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Un rp sur la terre ferme (Kyla)

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J’avais aucune envie de jouer les nounous, me taper la présence de gamins volubiles et trop bavards, même si c’était ceux de Drew, même si ce n’était qu’une journée. Moi, ça m’usait d’avance, alors j’espérais vraiment que la gosse aurait zappé, que Kyla zapperait aussi. Et puis là dessus on changea de sujet parce qu’on pourrait débattre des heures sur ce sujet qu’on ne tomberait pas plus d’accord au final. Pour l’appart, en tout cas, les règles étaient posées : je n’y ferais rien. Et Kyla aurait la vie de princesse, et elle pourrait jouir aussi de tous mes privilèges, profiter de tous mes employés si elle le voulait. Elle s’en amusa même, me demandant si au lit aussi je comptais engager quelqu’un pour m’occuper d’elle. « C’est un domaine où je suis inégalable alors… Non personne ne pourrait te combler parmi mes employés. » Je l’entrainais ensuite vers le lounge, où je la fis s’allonger un peu sur un des sofas confortables des lieux, prenant place à ses côtés, m’inquiétant du billet qu’elle avait choisi. En première, sauvé. Sauf qu’elle ajouta que ça n’y changerait rien, grimaçant, et je compris qu’elle faisait référence aux séquelles de son agression. « Tu devrais prendre des anti douleurs avant le décollage... » lui conseillai-je alors avec douceur, avant d’ajouter, tentant une dernière fois : « Ou sinon tu peux rester là… » Ne pas décoller, passer un peu de temps avec moi en Angleterre, comme c’était prévu initialement… Jusqu’au bout j’aurais tenté.
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Impossible de tomber d'accord quand on parlait d'enfants en bas âge. Enfin, pour tout dire, je pense que même si Aliénor avait seize ans, il serait tout aussi peu réceptif. Cole n'aimait pas les enfants alors que moi... Je n'aspirais presque qu'à ça. Des enfants partout, qui courent, qui crient, qui se battent. Mon futur idéal ? Une grande maison avec de la vie, beaucoup de vie. Des enfants partout, des bébés enchaînés jusqu'à ne plus pouvoir. Ouai, une vraie américaine lambda un peu conservatrice sur les bords. La barrière blanche, le labrador et tout le monde dans son petit pull couleur pastel. Cole en rose clair, bien entendu. Un sourire se dessine sur mes lèvres alors que l'on change de sujets. La vie de princesse m'attendait donc, avec lui. Mais les princesses finissent-elles heureuses ? Bonne question. Je l'écoute et ris légèrement. " Tant mieux alors... Parce que je ne comptais pas te laisser toucher une autre que moi, de toute façon " Lâchais-je avec un large sourire. Possessive et jalouse, il ne faut pas trop me chercher sur ce point là parce que je peux sortir les griffes et les crocs et ça peut faire peur. Et mal. Un changement de billet, mon corps me fait mal comme si ça y est, j'avais assez profité des petites bulles, des fleurs et de tout ce qui va avec. Sois bien dix minutes, souffres trois heures. Merci, cher corps. Allongée, à ses côtés, je souffle légèrement. J'allais pouvoir contrôler mon corps comme je le voulais. Il n'allait pas gagner, ce petit con. Ce n'était qu'une enveloppe après tout. Ouai, je tentais de me convaincre de milles et unes conneries. " Non non pas d'anti douleurs... Je refuse de planer " Parce que j'avais pris ces merdes il y a plus d'un an et je savais la satisfaction qu'ils procuraient. Je le regarde et soupire légèrement. " Il y a bien une chose qu'on ne peut pas te retirer... Tu n'abandonnes jamais " Soufflais-je avant de l'embrasser tendrement. Je ferme les yeux et reste proche de ses lèvres. " Tu peux pas te passer de moi, c'est ça ? " Demandais-je avec un sourire.
