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FEAT. MIRA | Romantique, il l’était peut-être un peu trop comme venait de lui dire Mira. « C’est un de mes gros défauts, je peux pas m’en empêcher » souffla-t-il avec un brin d’autodérision. Il avait longtemps cru à l’amour avant de se rendre compte qu’il se brûlait plus les ailes qu’autre chose. Bonaventure n’avait jamais été très chanceux : Lucy l’avait quitté en apprenant son handicap, il était tombé sous le charme de la petite-amie de son meilleur ami puis, il y avait eu Amanda, Summer, Athena et maintenant Mira. Il craignait tellement qu’en cédant à cette attirance, il la perde également. Le lendemain était toujours une étape cruciale si bien qu’à force de s’entendre dire : je préfère que nous restions amis, il avait pris le pli de s’en aller bien avant le réveil de son amante. C’était toujours mieux pour son égo de partir le premier plutôt que de se voir à nouveau reléguer au rang de bon ami.

Mira lui posait alors une question, un dilemme. Et si elle avait des sentiments pour lui ? Comment pourrait-elle l’aimer ? Cette question le fit froncer les sourcils. Il n’arrivait pas à se dire qu’une femme puisse réellement vouloir de lui. C’était surprenant et destructeur dans un sens. Bonaventure au final ne savait plus ce qu’il désirait au fond tant il était perdu. « Si tu avais de réels sentiments pour moi… Je ne sais pas, honnêtement, je ne sais pas » avoua-t-il dans un chuchotement, tel un enfant perdu face à cette vérité si déconcertante. Il avait tellement oublié comment s’aimer que l’idée qu’on puisse le vouloir pour autre chose que ses prouesses au lit le rendait à la limite vulnérable. La seule chose qu’il savait, c’est qu’il ne souhaitait pas la faire souffrir et qu’il ne pouvait rien lui promettre ni lui offrir. Qui pourrait accepter d’être dans l’ombre d’une épouse même si, dans son cœur, elle aurait le premier rôle ?! « Est-ce que c’est vraiment ce que tu voudrais ? Etre toujours la bonne amie en public sans pouvoir dire que nous sommes ensemble ? Se cacher continuellement sans savoir combien de temps cette situation va perdurer ? Je croyais que ce n’était pas ton truc justement » lui dit-il sa main venant cueillir l’une de ses joues qu’il caressa délicatement avant de l’embrasser à nouveau. Les questions perduraient dans son esprit mais l’envie de l’embrasser devenait trop forte pour ne pas y céder.

Elle l’attirait, elle le touchait dans son cœur. Mira ne le laissait pas insensible mais il ne souhaitait qu’elle se brûle les ailes auprès de lui. Il avait si peur qu’elle tombe amoureuse et qu’il la détruise au final. La jeune femme ne semblait plus se poser de questions, l’attirant vers son cottage entre deux baisers et lui, faible, l’esprit beaucoup moins vif à cause de l’alcool, la suivait, répondant à chacun de ses baisers par les siens, jusqu’à la soulever dans ses bras pour qu’elle enroule ses jambes autour de sa taille. Peu importe la douleur de son dos, ils iraient plus vite se dissimuler des regards indiscrets de cette façon. « Quel… cottage ? » demanda-t-il entre deux baisers, l’une de ses mains venant subtilement se glisser sous son haut pour venir caresser la peau soyeuse et chaude de son dos.



