T'as l'air d'un lapin au milieu d'une autoroute ! {Cole}

T'a l'air d'un lapin au milieu d'une autoroute !

Malicia n’avait pas le permis ou même une voiture. Alors que beaucoup d’étudiant – surtout les Elliot ! – ne se gêner pas pour s’exhiber dans leur magnifique voiture, certaine décapotable, la Lewis n’avait pas la chance de détenir le précieux papier rose. Contrairement à ce qu’on pourrait penser ce n’était parce qu’elle lavait raté l’examen x fois. Non. En fait, elle l’avait jamais passé. La Lowell n’avait pas les moyen de se payer un tel luxe et sa carte étudiante lui donner droit à pas mal de réduction sur les transports en commun, ce qui ne serait pas le cas pour l’essence et l’assurance de la voiture. Maya avait grandit pratiquement sans parents, sa grande sœur s’était émancipé pour l’élever et ensemble elles roulaient tous sauf sur l’or. Du coup, le permis se n’était pas vraiment dans ses priorités. Voilà pourquoi Maya prenait le métro. Le métro était peuplé de gens bizarre, elle en voyait tout les jours des vertes et des pas mure, mais c’était rire comparait au jeune homme qui approchait….

(c) toxic heart.

(Invité)

Je ne comprenais tout bonnement pas les gens. Pas de permis encore, ça ça arrivait. J’avais le mien personnellement, mais conduire était pour moi un loisir pas une nécessité. Donc oui, quand je me déplaçais c’était en Roll Royce ou en limousine, mais avec chauffeur s’il vous plait. Et ce soir donc, en pleine nuit, après avoir laissé ma conquête de la nuit dans une suite à l’hôtel, je filai jusqu’à ma voiture pour rentrer à la Eliot. Je ne dormais jamais avec mes plans d’un soir, question de principe. Mon chauffeur démarra mais après quelques kilomètres, le moteur toussota et la voiture se stoppa net. « Réglez moi ça rapidement, j’suis exténué il faut que je dorme. » soufflai-je avec agacement à mon employé. Ce dernier revint après quelques minutes à trifouiller sur le capot. « C’est pas de mon ressort monsieur, il va falloir contacter un dépanneur je suis désolé. » Un soupir exaspéré s’échappa de mes lèvres. Je consultais mon téléphone mais à cette heure, aucun mécanicien de dispo, pas de taxi non plus, pas envie de retourner à l’hôtel et de risquer de tomber sur l’autre godiche que j’avais abandonné dans le lit… « Ok, l’heure est grave, je n’ai pas d’autre choix… » Sortant de la voiture, je missionnais mon chauffeur de s’occuper du véhicule, que je voulais qu’il soit en état de marche dès le lendemain, et me voilà ensuite qui me diriger vers… Une bouche de métro. L’horreur… Je descendis sur les quais lentement, regardant avec appréhension tout autour de moi, tirant sur les pans de ma veste de costard, vraiment mal à l’aise dans cet univers sous terrain et quasiment inconnu pour moi…
(Invité)