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Tonight I'm gonna find a way

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FEAT. MIRA | Mira avait le don de le faire sourire, de le plonger dans une douce plénitude qui contrastait tellement avec la dure réalité de son quotidien. Auprès d’elle, il en oubliait ses soucis pour redevenir tout simplement cet homme joyeux au sourire communicatif. Ce même masque qu’il portait au quotidien pour tromper son monde et rassurer ses amis. Ici, il prenait une envergure bien plus réelle et sincère grâce à elle. « Il y a du bon à être du côté obscur de la force mais ça ferait tâche pour deux Quincy non ? Disons plutôt que si je suis le méchant de l’histoire, tu es celle qui au contraire me ramènera sur le droit chemin » répondit-il avec un petit clin d’œil. Pour beaucoup de héros au passé sombre, il y avait des touches de lumière pour les empêcher de sombrer. Batman avait ses fils adoptifs ainsi que son vieil ami Alfred. Mira pouvait-elle être sa petite étincelle ? Cela ferait tellement de bien d’y croire encore mais la vie lui avait appris que si l’espoir fait vivre, les désillusions n’en étaient que plus cruelles. « Oui c’est lui, nous nous connaissons depuis que nous sommes gosses » rétorqua-t-il avec tout l’amour fraternel qu’il ressentait pour l’Eliot. Ael était quelqu’un de très important dans sa vie et Bonaventure ne se voyait pas s’en passer. « Non du tout » rigola-t-il bien vite quand elle reprit le cours de la conversation sur Black Panther. « En fait c’est un excellent acrobate et gymnaste. On peut dire aussi qu’il a les sens aiguisés ainsi qu’une force et une agilité accrues mais en dehors de cela, c’est un humain. J’aime les héros qui n’ont pas forcément de pouvoir à la base mais qui se battent pour ce qu’ils jugent importants »lui expliqua-t-il. Mira allait vraiment le prendre pour un taré des Bds mais tant pis, il n’allait pas s’en cacher surtout si elle voulait réellement avoir une chance d’être de sa vie, de son cœur.

« J’ai envie que l’on continue de se voir Mira… je n’ai pas envie d’être uniquement ton ami ou être une sorte de sexfriend. J’ai envie d’autre chose mais j’ignore ce que toi tu veux pour nous. On a pas vraiment eu le temps d’en parler et peut-être que tu as changé d’avis » tenta-t-il d’aborder le sujet mais on pouvait sentir sa nervosité. Bonaventure n’était vraiment pas un séducteur et encore moins très à l’aise dans le domaine des sentiments. Il voulait vraiment être avec elle mais il était encore trop tôt pour dire qu’il en était tombé amoureux même si cela s’en rapprochait beaucoup. Le jeune Weasley avait besoin de temps pour se laisser approcher malgré son apparente accessibilité. Il fit signe au serveur pour passer commande avant de le laisse repartir pour reprendre la conversation avec Mira qui lui demanda de lui parler de lui. Sa première réaction fut de grimacer car il ne savait pas vraiment quoi dire. « Eh bien… Je suis né en Namibie et j’ai été adopté par les Weasley quand j’avais quatre mois. J’ai longtemps vécut à New York jusqu’à mes douze ans avant de déménager pour Washington. Mon père est dans la politique et ma mère est psychologue… quoi dire sur moi mise à part que je suis un grand fan de basket. Avant…avant les attentats j’étais le meneur dans l’équipe d’Harvard. Mon père rêve que je rentre en politique comme lui, son père etc. mais j’ai envie d’intégrer le FBI. En dehors de ça, j’adore les comics et tout ce qui touche aux films d’horreur.. en fait je ne suis pas très doué pour parler de moi donc je ne sais pas.. pose moi toutes les questions qui te viennent en tête »



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Le côté obscur a certes, un côté alléchant par moments . Le pouvoir, le fait d'être redouté peut-être, d'avoir une influence sur d'autres personnes j'imagine, mais surtout le fait de ne pas être obligé de respecter les règles de la vie, ou les lois. Les gentils sont obligés de s'y plier alors que les méchants s'en contrefichent bien de savoir si c'est légal ce qu'ils font ou non . Pour cette dernière raison, je pense que je pourrai accepter d'être une méchante. Un sourire amusé s'installe sur mes lèvres lorsqu'il parle de notre confrérie. Si lui a été élu meilleur Quincy au bal de fin d'année, c'est loin d'être mon cas. « J'ai beau adorer cette maison et ses valeurs… on ne peut pas vraiment dire que je sois une Quincy parfaite. » je laisse mes épaules se lever légèrement. C'est loin d'être un problème très important pour moi. Les Quincy donnent aux œuvres humanitaires : j'ai déjà du mal à boucler les fins de mois, inutile d'aller donner de l'argent que je n'ai pas. Les Quincy respectent les règles et les autres : je me suis toujours contre-ficher des règles, préférant suivre les miennes, bien plus personnelles. « Mais oui… on peut dire ça si tu veux… Je serai celle qui t'accompagnera pour ne plus que tu marches seul » répondis-je, laissant un nouveau sourire s'installe sur mes lèvres . Oui j'aimerait vraiment marcher à ses côtés dans les rues, être là pour lui . Être, comme le veut mon prénom, son étoile . Lorsqu'il me parle D'Ael mon sourire perd un peu de sa joie, les commissures de mes lèvres s'affaissant légèrement. Je n'ai rien contre lui évidemment, ayant même réussi à avoir une conversation avec ce dernier, mais malgré tous mes efforts, je sais qu'il continuera d'être mal à l'aise à cause de mon physique. « Et… tu l'as connaît...Celle qui me ressemble ? »» demandai-je fronçant légèrement les sourcils avant de reposer mon regard sur son doux . Je ne suis pas à l'aise non plus avec cette idée, qu'une personne me ressemblant comme deux gouttes d'eau, se promène quelque part sur Terre … peut-être aux États-Unis … et si elle fait une connerie et que c'est moi qu'on arrête. J'ai vu tellement de films comme ça, que j'avoue y avoir beaucoup pensé. Cette fois-ci, mes sourcils se haussent, tandis que je laisse afficher une mine perplexe, et un peu surprise lorsqu'il m'append que je me suis trompé sur son personnage de BD . « Il s'appelle Black Panther, et c'est pas une panthère noire ? Mais c'est de l'arnaque ! » dis-je avant d'éclater de rire. Non franchement, je comprendrai jamais rien à ses histoires de super-héros, qui d'après ce que je comprends, non pas forcément de superpouvoir. Je laisse échapper un soupir exagéré de mes lèvres, secouant légèrement la tête. « Je suis déçue moi s'il se transforme pas en panthère » dis-je en restant sur mon idée