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Un peu plus à chaque seconde, j'apprends à connaître Bonaventure, et c'est loin d'être quelque chose d'évident pour moi de découvrir un homme, dont je sais qu'il est incapable de me donner ce que je désire réellement ; c'est-à-dire lui. Le mariage est un événement symbolique, comme une barrière infranchissable dans mon esprit, ce pour quoi je ne peux pas me laisser aller dans les bras du Quincy aussi facilement, devant mener bataille avant tout dans mon esprit. « En quoi être romantique est un défaut . Je trouve plutôt que c'est une qualité moi ! » dis-je avec un sourire qui se forme rapidement sur mes lèvres. Mes précédents petits amis, n'ont jamais pris le temps d'apprendre la définition du mot romantique ; de quoi bien me faire comprendre qu'un homme romantique reste une personne rare. Alors pourquoi dire qu'il s'agit d'un défaut ? Cela n'en est qu'un seulement lorsque nous sommes en compagnie des mauvaises personnes, qui ne mérite pas notre attention, comme sa femme.
Je suis perdue entre mon envie de l'embrasser, et mon côté rationnel de mon cerveau, sachant pertinemment que c'est le mauvais choix à faire, que cela n'entraînera que plus de douleur et de confusion entre nous. Je le fuis déjà, mais sans résultat , il est peut-être d'arrêter, de se rendre à l'évidence que je ne suis pas assez forte face à cette attirance et attraction.« Est-ce que toi tu en as pour moi? » demandai-je. Une question simple, mais dont la réponse est tellement compliquée à donner, et qui fera certainement mal, qu'elle soit positive ou non . Je passe lentement ma main dans ses cheveux, les caressant avec tendresse, tout en ne lâchant pas son regard. Je me mordille légèrement ma lèvre, confuse, ne sachant pas réellement ce que je veux non plus. J'ai toujours eu horreur de faire des choix, choisissant toujours le mauvais au final . Non en effet, ce n'est pas mon truc de jouer les amantes, de me cacher aux yeux de tous, ce qui rend la chose encore plus compliqué pour moi. Non… mais je te veux toi ... » Alors si c'est le sacrifice que je dois faire pour t'avoir… je suis prête à le faire … du moins je crois ! Mais je ne suis plus sûr de rien avec lire. Et lmes lèvres qui rejoignent les siennes réussissent à me faire presque tout oublier. Ces questions s'effaçant de mon esprit, pour vivre pleinement l'instant présent, tandis que je resserre ma prise autour de sa nuque . Je l'attire à moi, tout en reculant de quelques pas à chaque fois, en direction de mon cottage, un peu plus bas. Je ne peux m’empêcher de sourire entre deux baisers que l'on partage . Lorsqu'il me soulève, je me laisse porter, m’accrochant à lui par la taille et enroulant mes bras autour de sa nuque. « le troisième » répondis-je simplement, le laissant se diriger vers ce dernier, avant de retirer avec difficultés mes clés de la poche arrière de mon short, ouvrant comme je peux la porte dans un rire . Une fois fait, je laisse Bona la pousser, tout en récupérant ses lèvres contre les miennes . Un petit miaulement se fait entendre, me rappelant la présence de mon chat, le pauvre il attendra encore un peu pour avoir à manger . Je dé-serre mon emprise de Bona, reposant mes jambes au sol, sachant très bien qu'il a encore des difficultés pour marcher, je ne vais pas exagérer le truc. Je l'attrape rapidement par la main, reculant en direction de la petite chambre du cottage, l'attirant à moi, attrapant un de ses souffles, pressant mes lèvres contre les siennes, laissant ma langue danser avec la sienne, tandis que j'entreprends de faire sauter les boutons de sa chemise, pour accéder à la peau de son torse. Je suis en train de faire une connerie, je le sais, mais je m'en fiche.
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FEAT. MIRA | La question des sentiments était légitime pour Mira mais pour Bonaventure, c’était compliqué. Il avait aimé deux femmes par le passé : la première l’avait quitté à cause de son handicap et la seconde lui était inaccessible. L’amour, il l’avait toujours souhaité mais n’avait jamais été une partie de plaisir du moins sur le long terme car entre temps, justement, il avait perdu tout ce qui avait fait de lui, l’homme heureux et insouciant. A présent, il était un être rongé par la culpabilité, par la douleur, par la colère également. Pourtant, lorsqu’il plongeait son regard dans celui de Mira, il se sentait plus léger comme ensorcelé, comme si à elle seule, elle avait le don de l’apaiser. « Je tiens beaucoup à toi Mira, plus que ce que je devrais en réalité » soupira-t-il, conscient de ne pouvoir réellement lui apporter une réponse concrète. Bonaventure n’arrivait plus à se livrer, à dire les trois petits mots. Il avait trop peur d’aimer et de laisser quelqu’un entrer à nouveau dans son cœur : la peur du rejet, celle de blesser également.

