ROYLITEL'ÉLITE • " And I like when he’s undressing "

Je ne sais pas si c'était l'atmosphère qui régnait entre nous ou le fait d'être dans un lieu public qui m'excité là-dedans mais en tout cas il avait gagné à émoustiller tous mes sens là, de suite. J'avais trop de films qui me venaient en tête à ce moment-là, pas de films pour enfants, nooon, loin de là.. Il vient relâcher mes poignets, laissant retomber mes bras le long du corps lentement. - Tu peux ! Mais je suis très exigeante t'es au courant ? Je le défie alors. Oui j'étais du genre coriace et une vraie pourrie gâtée alors je compte bien le faire ramer quand même pas mal avant d'entamer quoi que ce soit. Il avait l'air enthousiaste à l'idée d'aller dans ma voiture et ça me faisait doucement sourire, oui, je confirme ça fait pas mal de temps que son lit doit être vide.. J'avais presque de la peine, j'étais à deux doigts de l'emmener dans un club de strip histoire de le détendre un peu du boxer. J'hoche la tête et lui adresse un petit sourire. - Toujours. Déclarais-je. Je suis une femme qui m'affirme et qui mène toujours les rennes, dans n'importe quelle circonstance en y repensant, même au lit, ça doit être mon côté entreprenante qui ressort je sais pas ! Je n'aime pas être guidé ni ressentir ce sentiment que quelqu'un prend le dessus sur moi. Ma main dans la sienne on fait demi tour direction ma voiture qui se situe à quelques mètres seulement, j'ouvre les portes et entre côté conducteur, j'attends qu'il monte à son tour et sans attendre je démarre la voiture en m'abstenant de toutes paroles. Je baisse les vitres et monte le son de la radio, je passe la deuxième et prend la route. - J'ai réussie à esquiver le zoo finalement.. Je dis sur un ton arrogant en me pinçant les lèvres. - J'ai toujours ce que je veux, faut que tu retiennes ça. Je passe ma langue sur mes dents et me repositionne correctement sur mon siège. Oui, j'avais envie de lui, oui il me plaisait mais je voulais le faire languir, ne pas tout lui offrir sur un plateau en or. Je reste Hippolyte Dunford, avant de m'avoir il faut plus que deux phoques et un zèbre.

(Invité)

Non mais le zoo c'est une très mauvaise idée, surtout qu'en y'a de la tension sexuelle vous voyez. Je pouvais pas me permettre de faire ça là avec des poissons qui nous observent. Erk nan, c'est glauque. Partir était plus simple. Je veux juste me retrouver seul avec elle, rien qu'elle et moi et le reste ne compte pas. Apparemment, c'est elle qui pilote, c'est elle la prédatrice, celle qui étouffe ses proies avant de les manger. Brrr comme c'est effrayant tout ça! Mais bien amusant. J'entrais dans la voiture de luxe, limite, j'avais peur de poser mes pieds à terre. J'affichais un petit sourire en coin lorsqu'elle disait qu'elle avait toujours ce qu'elle voulait. Tiens tiens, on va voir ça. « Et qu'est-ce que tu veux maintenant? » demandai-je d'une voix mielleuse. Je me détachais pour m'approcher très proche d'elle et mon doigt jouait avec une mèche de ses cheveux. Je la dévorais du regard fois mile, dommage qu'elle doive regarder la route pour conduire. « Tu m'emmènes où? » azy si ça tombe c'est une violeuse et elle va me couper en petits morceaux dans son coffre. Non mais Royce, t'es inconscient mon pauvre.

