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you&i, we don't wanna be like them, we can make it 'til the end, nothing can come between us, not even the gods above can't seperate the two of us (carmingham)

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Les partiels sont terminés, j'ai définitivement fini cette putain d'année scolaire et je devrais être détendue, heureuse et joyeuse. Mais rien n'y fait, absolument rien. Le comportement de Cole à Ibiza, ma dispute avec Dante le soir même par message... J'ai appelé Andrew à la rescousse, comme à mon habitude. Il m'a fait envoyer un jet privé depuis Londres et j'ai décollé le soir même d'Ibiza, aux alentours de minuit-une heure du matin, le coeur brisé en un million de morceaux, sentant le trop plein d'émotions me submerger comme une vague de plusieurs mètres, comme si j'étais sur une plage lors d'un tsunami. Happée par la vague, me débattant pour ne pas souffrir trop longtemps, pour ne pas couler définitivement. Rentrer à Cambridge, faire sa valise et débarquer chez Sage, voilà ce qui s'est passé et ça fait deux jours que je me cache chez elle, ne répondant pas à mes appels, à mes messages et à tous ceux qui essayent de me contacter. Je n'ai plus envie d'être sociable, de faire 'comme si'. Je remballe même le nombre incalculable d'appels et de remontrances de Paris parce que je ne veux pas aller danser. Je veux juste rester dans le lit de Sage, pleurnicher toute la journée et laisser mes cheveux devenir de plus en plus sales. Il est deux heures du matin quand je sors du lit de Sage. Elle ronfle comme un camionneur et j'ai fais un cauchemar, un de ces cauchemar où je me retrouve en Europe et où ma vie s'apprête à virer à l'enfer. Cette nuit, cette première nuit. J'ai besoin de me vider la tête, de me changer les idées. Alors je file à la douche, enfile une tenue des plus simples et sors de l'appartement de mon amie mather, de ma meilleure amie à vrai dire. Je n'ai que mon téléphone sur moi et je marche dans le vide. C'est ce que je crois mais je me retrouve rapidement devant la Eliot House. Je soupire fortement et ferme les yeux quelques secondes, après avoir posé mon cul sur les marches de la maison. Dante a raison, finalement. Cole passe avant lui parce que je suis ici au lieu de contacter mon colocataire et de lui dire que je suis désolée, désolée de tout ce que j'ai pu lui dire. Je sors mon téléphone et envoi un texto à ce cher Wildingham. " T'es à la EH ? On peut parler ? J'arrive plus à dormir.. " Je crois que c'est le moment. Je crois qu'aujourd'hui, à trois heures du matin en plein mois de juin, est le moment où je vide mon sac, où je préviens Cole que je ne peux plus continuer comme ça, que je veux qu'il arrête de me dire qu'il veut être avec moi, qu'il a une surprise à m'annoncer pour finalement ne rien me dire. Et me laisser insulter devant ses amis les plus chers. Toutes les disputes mais pas trop. Et je crois que celle là, et la manière dont il l'avait géré, était de trop. Hors de questions de partir au Summer Camp dans cet état, évitant les repas une nouvelle fois, le sommeil bien trop éparpillé et pire encore, accroc à un homme qui ne me ferait que souffrir. À sa façon. Mais souffrir quand même... Et c'était le retour de ces cauchemars, de ce cauchemar qui me faisait prendre conscience de tout ça. Je faisais n'importe quoi pour Cole, tentant de m'intégrer parmi les siens, de montrer que je ferai une très bonne recrue Eliot pour être à ses côtés. J'étais prise au piège, comme une mouche dans une toile d'araignée. Alors qu'il me bouffe ou me laisse filer. Nous avions bien des choses à mettre à plat ce soir...