« Non je n'ai pas changé d'avis... J'ai envie d'être avec toi vraiment, et pas simplement en tant qu'amie . Je veux être en couple avec toi, ton amante, ta maîtresse... tout ça en même temps si je le peux. Alors non, je ne veux pas seulement être une sexfriend avec toi ... » car j'ai des sentiments pour lui, je ne peux pas le nier, mais je ne connais pas encore vraiment leur nature… ou alors j'en ai peur … car ces genres de sentiments, s'ils ne sont pas réciproques sont les plus dangereux et les plus destructeurs. Je baisse légèrement les yeux vers mon menu, comme pour me concentrer sur autre chose, même si mes pensées sont toujours tourné vers notre conversation. Je ne suis pas très douée pour dire tout ça, ce que j’éprouve, ce que je veux. Mais si je suis ici, ce soir , en sa compagnie, c'est bien parce que je pense qu'un avenir peut exister pour nous deux, en dehors de la chambre ou dans un endroit où ne serions que tous les deux. . Lorsque le serveur s'approche de lui, j'adresse un sourire à ce dernier, avant de laisser Bonaventure commander, ce dernier ayant bien plus l'habitude que moi, de ce genre de restaurant, j'imagine. Je m'installe à peu mieux sur mon siège, l'avançant légèrement, avant de croiser sous la table mes jambes, laissant les commissures de mes lèvres exprimer un beau sourire quand il commence à me parler de lui. « Et ta famille biologique ? Tu n'as jamais essayé de les retrouver, tes origines etc. ? » demandai-je doucement. C'est peut-être un sujet sensible, je ne sais pas mais j'ai envie d'en savoir vraiment un peu plus sur lui. Je laisse échapper un léger soupir lorsqu'il me parle des attentats, qui ont détruit beaucoup de vie, et un peu la sienne. « Peut-être qu'un jour , tu pourras reprendre... tu fais de la rééducation, de la kiné non ? Il y a toujours un espoir ... » il a bien réussi à sortir de son fauteuil roulant . Les progrès ne s'arrêtent pas.




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FEAT. MIRA | « Chacun voit à sa manière ce qu’il peut apporter à la Quincy House et puis, nous ne sommes pas tous de blanches colombes dans la vie… Sinon, on ne tiendrait pas très longtemps en vie » dit-il en haussant les épaules. Bonaventure avait beau avoir été adopté par une riche famille américaine, il avait connu son lot d’épreuve. Des épreuves pour lesquels l’argent n’aidait malheureusement pas. Cela lui avait forgé le caractère et ce n’était pas plus mal. En cela, le jeune homme avait appris que dans ce monde, avoir de l’argent était important mais pas primordiale. On pouvait faire sans même si le chemin était plus tortueux et dangereux. En tous les cas, les paroles de Mira lui arrachèrent un sourire tendre et sincère. « Ce serait déjà beaucoup pour moi » lui dit-il. Ne plus être seul, il l’avait tellement souhaité qu’il ne le comptait plus. Certes, il avait des amis, une famille aimante mais malgré tout, il se sentait seul depuis tellement d’années, depuis ce fichu après-midi où il avait scellé le destin d’un homme et le sien par la même occasion. « Et moi, que puis-je être pour toi ? On parle de moi mais très peu de toi au final. Quelles sont les attentes de miss Hudson ? »demanda-t-il après coup, curieux de connaître ce qu’elle attendait d’un homme, d’une relation. Il avait envie de tout savoir sur elle, c’était fou comme elle l’intriguait comme s’il venait de rencontrer un nouveau mystère dans sa vie.

En parlant de mystère, il ne put que secouer négativement la tête quand elle aborda le sujet de cette femme qu’Ael avait rencontré et qui lui ressemblait d’après les dires de son meilleur ami. « Non, en fait, jusqu’à il y a peu, je n’étais pas au courant pour cette histoire. Ael m’en a parlé récemment quand tu es arrivé dans notre conversation » lui apprit-il. « Je sais juste qu’elle est décédée » ajouta-t-il pensant que Mira avait déjà eu cette information puisqu’elle avait abordé la question d’elle-même. Il comprenait que cela puisse la toucher car ce n’était pas tous les jours qu’une personne vous regardait comme si vous étiez un fantôme de son passé. Cela devait être troublant voire assez flippant. Bien vite le rire revint à leur table et Bonaventure s’amusa de ses réparties et de ses petites mimiques qui ne la rendaient que plus adorable. « Promis, je te trouverai un super héros qui se transforme en une panthère noire.. pour le moment je sèche mais je trouverai bien ! D’ailleurs ça me fait penser, je suis curieux de connaitre le personnage qui t’inspire le plus »

Une petite question pour apprendre à la connaitre mais qui fut rapidement suivie par une autre d’autant plus personnelle car elle abordait justement leur avenir commun. Que souhaitait-elle de lui ? Juste une aventure ? Quelque chose de sérieux ? Bonaventure ne voulait pas être un sexfriend pour elle, il n’était pas doué pour ce genre de relation de tout de manière. « Moi non plus, je n’ai pas envie d’être avec toi uniquement pour le sexe… J’ai envie de bien plus avec toi Mira, j’ai envie de faire un bout de chemin à tes côtés et voir où il nous mène. Cela faisait longtemps que je n’avais pas ressenti une telle envie » lui confia-t-il avec tendresse même s’il craignait de tomber amoureux d’elle. C’était un risque qu’il voulait prendre mais il se connaissait aussi pour savoir qu’il avait tendance à se laisser bouffer par le boulot mais aussi par ses propres démons. Avec Mira, cela serait peut-être différent et quand il la voyait sourire, il voulait vraiment y croire, espérer qu’elle était sa chance d’être heureux.