(Invité)

Adios le zoo ! Voilà une bonne chose de faite, on venait tout juste de commencer la visite que ça m'avait déjà bien gonflé, heureusement que j'ai découvert une attraction beaucoup plus passionnante.. Royce. Ahah, oui je préférais largement ça que d'essayer de trouver le plaisir d'aller voir des animaux en cages qui se font lancer des cacahuètes par des gamins abrutis. J'avais démarré ma voiture et prit la route, ce que je veux maintenant ? Je garde les yeux sur la route, une main sur le volant et le bras accoudé sur la portière. - M'amuser.. Lançais-je, une voix pleine de sous-entendus et un sourire en coin sans lui adresser un regard. J'entends le cliquetis de la ceinture qui se détache et il vient jouer avec mes cheveux, je frissonne légèrement, mes muscles se contractent et se décontractent en un temps éclaire. - Je sais pas encore.. J'hésite entre te lâcher au fin fond d'une forêt ou sur une aire d'autoroute perdue.. Je lâche un petit rire et tourne la tête rapidement vers lui, j'appuie sur l'accélérateur et passe la vitesse suivante. - Hum.. J'ai une meilleure idée en fait ! Je dis en passant devant un parking pour station essence où je viens me rabattre. Je me gare comme rien du tout, tirant le frein à main, je remonte la vitre et me détache à mon tour. Je me repositionne sur mon siège de façon à être face à lui, je retire mes escarpins et vient poser mes jambes sur lui. - T'es joueur ? Je lui demande en me mordant délicatement la lèvre. Je viens caresser subtilement sa cuisse de mon pieds, mon regard descendant sur mon geste avant de le relever vers lui. - À celui qui cède en premier ? Ouais, c'était beaucoup trop facile, trop commun, trop nul d'y aller directement.. Je voulais prendre plaisir à jouer avant.

(Invité)

C'est bizarre, ouais, je veux dire, je rencontre une fille sur tinder et ça y est, j'ai une envie pressante de lui faire l'amour. C'est pas forcément car je suis en manque, sinon, je sauterai sur n'importe laquelle qui croise mon chemin. Mais elle... elle a ce regard perçant et ce caractère de feu qui me faisait juste craquer quoi. J'aime pas les filles gnangnantes à mourir, je préfère celles qui sortent le fouet pour montrer qui elles sont. C'est comme ça que je percevais Hippolyte, et ça a toujours été mon type de femmes; les dominatrices. « Je crois qu'on est sur la même longueur d'ondes. » on va s'amuser comme des fous, c'est moi qui le dit. Je riais lorsqu'elle insinuait qu'elle allait se débarrasser de moi. Oh non, je ne pense pas que ça soit son envie première. Je retirais mes mains de sa chevelure dorée pour me remettre correctement sur mon siège. La jeune femme venait de garer la voiture dans un parking et même si c'était plus discret, j'avais l'impression qu'on était surveillé de partout. Je frissonnais quand elle me demanda si j'étais joueur. « T'as qu'à le découvrir. » tu verras bien chérie. Je jetai un coup d'oeil à son pied qui se frottait contre ma cuisse. J'ai joué beaucoup de fois à celui qui cède le premier et j'ai perdu trop de fois. Mais bon, je suis joueur et j'ai un sacré paquet de cartes à jouer. « Je crois que t'es pas du genre à céder facilement. » mais je prends ça comme un défi personnel. D'une main agile, j'attrapais délicatement sa jambe pour la chatouiller de haut en bas, tout en la dévorant du regard. Elle me fait craquer avec sa jupe là, et ses jambes sont magnifiquement belles. Puis je me penchais un peu pour venir déposer des chastes baisers sur son genou, tandis que mes doigts prolongèrent le chemin vers la zone encore cachée par la robe.

(Invité)