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 Les grandes règles de notre future « colocation » étaient désormais posées : pas d’enfant chez nous, ou du moins pas trop et surtout pas trop longtemps, pas de cuisine, pas de ménage, plein d’employés pour le faire pour nous… Dans ma tête, je voyais ce futur appartement comme notre repère, notre refuge, notre petit lieu à nous, loin de me douter alors que ça serait plutôt le théâtre de notre séparation… Au guichet, je vis Kyla blêmir sous l’effet de la douleur et je l’entrainai alors vers le lounge où de confortables sofas nous attendaient. L’allongeant dessus, me posant ensuite à ses côtés, mes doigts se perdirent un instant dans ses cheveux, suggérant l’idée qu’elle prenne une dose d’antalgique avant le décollage. « Tu sais que tu seras à plus de 10 000 mètres d’altitude d’ici peu ? Tu vas planer, littéralement… C’est pas un codoliprane qui va changer grand chose… » Dit celui qui était tellement stressé en vol qu’il refusait bien souvent de prendre ses somnifères… « J’ai pas envie que tu souffres pendant des heures… » soufflai-je alors avec douceur. Ma main glissant de ses cheveux à sa joue, ajoutant alors une autre option : qu’elle reste ici. « Jamais. » confirmai-je à sa réplique avant que ses lèvres ne viennent s’unir au mienne délicatement. « Je dirais plutôt : j’en ai marre de me passer de toi. » Parce que je n’avais pas eu le choix de le faire, depuis fin juillet, depuis son départ en fracas du SC. Alors oui, si je pouvais essayer de la faire flancher, une dernière fois, pendant la demi heure qui nous restait, je tentais ma chance. « Reste Kyla, t’en va pas… » soufflai-je contre ses lèvres, mon regard se plantant dans le sien, ultime tentative pour la retenir près de moi.
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Je devais avouer que j'avais quand même hâte de me retrouver avec lui, qu'avec lui pendant un petit temps. Je ne doutais pas une seule seconde que la fin de cet été nous changerait à trois mille pourcent et qu'on finirait par se séparer pour d'aussi bonnes que mauvaises raisons. Pour le moment, je ne voyais que le côté positif de la chose. J'étais amoureuse d'un homme qui semblait plus qu'attaché à moi. Allais-je finir par avoir tout ce dont j'avais toujours rêvé ? Quand je pensais à ce que je gardais en moi, je n'en étais pas sûre. Il fallait que je lui dise. Mais pas maintenant. Il était chez lui et si je prononçais ces mots, si je lui expliquais pourquoi je ne voulais pas prendre de médicaments, de peur de me sentir trop bien et de replonger dans mes vieux démons, il resterait chez lui... " Je souffrirais pas Cole... " Certes je vais avoir mal mais c'est pas ça la souffrance. Ce qui nous attend par contre... " Si ça va vraiment pas, je prendrais un truc la haut... Mais là j'ai bu de l'alcool et on va éviter de mélanger alcool et médocs " Voilà une bonne raison tiens. Et celle là, il ne pouvait pas l'invalider. C'était tout bonnement impossible. " T'auras bientôt plus à te passer de moi... On va passer notre temps ensemble, nos soirées d'hiver à regarder tes films d'espionnage et à se réchauffer l'un contre l'autre " Soufflais-je en l'embrassant à nouveau. " À moins d'un drame, la prochaine fois qu'on se voit, sera la dernière fois qu'on se quitte " Lançais-je avec un sourire sur le visage. " Qu'est-ce que dix jours à côté de l'année qu'on va passer ensemble... Parce que tu te débarrasseras pas de moi Wildingham, jamais " Lâchais-je avec un large sourire. Putain, la prochaine fois, vit au jour le jour Carmichael. Parce que l'homme que t'aimes ne reviendra sûrement jamais. Et tu ne le détesteras jamais, incapable de lui faire ça, incapable de trahir tes sentiments. Always and forever.