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Kyla avait déserté à Ibiza. Sous les remarques cinglantes, je l’avoue, de mon amie Hippolyte, la brune avait fui. Je ne saurais même pas dire à quel moment elle était partie de la soirée, mais en tout cas, lorsqu’on était rentrés à la villa elle n’était plus là. Donc pour le super week end où je lui annonçais qu’Ombeline était partie, on repassera plus tard. Bien sûr, j’étais en partie fautif dans l’histoire. Je n’avais pas été d’une grande aide, refusant de prendre partie dans ce crêpage de chignon entre Hippolyte et elle, Hippolyte était l’une de mes meilleures amies, Kyla était… Kyla était Kyla. Je lui avais finalement carrément reproché de ne pas faire d’effort pour s’intégrer. Mais ce n’était pas lui rendre service que de jouer les avocats de la défense. A la EH, ça fonctionnait comme ça : soit tu encaisses, soit tu coules. Il fallait qu’elle s’habitue, si elle voulait rejoindre nos rangs l’an prochain. Ici, on ne se faisait pas de cadeaux. Si c’était pour se faire des copains et des soirées pyjama qu’elle nous rejoignait, elle se trompait de maison sur toute la ligne, on était pas à la Quincy ou à la Cabot là. Bref, j’espérais que la brune se calmerait vite. J’étais rentré d’Ibiza, essayant de la joindre mais tombant à chaque fois sur son répondeur. Ca avait le don de m’agacer. Elle était sérieuse là, à me rendre responsable et me faire culpabiliser pour les paroles de ma meilleure amie ?  Néanmoins, j’avais toujours ma bonne nouvelle sous le coude à lui annoncer, ça ferait surement passer toutes les piques que mes amis avaient pu lui envoyer non ? Je me couchais de bonne heure mais  la sonnerie de mon téléphone me réveilla. Texto de Kyla. Un grand sourire se dessina sur mes lèvres et je pianotai une réponse idiote, oubliant l’espace d’un instant qu’on n’était fâchés elle et moi. Elle me fit savoir que je devais venir lui ouvrir. Je m’extirpai du lit, saisis mon peignoir de luxe pour me recouvrir, ne portant qu’un simple caleçon pour dormir, puis je quittai ma chambre, jusqu’à l’entrée du bâtiment, déverrouillant la porte pour la demoiselle. Je l’ouvris et l’accueillis de la sorte : « L’année prochain, t’auras les clés du sésame pour pouvoir entrer… » Sous entendu quand elle serait eliot. Je la fis entrer mais devant sa mine grave mon sourire s’estompa… « Tu fais encore la gueule pour Ibiza c’est ça ? C’est pour ça que tu n’as pas pris mes appels ? » Et soudain, les mots de son premier sms me revinrent en tête. Son –on peut parler- dont je réalisais soudain qu’il pouvait avoir une toute autre signification, ces mots étant souvent ceux que l’on prononçait avant une rupture… Sauf que rupture il ne peut y avoir que si couple il y a. Pas vraiment notre cas de figure, mais je me raidis néanmoins, bien moins détendu d’un coup. « Viens on va dans ma chambre… »
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Je ne supportais plus l'effet que Cole avait sur moi. Quand on était l'un avec l'autre, tout allait bien, j'allais bien, j'étais souriante et tout ce qui va avec mais dès qu'il me poussait de côté, qu'il m'ignorait, j'étais mal. Mal au point de ne pas rester à ce week-end auquel on m'avait invité. Je ne supportais plus rien quand ça le concernait, quand ça nous concernait. Hippolyte peut penser ce qu'elle veut de moi. Elle peut me dire que je suis une pute, que j'écarte les cuisses face au premier venu, ça m'était égal. Mais voir que Cole ne réagissait pas, ne demandant pas à sa grande amie d'arrêter ce bashing, c'était trop pour moi. Qu'en était-il de tous ses mots, de tout ce qu'il m'avait dit ? Il veut être avec moi, tout le temps ? Vraiment ? J'y crois plus une seule seconde. Ce n'était que de la poudre pour faire beau, pour que je me sente bien. Merci mais non merci. Je n'avais pas besoin de ça dans ma vie, surtout pas alors que je venais de me prendre le chou avec Dante qui était quand même ce qui se rapprochait le plus de mon meilleur ami. Il voulait me défendre envers et contre tous, me protéger... Il en fait presque plus que Cole