« Je sais que ma mère biologique est morte peu après ma naissance. Mon père, je n’ai pas encore trouvé sa trace mais je continue de chercher. Pour moi les Weasley sont ma famille, je n’ai connu qu’eux mais j’ai envie de savoir concrètement d’où je viens, quel est mon héritage biologique » répondit-il calmement car il n’avait jamais vraiment eu de problème avec sa condition d’enfant adopté contrairement à celle liée à son handicap. « Peut-être oui, c’est mon vœu le plus cher. J’ai envie de retrouver ma mobilité, de mettre tout cela derrière moi mais oui, je continue mes séances de kiné bien que mon médecin hurle que je devrais être en fauteuil et non avec ma canne » dit-il en haussant les épaules, montrant ainsi qu’il se fichait des conseils de son médecin. Après tout, il était lui aussi médecin et même s’il manquait de recul, il savait qu’il n’avait rien à gagner en restant les fesses dans son fauteuil roulant. « Et toi, si tu me parlais de toi Mira.. J’ai envie d’en savoir plus »




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Des colombes blanches… Cette référence me fait doucement sourire . Oui aucun Quincy n'est parfait, je ne peux pas dire le contraire, chaque bizut, avait sa part d'ombre et de défaut, mais la Quincy a tendance à faire ressortir les qualités de chacun de ses membres, et de laisser les défauts au placard. J'adresse un beau sourire au Quincy, ne pas le laisser marcher seul, sur cette duré route qu'est la vie, un chemin sinueux et souvent couvert d'obstacle, comme ma propre vie a pu me l'apprendre. Par contre, je sèche un peu à ses questions. Mes attentes...pff très bonne questions même, dont le propriétaire ne connaît pas la réponse. « Je sais pas... » dis-je tout d'abord en haussant les épaules . Je ne me suis jamais vraiment posé la question à vrai dire, mais maintenant… « Ce que je veux… C'est que tu sois un homme qui me fait vivre... » dis-je après quelques secondes de réflexion. Oui mon souhait le plus cher est de profiter de la vie, de ses bienfaits, de chaque petite merveille que possède ce monde. « je ne suis pas fan de la routine, j'aime l'imprévu ... » dis-je avec un léger sourire, espérant qu'il comprenne un peu où je veux en venir . J'aurai même tendance à comparer une relation amoureuse comme une virée en voiture, parfois il y a des pointes à 130 km/h, d'autres à 50, des dos-ânes, des stops … mais surtout une virée sans savoir la destination finale et sans prendre les GPS... on garde les vieilles habitudes, et on regarde la carte lorsqu'on se retrouve totalement perdue au milieu d'un champ de blé.

Après m'être installé à table, vient le sujet de son meilleur ami, et par la même occasion de ce sosie, dont j'ignore tout même le nom… et qui franchement me fait bien flipper tout de même… C'est une chose merveilleuse pour certains de se découvrir du jour au lendemain une jumelle physique dans le monde... certains essayent même de prendre contact avec cette personne lorsqu'ils le peuvent… mais moi… ça me fait vraiment peur. Tous ses trucs de fantômes d'esprit, ça me fait plus penser à ça qu'à une belle histoire. Je relève les yeux vers lui, les écarquillant en apprenant la nouvelle. « Elle est… morte ? » répétai-je, comme pour assimiler la réponse dans mon esprit Elle est morte . Si elle me ressemble, elle ne devait pas être plus âgé que moi… je déglutis légèrement avant de reposer mon regard sur mon menu… Bon c'est pas parce qu'elle est morte que ce sera mon cas n'est-ce-pas ? C'est pour cela qu'Ael semblait si distant à notre première rencontre… l'idée de revoir une morte-vivante à voir le travailler pendant un sacré moment. Un peu comme moi en apprenant que ce héros malgré son nom, ne se transformait pas en animal . Je ris doucement, lorsqu'il m'avoue qu'il fera un effort pour m'en trouver un. « même s'il se transforme en tigre… ou même en chat ça me va ! » à partir du moment qu'il se transforme en animal, un peu comme les loups-garous dans Twilight… ça me paraît bien . Mais la personne qui m'inspire le plus. Je me mordille légèrement la lèvre avec ce petit sourire en coin. « Je dirais Walt Disney... » dis-je avec un petit sourire. « je suis une fan des Disney, mais c'est plus par rapport à sa personne... « mais il a démarré de rien, sa famille était pauvre et malgré tout il a réussi à faire quelques études … on l'a même renvoyé d'un journal car il n'avait pas assez d'imagination et d'idée. »dis-je en souriant… Disney c'est tout un univers qu'il a créer... «  Comme quoi , il ne faut jamais s'arrêter aux critiques. » dis-je en haussant doucement les épaules, toujours ce petit sourire aux lèvres. L’univers Disney m'a toujours inspiré, même pour faire des vêtements, alors un peu normal que l'homme en lui-même m'inspire.

J'adresse un véritable sourire à Bonaventure à ses dires, résumant ainsi ce que l'on souhaite tous les deux. Ce genre de conversation… je suis loin d'être très douée pour les avoir, pour me dire clairement en couple ou non... Bordel c'était tellement plus facile au lycée quand on se passe juste un bout de papier avec la question fatidique et cochée oui ou non. À cet instant j'aimerait réellement lui prendre la main, les gestes sont une autre forme de mot… parfois même plus parlant, malheureusement en public, ses signes d'amour et de tendresse sont proscrit, m'obligeant à laisser mes mains sur mes genoux et d'essayer de trouver les mots pour lui répondre. « j'espère te faire ressentir autant de choses que j'en ressens pour toi. » dis-je en souriant, laissant un peu parler mon coeur qui n'en a pas connu beaucoup des histoires d'amour à vrai dire… J'ai toujours eu du mal à laisser entrer quelqu'un à l’intérieur, ayant toujours du mal à développer des sentiments, pourtant avec Bonaventure, tout semble si simple, couler de source comme on dit Son sourire fait raviver le mien, lorsque sa peau touche la mienne, cette dernière frisonne avant de finalement prendre feu comme lors de cette nuit passée ensemble. Ses bras forts et musclés, capable de me protéger de tous les maux j'ai l'impression... C'est tellement différent avec lui. Je finis par lui poser quelques questions sur sa propre vie, pour apprendre à mieux le connaître. J'hoche doucement la tête lorsqu'il me parle de sa famille biologique… parfois il vaut mieux être adopté que de vivre dans une famille qui ne vous aime pas. Tout comme lorsqu'il me parle de son handicap. « En restant assis, ce n'est pas comme ça que tu feras des progrès de toute façon. » dis-je en haussant les épaules , certaine que c'est la meilleure solution pour progresser, pour qu'il remuscle ses jambes etc. Ouh, conversation compliquée en approche. Je me mordille la lèvre. Parler de moi. Je soupire doucement, avant de finalement prendre la parole  « moi » n'est pas vraiment mon sujet de conversation favoris.. » dis-je avec un petit sourire , évitant toujours ce genre de discussion. «  Qu'est ce que tu voudrais savoir... » demandai-je…