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  Installés sur le sofa, je me surprenais moi même en petits gestes tendres et élans d’affection pour ma petite amie, m’inquiétant pour elle, le vol à venir, ses blessures qui risquaient de l’élancer une fois là haut. Déjà qu’un voyage en avion, en temps normal, ça ne faisait pas sans mal, mais là, avec le corps en compote encore tout meurtri de son agression… Allez, c’était peut être avec cet argument là que j’allais gagner, que j’allais la retenir un peu… Je voulais que les secondes se fassent des heures, que le temps ralentisses et que la petite demi heure qui nous restait, ou moins peut être, j’avais perdu la notion du temps mais je faisais confiance aux hauts parleurs de l’aéroport pour nous rappeler à l’ordre, bref j’aurais juste voulu un peu de rab, un peu de sursis, pour cet intermède qui avait été bien trop court… Elle refusait les médocs, soulignant le verre alcoolisé avalé d’une traite un peu plus tôt et j’hochai la tête pour approuver. Si j’avais bien des défauts, la recherche de la défonce à tout prix n’en faisait pas partie, réticent comme j’étais à l’idée de perdre le contrôle, j’avais coutume de me méfier de toutes ces substances qui pouvaient vous le faire perdre en quelques instants. J’étais donc sensible à l’argument de la belle et n’insistais pas. Je l’embrassais avec douceur avant de tenter, dans une dernière supplication contre ses lèvres de la faire rester. Le tableau qu’elle me dressa pour la suite fit s’étirer mes lèvres. « Je vais rajouter la cheminée au critère pour notre futur chez-nous alors. C’est peut être cliché mais quand tu parles d’hiver devant la télé je pense à un bon feu… » Quoique pour se réchauffer, nous deux, on avait clairement pas besoin de flammes. Je me perdais un instant dans ces plans cocoonings mais ça me fit penser à autre chose : « T’as des exigences d’ailleurs pour l’appartement ? Je vais commencer à regarder les annonces. » Et envoyer mes sbires prospecter pour moi là bas. C’était mon investissement, mon achat, mais c’était pour elle et moi, alors son avis et ses goûts comptaient également. « J’ai déjà une petite idée du quartier qui me plairait. » Le plus haut de gamme, là où tous les Eliots investissaient bien sûr.  

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Il ne me ferait pas changer d'avis. J'avais besoin de temps et je ne doutais pas une seule seconde que les retrouvailles allaient être encore plus agréables après tout ce temps passé loin l'un de l'autre. Je ne parlais pas forcément de retrouvailles charnels mais juste de le retrouver lui, de retrouver ses bras et de pouvoir passer du temps à ses côtés. J'avais tellement hâte de tout ça que j'étais prête à faire un bon dans le temps si c'était possible. Je l'écoute et souris. " Il faut la peau de bête hors de prix alors aussi... " Soufflais-je avec un large sourire histoire de compléter le côté 'cliché' à trois cent pour cent. C'était ridicule, on avait pas besoin de ça tous les deux et, même si Cole ne l'avouait pas, je crois qu'un vingt mètre carré nous irait tout aussi bien. Mais ce n'était pas pour ça qu'il allait signer, loin de là même. Toujours plus. Et c'était pour ça que je l'aimais autant, pour sa folie des grandeurs, pour l'intérêt qu'il portait à toutes ces choses qui m'avaient toujours agacé. Ma chambre à la Lowell m'avait parfaitement convenu pendant quatre longues années. " Mmmh... " Qu'est-ce qui pourrait me faire plaisir dans un appartement ? " Une grande salle de bain... Et un dressing " Surtout un dressing en fait parce que j'avais bien trop de robes volumineuses pour les écraser dans un petit placard. Je l'écoute et souris. " Ah ouai et où ça ? " Demandais-je avant de l'embrasser et de garder mes lèvres proches des siennes quand je romps le baiser. " À Charles River avec une vue sur la rivière et le kiosque du bal ? " Parce que si c'est ça, il lit dans mes pensées. Et pour tout dire, il a une condition sur deux de remplie. Mais la vue, c'est pas sur le kiosque qu'on l'aura, sacrilège. Enfin, pour le temps dans lequel j'y poserais mes affaires... " Pas très loin du Mandarin aussi, je suppose " Tout était dans le coin, y a pas à dire.