et pourtant... Pourtant, c'est encore l'Eliot que je choisis, une fois de plus. Je me foutrais des baffes si je n'avais pas peur de passer pour une folle. Un SMS, sa réponse me fait serrer les dents mais j'essaye d'être simple. Ça ne sert à rien que je m'énerve maintenant, par texto. Je me redresse, passe mes mains sur mon short en tissu et monte les marches, attendant qu'il arrive. " Ouai, on y est pas encore " Soufflais-je en pénétrant dans la luxueuse maison étudiante. Je veux intégrer les Eliot, bien entendu, mais quand je vois leur comportement à tous, je ne sais pas si je supporterais de rester avec ces bandes de cons tout le temps. Les call-girl étaient leur truc, tant mieux. La méchanceté gratuite aussi, que bien grand leur fasse. Mais je n'avais pas envie de me retrouver avec une bande de pourriture et de vendus. La moitié de cette confrérie est moisie jusqu'à la moelle, en commençant par le grand ami de Cole, Noah. " Encore la gueule ? T'es sérieux là ? " Soufflais-je en serrant les dents. " Ta pote m'a trainé de salope devant tout le monde et tout ce que t'as su dire c'est que ouai, je faisais pas d'efforts pour m'intégrer ? Tu m'excuseras mais je sais qui sont tes amis et toi, tu sais qui sont mes amis ? " Non, il sait pas. À part deux-trois mais mon cercle d'amis ne se limite pas à Athena, Emilia, Dante et Baptiste, loin de là. " Oui, montons " Soufflais-je en lui passant devant, poussant la porte de sa chambre, me laissant rapidement tomber sur la première chaise qui me passe sous la main. " Tu pensais sérieusement que j'allais répondre à tes appels ? Encore, si tu m'avais laissé un message en disant Kyla, je suis passé chez toi à trois heures différentes de la journée et y a personne, j'aurai peut être fait l'effort de décrocher " Oui, peut être. Parce qu'il se serait réellement inquiété mais là, concrètement, rien, nada. " Pourquoi tu la laissais m'humilier devant tout le monde ? " Demandais-je rapidement.
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 Sa réaction en me voyant lui ouvrir, sa réponse à ma petite remarque qui se voulait drôle, ok clairement c’était stupide de le demander : elle faisait TOUJOURS la gueule, c’était clair. Et pourtant, un peu bêtement je posai la question, demandant confirmation à la jeune femme, déclenchant un raz de marée de reproches. Elle reprit le fait qu’Hippolyte s’était montrée insultante à son égard et je levai les yeux au ciel. « Je lui ai dit d’arrêter aussi, tu l’as pas entendu ça ? » Non visiblement, tout ce qu’elle avait retenu c’était ma réflexion sur son manque d’efforts pour s’intégrer. Reproche numéro deux, le fait qu’elle savait qui étaient mes amis alors que l’inverse n’était pas vrai. « Je te laisse ton espace… » me défendis-je pour expliquer le fait qu’en effet, à part nos connaissances communes, je n’avais pas chercher non plus à m’intégrer dans son cercle d’amis. « Et puis tu as qu’à me les présenter tiens… » Oui voilà, ce n’était pas ma faute, c’était la sienne. Cole Wildingham, le gars jamais en tord. Bref vu comment le ton était donné d’amblée de jeu, je proposai qu’on monte dans ma chambre, c’était surement mieux. Une fois là haut, elle entra rapidement dans la pièce et se posa sur une chaise et le raz de marée reprit. Je poussai un soupir lassé. « Il est trois heures du mat’ Kyla… » Non mais j’avais espéré quoi ? Qu’elle me rejoigne pour un câlin coquin nocturne ? Je me laissai tomber sur mon lit, redressant ensuite les yeux pour répondre : « T’étais où si tu n’étais pas chez toi ? » J’essayais de garder mon petit air détaché, mais on pouvait clairement sentir la note d’inquiétude dans ma voix. D’autant plus que j’avais toujours son sms, son –on peut parler ?- en tête. « J’ai pas pris part dans votre dispute parce que cela ne me regarde pas. Et toi, pourquoi tu l’as agressé en lui parlant de Tate directement aussi ? Alors qu’il était à deux mètres de nous ? Tu voulais les mettre mal à l’aise c’est ça. Tu récoltes ce que tu sèmes Kyla. » Bienvenue chez les Eliot, chez nous on ne joue pas avec le feu sans se brûler.