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FEAT. MIRA | Qu’est-ce qu’elle attendait d’un homme ? C’était une question légitime mais qu’il ne posait rarement aux femmes pour la simple et unique raison qu’il était rare qu’il en arrive à ce stade. Bonaventure avait perdu l’habitude d’être en couple et même avec Lucy, il avait souvent bien brillé par ses absences que par autre chose. Avec Mira, il voulait se donner une véritable chance malgré le handicap que représentait son mariage. Il y avait peut-être quelque chose à faire, un chemin à tracer ensemble. Il n’en avait aucune idée mais au moins, il savait ce qu’elle attendait de lui : du rêve. « J’avoue que l’imprévu à quelque chose de savoureux… » avoua-t-il avec le même léger sourire qu’elle arborait présentement. Il aimait bien sa vision d’une relation. Le jeune homme aimait l’action mais aussi les moments calmes. En fait, il ne savait pas trop ce qu’il recherchait concrètement dans la vie. Il avait tendance à ne pas vouloir prévoir quoique ce soit. Il aimait garder un certain contrôle mais en dehors de cela, il pouvait très bien décider de partir en virée au beau milieu de la nuit sous prétexte qu’il en avait eu envie. Bonaventure marchait à l’instinct dans la vie car c’était toujours ce qui lui avait sauvé la peau. « Tu aimes les voyages ? » l’interroge-t-il soudainement car c’était une de ses passions. Le jeune Weasley aimait partir avec un sac à dos à l’aventure. Son dos le forçait à rester sur des sentiers battus pour plus de sécurité mais en dehors de cela, il n’avait pas beaucoup changé. « Je te demande ça parce que j’adore partir en trekking mais il faut aimer dormir à la belle étoile » reprit-il sur un ton taquin. Beaucoup de femmes préféraient le confort d’un bon lit, d’un bon hôtel. Lui, il aimait par-dessus tout ne plus faire qu’un avec la nature.

Le couple qu’il formait était tout de même assez atypique dans le sens où Mira ressemblait comme deux gouttes d’eau à une femme que son meilleur ami avait connu. Il avait même eu du mal à accepter l’idée, presque tenté d’ignorer ses sentiments naissants pour la demoiselle afin de ne pas heurter Ael. Ce dernier l’avait au contraire poussé vers elle mais le Quincy se demandait comment tout cela allait évoluer entre eux. « Oui d’après ce qu’il m’a dit » dit-il en taisant les circonstances du décès de cette femme par loyauté et aussi pour ne pas l’effrayer inutilement. « ça va ? Tu es un peu pâle… Cela te tracasse cette histoire n’est-ce pas ? » s’inquiéta-t-il aussitôt en fronçant légèrement les sourcils. Le bien-être de Mira lui importait beaucoup signe évident qu’il était attaché à elle. Aussi tenta-t-il de trouver un sujet plus léger comme celui de la personne qu’elle admirait et elle lui confia le nom de Walt Disney. « Tu as bien raison ! J’aime également ce genre de destinée. Le travail et la persévérance qui paient. C’est quelque chose de respectueux » surenchérit-il avant de pencher la tête sur le côté. « Fan de dessin animé ? » lui demanda-t-il avec un sourire amusé. Il ne la jugerait pas car pour sa part, il aimait bien se mater des films Disney avec l’une de ses amies… justement celles qu’ils avaient en commun à savoir Abby.

Rapidement, ils avaient abordé leur situation et Bonaventure comprit qu’ils avançaient dans la même direction. Il n’était pas vraiment très à l’aise avec les sentiments ou plutôt dans leur expression. Il était plutôt du genre à agir plutôt qu’à parler dans ce domaine mais ils avaient besoin de mettre les choses au clair afin de ne pas continuer dans cette nébuleuse. Son sourire fut une belle récompense songea-t-il. « Je n’en doute pas un seul instant Mira » répondit-il avec tendresse tandis que son pied venait discrètement à la rencontre du sien. Il ne pouvait pas lui prendre la main mais il pouvait, grâce à la longue nappe, se permettre ce genre de rapprochement comme pour lui signifier qu’il était là, bien à elle. Il était important pour lui de pouvoir lui faire comprendre qu’il ne prenait pas à la légère leur couple malgré qu’en public, ils ne puissent être que deux amis. Il était certain qu’ils arriveraient à trouver un juste équilibre dans quelques temps. En attendant, ils apprenaient à faire connaissance, à s’écouter également. Bonaventure avait toujours eu un mal de chien à se livrer et sûrement cela perdurerait encore avant qu’il puisse se confier pleinement à cette femme. Il avait besoin de temps mais rien qu’un sourire de la part de Mira et il se sentait déjà mieux dans ses baskets. Elle avait un pouvoir sur lui qu’il n’avait jamais soupçonné bien qu’en prenant du recul, il avait toujours été impatient à la retrouver lors des soirées Quincy ou tout simplement pour leur pièce. « Je suis du même avis que toi mais par moment, je suis obligé de le reprendre quand mon dos n’en peut plus. C’est assez rare à présent mais ça m’arrive quand je force trop » hausse-t-il les épaules comme si cela l’indifférait mais ce n’était pas le cas. Bonaventure vivait chaque retour dans ce maudit fauteuil comme un énième échec.

Il décida de changer de sujet, l’interrogeant à son tour, tellement curieux de tout connaître d’elle. Et puis, il aimait sa voix, les intonations qu’elle prenait… « Nous avons cela en commun » rigole-t-il doucement tandis que le serveur les interrompait pour déposer un petit plat contenant des amuse bouches. « Eh bien où as-tu grandit, ta famille, ce que tu souhaites partager avec moi. J’ai envie de savoir d’où tu viens… Tu es encore un mystère pour moi » répondit-il en passant sous silence ses cicatrices. Ce n’était pas le moment d’aborder un sujet aussi épineux et sûrement douloureux pour elle.


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Je n'ai jamais vraiment réfléchi à cette question, de savoir ce que j'attendais d'un homme, ou même d'une relation. Je profite plutôt de l'instant présent, sans me faire de plan sur la comète, je profite de la personne en elle-même, et non pas de ce qu'elle pourrait m'apporter dans le futur. Et le fait de n'avoir jamais vraiment réussi à me caser, à me poser dans une véritable relation y fait également. Je laisse un léger soupir s'échapper de mes lèvres tandis que je m'interroge quelques secondes avant de lui sortir finalement une réponse, qui résumé par la même occasion ma propre personnalité . Je suis quelqu'un qui n'aime pas la routine, qui aime l'action et l'aventure, multi-tâche, multi passion , je ne m'arrête pas seulement à une activité . J'adresse un sourire au jeune homme lorsqu'il m'apprend qu'il est plutôt penché du côté de l'imprévu ...et des voyages aussi ? Je me mordille un peu l'intérieur de la joue tandis que mon sourire s'élargit un peu plus. « Euh oui… mais je n'ai jamais eu vraiment l'occasion de voyagé avant d'arrivée à Harvard. » À part avoir traversé les États-Unis, je n'ai pas fait grand-chose durant mes premières dix-huit année de vie. Mais grâce à Harvard et à la Quincy House j'ai déjà eu l'occasion de visiter quelques pays comme le Canada, les philippines, ou encore la Nouvelle-Écosse . Je perds un peu de mon sourire, ou plutôt, pour être plus réaliste, je déchante au reste de ces paroles. « Ah... » dis-je en passant une main dans mes cheveux. « Ouais...de ce côté-là… … Non ! J'aime la nature… mais j'ai horreur des insectes. » dis-je avec une légère grimace . S'allonger dans une herbe fraîchement coupée, profiter de la chaleur du soleil, cela a un côté plaisant mais… très vite rattrapé par l'idée des bestioles venant chatouiller mes jambes nues, ou grimper sur mon corps, qui me fait frisonner et grimacer.

