Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityROYLITEL'ÉLITE • " And I like when he’s undressing " - Page 4
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ROYLITEL'ÉLITE • " And I like when he’s undressing "

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C'était vraiment possible ce genre de rencontre ? D'habitude c'est le genre de chose qui n'arrive que dans les frères Scott mais apparement non.. Je le rencontre quelques jours avant sur Tinder et là, il laisse sa trace dans mon monde comme ça. Monde où habituellement je ne laisse entrer personne et pourtant pour lui j'ai bien envie de faire une petite brèche, rien de grave.. Enfin je crois ? Je suis là, collé à lui, mon corps ne cesse de le respirer, je ne pense plus à rien, j'ai la tête vidée et bercée par nos gémissements, nos respirations irrégulières. Et j'aime chaque seconde de ce moment passé avec lui. C'est tout ce que je sais à l'heure actuelle, que j'aime ça. Un dernier coup de bassin, un dernier gémissement plus fort que les derniers avant lui et je touche le septième ciel. Il se retire, je souffle bruyamment en me retournant sur le dos, le laissant s'allonger sur moi. Je reste figé une seconde avant de pouvoir le toucher, mon cœur s'arrête de battre, je n'ai pas l'habitude de terminer sur un moment de douceur comme celui-là. Normalement je suis censé me barrer à toute vitesse en remettant mes vêtements mais pourtant non.. Je reste là. Je lâche un petit en regardant le plafond de ma voiture sans oser faire de geste. - T'es endurant c'est bien ! M'amusais-je à le taquiner en baissant les yeux vers le haut de sa tête. Je ramène ma main au-dessus de sa chevelure, restant comme ça un petit instant, hésitante puis je viens finalement les caresser, je viens faire courir le bout mes doigts sur la peau nue de son épaule. Je rentre le ventre en laissant un rire s'échapper d'entre mes lèvres, me trémoussant légèrement en balayant sa main, j'étais plus que chatouilleuse ! Mon rire s'arrête net quand il me pose alors la question fatidique, redoutée.. J'avais envie de répondre "quand tu veux, là dans deux minutes, ce soir chez moi, demain, après demain et ainsi de suite.." Mais j'entrouvris la bouche et aucun son n'a voulu sortir. - T'était d'accord pour que ça s'arrête ici tout à l'heure, tu te souviens ? Finis-je par lui rappeler en guise d'excuse pour cacher ma crainte à l'attachement et tout le bordel.
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Après l'effort, le réconfort. J'ai pas eu beaucoup l'occasion de m'envoyer en l'air dans une voiture de luxe mais c'était vraiment pas mal. Ça doit être l'effet Hippolyte qui y est pour beaucoup. C'est malheureux à dire mais j'ai perdu la sensation que c'était d'avoir de l'affection. Je crois que je me suis plus retrouvé à faire des câlins après avoir fait l'amour depuis... trop longtemps. Peut-être que ça la gêne, que j'abuse un peu mais moi je suis un gros panda qui a besoin d'amour. Comme c'est meugnon, ça me donne envie de chialer. Je frissonnais lorsqu'elle chatouilla mes cheveux. Qu'est-ce qu'elles ont toutes les meufs à caresser ma moumoute? Okay je veux bien croire que j'ai des belles boucles soyeuses, mais ça reste des cheveux. Soit, j'aimais bien cette petite douceur alors je fermais les yeux, je profitais comme un chaton qui se faisait chouchouter. Bien sûr que je suis endurant, je pouvais tenir encore des heures et des heures s'il le fallait. Mais je me suis trop vite emporté par toute cette passion! Je lui demandais quand est-ce qu'on remettait ça et je levais la tête en pivotant légèrement pour la regarder. « Oui mais tu sais aussi bien que moi qu'aucun de nous l'a vraiment pensé. Tu sais comme moi qu'on va se revoir, faut absolument qu'on remette ça. » je souriais puis je déposais un baiser sur son ventre avant de me redresser pour chercher après mes vêtements. Je retirais le préservatif et j'ouvris la fenêtre automatique pour le balancer dehors. Thug life.