Mira n’était que douceur à son égard : sa main dans ses cheveux, son regard qui lui demandait à la fois des réponses mais également de la tendresse, des baisers. Il aurait aimé pouvoir tout lui donner mais surtout de pouvoir n’être qu’à elle que ce soit en public ou dans le privé mais il ne le pouvait tout simplement pas. Alors la question qui se posait était la suivante : pouvait-elle s’en accommoder ? Elle le voulait mais pour combien de temps ? Combien de jours, de mois, pourrait-elle supporter d’être uniquement dans l’ombre, de faire ce sacrifice ? Le jeune homme était incapable de le prédire mais il se sentait tellement seul que pour une fois, il souhaitait se montrer égoïste et prendre ce qu’il désirait à savoir : elle. Aussi la soulevait-il dans ses bras, l’encourageant à s’enrouler autour de lui telle une liane. Leurs baisers se faisaient tour à tour passionnés, tendre. Porté par l’alcool, il en oubliait tout pour n’être qu’un homme à la recherche d’une personne à aimer, d’un corps à serrer. Il avait faim d’elle, soif d’elle aussi. Mira était devenue en quelques minutes une obsession enivrante. Arrivé au cottage, elle descendit de ses bras pour mieux l’attirer dans sa chambre. Ses doigts s’activèrent sur les boutons de sa chemise tandis que les siens venaient saisir la couture de son T-shirt pour le tirer et la forcer à se reculer quelques secondes afin de pouvoir lui permettre de le lui retirer complétement. Bonaventure revint à la charge, l’attirant contre son torse pour mieux l’embrasser, se jouant à nouveau de sa langue dans un ballet vieux comme le monde. Demain, sûrement regretteraient-ils ce moment d’égarement mais là, pour le moment, il s’en fichait comme de sa première chaussette, ses mains caressant son dos, descendant au creux de ses reins pour mieux venir prendre en coupe son adorable fessier afin de la plaquer contre son bassin afin qu’elle sente combien il la désirait à cet instant précis.