Mon sosie est mort… 'est tellement étrange de se dire ça, d'entendre cette phrase se répéter dans mon esprit ; Je n'ai plus aucune raison de m’inquiéter alors . Elle ne risque pas de me faire accuser à sa place pour une faute qu'elle aurait commise ou je ne sais quelle connerie mais pourtant je ne me sens pas plus à l'aise, bien loin de là. La mort d'une femme reste toujours perturbante, surtout si elle était aussi jeune que moi… pour qu'elle raison est-elle morte… tout cela me tracasse oui, et j'ai du mal à le cacher à Bonaventure qui m'interroge à ce sujet. Je relève mon regard bleu vers lui en haussant doucement les épaules, en me mordillant tout de même un peu la lèvre « euh oui… je trouve ça bizarre quand même qu'une personne me ressemble, au point qu'Ael m'est pris pour elle au départ... et… je ne suis pas très à l'aise avec cette idée de souvenir pour lui. » dis-je en me mordant la lèvre, surtout en apprenant qu'elle était mort et que le jeune homme ne l'appréciait pas particulièrement . Tout ça, c'est loin de ressembler au film et conte de fées que j'ai l'habitude de regarder malheureusement. Comme les Disney par exemple, comme le montrent la personne qui serait le plus capable de m'influencer. J'adresse un sourire à Bonaventure avant d'hocher légèrement la tête. « Oui… disons que j'aime tout ce qui touche à l'enfance... » tout ce dont j'ai été privé en quelque sorte, mais ça le Quincy n'a pas besoin de le savoir… personne n'a besoin de le savoir à vrai dire. Et ce même si l'on vient, d'une certaine façon, de se mettre d'accord sur l'avenir de note relation, de savoir ce que nous sommes vraiment l'un pour l'autre ; il y a des choses qu'il vaut mieux laisser au placard. Tout comme notre relation d'une certaine façon, qui doit rester privée, m'obligeant à garder mes distances physiquement avec lui en public, même si je suis certaine que je vais en souffrir d'une façon ou d'une autre. Je suis une personne qui s'exprime bien plus facilement par des gestes. Prendre une personne dans mes bras, vaut bien plus de chose que des paroles pour réconforter quelqu'un par exemple . Et en cet instant, ma première idée et de prendre la main de Bon' dans la mienne, d'entrelacer mes doigts aux siens, de sentir la chaleur de ces derniers courir sur ma paume … mais cela reste impossible. Alors on se contente simplement d'un rapprochement de son pied vers le mien, me caressant doucement, me laissant échapper un léger rire, face à la sensation de chatouille que je ressens plus qu'autre chose, secouant légèrement la tête pour reprendre mon sérieux pour le reste de la discussion. « Et tu as vu d'autres spécialistes pour voir s'il n'était pas possible parfois de refaire une opération ou autres pour améliorer ta condition physique..... » enfin si c'est possible, à vrai dire la médecine et moi ça 36 ...

Un interrogatoire, une série de questions me concernant. Ce genre de chose reste banal lors d'un rendez-vous, mais reste malgré tous une terreur pour moi, ne sachant jamais quoi dire sur mon passé que je souhaite garder. J'adresse un sourire au serveur, qui tombe à pic, me laissant ainsi quelques secondes supplémentaires pour réfléchir à ce que je veux qu'il sache et… le reste. Je pique un amuse-bouche dans l'assiette, le portant à mes lèvres pour le goûter. Je ne reconnais pas le goût mais l'apprécie malgré tout , avant de finalement me résigné à prendre la parole. « Je suis née à Louisville, dans le Kentucky… où j'ai grandi jusqu'à mes 15 ans avant de démanger à Santa Barbara en Californie, pour finalement revenir à Columbus en Ohio à mes 18 ans avant de rejoindre Harvard. » dis-je pour commencer ; quelques déménagements rien d'extraordinaire en somme si on ignore les raisons de ces nombreux déplacements. « et j'ai deux demi-frères du côté maternel. Un de 19 ans et un autre de 8 ans. » dis-je avec un sourire à l'évocation de ces deux-là, que je considère vraiment comme de vrai frère. « Et je veux devenir styliste de mode… à part ça … bon j'ai un chat qui s'appelle Haribo que tu as pu « rapidement » voir. » dis-je en riant « et enfin je suis une très mauvaise danseuse, mais une très bonne pilote de formule 1 » finis-je par dire

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FEAT. MIRA | Les voyages faisaient partie de lui. Bonaventure était un nomade dans l’âme, il ne savait pas rester à sa place. Il suffisait de voir combien de fois depuis son arrivée à Harvard, il avait changé d’endroit pour dormir : appartement, petite maison, Quincy House, appartement à nouveau, Quincy House. Il ne tenait pas en place et surtout pas s’enfermer entre quatre murs. Il se sentait bien mieux quand il se retrouvait au beau milieu de la nature, ses yeux parcourant des endroits vierges de la présence de l’homme. Il avait besoin de cela pour se sentir bien, c’était sa façon à lui de se ressourcer. Néanmoins, il était conscient que tout le monde n’appréciait pas de dormir à la belle étoile ou sous une tente, Mira en faisait partie visiblement. Un fin sourire amusé étira ses lèvres tandis qu’elle tentait de lui faire comprendre son problème avec les insectes. « Je te promets de te protéger contre les insectes » rétorqua-t-il avec un petit rire avant de pencher la tête légèrement sur le côté. « Si je t’invitais à me suivre dans l’un de mes trek en t’assurant de dormir dans un refuge à chaque étape, tu me suivrais ? » lui demanda-t-il car il était important pour lui de partager ses passions surtout celle-là. Bonaventure partait au moins une fois par an dans l’une de ses excursions. « Il suffit juste d’avoir le bon matériel, le reste je m’en occupe » surenchérit-il pour lui faire comprendre que le voyage serait offert car le jeune homme partait du principe qu’il l’invitait. Il n’était pas idiot au point de croire que tout le monde pouvait se permettre de partir à l’aventure sur un coup de tête. Mira avait un travail et ce n’était pas pour combler ses heures creuses tout comme il savait qu’elle refuserait d’être entretenue d’où le fait qu’il lui avait parlé du matériel à se procurer.

