter de mordre mon bras. « Hey, qui triche maintenant? » fis-je avec une voix faussement autoritaire, mes doigts cessant un instant leur torture pour glisser jusqu’à ses poignets et les emprisonner, les ramenant au dessus de sa tête. Une main maintenait ainsi son emprise, mon autre main glissa alors dans ses cheveux, effleurant ensuite son visage, ses pommettes, sa joue, et ses lèvres finalement. « Ne me mords plus Gabrielle… » soufflai-je alors, plus doucement, plus sérieusement, mes prunelles plantées dans les siennes. Et si tout à l’heure, en la plaquant contre la cabine de plage après notre course poursuite, j’avais réussi à contenir et à effacer mon envie de l’embrasser, le désir resurgissait, encore plus ardent… Et mes lèvres finirent par réduire à néant la distance entre nos deux visages, venant épouser les siennes malgré les voix dans ma tête qui me criaient combien c’était une mauvaise idée.
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Le rire que je n'avais pas pu contenir m'avait trahit et lui c'était précipité sur moi, torturant mon corps avec ses doigt. Chacune des chatouilles qu'il m'infligeait me faisait me tordre et me débattre, mon rire redoublait et dans un acte désespéré, je tentai de le mordre. Il m'accusa de tricher, alors que moi je ne voyais pas du tout les choses de la même façon, dans mon esprit tordu, j'étais dans mon bon droit. J'avais le droit de mordre Denys, le droit de le faire suffoquer, de le désirer puis de le mépriser et de lui montrer de la tendresse avant de l'écraser. Dans mon esprit tordu, il m'appartenait, sans que je puisse lui appartenir, peut être parce que seul lui détenait une partie de moi que je m'efforçais d'enterrer. Alors sans pouvoir me détacher de lui, j'allais l'entrainer dans mon monde, là ou la fourberie et la moquerie étaient maitresses et lui allait se détacher, j'en était certaine et cela me faciliterait la tache. Pour le moment, nous en n'étions pas là, il me faisait me tordre de rire et surement las de me voir me débattre en vain, il attrapa mes poignets, les emprisonnant entre ses mains avant de les placer au dessus de moi. J'étais essoufflée et je le regardais, curieuse, alors que ma poitrine montait et descendait de façon erratique. Une de ses mains quitta mes poignets, se risquant à venir caresser mes cheveux, puis mon visage, pour venir effleurer mes lèvres. Je le regardais avec ce regard bien trop expressif, même avec toute la volonté que j'y mettais, j'étais certaine qu'il pouvait encore percevoir cette lueur d'envie, de tendresse que je m'efforçais de cacher. Il n'avait pas le droit ! Ce fut la première pensée qui me traversa l'esprit. Il n'avait pas le droit de venir et de réveiller ce que je pouvais éprouver pour lui. J'avais choisi de m'éviter la douleur future que serait son amour pour moi, choisi de ne pas me risquer à m'accrocher à lui, je m'étais choisi moi, pas lui, pas nous, juste moi. Et il était là, à me rendre de nouveau vulnérable et moi, le désir se lisait sur mon visage, comme une stupide chose incapable de se contrôler. Je murmurai un "Denys ..." fébrile, aussi fébrile que ma volonté de lui résister présentement et cette fébrilité se confirma lorsqu'il finit par déposer ses lèvres sur les miennes. Ses lèvres avaient le gout de peur et de délivrance à la fois, comme si j'avais crains ce moment jusqu'à le désirer beaucoup trop fort. Stupide, mes lèvres suivirent les siennes et se risquaient même à amplifier, prolonger notre baiser. Je le voulais autant que je le rejetais. Mes dents vinrent doucement mordiller sa lèvre inférieure et je lui soufflai doucement "Qu'est ce que tu fais Denys ?". Ouais, qu'est ce que tu faisais là, maintenant alors que tu savais bien que nous deux finiront par sortir complètement cabossés de cette histoire.