- Parfait alors ! J'affiche un large sourire satisfait. Jouer avec les autres c'était mon large domaine, entre manipulation, séduction et détruire quelques rêves par ci par là, je tapais dans tout et j'étais plutôt forte là-dedans je dois bien l'avouer.. Tout ce qui touche à l'amour, la compassion et tout autre connerie du style me donne de l'urticaire, ça me repousse, j'ai toujours eu du mal à assumer ce que je pouvais ressentir et j'étais pas très doué avec ça.. Garder près de moi les personnes que j'aime, elles finissent toutes par se barrer alors j'ai opté pour la facilité; le je m'en foutisme pur. La meilleure solution. Son rire retentit dans la voiture et me faire doucement sourire, j'aimais bien sa façon de rigoler, c'est mal ? C'est une mauvaise idée de penser ça ? C'était juste un coup comme ça, je suis pas censé m'attarder sur ce genre de détail normalement insignifiant. Il titille ma curiosité, j'ai envie de dépasser les limites, découvrir ce qu'il y a au-dessus des lois, de mes lois en fait.. - Et si tu me déçois ? Lui demandais-je en lui lançant un regard interrogateur. Je secoue la tête de gauche à droite d'un air ironiquement désolé en haussant les épaules. Il avait bien raison pour le coup, avant que je ne cède à la tentation, la mauvaise tentation il m'en fallait quand même beaucoup, il ne suffisait pas d'une belle gueule, d'un rire que je demande encore à entendre pour me séduire, pour réussir à me faire baisser les armes. Mon sourire s'estompe petit à petit, sa main sur ma jambe, l'odeur de l'envie et du désir commence à s'installer dans la voiture étroite. Lui contre moi, un combat à la loyal comme seules armes : Nos deux corps, nos imaginations.. Et ses lèvres se posent sur ma peau, ma jambe tremble brusquement et je regarde ses doigts se promener vers l'interdit. J'entrouvre la bouche inconsciemment, j'aime la sensation de son touché, j'aime le fait que ce soit lui qui soit là en face de moi. Mais j'aime encore plus gagner alors je retire difficilement ses mains, je sens déjà l'invasion du regret s'emparer de moi. - Non.. C'est moi qui mène le jeu.. Sans lui laisser le temps d'en placer une, je viens me mettre à califourchon sur lui, mes doigts glissent le long de son visage, continue de glisser jusqu'à son torse que j'effleure à peine et mon front collé au sien.. Les yeux dans les yeux, nos souffles chauds mélangés, je ferme les yeux. Effleurant ses lèvres avec les miennes, reculant légèrement quand ma bouche se laisse contrôler par l'envie. Et je dérape jusqu'à son cou, doucement, lentement, venant y déposer quelques baisers sensuels.

(Invité)

Non mais je ne vais pas la décevoir, il en est hors de question. Je suis sûr qu'elle sera agréablement surprise même. Elle me cherchait, je la cherchais et je décidais de m'attaquer d'abord à sa jambe vu que c'était la partie de son corps la plus proche de la mienne. J'écrase mon souffle contre sa peau, à la recherche de quelques frissons, puis elle chassa ma main. Je ne comprenais pas sur le coup mais tout s'expliqua. C'est elle qui commande, c'est la boss. Cette idée me plait en fait. « Oh okay. » Je souriais lorsqu'elle venait s'asseoir sur moi. Je vais pas la virer d'être sur mes cuisses, ça rend les choses encore plus intéressantes. L'excitation montait d'un cran lorsqu'elle posa son front contre le mien et que nos souffles se mêlèrent. Je fais rien, je la regarde juste poser ses mains un peu partout et ça me rend déjà ouf. J'ai tellement chaud, j'ai presque envie d'ouvrir une fenêtre mais ce n'était pas une très bonne idée. Je la regardais de la même manière qu'elle me regardait et je dégageais les cheveux de son visage car ça me chatouillait le nez. Je tournais la tête vers la vitre pour vérifier qu'il n'y avait personne et la miss en profita pour avoir accès à mon cou. Je lâchais un petit rire à peine audible et je souriais jusqu'aux oreilles. « Tu sais que tu me donnes vraiment très chaud là? » vite qu'elle me retire mes vêtements sinon je vais mourir séché comme un rat. Ma main agrippa délicatement sa nuque pour qu'elle relève la tête vers moi. Je la regarde, elle me regarde et je l'embrassais à mon tour, mais contre sa mâchoire, je la dévorais presque en faisant semblant de mordiller sa joue. Je collais aussi mon bassin contre le sien, faut qu'on se mette à l'aise, y'a pas de mal qu'on nous choppe! Putain j'espère que je dis vrai.