L’instant d’après, le jeune Weasley s’inquiétait pour sa compagne, la voyant légèrement plus pâle à cause de toute cette histoire de sosie. C’était quelque chose qu’il avait un peu de mal à concevoir à vrai dire, n’ayant jamais été dans une telle situation auparavant. « Il apprendra à faire la différence en te côtoyant et en apprenant à faire ta connaissance » lui assure-t-il en cédant à l’envie de prendre sa main quelques instants. Après tout, cela pouvait passer pour un geste de réconfort amical, bien que lui, y voyait plus l’action d’un petit-ami envers sa moitié. « Je pourrais lui en reparler pour arranger les choses si tu veux » lui proposa-t-il de l’aider ne sachant pas si Mira était du genre à accepter une aide ou à se débrouiller seule. Bonaventure était bien trop souvent protecteur avec ses proches mais il avait appris à ne pas trop empiéter sur la vie des autres… du moins, il y parvenait de temps en temps. Disney leur apparut comme le sujet idéal pour revenir à une conversation plus légère et c’est attendri qu’il accueillit sa confidence sur ses goûts concernant l’enfance. « Eh bien après daredevil, on se fera un marathon Disney si tu veux » répliqua-t-il un petit sourire aux lèvres. Le jeune Weasley était déterminé à faire tous les efforts possibles afin de leur créer des moments rien que pour eux, à défaut de pouvoir le faire en public. C’était tout de même frustrant de ne pas pouvoir la toucher, de prendre réellement sa main dans la sienne ou de laisser parler son regard. Ce masque d’ami allait être sûrement le plus dur à supporter mais Mira valait le coup, elle valait cet effort.

« Une opération est toujours possible mais comme cela touche ma colonne vertébrale, elle n’est pas sans risque. Je pourrais me retrouver définitivement paralysé… alors j’essaie de muscler mon dos, de prendre mon mal en patience. J’ai déjà réussi à remarcher alors que les médecins étaient pessimistes. Je finirais bien par pouvoir courir à nouveau et reprendre le basket » dit-il avec un soupçon d’optimisme. Il voyait y croire, il avait besoin d’y croire. Toutefois, il n’était pas très à l’aise avec cette discussion, n’aimant pas particulièrement abordé le sujet de son handicap car cela touchait à trop de sujets sensibles. La dernière chose qu’il souhaitait, c’était que Mira le perçoive comme un homme infirme à leur premier rencard. « Tu en as fait des déménagements… tu as préféré quelle ville ? » lui demanda-t-il curieux d’en savoir plus tandis qu’elle abordait ensuite, le sujet de sa famille. Elle semblait vraiment être proche de ses demi-frères. « Tu les aimes beaucoup n’est-ce pas ? » réagit-il tandis que la conversation se poursuivait et qu’elle continuait de parler d’elle. Bonaventure l’écoutait religieusement, hochant la tête avec un petit rire quand elle évoqua son chat. « Tu aimes les sensations fortes ? » l’interrogea-t-il en portant un petit amuse-bouche à ses lèvres. « Ouah…Cela sont épicés » la prévint-il en prenant une gorgée de son cocktail sans alcool qu’il avait commandé en même temps que leur apéritif (je pars du principe qu’ils ont pris les boissons en même temps) en grimaçant. « Il faudra que je te présente mon furet Pikachu, je suis certain que tu vas l’aimer enfin j’espère… Sinon je te rassure, je suis un piètre danseur, c’est même une gaguère pour me faire danser malgré les cours que mes parents m’ont fait suivre. L’inconvénient quand tes parents veulent te fournir une éducation mondaine, c’est que tu dois apprendre à danser. Ils m’ont même collé des cours de piano » soupira-t-il exagérément pour la faire sourire. « Remarque, les femmes sont très sensibles à l’aura des musiciens parait-il » reprit-il sur une petite taquinerie.



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JCela peut, peut-être , faire chocotte d'avoir peur des insectes comme ça. Enfin je ne suis pas non plus au point d'en avoir une phobie mais… disons que si j'ai une araignée dans mon appartement ... hors de question de la laisser en vie… mais hors de question de m'approcher trop près d'elle pour pouvoir réussir à la tuer. Alors mon astuce depuis que j'ai Haribo : le prendre dans mes bras et le porter jusqu'à l'araignée pour qu'il fasse le sale travail pour moi … Mais interdiction pour lui de la manger, manquerait plus qu'elle le pique dans la gorge en n'étant qu'à moitié morte, cette saloperie. Par contre les mouches., il se démerde tout seul pour les atteindre ! Je vois le sourire du jeune homme sur son visage. Il semble plus amusé qu'autre chose par mes révélations, ce qui réussit à me faire apparaître également un sourire. « c'est dur de lutter contre eux aussi… surtout lorsqu'ils grimpent lentement sur mes jambes. » dis-je en secouant la tête, laissant un soupir théâtral s'échapper de mes lèvres, avant de relever les yeux vers lui à sa question, fronçant légèrement mes sourcils. « Si ce n'est pas toutes les semaines... pourquoi pas, mais je ne suis pas une très grande fan de randonnée, il vaut mieux te prévenir» dis-je tout de même avec un petit sourire. Mieux vaut prévenir que guérir, n'est ce pas ? Pour lui, pourquoi pas, de toute façon tant que je n'ai pas essayé je ne peux pas dire que je n'aime pas. Mais si je me plains et râle... il sera au courant « et c'est quel genre de matériel au juste? » demandai-je, m'intéressant par la même occasion à sa passion que je ne connais pas du tout. Contraire à cette histoire avec mon double physique, même si je n'en connaissais que la moitié. . Apprendre sa mort reste quelque chose qui me perturbe, mais l'Eliot n'y est pour rien après tout… tout comme moi, je dois faire des efforts pour essayer cette histoire et lui pour ne pas s'en rappelé ; et comme le dit Bona'.. cela s'arrangera avec le temps, ce que j'approuve en hochant doucement la tête , laissant sa main prendre la mienne et la serrant brièvement avant de la retirer, de peur que cela paraisse suspect, si une quelconque personne nous espionne. «  merci , mais ça va aller.. j'ai déjà discuté un peu avec lui…. Avec le temps ça ira mieux. » dis-je en adressant un sourire au jeune homme, vraiment touché de voir qu'il souhaite m'aider avec cette histoire qui me met mal à l'aise malgré moi.