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C'était.. Bizarre comme sensation ! Je savais qu'après ça j'allais retourner cette journée dans tous les sens pendant des heures. L'angoisse, je déteste ça, je déteste le fait que mon esprit m'oblige à penser à quelqu'un malgré moi. J'étais morte au fond de moi depuis un looooong moment, le peu d'humanité qu'il me reste je la partage avec mes rares amis, très très rares amis, la plupart des gens me détestaient par ici et c'était compréhensible. Si je n'étais pas moi, je me détesterais aussi je pense bien, en fait je sais pas, j'aime trop être moi alors je m'imagine pas être quelqu'un d'autre, et d'ailleurs si je l'étais j'aimerais trop fréquenter quelqu'un comme moi ! Il venait de taper dans le mile avec sa putain de bouche qui repend la vérité, je boude au fond de moi de m'être fait percer à vif, je suis pourtant forte pour jouer au double visages, pour camoufler ce que je pensais vraiment mais apparement, là, pour le coup c'était raté et il me coupe l'herbe sous le pied. Je soupire comme agacé, surtout par le fait qu'il a raison, j'avais pas envie que tout s'arrête en réalité et ça m'énervé. - T'es tellement sur de toi.. Ça fait presque peine à voir. Tu peux déjà plus te passer de moi ? Le retour de la garce en action. Oui, quand je me sens en danger j'opte radicalement pour l'attaque, le sarcasme et l'arrogance en général ça a le don de faire fuir les autres alors ça devrait marcher là aussi. Il se redresse pour attraper ses vêtements, je fais de même en remettant mon soutif c'est le dernier sous-vêtements qu'il me reste d'ailleurs ! J'enfile rapidement ma jupe ainsi que mon haut et j'attrape son jean avant qu'il ne le fasse. - Tu crois quand même pas que je vais te laisser te tirer aussi facilement après avoir ruiné mon ensemble de sous vêtements à trois chiffres ? Dis-je en arquant un sourcil laissant l'incompréhension de dessiner sur son visage. Je souris avant de déposer un baiser sensuel sur ses lèvres et de descendre de la voiture son jean en main. J'ouvrais la portière côté conducteur et prenait un briquet dans mon sac. - De toute façon je le trouvais moche, ça sera pas une grande perte ! Lançais-je directement avant d'allumer la flamme sur le bout de tissus le laissant s'embraser doucement et le balance dans une flaque d'essence un peu plus loin. - Je te laisse juste à quelques mètres de chez toi, je suis gentille aujourd'hui.. Rétorquais-je avec un sourire angélique sur les lèvres. Oui, j'aurais pu la jouer bitch jusqu'au bout en le laissant planter là en boxer.
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Regardez-moi ça, madame a une fierté et ne veut pas admettre que j'ai raison. J'ai rarement raison, mais quand j'ai raison, c'est que la plupart du temps c'est vrai. J'haussais donc un sourcil tout en la regardant se rhabiller. « Fais pas genre, tu sais que j'ai raison. » hop j'enfilais mon slip et mon t-shirt mais lorsque je voulais prendre mon jeans, la miss l'avait pris avant moi. Elle posa un baiser sur mes lèvres soit disant passant. Je comprenais pas ce qu'elle foutait avec et lorsqu'elle quitta la voiture en brandissant un briquet, mes yeux doublèrent de volume. « Qu'est-ce que... » mais non, elle a pas osé? Mon pantalon qui part en fumée. Je suis complètement dégoûté. J'ai que celui-là! J'ai pas encore eu le temps de faire la lessive et, et merde je l'aimais bien, ça avait une certaine valeur sentimentale. Puis je suis pauvre moi, je peux pas me permettre d'acheter des vêtements à tout va comme ça, je dois déjà acheter de quoi habiller mon bébé de dix mois. « Je m'en bas les steaks que tu le trouves moche! C'est mon fut putain! » criai-je en sortant de la voiture pour me diriger vers mon pantalon qui flambe. Pourquoi? Je sais pas, je vais faire pipi dessus pour l'éteindre tiens. Je posais mes mains derrière ma tête l'air désespéré. Heureusement que mon porte feuille n'était pas dedans et mon téléphone... oh merde mon téléphone. « T'as... t'as laissé mon téléphone dedans? » grognai-je comme un chat en furie, non je n'étais plus le petit chaton qui voulait des câlins, j'étais furax là. Je marchais rapidement vers elle et je m'immobilisais à seulement quelques centimètres de sa tête. Et pour faire le gros gamin, je tirais sur sa jupe qui tomba jusqu'en bas. Faut pas me chercher! Je lui lançais un regard provoquant à mort et j'affichais un petit sourire en reculant de quelques pas par précaution, on sait jamais si elle décide de m'envoyer une patate. Deux gamins je vous jure.