(Invité)

J'aimais déjà ce petit jeu entre nous, je ne voulais pas qu'il se termine ni aujourd'hui ni demain ni les jours qui s'en suivent en fait.. J'y ai déjà trop prit goût et je veux que ça continue. Nos deux visages collés l'un contre l'autre, son odeur qui m'enivre et je ferme les yeux comme pour profiter de ce moment entre nous, pour déguster cette atmosphère lourde qui réunis deux êtres, pourtant inconnus mais qui se désirent profondément et on peut le lire dans mes yeux, dans les siens. Je descends doucement jusqu'à son cou, sa peau est chaude et douce. J'hume son parfum et ses quelques mots me font sourire, il n'a pas encore terminé d'avoir chaud ! Je viens planter mes dents dans sa chaire, presque douloureusement, charnellement. Je me l'accapare le temps d'un instant avant qu'il ne pose sa main sur ma nuque, encore un frisson me parcoure et je relève doucement la tête, dégageant les cheveux tombant sur mon visage. Et nous rapprochant un peu plus, il dévore ma joue de bisous, de mordillements et je me laisse faire, mon corps se déhanche malgré moi et ma main passe dans ses cheveux. - J'ai chaud aussi.. Soufflais-je dans un soupire. Je fais tomber mes mains le long de ses hanches, attrapant son t-shirt et le fait remonter jusqu'en haut pour le lui retirer. Torse nu, je me recule légèrement, admirant sans gêne son corps. - Pas mal ! Dis-je en balançant son vêtement à l'arrière de ma voiture. Je viens poser mes mains sur sa peau dénudée, faisant glisser mon doigt le long de son thorax, son ventre et m'arrêtant à la ceinture. Mes mains viennent se poser sur sa nuque et mon corps s'avance vers le sien, collé à lui, je l'embrasse sur la joue, sur le menton, aux coins des lèvres.

(Invité)

On se donnait chaud héhé, c'est un petit peu le but de la chose hein. Je la désirais énormément. Si nous n'étions pas à l'étroit dans cette voiture, je serai déjà en train de lui faire sa fête! Mais c'est elle qui veut mener le jeu, qui veut commander et puis, c'est sa voiture, du coup, je la laissais faire pour le moment. Je meurs d'envie de goûter ses lèvres, de caresser ça peau nue. Raah ça m'émoustille. Je me mordais la lèvre lorsqu'elle toucha mon torse après avoir retiré mon t-shirt. C'était déjà mieux mais niveau chaleur, c'est toujours aussi étouffant. J'aime son petit pas mal. C'est bon, je crois que je lui plais. Je frissonnais dès qu'elle rapprochait ses lèvres des mienne, sans jamais m'embrasser. Ça devient dur de tenir là. Mon coeur battait super vite et ça se devenait dur dans mon pantalon! Alerte, je sens que je vais craquer. A mon tour, je venais m'emparer de son haut pour le retirer. Ouuh ça envoie du lourd les gars, lingerie super sexy. Je suis fan. Je suis en train de loucher sur ses boobs là. « Le rouge, ma couleur préférée. » dis-je en parlant de son soutif. Je faisais lentement descendre une bretelle le long de son bras et je venais déposer des baisers sur sa nuque, sur sa clavicule puis j'écrasais mon souffle sur son épaule. J'attrapais son fessier pour le caresser et pour la coller un peu plus contre moi. Qu'elle sente que je suis tout excité et que j'ai trop envie.

(Invité)