Son handicap, j'imagine que ce n'est pas son sujet de conversation favoris, qu'il doit même être douloureux . Il reste malgré tout handicapé d'une partie de son dos, l'obligeant parfois à retourner dans un fauteuil, et malheureusement je ne peux rien faire pour lui. J'aimerais être aussi optimiste que lui, mais… si sortir de son fauteuil relève de l'exploit pour les médecins, cela reste difficile de croire qu'il peut faire mieux... mais si je lui apporterai tout le soutien dont je suis capable, pour faire en sorte que ce sourire continue d'exister sur son visage. Ce sourire que moi-même j'affiche, perd un peu de son intensité lorsque je me retrouve obligé de parler de ma propre personne, ce dont je n'ai pas vraiment l'habitude. Je finis par délier ma langue et parler de mes nombreux déménagements, ce qui semble l'intéresser, particulièrement savoir dans quelles villes je me suis le plus plus. « Santa Barbara. » répondis-je avec un sourire aux lèvres aux souvenirs de ces moments passés en Californie. « C'est un véritable petit paradis ... résider dans un lieu de vacances à l'année c'est vraiment merveilleux...la plage, le soleil ... c'est le meilleur endroit pour décompresser. C'est là-bas que j'ai appris à Surfer… et j'avoue que ça me manque de ne pas avoir d'aussi belle vague sur les plages de la côte Est » ajoutai-je . Le nombre de fois où je me suis échappé de cours, pour ne pas dire sécher, pour partir taquiner les vagues, une bonne vieille planche de surf. Les soirées sur la plage, les feux de camp. La première fois que le harcèlement scolaire ne faisait plus partie de ma vie, où avoir des amis n'étaient plus seulement un rêve mais une réalité. Une période de ma vie qui aurait pu être parfaite si l'on oublie le seul membre de famille qu'il me restait. JE relève les yeux vers le Quincy, m'étant perdu dans mes pensées, mais retrouvant rapidement ce petit sourire. « Oui … je ne les vois plus beaucoup à cause de l'université malheureusement. »dis-je en haussant légèrement les épaules. C'est peu je sais, mais les billets d'avion ne sont pas gratuits, et mes jours de congé ne sont pas extensibles. « Enfin, c'est bientôt l'anniversaire de ma mère et...peut-être que j'irai les voir quelques jours ... » Ils me manquent, je ne peux pas le cacher, que cela soit mes frères … que ma mère avec qui j'aimerais me sentir plus proche, avec tous les efforts qu'elle fait et que je ne rend pas en retour… J'hoche vigoureusement la tête à sa question avec un rire. « si tu savais… je crois que je ne vis que pour avoir des sensations fortes ! » je pose mon regard sur l'amuse-bouche qu'il vient de prendre, enregistrant l'information, pour ne pas le prendre tout de suite, finançant d'abord le mien. « je ne sais pas à quoi est celui-là… c'est assez sucré je trouve. Vas'y goûte. » dis-je en lui tendant le même amuse-bouche que je viens de prendre, qui était encore présent sur le plateau, espérant qu'il pourra m'éclaire sur son goût, avant de grimacer à mon tour lorsqu'il me parle une nouvelle fois de son furet. « je pense qu'on a encore le temps avant les présentations entre lui et moi . Quelque chose me dit qu'il ne va pas apprécier que je lui pique son maître. » dis-je avec un clin d'oeil à son intention avant de reprendre. « Je joue de la musique aussi tu sais... Enfin de la guitare, j'ai voulu me mettre au piano mais… » je suis tombée amoureuse de mon prof ; alors Wolf et moi, on a un peu laissé tomber les cours de piano, pour vivre pleinement notre relation. De toute façon j'étais une bien piètre élève, autant que Wolf n'était pas très doué pour garder son calme. « Mais ouais... j'ai toujours eu un faible pour les musiciens… tu ne seras pas l'exception à la règle alors ! » dis-je avec un sourire amusé « et tu as été obligé de suivre d'autres cours comme la danse et le piano ? » demandai-je avant de prendre mon cocktail, avec alcool, et d'en boire une gorgée.



Il est pourri, je m'en veux :TT:
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FEAT. MIRA | « Je te rassure, je ne pars pas toutes le semaines non plus » répliqua-t-il avec un sourire toujours aussi amusé. « En général, je m’arrange pour faire un voyage tous les six mois histoire de changer d’air et d’aller me ressourcer sinon je deviendrai fou » répondit-il. Bonaventure avait besoin de bouger, de prendre le large. Rester inactif dans une petite routine, très peu pour lui. Il avait bien trop souffert d’être cloué sur son fauteuil pour accepter de jouer le jeu du métro boulot dodo. « Je voulais partir cet été mais j’ai accompagné Amanda en Norvège et du coup, mes projets sont tombés à l’eau. Peut-être en fin d’année » reprit-il avant de lui sourire. « J’essaierai d’éviter les randonnées si tu me dis quel pays tu rêves de visiter » ajouta-t-il tandis qu’il goutait un amuse-bouche. Mira l’interrogea alors sur le matériel à avoir pour un voyage made in Bonaventure Weasley. « Tu as besoin de bonnes chaussures de marche voire d’escalade. Une tente, matelas gonflable, sac de couchage. Un sac à dos de randonnée… Des vêtements, de la nourriture déshydratée, une bonne gourde, une pharmacie de premiers secours ainsi que l’équipement d’un bon randonneur : couteau, boussole, carte » tenta-t-il de lui dresser une liste exhaustive mais cela faisait tellement d’années qu’il pratiquait qu’il prenait les choses par reflexes. En tous les cas, pour en revenir à cette histoire avec Ael, Mira pouvait compter sur son soutien et son aide. Ils avaient beau être en couple depuis peu, elle était et resterait toujours son amie quoiqu’il arrive.