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" On va dire qu'entre le moment où t'as dis que je faisais pas d'efforts et celui où t'as demandé à Noah s'il avait appelé ses call-girl, non j'ai pas franchement fait attention à ce que t'as dis " Pourquoi ? Parce qu'il n'a rien dit de bien concluant. Il voulait qu'elle arrête ? Il avait pourtant préféré se tourner vers ses potes et nous laisser toutes les deux comme des idiotes. Bon, pour l'asticot blond, ça ne me gênait pas, loin de là à vrai dire. Peut être que comme ça, elle descendrait peut être de son nuage et ça ne serait pas plus mal. Je le regarde et soupire. Il me laisse mon espace ? Mais je ne veux pas qu'il me laisse mon espace, je veux qu'il m'étouffe. Ouai, carrément, je veux qu'il m'étouffe, qu'il cherche à vouloir les rencontrer, discuter avec eux et les apprécier dans la limite du possible. Je doute qu'il ait envie d'apprécier - voire même d'être vu avec - Sage. " C'est ma faute, bien entendu " Soufflais-je en secouant le visage. C'est bien Cole, enfonce toi encore un peu plus, tu ne me cours pas assez sur le haricot voyons. Plus les secondes avançaient et plus j'avais envie de l'étriper, plus je me demandais clairement ce que je foutais ici. Il ne changerait pas. Sans compter qu'ici, il était Roi et que je n'étais qu'une pauvre fille parmi tant d'autres. " Il est trois heures et ? Tu sais très bien que je suis là pour parler " Soufflais-je en ôtant mes baskets avant de poser mes talons près de mes fesses et de poser le menton sur mes genoux. Je pense qu'on est pas prêt de dormir et pas parce qu'on s'envoie en l'air cette fois-ci. " J'étais chez une copine... Je suis partie de l'appart avec Dante " Soufflais-je en déglutissant difficilement. Depuis notre échange de SMS, plus rien, plus de nouvelles. Je me demande s'il est déjà rentré ou pas, d'ailleurs. Je l'écoute et déglutis difficilement. " Tu sais pourquoi je l'ai agressé comme ça ? Il a dit à Athena qu'il l'aimait et elle lui a aussi avoué qu'elle l'aimait et dès qu'elle lui a dit ça, il lui a dit qu'il avait besoin de temps pour réfléchir, je ne sais pas trop quoi.. " Des histoires de filles mais quand on s'attaque à ma meilleure amie, c'est la tornade qui sort de sa cachette. " Et ta super copine Hippolyte lui a demandé de coucher avec lui lors du bal, Athena l'a appris par CS et... Putain, c'est un crétin ton pote ! " Soufflais-je en le dévisageant. " Si toi t'es capable de voir les gens auxquels tu tiens se faire humilier, tant mieux pour toi mais moi j'suis incapable de voir Athena dans cet état et c'est en partie la faute d'Hippolyte " Parce que c'est ça, être ami. Je soupire fortement et ferme les yeux quelques secondes. " Qu'est-ce que tu cherches Cole ? Je comprends plus rien. Y a une semaine tu me dis que tu veux être avec moi tout le temps et quand on peut enfin passer du temps ensemble, tu te défiles " Soufflais-je en le regardant. Je sens les larmes monter. Je suis fatiguée, j'ai mal au coeur et le constat que j'ai fait avec Dante par SMS me fait flipper.