Je ne sais pas ce qu'il m'a prit d'en arriver là avec lui, comme ça, sans crier garde, sans même apprendre à vraiment le connaître.. Peut-être que j'en avais rien à foutre de ce qu'il était, que c'était juste un moment de folie sur le coup et puis basta, je n'en sais trop rien mais ce dont je suis certaine, c'est que là, tout de suite, je suis bien près de lui. C'est le principal non ? Puis adviendra ce qui adviendra, j'ai envie d'arrêter de me poser des questions pour une fois, m'éloigner un peu du rail dans lequel je roule depuis tant -trop- d'années. J'ai droit à une belle vue, un corps d'athlète, dessiné comme je les aiment et ça me faisait frémir rien que de le regarder, j'avais du mal à lever les yeux, mon regard danse de sa bouche à ses tablettes de chocolats, de ses tablettes à sa bouche et je m'imagine prendre mon petit dej' là-dessus ! Mes lèvres n'étaient qu'à quelques centimètres des siennes, tout petits centimètres que je me refuse à franchir et pourtant j'en ai envie.. Bordel ce que sa bouche peut m'attirer, savoir le goût qu'elle peut avoir, ne plus vouloir m'en passer, en devenir accroc. Mais non, je résiste encore, pour combien de temps ? J'en sais absolument rien. Mon entrejambe se contracte en sentant le fruit de son excitation juste en-dessous. Il passe ses mains sous mon haut pour l'enlever, laissant retomber ma chevelure blonde me chatouiller le dos, je me retrouve à moitié nue sur lui. - Alors je porterais du rouge à chaque fois qu'on passera du temps ensemble.. Euh.. What ? Je rêve ou je viens d'insinuer qu'il y aura une prochaine fois ?! Ce genre de rendez-vous c'est le genre où il n'y a pas de suite, l'histoire est censé s'arrêter ici, à l'intérieur de ma voiture, sur ses sièges en cuirs. Je marque une pause, légèrement distraite par ce que je venais de sortir de manière complètement spontané. Et il me sort de mes pensées, je penche la tête sur le côté alors qu'il vient embrasser ma nuque, mon dieu ce que j'aime cette sensation.. Une boule en bas du ventre vient s'agrandir doucement, ses mains baladeuses qui viennent s'agripper sur mes fesses et je me rapproche encore de lui, voulant sentir chaque partie de son corps contre le mien. Ma main empoigne ses cheveux, des ondulations plus prononcés de mon bassin, j'ai envie de lui.. Vraiment. Je viens enfouir mon visage dans le creux de sa nuque, mordant son oreille au passage, chatouillant sa peau du bout de ma langue et je remonte une nouvelle fois à ses lèvres où je cherche désespérément le contact. - Embrasse-moi.. Soufflais-je au bout de sa bouche.

(Invité)

Hippolyte. Je vais m'en souvenir longtemps de se prénom, ce prénom que je vais surement murmurer au creux de son oreille dans pas longtemps. J'étais le premier à se foutre de la gueule de mes potes quand ils m'annonçaient qu'ils avaient pécho grâce à tinder. Y'en a même qui ont trouvé l'amour grâce à ça, non mais vous imaginez le délire? Et si ça m'arrivait à moi aussi? Du sexe, de l'amour, peu importe, je fonce tête la première. Je la trouve trop craquante avec son ensemble rouge et je ne manque pas de le lui faire remarquer. La remarque qu'elle releva me surprenait. C'était un peu rapide mais allons, soyons fou, je suis pour revoir ses boobs encore quand ça l'arrangera haha. « On n'a même pas encore fini que tu veux déjà me revoir. » soufflai-je amusé au creux de son oreille. Je sentais une pression agréable entre mes jambes et là je me dis que j'ai vraiment envie d'elle! Elle me cherchait encore un peu puis enfin, elle me demanda de l'embrasser. Est-ce que ça veut dire qu'elle cède et que j'ai gagné? Roh mais qu'est-ce qu'on s'en fout. Je jouais avec son regard puis je frôlais sa bouche avec mes lèvres histoire de la faire languir un peu puis j'entre-ouvris ma bouche pour attraper sa lèvre inférieure. Ma langue suivit le parcours et rentra en contact avec la sienne. Je lui offrais un baiser sensuel à foison, passionnel et graoou. Tout en lui offrant le baiser de la mort, je venais caresser sa poitrine sous son soutif. Je pourrais le détacher mais je sais pas, la lingerie ça me rend ouf. « C'est fou comme j'ai envie de toi. » grognai-je alors que ma respiration était devenue inconstante. Je m'empressais d'attraper sa culotte pour la... déchirer. Vraiment? Tu déchires un ensemble méga sexy qui vaut surement une fortue? Merde, c'était sous l'effet de la pulsion héhé.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)