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  Je souris à l’idée, je nous y voyais déjà… Si je savais qu’en fait, j’allais être propriétaire à peine un mois avant de vendre aussi rapidement pour retourner poser mes valises à la Eliot définitivement… Pour l’heure ce n’était pas du tout le scénario qui se profilait dans ma tête. C’est pour cela que je lui demandais de me lister toutes ces exigences concernant notre futur chez nous. « La peau de bête, je note… » Et plus sérieusement, une grande salle de bain. « Avec une immense baignoire… » Parce qu’on aimait prendre des bains à deux bien sûr. Et elle ajoutait ensuite qu’il lui fallait un dressing. « C’est vrai qu’il va te falloir de la place pour toutes les robes que je compte t’offrir… » J’avais déjà réussi à lui avoir celle qu’elle désirait en un claquement de doigts lors de son anniversaire + 1 semaine. Enfin, si c’était une robe = une connerie de ma part, il valait peut être mieux espérait qu’il n’y en ait pas trop en fait… Sinon l’issue serait un dressing bien rempli certes, mais elle finirait par me jeter. Il n’y avait qu’à voir le sort le sort qu’elle m’avait réservé pour mon aventure avec Ivy. J’aimerais tant qu’elle lève ma sentence… Bref, c’était peine perdue. On divagua ensuite sur la localisation du bien. « Je note la suggestion, mais c’est pas vraiment ce que j’avais en tête. » J’allais éviter de lui dire que je voulais emménager dans le quartier d’Hippolyte, parce que sinon elle filait vers sa porte d’embarquement tout de suite et je pouvais dire adios aux quelques précieuses minutes qui nous restaient ensemble. « On n'aura pu besoin d’aller au Mandarin puisqu’on aura notre chez nous. » C’était ça d’officialiser non ? Fini les petits coups vite faits en douce à l’hôtel. Bonjour la relation affichée, assumée, dévoilée. Nos noms accolés sur la boîte aux lettres. Nos brosses à dent dans le même verre au dessus de l’évier. La vie à deux quoi…  
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La peau de bête, quel cliché ! On avait pas besoin de ça pour se tenir chaud, on avait l'un et l'autre. Enfin, je ne suis pas sûre à cent pour cent que ça suffirait parce que si c'est du parquet, du carrelage ou autre, on risquait rapidement de se geler le cul et il faudrait le faire encore et encore pour ne pas chopper une pneumonie ou je ne sais pas quoi. Enfin, c'était un petit programme sympa quand même. Pour moi du moins. J'avais hâte, terriblement hâte que cette montagne russe qu'était ma vie se calme pour pouvoir me poser avec lui, fonder quelque chose avec lui, tout simplement. " Ah ouai ? Tu comptes me gâter ? " J'aimais bien ça, cette perspective de la vie en couple, je devais bien l'avouer. Sourire sur les lèvres je l'embrasser tendrement en soufflant " Tu sais, il me faudrait des chaussures pour sublimer ces robes... Et des bijoux " Je plonge mon regard dans le sien et ris légèrement. " Je déconne, je suis pas avec toi pour le fric " Loin de là même. Je crois qu'il pourrait être sans le sous que ça ne changerait rien. Parce que pour moi, l'amour n'est pas synonyme de compte en banque et tout ce qui va avec. La preuve, j'étais tombée amoureuse de Royce qui n'était pas riche, loin de là même. " Ah ouai et t'avais quoi en tête ? " Aucun doute qu'il allait me faire changer d'avis, comme à chaque fois. Cole et la force de conviction ou Kyla et l'incapacité de dire non ? Les deux. " C'est vrai... Mais bon, on aura accès au toit, de chez nous ? " Légalement, ça sera pas chez nous puisque je le signerais pas ce bail. Mais bon, il voyait très bien ce à quoi je faisais référence.