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 Je la chatouillais, elle essayait de me mordre, et entre deux rires, je la bloquai : m’emparant e ses mains, emprisonnant ses poignets au dessus de sa tête, nos regards se télescopèrent alors et le trouble l’emporta. Là, plaqué contre elle, je sentis le trouble refaire surface, subjugué par la beauté de ses yeux, la lueur particulière qui y brillait, et puis la courbe parfaite de ses lèvres, comme un aimant pour les miennes… C’est d’abord mes doigts qui les caressèrent… Mon pouls s’accélérait, le bruit des vagues s’amenuisait, là en bruit de fond, avant de disparaître complètement, remplacé par le bruit du sang qui bâtait mes tempes et celui de ma respiration qui s’accélérait. Elle prononça mon nom, c’était surement qu’elle lisait dans mes prunelles qui la dévoraient, l’envie, le désir, qui m’animait. Elle pressentait ce qui allait se passer. Sauf que si en soufflant ainsi mon nom elle escomptait me dissuader de toute approche, c’était raté. Ca eut tout l’effet inverse. Parce que je ne lui laissais pas le temps de glisser quoi que ce soit de plus derrière mon prénom, mes lèvres venaient faire taire les siennes en s’en emparant. Et quel délice de la sentir répondre contre moi, prolongeant ce baiser volé. Je sentis un vent de chaleur naître au creux de mon être, comme la dernière fois, comme dans ce fichu ascenseur. L’idée qu’elle puisse un instant en avoir elle aussi envie, qu’elle puisse elle aussi ressentir ce que je ressentais avait tendance à m’aveugler, à me faire zapper un instant tout le reste. La leçon de la dernière fois ne semblait pas apprise… Je n’avais jamais été un élève très studieux. La demoiselle s’amusa un instant à mordiller ma lèvre inférieure, doucement, ne faisant qu’accentuer un peu plus mon excitation. Mais c’est par une question qu’elle tâcha de me faire retrouver la raison : Qu’est-ce que je faisais ? Joueur, je répondis : « On es censés se deviner l’un l’autre non ? C’est ça le jeu… Alors, devine… » Devine ce que je fais, devine le parce que je ne me répèterais pas, je ne me dévoilerais pas, je n’étalerais pas à nouveau la pléiade d’émotions qu’elle avait le don de provoquer en moi… Je ne lui répèterais pas que là tout de suite maintenant, je l’aimais, que je l'aimais toujours, taré et masochiste que j'étais, je n’oserais pas après la façon dont elle avait réagi la dernière fois…  
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Le diable pouvait bien m’emporter, je n’en avais plus rien à faire ! Et même si dans ma tête on me hurlait de fuir je n’avais aucune envie de me décoller de lui. Alors même  que je savais les sentiments qu’il avait pour moi, qu’il ne comptait abandonner et qu’il nourrissait un espoir que j’avais envie d’écraser, malgré tout ça je n’avais pas envie de me décoller de lui. Mes yeux se perdaient dans les siens et dans son regard je voyais toutes les nuits qu’on avait pu passer ensemble et toutes celles que j’imaginais passer avec lui. Un murmure vain avant que nos lèvres ne se collent et j’amplifiais notre baiser, je le nourrissais avec toute l’envie, le désir et la tendresse que je réprimais à chaque fois que je le voyais. Mes lèvres échappèrent aux siennes, pour lui poser une question à laquelle je connaissais la réponse  et lui me demandais de la deviner. Cela m’écorchait presque les lèvres de répondre qu’en fait, il nous délivrait tous les deux d’une envie qui nous dépassait, nous faisant résister à la tentation en y cédant. Au lieu de dire ça je souris légèrement, un sourire plus innocent, plus joueur et un peu tendre. « Je ne sais pas deviner … je suis nulle quand il s’agit de deviner» parce que deviner ce qu’il avait en tête me faisait peur, j’avais peur d’aimer ce à quoi il pensait et si j’aimais ce à quoi il pensait il me serait encore plus difficile de l’éloigner de moi. Je levai un peu la tête, alors qu’il emprisonnait encore mes poignets et j’approchai mes lèvres des siennes, les effleurant avant de murmurer doucement «Tu veux me donner un défis maintenant ? » et je souris légèrement sur ses lèvres avant de les embrasser furtivement, emprisonnant sa lèvre inférieure une seconde entre mes dents. Je ne faisais plus l’effort de résister, je me laissais aller complètement, à quoi bon penser à demain maintenant, je pourrais y penser tous les jours et me pourrir toutes les nuits pour avoir été si proche de lui maintenant mais … là, même si je n’avais absolument pas prévue de le voir ce soir  ou encore de tomber dans ses bras, je voulais que ce soit lui, que ce soit moi. Et que les bruits de la mer en fond, nous aide à nous enfermer dans la bulle que j’avais éclaté il y a un an.
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 Las de résister, et d’ailleurs incapable de le faire davantage alors que j’étais là, contre elle, sur le sable, mes lèvres avaient fini par céder à la tentation des siennes et allèrent les épouser pour un baiser au goût d’interdit, un baiser bien trop révélateur de tout ce qui se jouait en moi. Comme si lui dire que je l’aimais dans cet ascenseur l’autre fois n’avait pas suffi, il fallait désormais que je le lui montre. Je devrais être vexé, je devrais vouloir mettre le plus de distance possible entre nous après cela, et pourtant j’étais là à fondre avec envie sur sa bouche pour l’embrasser amoureusement, comme si je lui criais –vas y, fais moi mal, ça ne change rien, je t’aime encore, je t’aime toujours-  Et le pire c’était qu’à sa façon de me répondre, à la manière donc ses lèvres se pressaient sur les miennes, j’avais l’espace d’un instant l’illusion d’y croire. De l’espoir… Je n’avais rien appris, rien retenu, rien enregistré. Ca m’arrangeait d’avoir une mémoire de poisson rouge à cet instant précis et quand elle me demandait ce que je faisais, je lui laissais le soin de deviner, brandissant les règles de ce jeu dans lequel on s’était lancé un peu plus tôt. Elle sourit alors, de ce sourire à vous fendre le cœur, de ce sourire qui me donnerait presqu’envie de revenir aussitôt prendre ses lèvres en otage… Elle se redressa alors sensiblement me réclamant son défi, puisqu’aux devinettes elle ne brillait pas. Ses lèvres caressèrent doucement les miennes. « Je te défie de ne pas m’arrêter… » soufflai-je alors avant de laisser nos bouches s’unirent à nouveau, dans un élan passionné. Mes doigts relâchèrent alors leur prise sur ses poignets. Une main comme appui contre le sable, l’autre glissant contre son visage, son cou, descendant contre son buste, dessinant les courbes de sa poitrine puis de sa taille et de ses hanches avant de se glisser contre sa cuisse, remontant sa robe pour une caresse plus audacieuse, conscient de la pente dangereuse sur laquelle nous nous trouvions…  
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