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  « Oh mais Kyla, c’était de l’humour… » soupirai-je alors qu’elle reprenait ma remarque sur les call girls de Noah. Mais j’avoue que je n’avais pas été très courageux, connaissant le tempérament des deux demoiselles, c’était par un simple –arrête ça- que j’avais tenté de stopper ma tornade blonde préférée, sachant très bien que ça ne fonctionnerait pas, et cela avait en effet juste servi à vexer mon amie un peu plus et ça n’avait certainement pas fait revenir Kyla. On dériva ensuite sur la question de ses amis, de mon manque d’implication avec eux, cet entourage qu’en toute honnêteté je ne connaissais même pas. J’avais envie de dire que si ils étaient tous comme Dante, je m’en passerais bien. Sauf que vu la mine furieuse de la brune, je me résolus à garder cette remarque pour moi, préférant juste prétexter qu’elle ne me les avait présentés. Pas très bon choix de mots non plus en fait. De l’huile sur le feu plutôt. Je soupirai quand à l’heure, me laissant tomber dans mon lit, mais la demoiselle reprit que de toute façon, elle était là pour parler. Je revoyais mentalement le sms reçu, que j’avais lu dans un demi sommeil mais qu’à présent que j’étais bien réveillé me restait en tête. « Tu veux me parler de quoi ? » fis-je en me redressant, affrontant son regard. Et puis elle m’informa qu’elle avait hébergée par une copine à elle, qu’elle était partie de l’appartement avec Dante. Je fronçai les sourcils, intrigués, connaissant pour avoir absolument cherché à l’étiqueter son lien particulier avec le ravioli. Si elle était partie de chez lui, c’était mauvais… « Qu’est-ce qui s’est passé ? » Ma voix se fit plus douce, moins blasée, mon regard plus attentif aussi. Et à la question du pourquoi je n’avais pas bougé, je m’expliquai, lui retournant aussi la question, à savoir pourquoi elle avait eu cette attitude agressive avec l’une de mes meilleures amies. Elle me servit alors toute l’histoire. Tate et Athéna, leur déclaration mutuelle, comment finalement mon VP avait changé d’avis et comment Hippo avait réitéré ses avances auprès du bleu, chose qu’avait ensuite appris la cabot via CS. « En partie la faute d’Hippolyte ? » repris-je en retrouvant mon ton agacé. « Tu crois pas que tu sautes un peu vite aux conclusions ? Elle a demandé à Tate de coucher avec elle, ok, mais elle l’a pas violé à ce que je sache… » Bref conclusion : « C’était pas une raison valable pour la chercher comme tu l’as fait, et Hippo est comme ça : quand on l’attaque, elle frappe deux fois plus fort. » Maintenant qu’elle en avait eu la démonstration en direct live, peut être que Kyla ne réitérera pas l’expérience. En attendant, ce qu’elle voulait, c’était savoir ce que moi je voulais. Je sentais sa voix trembler quelque peu, alors qu’elle reprenait mes déclarations de la semaine passée. « J’avais un truc à te dire ce week end là à Ibiza Kyla… Je t’ai pas fait marcher, si je te l’ai pas dit dans l’avion, ou dès le début de soirée c’est parce que je gardais ça pour quand on serait seuls toi et moi. Mais t’es partie et… Je sais même pas si ça vaut le coup que je te le dise désormais... »  
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" Et bien ça ne me fait pas rire " Soufflais-je avant de lever les yeux au ciel. Si c'était son trip, pourquoi pas. Après tout, il m'avait payé lors de notre premier fois alors les filles de joies, quelque soit leur métier, c'est peut être son truc. Payer pour quelqu'un chose de gratuit et vieux comme le monde... je grimace légèrement. Une dispute de plus, une énième explication qui allait nous mener au même constat que d'habitude, on venait de deux endroits bien différents, on essayait d'être deux amis, en vain. Je détestais qu'une femme puisse tourner autour de lui et encore plus qu'il soit entourer de filles comme Hippolyte. Je n'ai pas peur d'elle, je ne suis pas jalouse mais elle est belle et les blondes, c'est un peu son talon d'Achille, merci Leevy. " De tout. D'Ibiza, de Dubaï, de tout ça " Et par tout ça, je voulais principalement parler de ce que j'étais entrain de ressentir, de mon coeur qui se déchirait dans ma poitrine au fur et à mesure que les jours passent. " On s'est pris la tête parce que je suis partie du bal avec toi, parce qu'il peut pas te blairer, qu'il trouve que tu me traites pas comme je devrais être traitée " Ouai, donc en gros, je t'ai défendu envers et contre tous. " Et je suis à la rue. Je peux pas squatter indéfiniment chez ma pote " Je pense pas que ça gêne Sage plus que ça mais moi, ça me gêne. Surtout maintenant que je ne sors plus vraiment du lit et de l'appartement. Boire de l'eau, manger de la glace et enchaîner les films. Je l'écoute et soupire. " Arrête de la défendre " Soufflais-je en le dévisageant. " Il est encore plus con qu'elle et j'espère qu'Emilia lui a réglé son compte après mon départ " Parce qu'on avait prévu plein de trucs à faire mais je n'avais pas été là pour les mettre en place. " C'était pas une raison, ok. Mais elle a essayé de me faire passer pour une salope qui écarte les cuisses à tout va, pour une pauvre fille que tu baises quand tu t'ennuies ! Je devais faire quoi ? Fermer ma gueule et encaisser ? " Je le fais déjà avec lui ça, me taire et accepter. Bah, désolée de l'avouer mais j'en ai assez. J'en ai marre d'être dans l'ombre, de me faire rabaisser plus bas que terre et tout ce qui va avec. " Et quoi ? Je suis partie et ? Tu voulais quoi ? Que j'attende que t'ai fini ta petite soirée avec tes potes pour daigner avoir ton attention ? " Je soupire fortement, déglutissant avec difficulté, tentant de ne pas pleurer. " Tu devais pas encaisser toutes les disputes ? " Demandais-je, étouffant un léger rire. Il n'était pas italien mais dieu que c'était un beau parleur. Je me lève et me pose à côté de lui, sur son lit, ma main proche de la sienne. Et c'est ce que je fixe d'ailleurs. " Qu'est-ce que t'avais à me dire Cole ? Il est peut être pas trop tard " À vrai dire, il peut encore attraper le dernier wagon ! Mais après... Ce sera trop tard. Rattrape moi, tends moi la main. Par pitié.