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  Je me faisais surement une idée très cliché de la vie à deux : un appart hors de prix grouillant de personnel pour tout faire à notre place, nous deux, nous prélassant H24 dans un lit, nous faisant servir comme des rois. Moi, exhaussant le moindre de ses vœux. « Je suis ton génie, ne l’oublie pas. Si tu me frottes dans le bon sens, tu peux tout obtenir de moi. » lui répondis-je quand à sa question au sujet de mes intentions de la gâter. « T’auras tout ce que tu veux, tout ce que tu as toujours rêvé d’avoir Kyla… » soufflai-je alors qu’elle s’amusait à en réclamer davantage, là, tout contre mes lèvres. Je pense que si j’avais eu la moindre idée de ce que notre cohabitation allait donner, je me serais abstenu de faire ce genre de promesse gnan gnan. Quand elle se reprit et précisa plus sérieusement qu’elle n’était pas là pour mon argent, je corrigeai : « Non, t’es avec moi pour le sexe et ma grande compétence dans ce domaine… » avant de laisser échapper un petit rire. Faudrait pas qu’on se lance trop sérieusement dans les confessions sur ce qui nous poussait l’un avec l’autre, malgré les tumultes de notre histoire. Non, il ne fallait pas, parce que si j’avais été en mesure de le dire à Vic, d’avouer à ma sœur que j’étais amoureux de Kyla, j’étais loin d’être prêt pour me lancer dans une telle confidence auprès de la principale intéressée. « Je ne veux pas habiter trop loin de chez mes amis… » répondis-je simplement, histoire qu’elle situe un peu l’endroit où j’ambitionnais d’acquérir un bien. « On aura une immense terrasse, un immense dressing, une immense salle de bain… Et un tout petit lit. » Pour se tenir bien chaud la nuit. Voilà en quelques mots comment je décrivis l’idée que je me faisais de notre futur chez nous.
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Je le regarde et souris légèrement. Je me souviens bien encore de cette histoire de génie et tout ce qui va avec. C'est ça, une relation avec Cole, des sous-entendus pire que pervers à tous les coins de phrase mais un sourire qui se dessine sur mon visage à chaque fois parce que c'est comme ça que je l'aime et ça, c'est bien une chose que je ne veux pas changer chez lui. " Ose me dire que je ne sais pas te frotter dans le bon sens tu vas voir... " Lâchais-je en souriant. C'était tellement plus sympa de parler de ces choses que de ses conquêtes et tout ce qui va avec. Mais ça risquait de faire monter le désir en nous et on savait très bien que c'était pas quelque chose de souhaitable mais alors pas du tout. Frustrée, je risque d'être encore plus enquiquinante dans l'avion, comme si c'était possible. Je souris légèrement. Tout ce que j'ai toujours rêvé d'avoir ? Un petit ami qui m'aime, une maison, une famille ? Ouai, peut être. Mais pas maintenant. Je n'ai jamais été matérialiste comme fille et ce n'est pas maintenant que je vais l'être. J'aime les belles choses mais je pourrais vivre dans un vingt mètres carrés où la cuisinière nous servirait de chauffage. Je ris légèrement à sa réflexion. Si seulement j'étais avec lui pour le sexe et sa compétence dans le domaine. Tout serait plus facile, j'en aurais rien eu à foutre de ce qu'il m'a annoncé tout à l'heure et on se déchirerait pas quelques semaines plus tard. " Zut alors, tu lis en moi comme dans un livre ouvert " Bon, je suis pas la nana la plus mystérieuse du siècle mais tout de même quoi ! J'hausse les épaules quand il me parle de ne pas habiter trop loin de chez ses amis. Ok, pourquoi pas, tant qu'ils n'essayent pas de me faire foutre en dehors de chez moi pour x ou y raisons. Dois-je lui dire que la moitié de ses potes ne m'aiment pas ? Non, on s'en fiche, pensons à autre chose, à nous deux dans un appartement avec un grand dressing, une grande terrasse et... un tout petit lit ? Non, je ne crois pas ! " Tu rêves toi, pas un petit lit ! " Un lit King size oui. " Mais après... Pas dis qu'on soit pas l'un sur l'autre à longueur de journée au milieu d'un grand lit " Soufflais-je en l'embrassant tendrement. " T'as jamais joué à ça avec ta soeur, debout sur le lit de tes parents, à dire que là où y a la couette, y a des requins et qu'il faut rester ensemble pour ne pas finir mangé ? " Un jeu que j'affectionnais pas mal. Même si mes frangines me poussaient tout le temps pour que je me fasse manger toute crue. " J'parle pas de coucher avec ta soeur, on s'entend " Non parce qu'avec lui... Il était bien capable de ne pas comprendre ce que je lui disais.
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