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- Peut-être bien mais je sais aussi que tu ne peux pas te passer de moi ! Dis-je toute contente en levant la tête comme un paon qui se pavane. Je réussis tout de même à esquiver la question avec brio, ça mérite des applaudissements je trouve.. Ni une ni deux je sautais en dehors de la voiture avec son vêtement dans la main, comme un drapeau de la victoire que je venais enflammer tout en regardant le visage de Royce se décomposer petit à petit. Je riais comme une gamine avant de jeter son jean dans une marre d'essence où il flambe quasi immédiatement sous nos yeux. Il accoure vers ce qu'il reste de son bas en chialant pour son vulgaire bout de tissus bon marché. Je grimace et fronce les sourcils d'une mine boudeuse. - Ce que tu peux être ennuyant quand tu veux ! Lançais-je en contournant les cendres de son jean, paix à son âme. Je le bouscule légèrement d'un coup d'épaule, déterminé à rentrer dans ma voiture pour partir d'ici, on s'était déjà assez fait remarquer je trouve, on aurait dit un hystérique en caleçon en train de pleurnicher devant son pantalon qui prenait feu mais apparemment ça le gêne pas. Puis je bloque mes pas, je m'arrête net en entendant sa réclamation.. Merde ! - Ton.. Je pivote légèrement sur moi-même, lentemeeeent comme si j'appréhendais de voir son regard me fusiller. - Oups.. Finis-je par dire en remontant les épaules. Je n'ai pas le temps de dire autre chose qu'il s'avance vers moi avec détermination, je me redresse immédiatement en le regardant faire. Je reste immobile, l'un près de l'autre, et je sens un courant d'air frais parcourir mes cuisses. J'ouvre la bouche et me baisse rapidement pour remonter ma jupe qu'il venait de baisser. Je sens mes joues rougir en entendant le Klaxon d'une voiture pas très loin qui a assisté au spectacle. - Putain ! L'enfoiré.. Je reprends une grande inspiration pour ravaler ma colère et me tourne vers la portière derrière moi, je l'ouvre et grimpe dans ma voiture en démarrant le contact. - Tu oublis que c'est MA voiture qui nous à emmené jusque ici.. Dis-je avec arrogance par dessus ma vitre en faisant marche arrière, installant quelques mètres de distance entre nous. - Quand on joue avec moi, on perd ! Bonne chance pour rentrer, t'as qu'à faire du stop je suis sur qu'on peut facilement te confondre avec une prostituée ! Le narguais-je en lui rappelant qu'il n'avait plus de pantalon.
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Ouais mon téléphone! Putain, c'est le troisième que je rachète en deux ans. Non mais c'est grave, d'habitude je vais loin avec un téléphone et pour une fois que j'avais de quoi me payer un Iphone. C'était la merde. Comme si j'avais voulu intentionnellement détruire sa petite culotte. C'est fragile ces choses-là. J'en ai marre de cette descende et montée émotionnelle complètement irrégulière. J'ai envie de la pousser dans le feu mais j'ai envie de la baiser aussi. Donc ça reste délicat. Pour me venger, je la déculottais devant tout le monde et je riais, fier de mon coup, lorsque quelqu'un klaxonna. « Mais t'as détruit mon pantalon et mon téléphone! » répondis-je excédé lorsqu'elle rentra dans la voiture. Je venais essayer d'ouvrir la portière mais impossible, elle les avais toutes verrouillées. « NON! Tu m'laisses pas ici sinon j'te jure que tu vas le regretter. » pff je parlais dans le vent, sérieux elle en avait vraiment rien à foutre. Raah, elle me fout les nerfs. Par chance, par miracle, quelqu'un cria mon prénom. Putain c'est mes potes de la winthrop. C'était eux qui avaient klaxonnés et ils avaient suivis un peu la scène et remarqués que j'étais en galère. Ils se moquaient, ils me prenaient même en photo avant que je puisse me faufiler dans leur caisse pour me barrer. Je faisais un doigt d'honneur fuck you que je calais contre la vitre à en regardant Hippolyte. Je suis un thug je l'ai déjà dit. Mes potes me chamaillèrent ensuite et je me gênais pas de leur expliquer toute l'histoire, tous les détails, même les plus coquins lorsque je m'éloignais de ce parking.
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