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  « Je vois ça… » marmonnai-je en me massant un instant les paupières à l’aide de mon pouce et de mon index, sentant à mesure que cette conversation avançait que l’on s’enfonçait de plus en plus dans une de nos habituelles disputes. Je redressai la tête, plongeai mon regard dans le sien, lançant le sujet donc : de quoi voulait-elle qu’on parle. -allez dis le, ce que tu es venue dire- lui criaient mes yeux. Mais non, pas de –c’est fini- que je m’apprêtai presque à encaisser, juste un listing non exhaustif de tous les dossiers non clos de notre tumultueuse histoire. Ibiza, Dubaï, tout ça… Et je commençai en cherchant à savoir ce qui s’était passé entre Dante et elle, puisqu’elle avait quitté leur colocation. Apparemment une prise de tête, et dont j’étais indirectement responsable. Je déglutis difficilement, étouffant mes états d’âme comme trop souvent : « C’est pas ton père, d’où il se permet de donner son avis comme ça ? Je vais lui donner des leçons moi sur son mariage en carton avec Swan ? » Sujet ravioli et ça y est, je m’emballais. Je soufflai, reprenant mon sang froid. Kyla avait besoin d’être écoutée, pas de me voir enfoncer son coloc. « Il va se calmer… » Il allait se calmer, parce que ce que j’allais annoncer à Kyla allait changer pas mal de choses non ? Et puis au pire, j’irai lui écrire à cette andouille de rital. Sauf que les paroles suivantes de Kyla ne me donnèrent soudain pas envie d’arranger les choses entre eux. Enfin, amen, elle ne vivait plus avec cette andouille d’italien. « T’as qu’à rester ici… » suggérai-je sur le champ avant de mettre les choses au clair concernant Hippo. Kyla n’appréciait pas que je la défende. « C’est pas ce que je fais… » Quant à Tate, c’était même combat que pour Hippo. Je ne jugerais pas mon ami. « Ecoute c’est leur histoire, on ne devrait pas s’en mêler, ni Emilia, ni toi, ni moi… » conseillai-je avec une sagesse que je ne me connaissais pas, moi le roi de la fouine et des coups tordus. Fallait croire que quand il s’agissait de mes potes, la chanson était bien différente. La brune acquiesça finalement, tombant d’accord sur le fait que ce n’était pas une raison suffisante pour s’en prendre à la blonde, mais qu’elle de son côté, elle n’avait pas été tendre non plus de son côté. « Tu sais très bien que ce n’est pas ce que tu es Kyla… Elle le sait aussi… » Très bien même. Hippolyte était ma confidente privilégiée, elle savait très bien ce que je ressentais pour Kyla. « Elle a juste fait ça pour te provoquer. » Je repris ensuite, un petit speech sur mes attentes concernant le week end. « De toute façon, j’ai toujours tout faux avec toi c’est ça… » m’énervai-je à mon tour alors qu’elle me reprochait d’avoir voulu garder mon annonce pour un hypothétique tête à tête de fin de soirée. Sentant surement mon ton monté, elle me rappela avec un léger amusement mes paroles du bal, à savoir ma capacité à encaisser toutes les disputes. « J’encaisse, j’encaisse, mais c’est plus dur à trois heures du mat vois-tu… » répliquai-je, me pinçant les lèvres pour retenir un sourire malgré tout. Et en la voyant se lever et se poser près de moi sur le matelas, je repris avec un ton taquin : « On passe au sexe de réconciliation dès maintenant ? » Ouais, mais non. Trop facile. Kyla me réclama l’annonce que je lui chantais depuis avant le décollage pour Ibiza. « Je voulais te dire que… Ombeline, elle est partie. Elle a quitté Harvard. » lâchai-je finalement. Mon regard scruta le sien pour ne rien manquer de la réaction que j’allais pouvoir lire dans ses yeux, alors que mes doigts s’approchaient des siens… Trop tard alors ?