La conversation se poursuivit sur leur vie respective : l’enfance, la famille. Bonaventure lui posait quelques questions afin de savoir ce qu’elle avait aimé malgré tous les déménagements. Il ne posa aucune question réellement indiscrète afin de ne pas la mettre mal à l’aise, comprenant à son comportement non verbal qu’elle ne souhaitait pas parler d’elle plus que mesure. Il respectait ses silences car ils se ressemblaient beaucoup. « Cela leur fera plaisir que tu ailles les voir, j’en suis certain » commenta-t-il avant de mordre dans un amuse-bouche particulièrement relevé. Bon sang, cela lui arrachait la langue ! Mira lui en tendit un et il mordit dedans avant de soupirer de plaisir. « C’est définitivement trop bon » soupira-t-il avant de lui sourire. « Si tu ne vis que pour les sensations fortes, moi, c’est pour la nourriture. J’adore ça » rigola-t-il de bon cœur. Un rire qui redoubla quand elle parla de son furet. « Mais il est adorable mon furet ! » s’exclama-t-il avant de secouer la tête.

Le couple parla ensuite de l’éducation du jeune Weasley, ce dernier lui confiant qu’il avait du prendre des cours de piano et de danse pour paraitre en société. « Ah la guitare… ça j’adore en jouer » dit-il avant de réfléchir à sa question. « Diction, géo politique, histoire des Etats-Unis et tout un tas de cours allant dans ce sens. Mon père voulait et veut toujours que je me lance en politique car c’est un peu une tradition familiale mais c’est pas dans mes projets pour être honnête » répondit-il en buvant quelques gorgées de son propre cocktail. « J’ai totalement oublié de faire quelque chose : porter un toast » reprit-il la parole avant de lever légèrement son verre. « A Roméo et Juliette »




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Une randonnée toutes les semaines ? Ah non je pourrai certainement pas, pensai-je en riant légèrement lorsqu'il me « rassure » . ouais façon de voir les choses. Pour moi randonnée, ça rime avec chaussure moche insecte, mal de dos, ne dormir que quelques heures… pas géniales quoi . Et je ne suis pas vraiment sûr que Bona' réussisse à me faire apprécier ça, malgré toute la volonté du monde. « Et tu pars ou quand c'est comme ça ? Toujours aux États-Unis ? » demandai-je malgré tout curieuse. Cela reste une manière comme une autre de voyager… il faut juste aimer marcher, se promener… et dormir à la belle étoile ! Mais je comprenais ce qu'il voulait dire. Parfois on a juste besoin de ça : bouger, changer de paysage pour se sentir mieux. L'impression de ne pas être forcément rattaché à un seul endroit peut-être... cela nous donne l'impression d'être libre selon moi. « Oh et pourquoi tu l'as accompagné ? » demandai-je en fronçant les sourcils… peut-être que je suis un peu trop curieuse sur les bords concernant Amanda … mais pas le concernant … Après tout si l'on doit se considérer comme en couple, je préfère savoir quelle autre blonde serait susceptible de lui plaire ou inversement. Je suis un poil jalouse et possessif… vaut mieux qu'il le comprenne vite. « J'ai une passion pour Paris… la capitale de la mode ! » dis-je avec un rire résonnant dans le restaurant. « j'y ai passé un week-end avec mon ex l'été dernier … mais c'est bien trop court pour découvrir toutes les richesses de cette ville. » dis-je en haussant légèrement les épaules. Même pour faire les boutiques… des champs Élysées, une vraie merveille...la carte bleue de Wolf doit s'en souvenir de cette petite promenade « Mais sinon en pays je dirai l'Italie… ou la Grèce… … peut-être aussi l'Égypte ». L'époque des pharaon de l'empire romain , de la Grèce Antique , c'est la seule période qui retenait mon intention durant les cours d'histoire. Elle est passionnante de part son histoire, mais aussi le savoir-faire naissant. Enfin je ne me vois pas trop faire de la randonnée non plus dans ces pays… mais plutôt dans des chemins montagneux ou dans des forêts vu l'équipement dont il me parle. « Et ça existe pas les GPS ? » dis-je avec un sourire amusé aux lèvres. Bah quoi : les cartes ça se fait plus, j'ai jamais réussi à en lire une durant les course d'orientation.. alors la boussole on n'en parle pas non plus

Ma famille, toutes ses années passées loin d'eux, à vivre seule avec mon père… Tous ses souvenirs qu'ont les frères et sœurs ensemble, de leur enfance, à jouer ensemble... jamais je ne les aurais, mais il n'est pas trop tard pour s'en créer d'autres, d'où mon envie de retourner en Ohio, ne serait-ce que quelques jours pour fêter avec eux l'anniversaire de notre mère ; passer quelques vacances avec eux ... me sentir tout simplement en famille. « oui je l'espère aussi... Tu vois souvent tes parents adoptifs ? » lui demandai-je à mon tour. C'est souvent la même chose à Harvard, on fait des études, on vient de loin, mais on est dans l'obligation de s'éloigner de notre famille, à contrecoeur… ou pas. Je le regarde mordre dans l'amuse-bouche que je viens de lui tendre, un sourire aux lèvres, avant d'en prendre un autre à mon tour. « je suis plus sucrée que salé pour ma part. » dis-je avec un sourire avant d'avaler celui que je tiens dans ma main . Au saumon je crois, mais très bon... je suis bien dans un restaurant gastronomique « mais ça mord ces bestioles ? » demandai-je en parlant de son furet, pas vraiment sûr de moi. Mais il faut me comprendre ce n'est pas rassurant comme un chat un furet !

Un sourire fend mon visage en apprenant qu'il joue également de la guitare. C'est un instrument... c'est un peu toute ma vie, une véritable passion, s'il ne la supportait pas... je ne sais pas ce que j'aurai fait ! « j'ai commencé à en jouer à 16 ans… classique et électrique. » dis-je avec un petit sourire. C'est d'ailleurs la première chose que je me suis acheté en arrivant chez ma mère. Je me demande quel genre de musique aime le Quincy d'ailleurs, mais pour le moment nous parlons de son éducation, qui a dû être strict comme toutes celles des enfants dont les parents font partie de la haute société. « C'est un peu toujours comme ça dans ces familles: suivre les traces du père de famille ! Mais si tu veux vraiment être dans le FBI et que ça te plaît… il n'a pas de raison de refuser... » dis-je en me mordant légèrement la lèvre. Je suis peut-être un peu trop optimiste mais si un père aime son fils... il doit le laisser faire ce qui lui plaît dans la vie. Je le regarde lever son verre à notre pièce de théâtre… celle-là même qui nous amène ici aujourd'hui. Si nous n'avions pas dû simuler l'amour sur scène, peut-être que je n'aurai pas commencé à développer des sentiments pour le jeune homme, jamais je n'aurais goûté ses lèvres, et n'en serais pas devenu accro. « Je suis d'accord : à notre pièce » dis-je en levant mon verre et trinquant avec lui avant de le porter à mes lèvres. « on doit encore la jouer à la rentrée je crois… l'occasion de ne plus se cacher. »
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