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Tenir à quelqu'un… est-ce un sentiment comparable à des sentiments à amoureux. Je ne sais pas à vrai dire, ce n'est pas la même chose, il est donc difficile de comparer . N peut très bien s'attacher à un ami, ressentir son manque, sans pour autant en être amoureux. Sa réponse reste donc très floue pour moi, incapable de savoir s'il a de réels sentiments pour moi ou non. Je pousse un soupir, sa main sur ma joue, cette caresse de tendresse me procure des frissons, réussit à m'arracher un sourire. Cela fait un moment que je n'ai plus ressenti ça, un regard tendre d'un homme, rempli de désir, mais également autre chose, une flamme qui brûle dans son regard capable de m’enivrer et de me brûler vive. « Plus que tu ne le devrais ? Pourquoi il y a une limite? » demandai-je en fronçant les sourcils, n'étant pas certaine de comprendre. Une limite due à son mariage ? Alors qu'il s'en fiche de tromper son épouse… J'avoue que la situation est compliquée avec son mariage, mais ...t out le monde a le droit à l'amour, a le droit d'aimer. Pourquoi se le refuserait-il ?
C'est tellement difficile pour moi de m'imaginer n'être qu'une simple amante, toujours dans l'ombre... ne serai-ce que rendre un homme infidèle cela n'est pas dans mes habitudes, moi qui répugne cette chose : l'infidélité. La douleur qu'une femme peut ressentir face à ça, c'est bien pire qu'une honte, plutôt une humiliation que la personne trompée subit, c'est un manque de respect évident... Et pourtant, lorsque je regarde Bonaventure, tout cela semble s'effacer de mon esprit . Je n'arrive pas à l'imaginer avec une autre femme, profiter des courbes féminines d'une autre, qui elle, n'aura aucun scrupule à le rendre infidèle. Peut-être est-il temps que je me la joue également égoïste, que je pense à mon propre plaisir….Je ne cherche plus à lutter contre cette envie, contre mon attirance pour lui, et je laisse mes lèvres se poser contre les siennes, les caressant délicatement, avec tendresse, avant de devenir plus passionnée, plus fougueuse. Je me laisse emporter par ses bras, jusqu'à notre destination finale : ma chambre .Une chaleur torride a pris possession de mon corps, tandis que je l'attire à moi, laissant mes doigts le débarrasser de cette chemise, barrière entre nos deux corps. Ses mains sur le mien ont l'effet d'un courant électrique me procurant bien plus des frissons de l'échine de ma colonne vertébrale jusqu'à la pointe de mes pieds. Mon haut part rejoindre sa chemise à même le sol, tandis que je colle le reste de mon corps contre le sien, laissant mes lèvres reprendre possession de ce qui leur appartiennent l'espace d'une nuit, une seule nuit… Un sourire vient se plaquer contre ces dernières tandis que je sens son excitation contre moi . Je continue de reculer, nous laissant totalement emportée dans cette petite pièce, tandis que je referme la porte derrière moi, avec un coup de pied, laissant mon pauvre chat seul dans le reste du cottage. Doucement je pousse légèrement le jeune homme contre mon lit le laissant tomber sur ce dernier, un sourire au coin de mes lèvres, tandis que je le rejoins rapidement, laissant mes jambes s'installer de chaque côté de ses jambes, encore couverte par son bermuda. Mes lèvres l'embrassent passionnément, avant de descendre et de suivre la ligne de sa mâchoire, atteignant lentement son cou . Mes mains partent à la découverte de son corps, de son torse, qu'elles caressent tendrement, mais avec empressement, que je ravise malgré mon envie… Plus le plaisir est long… plus il est intense.
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FEAT. MIRA | Mira revenait à la charge quant à ses sentiments. C’était prévisible et Bonaventure aurait été déçu qu’elle ne le fasse pas. Malheureusement, il se retrouvait également dans une impasse. Comment exprimer ses doutes, son incapacité à aimer ou à être aimé réellement ? Il se cachait tellement des autres que par moment, il se demandait s’il savait au moins qui il était. « Je ne suis pas très doué pour exprimer mes sentiments Mira. C’est juste que… tu me fais perdre la tête, j’ai envie d’être proche de toi et pas uniquement pour une histoire de coup d’un soir… Le truc c’est que c’est justement le cœur du problème. Je vais te rendre malheureuse et ça me tue d’avance » lui avoua-t-il. Elle lui plaisait, il avait réellement envie de voir plus loin avec elle mais d’un autre côté, il savait par instinct que cette relation la conduirait à se détester, à souffrir. Mira croyait au mariage, ce n’était pas un vain mot pour elle comme pour lui. Suzanne avait beau ne pas être aimée de lui, il n’empêche qu’elle était son épouse et qu’à ce titre, il refusait de s’afficher avec une autre femme. De tout de manière, il n’en avait pas le droit, ce serait comme dire : allez, expulsez-moi à nouveau, je ne suis qu’un escroc. Ils se trouvaient dans une impasse et pourtant, lorsque ses lèvres embrassaient les siennes, quand son corps entrait en contact avec le sien, il oubliait tout comme s’ils se retrouvaient dans une bulle, protégés de tout et de tous.

Comment désirer être ailleurs que dans cette chambre alors qu’elle se faisait si sensuelle à son égard ? Il n’y avait plus qu’eux, rien qu’eux. Bonaventure voulait oublier tout ce qui le séparait de cette femme même si le charme ne durait pas au-delà de cette nuit. Etre égoïste avait du bon n’est-ce pas ? Alors il se laissa doucement allongé sur le lit, l’accueillant au-dessus de lui. Ses mains se posèrent sur ses cuisses, remontant le long de ses dernières pour venir caresser les rondeurs de son fessier avant de se perdre sur son dos. Ses doigts effleuraient sa peau plus qu’ils ne la touchaient afin de créer des frissons le long de son épine dorsale. Des soupirs de plaisir s’échappaient à intervalles réguliers à mesure que ses lèvres exploraient son cou, que ses mains caressaient son torse. D’un geste assuré, il fit sauter l’attache de son maillot de bain pour mieux faire lentement glisser ses bretelles le long de ses bras, accompagnant son geste d’une douce caresse de ses mains. Petit à petit, elle se dévoilait à son regard conquis, tendre mais assombrit par la passion et le désir qu’il ressentait. « Tu es magnifique » chuchota-t-il dans l’intimité de cette pièce.



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