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Je n'ai pas envie de rire ce soir. Il y a un temps pour tout mais là, non, c'est pas le moment de déconner, loin de là. J'ai besoin d'un peu de paix, de temps pour discuter, de tout mettre à plat. L'année scolaire vient de toucher à sa fin et je sais que des tas de nouvelles aventures m'attendent ici ou ailleurs et j'ai besoin de remettre ma vie en place, sur pieds, tout ça... Et cette mise à plat commençait par Cole. Il faudrait que je gère le cas de Dante plus tard... Puis il y a aussi celui de Méline avec qui je me suis légèrement pris la tête au bal. Enfin, ma vie était un vrai chantier, comme d'habitude. " Il veut me protéger de la grande menace que tu représentes " Soufflais-je en baissant les yeux. Sympa non ? Je rêvais que ces deux là s'entendent un jour ou l'autre mais franchement, plus les jours passent et moins j'y crois. " Ouai, on verra " Soupirais-je à nouveau, me recroquevillant sur moi même. J'avais l'estomac à l'envers de tout ça. Depuis Ibiza et cette double dispute, je n'allais pas bien et j'essayais de faire mon maximum pour avoir l'air heureuse, joyeuse et sereine mais c'était la troisième guerre mondiale dans mon corps. Je stressais pour un rien, j'étais mal comme pas possible et je ne dormais plus la nuit. " T'arriveras à me supporter ? " Soufflais-je légèrement alors qu'il venait de me proposer de rester ici, avec lui. Je pourrais dormir à l'envers dans le lit, même sur le sol s'il le fallait mais c'était avec lui que je voulais être ce soir. Et tous les autres soirs, pensez vous. Je l'écoute et ferme les yeux quand il persiste sur son "je ne défends pas Hippolyte". Merde alors ! Qu'il me défende alors, qu'il fasse quelque chose. " Athena est vraiment mal, c'est plus fort que moi " Soufflais-je simplement. Les mecs c'est assez perso sur ce genre de choses mais les filles, c'est autre chose. Tu t'attaques à leur copine et t'as tout le monde qui débarque dans la seconde qui suit. J'aimerais tellement qu'Emilia, Athéna et Madisson défoncent Cole mais deux sur trois l'appréciaient beaucoup... J'en avais assez de fermer ma bouche, de tout encaisser, de ne rien dire. S'il y a bien une chose à laquelle Hippolyte avait servi ce soir, c'était à me faire réagir sur le fait que je ne supportais plus l'absence de réaction de l'anglais. " Comment veux-tu qu'elle le sache ? À chaque fois que je la vois, j'ai l'air d'une pauvre désespérée à ta recherche " La soirée de donation. Notre rencontre à la Eliot House. Le début du bal. Et là, encore une fois. Et puis, ce n'était pas mon amie, loin de là même. " Tu fais pas tout faux Cole, arrête ! J'ai jamais dis ça. C'est juste que... C'est Nemo qui est venu me voir quand je me suis éloignée.. Est-ce que tu tiens à moi ? " Finis-je par lâcher, le plus simplement du monde. C'était comme si c'était prévu que je dise ça à ce moment là. Est-ce qu'il tient à moi ? Parce qu'à chaque fois qu'il me faisait penser que oui, je me prenais une belle baffe dans la gueule. " T'as l'air plutôt reposé alors trois heures ou dix heures du mat... " J'hausse les épaules et souris légèrement, me rapprochant de lui, attirée comme un aimant. " Cole... " Soufflais-je en fronçant les sourcils. Mon dieu, s'il savait avec quelles images je me suis réveillée en sursaut tout à l'heure.. Je lui demande de me dire ce qu'il était sensé me dire, cette annonce des plus joyeuses pour moi. Mais quand les mots sortent de sa bouche, je reste stoïque face à lui, la bouche légèrement ouverte. " Partie ? En vacances ? " Demandais-je, incrédule avant qu'un sourire se dessine sur mes lèvres. " Alors j'ai.. On a plus besoin de se planquer comme deux gosses ? " Demandais-je, les yeux qui pétillent.
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 Je sentais que le sujet Dante était épineux, et forcément j’étais pas déçu d’entendre ce que le ravioli avait encore déblatéré à mon sujet. Je m’énervais l’espace de quelques secondes, me creoncentrant ensuite pour ne pas perdre mon sang froid. J’avais promis d’encaisser les disputes, et puis Kyla était suffisamment énervée pour nous deux là non ? « Le grand méchant Cole Wildingham… » soupirai-je avec une certaine ironie quand elle évoqua la menace que soit disant je représentais au yeux de son cher colocataire. Bref, il allait se calmer, j’en étais certain mais elle, elle me parut septique. L’idée d’avoir pu enfin, et indirectement, réussir à mettre un terme à leur colocation aurait pu me faire sourire, aurait pu simplement, si elle n’avait pas été complètement chamboulée par tout ça. Je lui soufflai alors qu’elle pouvait rester ici, ce à quoi elle répondit à l’interrogative, me demandant si j’allais pouvoir la supporter. « Si tu me réveilles pas à 3h du mat toutes les nuits… » plaisantai-je. On reprit ensuite, plus sérieusement et de manière un peu tendue sur l’altercation entre Hippo et elle. Ca avait pris de trop grandes proportions et chacune avait ses tords, même si je pouvais comprendre que dans un espèce d’élan de solidarité féminine, Kyla se soit crue obligée d’attaquer Hippo et Tate pour leur petites aventures, n’empêche qu’ils n’en restaient pas moins mes amis et que je n’avais aucune envie que souffle un vent de tempête entre la brune et les deux Eliots.  En tout cas, c’était certain, ce qu’Hippolyte lui avait dit était de la pure provoc’, car la blonde était très bien placée pour savoir ce que représentait véritablement Kyla à mes yeux. « Elle le sait crois-moi… » J’avais l’impression d’avoir tout faux, sur toute la ligne, elle me corrigea, m’expliquant que quand elle avait fui la confrontation en s’éloignant lors de cette fameuse soirée, c’était Nemo qui était venue s’enquérir de son état… Et une interrogation s’échappa ensuite de ses lèvres. « Kyla arrête, tu le sais très bien… » Ou pas apparemment, parce qu’en grand novice en la matière, je n’avais jamais vraiment fait étalage de mon attachement pour elle. « Je tiens à toi… » affirmai-je alors. Des mots que je n’avais pas coutume de prononcer mais qui étaient complètement sincères. Et puis elle se rapprocha alors, l’ambiance s’apaisant un peu, je me risquais même à une petite note d’humour, faisant référence à notre discussion du bal. Elle me rappela à l’ordre en prononçant mon prénom ce qui me fit surtout sourire davantage. Me lançant, je lâchai l’info, en dernière chance pour recoller les morceaux, espérant que ça finirait d’avoir raison de sa rancœur à mon égard. « Partie, elle a déménagé, elle a quitté Harvard. » Plus d’Ombeline sur le campus. « Non mais je disais juste ça parce que t’es à la rue et comme ça tu vas pouvoir récupérer sa chambre… » répondis-je avec ironie à sa réflexion, mais ne voulant pas risquer de braquer la demoiselle à nouveau, j’ajoutai aussitôt : « T’énerve pas, je plaisante… » Mes doigts trouvèrent finalement les siens, et ma main s’emparant de la sienne, d’une pression, je l’attirai à moi, venant poser mes lèvres sur les siennes avec douceur. Et lorsque je m’écartais ensuite, je repris : « On peut faire ça tout le temps et partout désormais… »
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